Proie Chassée

Mercredi dernier, sitôt pensé, aussitôt parti à la chasse. Justine Mistral déclaré ma proie. Mais il s’avérait que je m’étais trompé :

Quand on s’était entrevu, ou plutôt heurtés en plein fouet en sortant de l’ascenseur, moi je rentrais, Justine, elle c’est trouvait au sol, pétrifiée. Elle frissonnait ou tremblait plutôt, comme foudroyée. Oui c’est cela, jusqu’à l’os.
Je l’ai nettement senti en lui aidant à se relever, présentant mes excuses. Regard, face à mes yeux, le sien dans les vapes. Visage rougit, je sentais qu’elle voulait répondre mais ses cordes vocales étaient figées. Et puis elle restait agrippée à ma main. La porte automatique de l’ascenseur l’obligeait à la retirer. Je monte.

Son apparence soudaine et mon maladresse me tourbillonnait la tête. Qui est-ce ?
Pas que je me sentais touché par la foudre,… mais étrangement concerné… eh ben, c’est un peu pareil. Semblable à une émanation d’une bactérie chimique qui n’épargne personne. Le virus m’a eu, sans savoir comment, ce jour-là, mardi, la veille de ma décision. J’attends son effet toxique ou bénin.
Puis en sortant l’ascenseur, j’ai vu son portrait au mur. Je me renseigne à la réception : la PDG !
Houlà ! J’écarte cette histoire. Ce n’est pas une truite pour moi.

J’annonce mon rendez-vous, j’étais convoqué en conseiller marketing par la boîte. Je présente mes idées, elles ont trouvées un terrain fertile. Un nouveau rendez-vous en auditorium est fixé, pas plu tard que fin d’après-midi. J’ai du pain sur la planche, le boulot a pris le dessus.
A 17h je me trouve au pupitre. J’aperçois une vingtaine de personnes assister à ma conférence. Un micro circule, on me pose des questions, j’y réponds. A la fin les applaudissements. Pas habitué aux ovations, je suis un peu surpris, mais flatté.

Les personnes s’ont vont, trois en restent assis, dont je reconnais la fameuse PDG. Ils arrêtent leurs conversation et m’invite les accompagner.

Justine Mistral ne laisse transparaître, ni vu ni connu, l’incitant du mardi. Unanimement décidé, elle me propose un contrat de collaboration. J’accepte. On s’en va ensemble. En se séparant, elle me glisse un billet en main : un n° de téléphone et une adresse au 15ème et 20heure.
Bon. Je m’apprête à partir, elle me retint, son chauffeur me tient la porte de la limousine d’entreprise, elle monte dans sa voiture stationnée.

A l’approche, le portail lourd en fer forgé s’ouvre, il doit y avoir des caméras. Je coupe le moteur, elle m’attend dans le porche. Elégante, souriante, elle me tenta son bas, et guida au salon. Que fais-je ici, me demandais-je...
Justine n’était plus la femme perdue que j’avais bousculée, gorge noué.
J’avoue, pour moi, c’est instinct chasseur-proie qui fait que… mais en réalité, c’est inverse qui se produit : proie chassée.
Pas que cela me gêne. Quand-même inhabituel, sans doute. Je me ‘spectacle’. Pourquoi pas ? Elle a tout ce qu’il faut, en plus elle rayonne.
Elle ne va pas de la main morte. Etrangement ça me plaît. Même beaucoup ! Le cadre est bien feutré. Justine s’approche, elle me tient une précieuse coupe cristal de champagne, nous trinquons, une main défait deux boutons de ma chemise, elle s’y glisse, parcourt mon thorax tire des poiles, contourne mon mamelon, l’excite, pince… l’autre main se pose sur mon genou droite. Je frissonne, elle découvrit ma sensibilité… elle l’exploite. Je ne me pose plus la question pourquoi j’étais là…là, chez elle.
Elle a assez vu comment je réagis. Elle m’enlève ma veste. Je me lève, galant pour lui facilité sa démarche. Elle n’en reste pas là. Défait ma ceinture, déboutonne, zip, laisse tomber au sol mon pantalon, je l’enjambe. Défait ma cravate, fini avec la chemise, rivés les yeux aux yeux. Puis elle se penche, me suce un téton pendant qu’elle se dévêtit elle.
Me voilà délivré nu, elle en lingerie fine d’une beauté exquise.
J’attends, je l’observe, regarde ses main, face à moi, enlever les derniers obstacles.
Elle me donne une vue splendide sur sa face gâchée. Son regard m’apprivoise. Ses atouts parlent pour elle. Mes mains imitent ce qu’elle avait commencé. Je m’empare ses globes, visiblement, admirative. Elle connaît ses valeurs, comme des armes redoutables. L’embouchure des ses tétons arrogants fut un ordre provoqué.
Je cède, les emploient pour son bien. Justine bascule sa tête en arrière avec son buste. Elle s’accroche pour la première fois à ma verge tendue, comme bâton de secours.
Elle c’est reprise, son bras autours de mon cou, elle collait son corps contre le mien, sans lâcher prise. Main en-dessous ma verge, elle glissait au long de mon ampleur, rempaillant mes bourses. Puis l’autre main, remaille la tige de plus belle. Elle la garde décalotté et se laisse glisser aux genoux.
Mes « ah et oh » la guide, elle bisoute l’entité du gland, s’attarde longuement sur le frein du prépuce, et gourmandise avec ses lèvres le long de la colonne, avale une burne, mâchouillant.
Un courant électrique me monte à la tête, je pousse un p’tit cri quand un doigt festoie mon anneau. Je décide à me coucher sur se magnifique tapis, certainement d’une grand valeur, sans rien dire elle m’accorde le soixante-neuf, ouvre grand ses jambes. Elle apprécia comme moi le soixante-neuf cote-à-cote, qui offre tous les intimités à jouer. Sa fellation fut divine, et j’acquiesce sa chatte démunie de broussailles. Mon nirvana ! Ma langue lui fait crier plaisir. Je freine un peu sa magne.

Va-t-elle continuer à me ronfler la pine ? Va-t-elle se montrer sanguinaire ? Fondante ? En tous cas sa plate-forme généreuse maçonnée par la nature et sa détermination, sa libido affiché, -si l’ose dire-, s’accorde pile-poile à ce que je ressens sur le moment. Elle darde mon gland à lui faire explorer le moindre recoin de sa bouche. Parfois gourmand, des fois saccadé, ramenant en avant et arrière ma tige aux joues à son service. Ses mouvements sont dangereux à contrôler ma pression de juter.
Par contre mon habitat généreux de sa vulve et rosette, la mène d’une façon infaillible au non-retour.
Ses râles sont inaudibles, étouffés par l’encerclement buccal de ma queue où mon nœud glandouille. J’ai la joie et le bénéfice de ses jets de cyprine que je bois goulûment, accompagné de ses secousses et spasmes. J’adore son suc iodée et j’en réclame encore, j’envahis d’avantage sa moule juteuse, j’harcèle son périnée et je me moque un peu sur sa corolle qui cède peu à peu.

C’est quand-même magique quand je me remémore les événements passés depuis mardi, sa chute dans l’ascenseur, noué de parole, se trouver finalement en collaboration et maintenant en se pourvoyant en plaisir infini. Il n’y a que deux jours passé depuis.
Justine est en train de me cheminer à mon non-retour, auquel je me soumets sans faille. Ma jouissance a provoqué que ma langue est entrée dans sa conduite anale. Pour m’achever elle imprimait manuellement l’entrain branlade et dès mon suc y transpirait, elle pompait mon dard à vide.
Je n’avais aucune idée si Justine était mariée ou pas. Je pense que oui. Mais ce moment est mal choisit à le faire savoir. Ce moment était un instant à nous et nos désirs, les plus ardents. Rien d’autre ne comptait.

On avait arrêtés les préliminaires. Justine me servait à même du sol quelques bouchées friandes, caviar, crevettes, langouste, une gorgé de champagne. On ne parlait que peu, on se comprenait, on se chamaillait, on se goinfrait surtout. Pas de question sur le boulot, ni mondanités. Nous sommes des consommateurs de plaisir immonde et fier de nos faiblesses. Je lui ai défait son chinon. Elle se laissait faire. Elle s’est grippé dans mes cheveux, elle m’a décoiffé en dessus-dessous. Je me laissais faire.

C’est en regardant l’expression de son visage, sa beauté certaine, main et gestes se façonnant une magne profonde me fut donné lumière pour ne plus me contenir. C’est un film, une romance qui se passe. Pas besoin de connaître le scénariste, ni réalisateur.
Je me rends compte qu’il va falloir recommencer depuis le début. Justine semblait n’attendre que cela. Sans dire, elle m’ouvrait son antre à pourvoir, maintenant qu’on est restauré…il reste à se servir du dessert.
Elle s’était désignée pour ce plat. Moi j’étais du même avis…puisqu’on y est, et puisqu’on aime « ce dessert » !
Elle m’accordée une petite léchouille, qu’elle avait du mal à arrêter, elle se leva, tint sa main pour me diriger vers sa chambre à coucher. Le lieu du vrai combat de lion. Elle tourna la photo encadrée d’un couple, le couche sur sa table de chevet. Probablement son mari. Mais lui n’est pas…moi j’y suis, même si je suis devenue proie chassé. Ça me convenait !

Justine se comportait un vraie PDG lors la présentation de mon projet définitif. La machine c’est mise en route pour une collaboration de six mois… J’ai enfin pu apercevoir son mari qui m’a été présente par elle. J’ai eu des félicitations et un bon chèque. Tout va pour le mieux.

Bise Le Gouineur

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