Pris Comme Une Femme 2 (Suite De La Publication Du 13-02-2015)
Le coït fut rapide, il mexpliqua que lorsquil était bien excité, il jouissait assez rapidement et que cest pour cette raison quil invitait souvent son pote à ses ébats amoureux pour quil finisse le travail. De plus comme le gros nétait pas un sexe symbole avec son physique ingrat, il pouvait ainsi tirer son coup sans avoir à chercher longtemps. Cest vrai quil était imposant avec des cuisses bien épaisses, un ventre énorme et avec des mains burinées par le travail manuel qui faisaient le double des miennes. Cest le genre dhomme à la mine un peu patibulaire que tu évites de rencontrer le soir au fond des bois, sauf si tu veux vraiment te faire violer.
Didier membrassa une dernière fois tendrement, mavoua quil avait bien aimé me baiser comme une femme, mais que je devais à lavenir assurer plus ma féminité et me faire plus chatte pendant lamour, que joublie ma condition dhomme pour devenir une vraie femelle. Jacquiesçais et, avouant être novice en la matière, je mengageais à suivre ses conseils et à lui faire confiance. La première exigence quil exprima fut celle que jarrête de bander car cela navait rien de féminin, il fallait que jexprime mon désir, mon excitation dune façon différente. Il sortit sa verge de mon cul, se leva et alla sassoir sur lautre fauteuil, me laissant sur le canapé, les cuisses écartées et lanus dilaté.
Autant Didier sannonçait comme le cérébral, autant le gros semblait être le vicieux, et cela se devinait dans son regard.
Le gros mordonna de me mettre à quatre pattes sur le tapis du salon et de bien cambrer mon cul, puis sinstalla derrière moi et empoignant mes fesses à pleine main, il plongea la tête la première à la recherche de mon anus. Sa langue, large et râpeuse, commença à me lécher la raie dans toute sa longueur puis à sintroduire en moi. Comme il me fallait être plus femelle, je tortillais mon cul comme une petite chienne, poussant des gémissements linvitant à entreprendre ce quil voulait.
Jétais quelque part rassuré de me sentir désiré, de navoir rien à faire dautre que de me laisser faire, je découvrais une certaine paresse à être totalement docile. Il fallait juste que japprenne à me soumettre et à en retirer du plaisir.
Puis le gros mordonna douvrir mon cul. Je pris une fesse dans chaque main pour bien mécarter et ainsi exposer mon anus à sa vue et linvitais à me baiser. Il pointa son gland sur ma rondelle encore enduite de sa bave et senfonça en moi. Posant son énorme ventre sur mes reins Il se mit à me fouiller sans retenue, sa verge coulissant entre mes fesses violemment davant en arrière. Il me secouait de toute sa masse me traitant régulièrement de salope. Et au lieu de me concentrer uniquement sur ma chatte anale, sur le fait de ne sentir que son sexe en moi, je me remis à bander lorsquil minsulta et ma bitte durcissait à chaque coup du buttoir quil minfligeait.
Ce fut moi qui lavertis, je lui demandais de me châtier les couilles car je ne respectais pas lexigence première. Il recommença à me donner de grands coups de verge sur les testicules jusquà ce que la douleur me ramollisse la queue.
Puis Didier me fit sentir un flacon, du poppers, cest un produit qui libère linhibition, Il mexpliqua comment le respirer par les narines. Jen pris donc plusieurs inspirations, jusquà me sentir complétement partir, cétait ma récompense. Cela amplifia mon exaltation, me permis de lâcher-prise encore plus. Plus rien ne me gênait, plus rien ne me retenait. Je demandais quon me baisa fort, quon me traita comme une pute et je me sentais bien maintenant dans ce rôle. Cela leur plaisait et ils me félicitaient de me voir ainsi transformé. Ils mengrossaient comme une femelle en chaleur.
Le gros sen donna à cur joie, il me défonçait sans retenue et ses mains venaient claquer sur mes fesses régulièrement, ma queue se balançant au gré de ses coups de reins, des filets de liquide prostatique pendaient au bout de mon gland et ses couilles venaient se coller aux miennes. Ny tenant plus il se lâcha en moi dans un râle sauvage.
Lorsquil se retira, je sentis un grand vide en moi et mon anus resta ouvert encore un long instant. Je restais ainsi à quatre pattes jusquà ce quon mordonne de me relever. Lorsque jeu lautorisation de quitter le tapis, je vins ensuite massoir entre mes deux males qui menlacèrent affectueusement cette fois et me caressant avec tendresse. Jeu quelques compliments et aussi lencouragement à revenir dès que je voulais me faire baiser.
Je savais maintenant quoi faire la prochaine fois
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