La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 421)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°420 –

L’auscultation classique fut de courte durée : Palpations abdominales, prise de tension, l’écoute du cœur et des poumons, vérification des ganglions dans le cou, dans l’aine, examen de la gorge, des dents, tout ceci fut réglé en quelques minutes seulement. Visiblement la préoccupation du médecin était ailleurs. D’une main ferme, il empoigna le sexe de compelled MDE et le décalotta complètement d’un coup sec. Il exerça une petite pression sur son gland, appuya sur le prépuce et titilla sa verge comme pour s’assurer de sa sensibilité. compelled MDE en un quart de tour se mit à bander. Le médecin murmura alors :

- Encore une salope, à peine lui ai-je touché la queue qu’il se met à bander ! (Sa main palpa ses couilles, les saisit à pleine main, les soupesa et les vérifia individuellement) - Tout est en place, mais son sac ne demande qu’à être assoupli… Si Monsieur le Marquis le souhaite, je pourrai m’y employer…
- Nous lui poserons la question, répondit Walter.

Les doigts du médecin pincèrent alors le méat de la verge de compelled MDE, une goutte de liquide pré-séminal perlait. Le médecin la récupéra sur le bout d’un doigt, l’examina puis interrogea compelled MDE.

- Qu’en est-ce que tu t’es servi de ta queue, pour la dernière fois salope ? (Surpris compelled MDE ne sut répondre dans l’instant. Alors le médecin lui attrapa les couilles et les lui tordit violemment…) - Aurais-tu perdu la mémoire, chienne… Je te demande de répondre à une question simple, je veux que tu me dises depuis combien de temps tu n’as pas baisé ou tu ne t’es branlé, c’est simple comme question, non ?…

Suffoquant, compelled MDE répondit :
- Ça fait cinq jours Monsieur
- Et bien tu vois quand tu veux, avais-tu éjaculé ton foutre de petit chien ?
- Oui Monsieur
- Était est-ce une branlette ou avec un ou une partenaire
- Une branlette, Monsieur

La main du toubib relâcha la pression, elle glissa sur sa raie.

Un doigt de ses doigts effleura l’anus de compelled MDE, le caressa longuement avant de chercher à s’y introduire. Mais sans lubrifiant, il fut impossible d’y mettre, ne serait-ce qu’une seule phalange.

- Ce chien est très serré, il va lui falloir bien des exercices pour que son cul s’ouvre et s’assouplisse comme l’exige Monsieur le Marquis pour ses esclaves. A se demander s’il s’est déjà fait fourrer. As-tu déjà pris des queues dans ton petit trou du cul, petite chienne ?
- Oui Monsieur
- Il y a longtemps alors !
- Oui Monsieur
- Et des godes ?
- J’en ai pris aussi, Monsieur.

Ces questions intimes, sans détours, humiliaient compelled MDE. Il n’avait pas pour habitude de faire état de sa sexualité. C’était jusqu’alors, chez lui, quelque chose qu’il gardait secrètement, il n’en parlait jamais. Il y avait ces questions, mais aussi ses regards posés sur Lui. Le médecin, Le Majordome, e6934 MDE étaient dans cette pièce, et lui exposé, attaché, fouillé, questionné, sentait monter en lui un ressenti déshonorant, comme couvert d’opprobre, il répondait honteusement et sobrement aux questions posées. Cette fois-ci le doigt du médecin, avec un peu de gel, pu s’introduire, il glissa le long des parois étroites, tenta de s’immiscer dans cette cavité afin d’atteindre la prostate. Compelled MDE sursauta lorsque ce doigt parvint à atteindre son but. Le doigt agile du médecin titillait cette glande, la massait, insistait longuement provoquant chez compelled MDE une furieuse envie de pisser.

- Monsieur, pourriez-vous m’accorder le droit d’uriner, s’il vous plait ?

compelled MDE avait longtemps réfléchi avant de poser cette question. Il y avait les formes, mais ni le Médecin, ni le Majordome ne lui répondirent. Ce doigt continuait à exercer son massage et une pression de plus en plus invasive, presque douloureuse. Au bout d’un bon quart d’heure, toujours avec ce doigt dans le cul, compelled MDE sentit qu’on lui soulevait la queue, qu’on lui glissait sa verge molle dans un tube en verre.
Peu après, le médecin sembla satisfait, il retirait enfin son doigt…

- Voilà, ses couilles sont purgées…

compelled MDE ne comprit pas cette remarque et pour cause, il n’avait pas réalisé, n’avait rien ressenti de particulier et pourtant il venait d’éjaculer, sans l’once d’un plaisir quelconque. Ce n’est qu’à l’écoute des dires du Médecin, qu’il comprit qu’il venait de subir son premier milking.

- Sperme visqueux et normalement abondant, odeur classique, belle couleur, rien d’autre à signaler.

compelled MDE sentit qu’une main cherchait à lui ouvrir la bouche, deux doigts lui maintenaient les mâchoires grandes ouvertes. Le contenu de l’éprouvette glissa sur sa langue.

- Bouffe ton jus chien, ici rien ne se perd !

Et compelled MDE avala et ingurgita son sperme honteusement.
Mais la honte de compelled MDE n’avait pas encore atteint son paroxysme… Le Médecin entreprit de lui faire un lavement. Une canule glissait entre ses fesses et s’installait dans son rectum. Il sentit de l’eau tiède l’envahir, son rectum gonfler sous la pression, ses entrailles gargouillées. Son ventre devint vite douloureux, avec des spasmes comme des crampes d’estomac. La situation devint de plus en plus pénible, avec cette envie de pisser pressante et abominable, de plus en plus dur de retenir ce liquide qui voulait à toute force s’expulser de son ventre et sortir de son anus dilaté… Ce n’est qu’au bout de dix minutes seulement qu’il fut détaché et qu’il dut se soulager sur une cuvette, placée au centre de la pièce sous le regard de ceux présents.

- Il n’est pas encore propre, je dois recommencer !

Par trois fois, compelled MDE dut se soumettre de nouveau à ce traitement, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune trace de matières, jusqu’à ce qu’il évacue un liquide parfaitement clair. L’examen médical se poursuivit encore… compelled MDE fut pesé, mesuré, ses mensurations enregistrées et notées sur une fiche, il eut droit également à un prélèvement urinaire et sanguin, et ce n’est qu’après que l’esclave e6934 MDE le raccompagnait dans la salle de bain pour qu’il puisse prendre une douche réparatrice.
Le médecin pendant ce temps eut le temps de rédiger son rapport à Monsieur le Marquis :

« Cher Ami, J’ai examiné avec soin celui qui souhaite entrer à votre service. Sa condition physique est bonne, il est donc apte à vous servir et à vous obéir. Je vous ferai tenir d’ici deux jours, les résultats d’analyse de sang et d’urine. Cependant, je note, un cul très étroit. Un travail préparatoire est plus que recommandé avant toute sodomie afin d’éviter toute déchirure. Je préconise aussi un travail anal régulier. En outre, ses couilles ne demandent qu’à être assouplies. Je vous suggère quelques poids ou ballstrechers à lui faire porter quotidiennement, ainsi que de temps à autre, des perfusions scrotales que je lui ferai avec grand plaisir. Enfin pour parfaire sa musculature, des exercices physiques journaliers semblent appropriés. Bien à vous cher Monsieur le Marquis. » (puis il signa et nota en bas de page) « Je remets à l’attention de votre Majordome un arrêt de travail pour compelled MDE de trois semaines à remettre à son employeur au plus vite »

Walter vint rejoindre e6934 MDE et compelled MDE dans la salle de bain. Tous deux, dès son entrée prirent la posture d’attente dès qu’ils le virent. Le Majordome à l’adresse d’e6934 MDE et lui dit :

- Tu lui rases le crâne maintenant et dès l’ordre exécuté, vous viendrez me rejoindre tous les deux dans mon bureau.

Assis sur le rebord de la baignoire, compelled MDE se laissa raser la tête. Il vit ses cheveux tomber au sol avec regret et désespoir. e6934 MDE lui expliqua que les esclaves mâles novices étaient tous ainsi rasés. A ce jour, ils étaient au nombre de deux en formation pour intégrer le cheptel, compelled MDE était le troisième. Pour e6934 MDE, s’était différent, il était un esclave mâle qui pouvait garder des cheveux courts et bien entretenus, car lui était un des esclaves confirmés et faisait donc partie intégrante du cheptel de Monsieur le Marquis. Chez les femelles, les deux soumises étaient aussi confirmées parmi tant d’autres : L’esclave Phryné MDE et l’esclave Holly MDE.
Trois autres femelles novices étaient encore en cours de dressage et de formation en vue également d’intégrer le cheptel.

- Je pense que ce soir tous nous serons réunis auprès de du Maître, pour ta présentation. Je te fais remarquer que je ne dis pas ‘’Notre Maître’’ mais ‘’Le Maître’’ car nous ne possédons pas le Maître, c’est le Maître qui nous possède, nous lui appartenons tous et pas l’inverse.

Compelled MDE était maintenant sans plus aucun poil, même ses sourcils avaient été rasés ! e6934 MDE avait fini son travail, il semblait satisfait, sa main caressait le crâne chauve de compelled MDE. Tous deux s’afféraient à balayer et à ramasser les cheveux au sol lorsque le pervers médecin entra soudainement.

- A genoux tous les deux ordonna-t-il furieusement. (Les deux esclaves se mirent côte à côte. Le médecin asséna deux violentes claques à e6934 MDE) - Depuis quand es-tu autorisé à parler, la chienne ? Met toi à quatre pattes et écarte tes cuisses !

Sitôt ainsi, il reçut dix puissants coups de cravaches ce qui lui fit rougir les fesses de e6934 MDE

- Et toi plutôt que de ne rien faire, passe derrière lui et bouffe-lui le cul à ce chien, dit le médecin à compelled MDE

Compelled MDE se mit immédiatement à quatre pattes derrière l’esclave, ses deux mains écartèrent les fesses d’e6934 MDE et sa langue passa rapidement sur son anus …

- Bouffe lui bien la rondelle, dépêche-toi chienne… reprit le médecin en écrasant le visage de compelled MDE sur ce sillon anal.
- Allez dégage ta gueule maintenant, tiens lui le cul simplement écarté !

Le médecin avait sorti son membre fort érigé de son pantalon, le pointa contre l’anus d’e6934 MDE et le pénétra d’un trait. e6934 MDE ne bougea pas, aucun son ne sortit de sa bouche, il resta inerte, son corps remua seulement au rythme de l’assaut, de grands coups de butoir, profonds et violents. e6934 MDE ne semblait être qu’un morceau de viande que l’on enculait sauvagement. Très vite, le corps du Médecin se tendit, se raidit, puis vient alors un long gémissement, tel un rugissement. Il déchargea longuement sa semence puis s’écroula, repu, rassasié, comme gavé sur celui qu’il venait de sauvagement de sodomiser. Il resta un long moment en lui, sans plus bouger. Il se dégagea enfin se redressa, s’approcha de compelled MDE de nouveau agenouillé à genoux en position d’attente, et lui ordonna de prendre sa queue en bouche et de la décrasser.

(A suivre...)

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