La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1472)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1469) -

Le Majordome frappa et je pus entendre la voix du Seigneur et Maître s’exclamer :

- Entrer …

Le Majordome entra en me menant à quatre pattes, d'une main ferme par ma laisse accrochée à mon collier de chienne. Il s'arrêta au milieu de la pièce puis repartit après quelques mots respectueux en envers Monsieur le Marquis. Walter me laissant ainsi en place, immobile en quadrupédie, la tête baissée aux pieds du Maître et devant Son bureau. J'étais aussi pendant ce moment de silence, complètement perdue dans mes pensées rétrospectives. Repensant à la déception que j'avais provoquée chez le Maître, il y a quatre jours et, en conséquence, ce qui l'avait amené à me punir de manière aussi ferme. J'en étais ainsi dans mes réflexions depuis au moins une bonne dizaine de minutes dans cette position animalisée d’attente. Je me doutais bien que ce silence était de la pure Volonté de Monsieur le Marquis d'Evans qui me laissait dans l'immobilisme quand Il jugea que j'avais suffisamment attendu. Alors le Noble se leva puis fit quelques pas, s'approchant de moi. Puis s'adressant à ma petite personne, Il me dit de Sa voix charismatique et doucereuse qui me faisait toujours autant frissonner de bonheur :

- Ma belle petite chienne Maera MDE, je n'ai pas loupé la moindre minute de ta punition via la caméra de surveillance de ton Cachot. J'ai donc pu voir quand tu te faisais prendre par tous tes tous de chienne par Mes quinze soumis esclaves de Mon Cheptel... Je suis fier de toi aussi quand tu étais si souillée de tous ces spermes et que tu es restée imperturbable. Tu as supporté cette punition jusqu'au bout avec l’humilité et l’abnégation dignes d’une soumise à porter Mes Initiales MDE... De plus, tu as su rester parfaitement immobile quand tu étais prise tel un vide-couilles tout en réussissant à ne pas émettre le moindre bruit pendant toute la totalité de ces trois journées.

J'attends désormais ta demande de pardon pour que tu sois enfin pardonnée cette grande faute et ensuite apaisée. Tu pourras parler quand tu entendras Mon claquement de doigts, me dit Maître tout en me relevant le menton pour que je le regarde dans les yeux avec Son regard bleuté si profond et très Dominant que j'avais bien du mal à soutenir.

Après quelques secondes de silence, le Châtelain claqua des doigts. Je me mis à parler très émue de retrouver le Maître, ayant les larmes aux yeux de pouvoir ainsi Lui demander pardon avec un ton sincère, empli de reconnaissance, de sensibilité, de dévotion totale et de respect :

- Maître Vénéré, je tenais à Vous exprimer ma très grande et sincère reconnaissance pour m'avoir punie en récidive pour une jouissance non autorisée. Je souhaiterais donc Vous remercier pour cette punition où j'ai passé trois jours au Cachot à servir de vide-couilles à mes frères de soumission. Je Vous supplie de bien vouloir me pardonner, Ô Maître pour cette faute indigne de mon rang, dis-je avec une voix pleine d'émotions, de remords, de reconnaissance et de sanglots en ayant toutes les peines du monde à soutenir Son puissant Regard…

J’avais les yeux embués par toutes mes larmes mais j'attendis ainsi mon regard flou plongé dans le Sien, restant la plus immobile et silencieuse possible. Ce moment était tellement fort en intensité qu’on n'entendait pas les mouches volées… Après quelques minutes de ce silence lourd et imposé, le Maître me dit en me caressant le visage et les cheveux :

- Ma chienne Maera MDE, tu es pardonnée et Je suis même fier de toi et de ton attitude pendant la punition. N'en parlons plus, tu as fauté et subi ta sanction et je t'ai pardonnée, donc plus la peine de te r l'esprit, plus que raison. Je veux voir ton sourire et plus de larmes sur ton magnifique visage. Il est temps que tu rentres chez toi pour retrouver ta vie vanille. Tu reviendras bientôt dans quelques jours… Tu auras un mail de Ma part.
Tes habits sont dans ta voiture et tu peux marcher en bipède pour quitter le Château, conclut le Noble.

Le Châtelain me tendit le dessus de Sa main que j'embrassais avec une profonde dévotion et reconnaissance. Puis, Il m'embrassa de manière Dominante comme pour me dire au revoir et enfin, Il m'enleva le collier… Je rentrais donc chez moi et je n'avais plus de nouvelles du Maître Vénéré à qui j'avais la chance d'appartenir... Quelques jours plus tard, je reçus un mail où le Noble m'ordonne de Le rejoindre au Château, m’informant qu'Il allait recevoir un gros patron chinois d’une holding internationale venu en France pour traiter d’un contrat très important avec les entreprises du Châtelain. Et ce dernier voudrait que je sois là à la disposition de ce grand homme d'affaires chinois, si le besoin s'en faisait sentir... Dès le lendemain donc, je me rendais au Château, mais j'étais aussi impatiente et emplie de joie de Le revoir car il m'avait manqué durant ces quelques jours. De plus, j'avais à cœur de Le satisfaire en tout selon Ses Exigences... Après une heure de route, j'arrivais à hauteur des grandes grilles du Château, grandes ouvertes, et m'engageais donc dans l’allée gravillonnée pour m'arrêter à hauteur du perron. Puis je me déshabillais, mis mon collier autour de mon cou, laissant les clés sur le contact…

Je progressais ensuite, à quatre pattes et m'arrêtais devant à l’imposante double-porte massive du Château, sonnais et attendis en position d'attente... Après quelques instants, j'entendis la porte s'ouvrir et je reconnus la voix de Walter donnant des ordres à des esclaves de Monsieur le Marquis. Sans me dire un mot, il tira sur ma laisse et mon collier de chienne pour m'obliger à le suivre. Nous nous dirigeâmes ainsi, pressant le pas, pour réussir à le suivre entre le dédale des couloirs et les nombreux escaliers. Puis nous nous arrêtâmes dans une pièce qui était une chambre d'amis. Ensuite, le Majordome me dit sur un ton assez froid, parlant vite montrant ainsi qu'il était pressé et qu'il n'avait que peu de temps :

- chienne Maera MDE, le gros patron chinois est arrivé cet après-midi avec d’autres personnes.
Je suis assez pressé et n'ai que peu de temps. Donc écoute bien ce que je vais te dire car si mes consignes te concernant ne sont pas respectées à la lettre, tu seras sanctionnée sévèrement. Tu vas mettre cette robe très échancrée et très moulante et tu feras la serveuse. Tu auras un plateau de fer accroché derrière ton cou et des verres seront placés sur un autre plateau fixé à ta taille. Tu n'as pas intérêt à en faire tomber la moindre goutte ou bien le moindre verre, sinon là aussi tu seras très sévèrement sanctionné. Une fois que tu te seras apprêtée parfaitement avec cette tenue ainsi avec le plug que tu dois mettre dans ton cul pour la soirée et qui t’attend là sur le lit, tu iras rejoindre Marie, en cuisines, qui a des consignes strictes pour que tu sois parfaitement présentable en parfaite serveuse pour la soirée et le repas de Monsieur le Marquis avec ses Invités chinois... Exécution …

Walter partit instantanément ensuite. Alors je dilatais, avec l’aide du lubrifiant posé sur le lit, mon anus puis je mis le plug à l'intérieur mon fondement vérifiant qu'il était bien en place et je mis rapidement la robe hyper sexy. Je me dirigeais ensuite vers les cuisines à quatre pattes aussi rapidement que possible et après quelques minutes je pouvais entendre les éclats de voix de Madame Marie provenant des cuisines...

(A suivre …)

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