L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 38) -

L'Odyssée de La Belle Hélène : Hélène se rapproche de Son esclave Clytia –

Thaïs revenait essoufflée vers Hélène qui s'était retirée dans une pièce calme de l'établissement que La plus Belle Femme du Monde Grec avait confisqué à son ancien propriétaire. Le maquereau séduit et vaincu par Hélène était désormais emprisonné dans une fosse, de lourdes chaînes fixées à ses membres... Il n'était nourri depuis ce nouvel état, des restes que voulaient bien lui jeter les putains pensionnaires de son bordel, désormais dirigé par Thaïs sous la houlette d’Hélène. Il avait bien essayé de protester, au début, mais les seaux d'aisances qui lui avaient alors été déversés sur la tête, en contre-bas dans cette fosse creusée dans une petite cour de l’arrière-boutique, l'avaient rapidement ramené au calme et à la discrétion. Depuis, il demeurait prostré, silencieux, risée de toutes celles qu'il avait menacées et exploitées qui venaient contempler sa redoutable déchéance. Thaïs menait ses filles d'une main de fer, mais elle savait aussi leur prouver son affection et assurer leur protection, grâce à ses nombreuses relations, notamment avec des membres de la garde sacrée d'Olympie. Des guerriers farouches, auquel nul n'aurait osé se frotter et qui, en échange de quelques faveurs sexuelles, faisaient savoir que l'établissement et ses pensionnaires devaient être respectés. Thaïs rejoignit Hélène qui savourait une grappe de raisins, allongée sur un lit étroit... La belle putain à la peau sombre s'arrêta devant la sublime beauté blonde et posa un genou sur le sol, baissant la tête :

- Ô Divine Hélène, je sais enfin où se trouve Votre esclave que vous nommez Clytia. Après une enquête rusée, j’ai appris auprès d’un client de longue date, un des gardes des Sages, où elle avait été emmenée et je puis Vous y mener..., dit-elle sans reprendre son souffle...

Hélène se pencha sur elle, et lui tendit un grain de raisin luisant du bout de ses doigts, que la tenancière vint cueillir délicatement du bout des lèvres, fermant les yeux pour savourer ce geste si doux de Celle qui l'avait faite et qu'elle adorait.



- Ah ?, alors je suis fort satisfaite, lui murmura Hélène, et où est-ce donc ?
- Elle est désormais entre les murs du fameux sculpteur Praxitèle, Oh Divine Hélène !

Hélène posa ses fruits sur une table basse et saisit avec délicatesse l'épaisse chevelure noire de la femme pour l'attirer à Elle, sur la couche... Sans un mot de plus, elle fit coucher Thaïs et caressa sa poitrine à travers la fine étoffe de la robe largement fendue sur les côtés... Hélène fit glisser l'épaule de la robe, dégageant lentement tout le buste de celle qui s'abandonnait totalement à Ses Caresses... Thaïs avait les yeux mi-clos, les lèvres frémissantes et humides, sa peau était hérissée par la chair de poule. Hélène savourait l'effet si immédiat qu'Elle produisait sur la belle brune... Elle glissa sa main dans la fente de la robe, venant caresser le triangle intime de la putain... Ses doigts se promenaient en propriétaire, explorant une fois de plus un territoire bien connu, mais dont on ne se lasse jamais. Thaïs mouillait déjà, écartant ses cuisses aux chairs tremblantes... Hélène ramena ses doigts maintenant souillés et les fit lécher par Thaïs, puis Elle s'étendit à son tour et attira le visage de Thaïs vers Elle, pour qu'elle vienne La lécher. Hélène s'abandonna ainsi à cette douceur charnelle, à une langue de velours qui venait s'abreuver avidement à Sa Source... Elle maintenait le visage enfoui entre ses cuisses, pressant de ses deux mains sur la nuque docile de celle qui était prête à tout pour Elle... Elle la maintint ainsi longuement, jusqu'à laisser son abondant plaisir s'écouler entre les lèvres, et qu'Elle fut lapée avec passion par cette si dévouée compagne...

Les deux femmes restèrent ainsi fort longtemps, Thaïs léchant et respirant les saveurs intimes d’Hélène tout en se caressant sans aucune gêne. Toutes deux avaient trempé les draps dans lesquels elles venaient de s'épanouir et de jouir à plusieurs reprises. Elles se caressaient encore lorsqu'une esclave de service osa s'approcher à petits pas.
.. et s'immobilisa à quelques pas. Elle était rousse, à la peau laiteuse, un corps trop amaigri avec de tous petits seins et une croupe un peu trop creusée. Mais Thaïs avait aimé ses yeux d'un vert si profond. Elle ne pouvait guère en faire une putain compte tenu de la qualité de l'établissement, mais c'était une servante docile et dévouée, consciente que sans la chance qui lui était accordée, elle aurait fini en guenilles, suçant des Verges pour une pièce de bronze dans des ruelles puantes... Elle attendait silencieusement, tête baissée, le menton frottant contre le large collier de métal brut qui lui ceignait le cou, signe définitif de son état servile. Les deux femmes cessèrent leurs ébats et Hélène, dans un mouvement d'une lascivité absolue, lui fit signe de s'approcher. L'esclave s'approcha du lit à petits pas...

- Eh bien, qu'y a-t-il ?, demanda Hélène…
- Dame Thaïs m'avait ordonné de venir Vous prévenir lorsque le jour serait tombé, Divine Hélène
- Déjà ! …, sursauta Hélène (elle se tourna et caressa les courbes du corps alangui de la putain brune) - … Bien il semble que nous ayons perdu la notion du temps. Il va falloir se préparer, dit-Elle.

Thaïs marmonna, indolente comme repue de plaisir...

- Mmmmmhh oui... sans doute...

Hélène s'amusa de cet abandon et fit signe à l'esclave rousse de s'approcher. Celle-ci obéit et fut soudain saisie par le poignet et entraînée sur le lit, entre les deux Femmes qui étaient Ses bienfaitrices...

- Vois cette coquine, s'amusa Hélène qui soulevait déjà la courte tunique de l'esclave consentante.

Thaïs sourit et toutes deux se penchèrent sur la jeune femme rousse, pinçant ses petits seins, tirant sur les poils bouclés de sa chatte. Peu habituée à de tels moments, l'esclave était à la fois effrayée et excitée, tellement élue de devenir pour un instant le centre d'intérêt de ces deux Femmes Sublimes... Thaïs l'embrassa à pleine bouche, lui mordillant la lèvre inférieure, tandis qu’Hélène la faisait pencher vers le côté, dévoilant sa petite croupe émaciée.
.. claquant de Sa main la chair pâle de la servante docile... Celle-ci sursauta, mais Hélène l'avait renversée sur le ventre et, penchée au-dessus d'elle, la fessait avec ardeur, tandis que Thaïs maintenait ses poignets. Mais le désir des deux Femmes n'était pas de la faire souffrir, ce moment tenait plutôt du jeu et l'esclave-servante le comprit rapidement, s'abandonnant alors totalement aux caresses de plus en plus intimes d’Hélène et Thaïs qui s'amusaient à offrir un plaisir unique à cette maigrichonne esclave qui n'en avait guère dans sa vie servile... Une douce récréation avant de repartir à l'aventure pour libérer Clytia et la rendre à son Unique et Légitime Propriétaire, La Belle Hélène, épouse Du Dieu Apollon...

Clytia, justement, qui subissait quant à elle une situation beaucoup moins sensuelle... Pour une nouvelle séance de pose, il n'y avait plus de tabouret muni d'un énorme olisbos de pierre, mais une sorte de potence où elle était suspendue par une jeu compliqué de cordes que Phryné pouvait actionner de multiples façons, afin de lui imposer des poses aussi nombreuses et différentes qu'inconfortables. Praxitèle avait repris place derrière son bloc de pierre, armé de son marteau et du burin, il frappait, découpait, façonnait avec une impressionnante précision... adressant de temps à temps à Phryné quelques mots inaudibles pour la captive, qui sentait soudain que les cordages étaient actionnés et que son corps allait subir de nouvelles contraintes. Durant des heures, Clytia fut ainsi manipulée, ses membres étirés, pliés, son buste exposé, ses hanches es, ses courbes pliées à des positions improbables ! Phryné prenait visiblement un plaisir pervers à briser ainsi les courbes harmonieuses de la belle esclave blonde, à lui imposer les postures les plus humiliantes et les moins commodes. Bien sûr, ce sont les plus désagréables qui lui étaient le plus longuement imposées... Phryné et Praxitèle formaient un couple finalement fort harmonieux. Le sculpteur aimait à reproduire des formes extraordinaires, des positions exceptionnelles et Phryné adorait tourmenter la belle esclave qu'ils tenaient entre leurs mains.
Le couple faisait souvent l'amour dans de fougueuses copulations à l'issue d'une période de travail, sous les yeux de Clytia contrainte de rester dans la posture qu'on lui avait imposée, à être observatrice à poursuivre leurs ébats au demeurant assez insolites car la belle Phryné n’était jamais dénudée et laissait apparaître juste une large ouverture telle une longue braguette allant au niveau de son bas-ventre jusqu’au fessier car, faut-il le rappeler l'odalisque refusait toujours de se montrer dénudée, ayant interdit à Praxitèle, la vision de ton corps nu …

Lorsque, tard le soir, parfois presque au petit matin, on daignait libérer Clytia un moment, il n'était pas rare que l'artiste la rejoigne dans le réduit où elle était confinée pour qu'elle suce sa queue, parfois encore poisseuse du plaisir de Phryné. Et quand le jour se levait, l'esclave était reconduite vers sa potence pour une nouvelle journée de poses et Clytia subissait tout avec abnégation, humiliations, supplices, privations, car elle savait que La Divine Hélène pour Laquelle elle avait accepté de n'être plus qu'une esclave, qu’Elle ne tarderait plus à lui venir en aide. Et que sa Divine Maîtresse verrait alors combien elle pouvait tout accepter, soutenue par la seule pensée d’Hélène... Le soir tombait de nouveau, attachée aux poutres de la potence, Clytia semblait un oiseau déplumé, aux membres étrangement étirés, comme exposée de la façon la plus impudique et la plus incommode qui soit. Ses cuisses étaient largement ouvertes, ses bras étirés vers l'arrière, son torse avancé et offert... Les cordes mordaient dans ses chairs, la position était aussi humiliante que dérangeante et Phryné prenait plaisir encore à tirer un peu sur les cordes, afin de rendre la séance plus perverse encore... C'est dans cette position qu’Hélène, qui avait été guidée par Thaïs et qu’elles avaient toutes deux réussi à franchir la porte de la demeure du sculpteur après avoir maîtrisé les gardes à l’entrée par une quelconque ruse, aperçut enfin Son esclave, livrée aux vices de ce couple pervers maintenant éclairé par des torches qui donnaient à la scène des impressions d'irréalité...

(A suivre…)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!