Laveur De Vitres À Domicile, Le Dîner

Laveur de vitre à domicile, le dîner.
Nous sommes vendredi soir, je suis un peu épuisé par ma semaine de travail, mais ce n'est qu'un mal pour un bien comme on dit. Après avoir remis en état, une salle des sports « fitness », je me suis fait une petite santé financière plutôt agréable. Ensuite, pour rendre un service, je suis allé chez Louise afin de faire l'aménagement de sa maison.

Louise est une quadragénaire, que j'ai rencontrée au centre-ville en faisant le nettoyage des vitres d'un magasin de prêt-à-porter.
Elle était accompagnée par deux de ses amies, Marie, et Géraldine. Ce sont trois femmes complètement différentes avec qui j'ai pris du plaisir, il faut bien le reconnaître, parfois, on peut joindre l'utile à l'agréable dans certain domaine.

Puis avec le temps, je me suis pris d'affection avec Louise qui semblait perdue dans les abîmes d'une dépression affective. Je lui ai nettoyé les vitres, puis nous avons fait l'amour deux fois et donc avant ce fameux dîner que je sens particulièrement sympathique, en effet, Marie et sa fille Sonia seront présentes.

Il est presque dix-huit heures, je fais un bref aller-retour jusqu'à chez-moi pour me changer et me mettre dans une tenue convenable. Une fois en place, je retourne chez ma quadragénaire, elle s'est mise en tenue de soirée, elle est vraiment resplendissante, elle porte une robe noire qui lui arrive au-dessus du genou, j'en serais presque ému. Je me propose afin de l'aider afin de mettre en place la table et la décoration. On ressemble vraiment à un petit couple dans cette forme de configuration.

Je ne vois même pas le temps passé jusqu'à ce que la sonnette de la maison me fasse sursauter.
Louise se précipite à l'entrée de la maison, pour ouvrir la porte à nos convives. Elle précède Marie et Sonia qui sont toutes en beauté ce soir. On se fait une accolade, on se complimente sur nos tenues, puis je les invite à venir sur le canapé de la salle à manger, je m'installe sur un fauteuil, puis nous discutons de tout et de rien.

Jusqu'à ce que Louise arrive avec un plateau de gâteau apéritif divers et varié, puis nous sert un kir royal.

Nous trinquons à notre amitié, rapidement, nous passons au repas, accompagné d'un peu de vin, et avec en fond sonore, le plus grand cabaret, une émission de divertissement diffusée sur une chaîne publique. C'est une soirée spéciale année quatre-vingts, ce qui donne assez rapidement l'envie de danser. Ma quadragénaire est heureuse, Marie ne manque pas de lui faire la remarquer, et celle-ci lui répond avec un grand sourire tout en me faisant un clin d'œil. Le genre de mimique qui ne passe pas inaperçu.

La soirée se déroule merveilleusement bien, puis l'émission prend fin, et donne place à des bandes-annonces en prévision d'une émission politique, ce qui n'est absolument dans le thème du moment, puis en fouillant un peu sur le décodeur, je trouve une chaîne de musique variée, puis nous nous remettons à danser tout en buvant quelques verres de vin. J'échange des pas avec les trois femmes, puis lors d'un slow, je n'hésite pas à prendre Louise par les hanches, puis nous dansons quelques instants.

Marie d'un ton amuseur s'exprime en étant un peu frustré, puis je lui propose mes bras, pendant quelques minutes, nous sommes l'un contre l'autre, puis, c'est au tour de Sonia de faire de même.
Il est presque une heure du matin, les esprits sont un peu fatigués, tout comme les corps.

Louise invite ses convives à dormir dans les deux chambres, puis je la suis dans sa chambre de façon discrète pour n'éveiller aucun soupçon même si je me doute bien que les filles sont déjà au courant. Je m'assois sur le lit, ma quadragénaire ferme la porte puis s'approche de moi.
Je glisse mes mains sous sa robe pour la saisir par les fesses. Elle sursaute, je lui fais des caresses sur les cuisses, sur le bas du dos. Puis elle s'allonge à côté de moi, tendrement, je prends le temps de la dévêtir. Je saisis ses seins énormes, puis je les lèche, les titilles.

Je ne tarde pas à me mettre à nu, et à présenter ma verge devant sa bouche. Je suis très excité,

les effets de l'alcool sans doute, à la manière d'un biberon, elle me tète, me fait même quelques gorges profondes.

Puis lentement, je descends vers son puits d'amour, je me délecte de son jus, je joue avec son clitoris, elle ne tarde pas à envoyer quelques jets de cyprine. Je me relève alors pour la prendre en missionnaire, je la vois fermer les yeux comme si elle était transportée dans un autre monde, je lui soulève les jambes les posent sur mes épaules afin de rentrer au plus profond d'elle, j'y fais de façon plus bestiale. Puis je décide de me mettre sur le dos, car je sais qu'à califourchon, elle jouit quasiment tout le temps. Ce qui ne manque pas d'arriver au bout de dix minutes. C'est à ce moment-là que je décide de la prendre en levrette, une position qui me fait venir très rapidement et dans un cri de jouissance commun, j'explose dans son vagin.

Le souffle accéléré, nous reprenons nos esprits, puis je lui propose d'aller chercher une bouteille d'eau fraîche. Elle accepte, n'étant pas seuls dans la maison, j'enfile mon caleçon, puis je vais en direction de la cuisine. J'ouvre le réfrigérateur, puis dans l'ombre de la lumière, j'aperçois Marie qui fume une cigarette sur le canapé...

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