Titput 1

MARTINE


- Oh, Martine, quelle surprise ont ne t'attendais pas avant ce soir !
- Bonjour Marie, je pense que je ne vous dérange pas, j’ai pus me libérer plutôt, a lors me voila.
- Je ne t'ai pas entendu arriver tu es rentré ta voiture, le portail était ouvert ?
- Oui je l'ai mise en bas devant le garage.
- Rentre je suis contente de te revoir, ça fait tellement longtemps.
- Une paye tu veux dire.
- Rentre, donne-moi ton sac
Cette fois c'est la totale, mes pensées se bousculent dans ma tête, il manquait plus que ça et sa copine qui arrive en avance. Je n'ose plus bouger dans mon réduit. Je les entends passer devant ma porte en gloussant.
- Rentre, pose-toi.
- Vous êtes pas mal installer, ça fait longtemps que tu habite-la. Au fait, raconte-moi, il est comment ?
- Attend je t'explique... Et toi comment vas tu, ta petite santé ?
- Pas mal en ce moment, comme toi les années passent. Tu es seule ? Il n'est pas la.
- Attend, je t'explique tu es bien curieuse.
- Pour une fois que tu vie avec un mec, il faut que tu me raconte tout.
- Je t'offre quelque chose à boire.
- Merci, j'ai pris un café sur l'autoroute. Ça va pour le moment, tout à l’heure si tu veux.
- Martine tu as bonne mine, tu es superbe, tu as des jambes magnifiques toi au moins. --- Moi c'est de pire en pire avec la ménopause, je ne t’explique pas.
J'entends des bruits de fauteuils qui bougent.
- Regarde-moi comme j'ai grossie en plus tu es plus jeune que moi.
- Mais non tu dis des bêtises nous avons que cinq ans d'écart arrête.
J'entends tous ce quelle se racontent, c'est bien le moment de se comparer la silhouette, je n'en peux vraiment plus j'ai des larmes pleins les yeux tellement je souffre de partout. De plus une envie naturelle est en train de venir, je le sens, avec le cul remplis comme ça, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.


- Alors tu la rencontré ou ?
- Sur le net, c'est tellement pratique maintenant.
- Il est comment, il n’est pas la, il bosse le samedi ? Raconte, il a quel âge ?
- Décidément tu veux toujours tout savoir toi, tu n'as pas changé, je t'en pose des questions moi.
J'essaye de faire le moins de bruit possible, mais je ne vois pas d'issue a cette situation, je sens que cela vas mal finir, je vais me taper la honte de ma vie. Tout ça pour un jeu à la con. Mais pourquoi ce matin, qu'est ce qu'il lui a pris. Je n'en peux vraiment plus. Il faut que je me soulage, ma vessie va éclater. Doucement j'essaye de lâcher progressivement. Mais une fois que j'ai laissé partir quelques petits jets pour essayer de contenir. Je ne tiens plus cela fait tellement de bien, petit à petit je sens que je lâche tout. D’abord ça fait étrange, une sensation de chaleur sur mes cuisses, je me vide, il me semble que cela dure une éternité. Puis le bien être de me vider, mêler à la honte d'être découvert, c'est presque divin comme sensation, si ce n'est la douleur du gode derrière qui me tiraillent. Ca y est je me suis vider complètement, tant pis il arrivera ce qui arrivera, l'urine sur les morsures du martinet des jambes me brule, la position me fait un mal de chien. J'essaye de ne pas trop bouger pour ne pas attirer l'attention. Et ça discute dans le salon Marie est en train de raconter notre rencontre sur Internet, lui raconter mon boulot, l’aménagement de la maison, notre loisir avec la moto, chose quelle apprécie. Martine n'en revient pas de voir tous les changements dans la vie de sa copine. Puis je l'entends demander à Marie.
- Dis donc, peut tu m'indiquer tes toilettes, j'ai besoin de changer, je suis en pleins dedans, cette semaine.
- Ca au moins tu vois c'est un truc que je ne regrette passé la cinquantaine, je suis tranquille de ce coté. Fini les tampons et les protections pour moi. Vas au fond du couloir à gauche, tu verras.

- Merci j'y cours, ça urge, je crois.
J'entends des pas qui vont dans le couloir. La porte des toilettes qui se verrouille, je me dis, vite quelle vienne m'ouvrir pour que je puisse me changer, n’ importe où même au sous-sol mais vite, quelle ouvre. Au lieu de cela, je l'entends qui s'active dans la cuisine et crié à l'intention de sa copine.
- Martine ne jette rien dans les toilettes, ont a un souci avec les évacuations si tu as des choses à jeter, met dans la poubelle à coté.
- Ok.
Un moment ce passe, puis les toilettes s'ouvrent à nouveau j'entends que ça bouge du coté de la salle d’eau, puis les pas repassent devant ma porte. D'un seul coup je suis tétanisé, j’entends.
- Marie, viens voir, tu dois avoir une fuite dans le couloir, c'est tout mouillé par terre.
Cette fois c'est la fin, je suis mort de honte. Je n'ose plus bouger une oreille. J’entends d'autre pas qui se rapprochent.
- Qu'est ce qui ce passe une fuite ou ça ?
- La regarde par terre, c'est tout mouillé.
- Regarde ... Ca va loin, en plus ça suit les joints du carrelage.
- C'est bizarre, je ne vois pas d'ou ça peut venir.
Je sens dans cette réponse une voix pas très à son aise et un peut, pour ne pas dire carrément gêné.
- Ouvre, tu verras bien ce que c'est !
Le placard s'ouvre en pleins, je ferme les yeux devant la lumière, la porte ne me retenant plus. Je m'affale sur le carrelage dans la flaque de mon urine, j’en ai de partout je suis trempé, je n'ose regarder Marie et encore moins sa copine, j’entends.
- C'est quoi ça, plutôt, c'est qui ?
- Je vais t’expliquer, enfin, je veux dire que.
J'ai la tête retenue par la laisse qui c'est tendue, le collier m'étrangle à moitié, je n'ose les regarder tellement j'ai honte de me retrouver dans cette situation et aussi cet accoutrement. Je me retrouve vautré sur le sol baignant dans ma pisse. Et la j’entends Marie.
- Je te présente "Tit pute".


- " Tit pute" c'est qui ça, tu ne vas pas me dire que c'est le mec avec qui tu vis. Je ne te crois pas.
- Sort de la, ça suffit et relève toi un peut, dit bonjour à ma copine Martine.
Je ne suis carrément pas à l’aise, j'ai toujours les mains immobilisées dans le dos, j'ai mal partout. Sa copine ne peut pas ne pas voir mon état dans mon travestissement en sous-vêtements féminin. La honte totale pour moi. De plus, je vois que Marie, au début apparemment gêné assume maintenant complètement la situation.
- Redresse toi quelle puisse voir la tête de la petite salope qui lui sert de mec.
En disant cela elle me prend la tête par les cheveux et m'oblige à regarder Martine dans les yeux, je suis mort de honte. Je pue la pisse mon accoutrement est ridicule le fond de robe avec le quelle je suis vêtu me colle sur la peau, les bas sur mes jambes sont imbibés d'urine. Je suis à moitié à genoux, baignant dans mon jus, la combinaison en nylon, rendue transparente par l'urine ne peut pas dissimuler le soutient gorge sur ma poitrine. De plus une poire en caoutchouc pend entre mes jambes. Des marques de coups me zèbre les bras et le haut des cuisses, totale déchéance. Je vois la surprise dans les yeux de sa copine, elle reste bouche bée à me regarder. Je vois que son regard insiste entre mes fesses. Je suis humilié d'être ainsi exhibé. Marie elle a l'air de s’amuser, une fois la surprise de ma découverte passer elle à l'air d'assumer tout à fait.
- Lève toi ma salope, présente –toi, hein,...dit à Martine que tu es ma petite pute.
Je n'ose regarder personne en face et elle insiste.
- Répète après moi, je suis une pute.
Je ne peux pas parler, sa culotte me remplie la bouche, j'essaye de la repousser avec la langue mais n'y arrive pas, elle me fourre ses doigts dans la bouche, retire la pièce de lingerie rendue gluantes par ma salive. La combinaison en nylon me colle à la peau et goutte par endroit sur le sol, et la sans prévenir elle me recolle deux baffes magistrales.

- Répète après moi, Je suis la pute de Marie.
Les joues à nouveaux en feux, la bouche desséché, je balbutie entre mes lèvres. Elle s'empare de la poire en caoutchouc au sol et la presse de deux grands coups à la suite. Je hurle de douleur tellement le déchirement est atroce.
- Je suis une pute, je suis une pute.
- Tu es la pute à qui, je n’ai pas entendu !
- Je suis la pute de Marie.
Les larmes coulent sur mes joues, la douleur dans mon cul est insupportable.
- Arrête Marie, t'est folle tu vas lui faire mal.
- Tu rigole, il adore ça, ...Hein tu aime ça salope.
- Oui j'aime
- Je n’ai pas entendu répète plus fort.
En parlant elle m'att les deux tétons à travers le soutient gorge et ce met à les tirer violemment en décrivant des cercles imaginaires.
- Oui j’aime, oui j’aime.
Martine nous regarde, gênée tout de même. Je ne pense pas que dans sa tête, les retrouvailles avec sa copine se passeraient ainsi. Marie m'enjambe, tire sur la laisse et détache le cadenas du placard, m'enlève la paire de menottes qui me maintiennent les mains dans le dos.
- Lève-toi maintenant arête de faire ta mijaurée.
Je me redresse, je suis collant de partout. Marie att la poire en caoutchouc, appuie sur le bouton pour vider l'air du gode. Il se dégonfle instantanément puis tombe à terre repoussé par mes intestins. Il git sur le sol souillé de quelques matières.
- T'est vraiment qu'une grosse cochonne, regarde moi ça. Ramasse-le, tu vas en mettre de partout.
Je me baise alors pour ramasser l’objet, il a encore une jolie forme bien ronde preuve qu'il n'est pas dégonflé en plein. Elle me l'arrache des mains pour me le fourrer aussitôt sous le nez.
- Nettoie moi ça tout de suite !
Martine interviens.
- Arrête, c'est sale quand même, arrête.
- Il adore ça d’habitude, allez lèche, sort ta langue.
Elle me frotte le gode souillé sur le visage, timidement, par petit coup, je commence à le nettoyer du bout de la langue.
- Plus fort, regarde, la, il en reste, insiste.
En même temps elle le fait pivoter pour que je puisse faire le tour consciencieusement.
- Tu vois, tu es une bonne pute, quand tu veux.
- Je suis sur les fesses de te voir ainsi, Marie décidément, toi si douce et si câline avant, tu as bien changé. Tu étais plutôt du genre soumise avant non, si mes souvenirs sont exacts. Rappelle toi le père de tes gosses, il 't'en as quand même bien fait baver.
- Justement maintenant je ne me laisse plus faire, j'ai décidé de me venger,
- Détache son cou au moins, le pauvre. Qu'est ce qu'il a fait pour mériter ça.
- Ce con il a cassé un bol ce matin et il sait que maintenant c'est comme cela, je ne le louperais plus, en plus il adore ça. Tu vois ça tombe bien, il est content, ou plutôt elle est contente, je ne sais plus si c'est un homme ou une femme dés fois, moi aussi, alors ont auraient tord de se priver.
La laisse pend devant moi maintenant, je dois avoir bonne mine avec ce collier autour du cou, je m'essore la combinaison sur moi, elle goutte encore plus et me colle à la peau, ça me fait une sensation pas désagréable ma fois. Je fais mine de partir à la salle d'eaux pour aller me changer et surtout me doucher.
- Hep hep hep, ou vas tu toi, tu reste comme ça aujourd’hui, je veux que tu sèche comme ça dans ton odeur de cochonne, j'espère que tu auras bien honte, de rester avec Martine habillé en salope.
Quand penses-tu Martine. Ca te choque toi un homme habillé comme cela ?
- Je dois dire que je suis surprise, je ne pensais pas vous rencontrer dans ces conditions. Mais si c'est vos jeux, après tout, c'est plutôt marrant de voir ça. Je savais que ça existais mais je ne pensais pas que ma meilleure copine, surtout son mec aimait ça.
- De toute façon, je ne sais plus si c'est un mec, comme tu dis et il à pas à aimer maintenant il est obligé, tu saisie la nuance.
- Et toi pendant que l'on retourne au salon, vas chercher une serpillière, je veux que ce soit nickel tu as entendu .Autrement, je te fais lécher le sol compris ... Tu réponds, tu as compris !
- Oui
- Oui qui ?
- Oui Marie.
- A la bonne heure maintenant tu ne diras plus oui Marie, tu diras oui Madame, compris
- Oui Marie.
La j'ai repris une baffe de suite. J’ai compris immédiatement.
- Oui Madame.
Je leur passe devant en goutant sur le sol pour aller à la cuisine chercher une serpillière, un seau d'eau chaude avec du produit à sol. J’entends Martine qui dit.
- Quand même, tu y vas un peut fort.
- T’inquiète, il adore ça et maintenant que tu es la, je crois que l'on va bien s'amuser toute les deux. J'ai pleins d'idées pour ce pauvre chérie.
Me revoilà à quatre pattes à passer la serpillière une nouvelle fois, je m'applique de mon mieux en ne laissant rien sur le sol, je n'ai pas l'intention de finir le sol avec la langue. Elle en est bien capable après tout, comme c'est parti aujourd'hui... Après dix minutes d'effort j'estime que le couloir a repris son état de propreté, je vide l'eau salle et range tout les ustensiles, j’entends.
- "Tit put" !
Je m'approche des deux femmes qui sont au salon en train de papoter.
- Oui Madame.
- J'ai commencé le repas tout à l’heure, tu allume le four et tu continue, dépêche toi. Mais avant, tu vas nous servir quelque chose à boire... Que veux-tu Martine ?
- Oh un vin cuit si tu as !
- Bien sur, moi aussi, tiens ont vas en profiter pendant que nous avons une petite boniche à notre disposition. Elle n’est pas mignonne comme ça pas vrais ? Tu pue la pisse, tu le sais. Sert-nous deux Frontignans et retourne à la cuisine.
Je m'exécute en ayant bien conscience du grotesque de la situation. Il m'arrive quelque fois de porter des sous-vêtements féminin le soir dans l'intimité, je reconnais que c'est un peut une seconde nature chez moi, Marie étant parfaitement au courant de ce petit vice. Mais jamais au grand jamais, nous avons introduit une tierce personne dans nos délires, ont vas appeler ça comme cela.
En ce moment précis, je suis complètement désemparé je ne sais plus que faire sincèrement ou je m'en vais, je sors de la pièce et file me laver et me changer, ce petit jeux a assez duré. Mais une force invisible me pousse à rester ainsi humilié devant ma copine et son amie. Le sentiment de honte qui m'envahi à ce moment est très excitant pour moi, j'adore se ressenti, j’ai un début d'érection sous mon jupon de nylon. Malgré la douleur qui s'estompe peut a peut de mes reins, je me sens bien. Je fais ainsi le service, la laisse me bat les flans dans chacun de mes mouvements sur le devant et entre mes jambes. Avec la chaleur de mon corps, le nylon blanc commence à sécher par endroit, mais l'odeur persiste elle.
- Approche, viens ici. Fais voir à Martine à quoi tu ressemble... Approche met toi à genoux devant nous.
Je m'approche du salon, je me pose à genoux en baissant la tête. Je suis sur le tapis à coté de la table basse.
- Met toi plus loin tu vas me pourrir le tapis tellement tu pue.
Je me décale sur le coté toujours à genoux en m'aidant de mes mains au sol.
- Stop !... Tu es bien ici regarde nous dans les yeux.
Doucement je lève la tête elles sont resplendissantes toutes les deux elle me regarde moqueuses un petit sourire aux lèvres. Maintenant je peux voir Martine .Effectivement c'est une belle femme, un peu plus jeune que Marie, je dirais cinq ou six ans de moins pas plus. Elle est plus grande quelle aussi. Je constate quand même que pour une femme de son âge, elle est habillé assez sexy. "De son âge», il ne faut pas exagérer non plus disons une bonne quarantaine d'années tout au plus. Elle a de grandes jambes gainées de nylon. Je ne peux pas dire si ce sont des collants ou des bas pour le moment, je ne suis pas en face de ses jambes.
- Fait voir à Martine retrousse toi un peut. Pour quelle t'admire.
Je rebaisse les yeux, cette fois elle m'en demande trop, je ne peux pas m'exhiber devant une inconnue comme cela, elle va trop loin .Pourtant ce sentiment de honte est tellement puissant et bien je me suis retroussé devant ces deux femmes. Doucement j'ai relevé la combinaison de nylon qui me recouvrait les jambes. Les mains dessous le menton retenant le tissus pour bien dégager mon bas ventre.
- Tu vois cette petite pute, regarde comme elle est mignonne, elle est très sexy depuis que je l'oblige à se raser entièrement le corps. D'accord ça lui fait du boulot au moins tous les trois jours minimum, mais il faut qu'il prenne soins de lui, mais admire le résultat, regarde comme sa petite bite est bien sage. Tu vois elle est vraiment petite. Quand penses-tu Martine.
Martine a l'air quand même assez gêné de répondre, visiblement elle ne s’attendait pas a un tel accueil et je la sens un peut désarçonnée.
- Oui ...Oui, c'est vrais elle est vraiment petite, ça me rappelle le sexe de mon fils lorsqu'il était petit.
- Tu vois je n'invente riens c'est quand même un cas.
- Oui mais quelque part tu es avec lui.... Enfin vous vivez ensemble quand même.
- Je ne savais pas qu'il était comme cela au début. Il ma bien avoué deux ou trois perversions au début, comme tous le monde. Ont à tous notre jardin secret.
- Oui, je suis d'accord avec toi, mais quand même elle est petite.
- Relève la tête, ce n'est pas fini, fait voir tes tétons à Martine.
Je suis aux anges, cette humiliation finalement me ravi de plus en plus. Je me sens libéré d'un poids. Enfin je peux apparaître tel que je suis réellement. Je suis presque fière d'être ainsi, finalement. Je me retrousse complètement, malgré le soutien-gorge dont je suis affublé.
- Fait voir tes seins de salope à Martine "Tit put" !
Je rabats les bonnets du soutien-gorge sur mon ventre et exhibe mes tétons, dont je suis particulièrement fière. Depuis mes treize ans en effet je me les travails avec acharnement, les tirent, les maltraitent avec des pinces à linge, des crochets de rideaux, des cintres à pinces. Enfin n'importe quoi qui puisse me procurer du plaisir. Je me suis même confectionné tout un attirail d'instruments comme des seringues médicale coupées, de plusieurs diamètre différents, pour me les tenir aspirés et depuis ils sont de plus en plus gros et aussi pour m'infliger des petit sévices dont je suis friand.
- Regarde, je suis sur qu'il a des tétons plus gros que les tiens. De plus tu vois il y a un anneau sur chaque téton.
- C'est toi qui la obligé de se faire percer. C'est vrais, on dirait qu'il à presque de seins, je n’en reviens pas.
- Pas du tous, lorsque je l'ai rencontré il était déjà comme ça. Il m'a dit qui se les était fait lui même, comme quoi, tu vois il est quand même un peut maso quelque part.

- C'est étonnant pour un homme les tétons percés.
- A mon avis, maintenant que je le connais un peut mieux, ce n'est pas vraiment un homme. Si tu savais comme c'est pratique aussi, quand il n’est pas sage, je peux y accrocher pleins de trucs et il adore ça. Tu verras je te ferais voir certaines choses tu vas tomber raide, je t'expliquerais comment un jour je l'ai retrouvé dans la maison, ça à été plutôt cocasse.
- Qu'est ce que tu veux dire par ce n'est pas vraiment un homme, il n'y arrive pas ?
- Si, il y arrive, mais il faut quand même bien flatter son coté soumis, petite pute, il adore quand je le traite de cochonne, tu vois il est entre deux à mon avis.
- Il te fait jouir au moins
- Pour cela ça vas encore, mais il préfère que je prenne l'initiative tu vois. Il aime bien que je lui triture les tétons, que je lui caresse les couilles. En fait son sexe, on dirait qu'il sans fou un peut.
- Comment ça qu'il sans fou ?
- Oui, il préfère me donner du plaisir plutôt qu’en avoir lui même.
- J'ai remarqué qu'il ne joui pas systématiquement, on dirait qu'il sans fou.
- Ca m'étonnerais ils sont quand même tous pareil, non !
- Il est différent, il adore me lécher le vagin lorsque l'on vient d'avoir un rapport, tu vois, des trucs comme ça.
- Il te lèche après ?
- Oui et il adore ça, ce qu'il aime même, c'est que je me mette sur lui, mon sexe hauteur de sa bouche et que son sperme refoule et coule sur son visage. La, il me dévore carrément et c'est divin. De plus je le sens humilié de lécher son propre sperme ça me décuple mon orgasme. Des fois je t’avoue, je me lâche un peut voir même carrément, on dirait même que ça l'excite encore plus. Il n'en perd pas une goutte, il avale tout.
- C'est quand même un vrai cochon tu ne me diras pas le contraire.
- Tu ne sais pas tout en plus, tu vas voir. Je lui ai déjà fait faire plusieurs fois
mais cette fois grâce à toi ça vas être encore plus hard.
En entendant ces paroles, je m'attendais encore au pire.
- Voir quoi !
- "Tit pute», vas à la cuisine chercher un grand verre à Coca.
Je rabats mes vêtements et me lève je reviens de la cuisine avec un grand verre à Coca et le tend à Marie.
- Regarde à quel point il est cochon.
Marie se lève,
- Suis-moi-toi !
Marie m'entraîne dans la salle d’eaux, se met face au face au mur, retrousse sa jupe, écarte la petite culotte de son entre jambes s'accroupie légèrement et se met à pisser sans plus de manière dans le verre que je lui ai donné. Un jet dru et bruyant rempli le verre d'un liquide ambré, elle le repose sur le lavabo, ensuite passe ses doigts sur sa vulve toute humide et me tend ses doigts.
- Lèche !
De retour au salon elle pose le verre tiède sur la table basse.
- Met toi à genoux, "Tit put"
Je me repositionne sur les genoux, à ce moment Marie trempe ses doigts dans le verre d'urine et m’ordonne.
- Salope nettoie mes doigts avec ta langue.
Martine ne loupe pas un détail de la scène je la sens de moins en moins à l’aise. Visiblement elle ne s'attendait pas à tout cela de la part de sa copine. Un par un elle me fourre ses doigts dans la bouche, je m'applique à les nettoyer consciencieusement en fermant les yeux.
- Tu vois comme il se régale.
- Vous êtes quand même un peut crade tout les deux,
- C'est lui qui à commencé, au début il voulait que l'on mette un peut de piment dans notre relation et il adorait les jeux de pipi. Moi je n’étais pas particulièrement chaude. Malgré deux ou trois expériences avec d'autre rencontre avant lui. Sous la douche ou dans le bain, ne me dit pas que tu la jamais fais, je ne te croirais pas. Puis de plus en plus je me suis pris au jeu. Ca m'excite assez de le voir humilié devant moi comme ça à boire ma pisse.
- Oui mais quand même, je suis la
- A la tienne ma petite pute, bois pendant que c'est chaud.
Elle prend son verre le toque contre celui de Martine puis le mien en dernier.
- Santé ! ... Comme ça il a encore plus honte et il est encore plus humilié, c’est bien que tu sois la finalement.
Je ne peux pas boire ça comme ça, ce n'est pas possible, elle ne va pas m'obliger devant sa copine quand même.
- Alors elle n’a pas soif la petite pute !
Je fais non de la tête en reposant le verre.
- Tu vas boire je te dis et en vitesse.
Elle se lève, passe derrière moi et m'empoigne les bouts des seins et les tords violemment.
- Je te dis que tu vas boire et jusqu' a la dernière goutte. C'est compris !
Je reprends le verre et doucement le porte à mes lèvres, c'est chaud et infecte doucement, je bois une petite lampé, c'est vraiment dégeulasse. Martine assise en face de moi me regarde avec des yeux ronds. Elle n'en croit pas ces yeux apparemment.
Je suis à genoux en train de boire un grand verre d'urine tiédasse devant une inconnue et je fais à peine la grimace.
- Tu trouve qu'il n'y a pas assez de goût hein, c'est ça, je vais tant donner du goût moi.
Elle me relâche de part derrière et je la vois qui file au fond du couloir .Elle reviens trente secondes plus tard avec deux trucs dans les doigts.
- Regarde ce que j'ai trouvé pour toi dans la poubelle des toilettes, c'est un cadeau de Martine.
Elle exhibe fièrement un tampon périodique et une protection de culotte souillés de sang, quel tient délicatement du bout de son cordon avec une feuille de papier hygiénique. Martine à l'air complètement outrée cette fois.
- Que vas-tu faire avec ça, c'est pleins de microbe, c'est sale
- C'est bien bon pour une petite pute comme lui, tu vas voir ont vas bien s'amuser. A tu dis bonjour à Martine tous à l'heure.
- Non tu ne m'en à pas laisser le temps
- Taratata maintenant tu dis bonjour à Martine
En même temps elle me passe le tampon gorgé de menstrues sur le visage en le maintenant par son cordon. La je la vois carrément le sourire aux lèvres, elle jubile. Je le vois elle m'humilie comme jamais elle aurait imaginé même dans nos scénarios les plus hard, je pense qu'elle est au taquet de sa perversion.
- Dis bonjour à Martine.
Elle me fourre la protection devant la bouche et m’ordonne,
- Fait la bise à Martine ! dit bonjour à Martine !
- Bonjour Martine.
L'odeur est infecte, elle prend un malin plaisir à me le frotter sur le visage, je suis obligé de lécher plusieurs fois de suite sur toute sa longueur, puis elle pose la mini serviette sur ma tête, elle appuis bien fort apparemment il doit y avoir une sorte de face autocollante ,parce que je ne la sent pas tomber , Je me sens vraiment humilié.
Ensuite elle me présente le tampon devant la bouche, en prenant bien soins de ne pas se tacher. Il est vraiment énorme et tout rouge brun,
- Embrasse Martine, je le veux.
Je fais non de la tête, c'est vraiment trop pour moi, j'ai presque la gerbe.
- Embrasse Martine, je te dis.
D'un coup elle me plaque le tampon sur le visage, me le frotte sur les yeux, le nez, le menton, les joues tout y passe.
- Embrasse Martine, je te dis.
- Arrête Marie tu es vraiment horrible quand même, tu n’es pas devenue comme ça, pas toi... Hein.
- Laisse moi faire je te dis qu'il nous doit le respect, il va nous le prouver.
Même l'intervention de Martine, rien n'y a fait e suis obligé de m'exécuter une fois de plus. J'ouvre la bouche, pas bien grande au début, mais elle est plus agile que moi elle me pousse violemment le truc infecte à l’intérieur, j'ai un haut le cœur plusieurs hoquets de dégoût me prennent nerveusement. Elle retire le tampon et me le présente à nouveau devant le visage.
- Lèche, je le veux.
Je sors la langue timidement et m'applique de bas en haut doucement, il va de droite à gauche uniquement retenu par son cordon. Je me surprends à le suivre de la bouche et à l'engloutir à chaque fois que je peux tel un chat avec une souris que l'on tiendrait par la queue.
- Tu vois Martine finalement, c'est quand même une bonne cochonne, tu penserais un jour que quelqu'un sucerais tes tampons comme ça.
- Arrête, j'ai limite la gerbe de vous voir faire tous les deux.
Marie me présente à nouveaux le tampon devant ma bouche, mais cette fois en le tenant bien entre deux doigts avec le papier toilette. De prêt l'odeur est horrible, je me demande comment je peux me résigner à tant de bassesse. Mais au contraire, je reste la bouche en avant à attendre
- Tu vois comme elle aime ça la petite salope, elle fait sa timide, maintenant elle ne peut plus sans passer. ... Allez suce encore plus au fond, ta langue aussi.
Je me retrouve en sous-vêtements de femme, à moitié recouvert de pisse avec un collier autour du cou une laisse entre mes genoux en bas nylon, une serviette périodique souillée collé dans les cheveux, en train de faire une fellation à un tampon usager d'une fille que je ne connaissais pas il y a deux heures. Et j'aime ça.
- Regarde Martine, je crois bien que notre petite pute a une grosse envie.
- Je n'en reviens pas décidément, tu es tombé sur le roi des cochons.
- Des cochonnes tu veux dire regarde comme il se régale.......... C'est fini maintenant, stop.
Elle retire brusquement le tampon de ma bouche, il est gluant de salive, je dois avoir la bouche toute barbouillé de sang.
- Regarde notre petite pute, elle n’a pas mérité de se rincer la bouche !
En même temps quelle dis cela, elle plonge le tampon sanguinolent dans le verre de Coca plein de son urine et commence à l'agiter, doucement comme l'on ferait avec un sachet de thé, le verre se teinte immédiatement d'une couleur rougeâtre et le tampon triple de volume à l'intérieur.
- Qui c'est qui va se régaler maintenant... A la notre.
Elle me tend mon verre d’autorité.
- Allez force toi un peut je sais qu'au fond de toi tu en mort d'envie, hein, dit moi oui.
Je suis à genoux le verre entre mes mains et ne sais que faire, si je bois, jusqu'ou iras t'elle après, si je ne bois pas elle risque d'arrêter peut être, au fond de moi même, j'aime trop cela. Je bois, je ferme les yeux et porte le verre à mes lèvres. C'est encore tiède, doucement gorgée par gorgée, je bois le liquide infect. Le tampon au fond du verre touche mes lèvres, je repose le tout sur la table basse.
Martine est scotchée sur son fauteuil, elle n'en revient pas.
- Attends, tu bois jusqu'au bout !
Marie se relève prend le tampon gorgé d'urine par son cordon et me dis.
- Ouvre la bouche, tu allais gâcher le meilleur.
Docilement j'ouvre la bouche en grand, elle fait descendre doucement le tampon dans ma bouche qui est à peine assez grande pour l'accueillir tellement il est gonflé. De l’urine teintée me goutte sur le visage et dans les yeux et me coule sur le menton ça me goutte de partout. Je sens les gouttes me tomber sur la poitrine. Une fois le tampon au fond de ma bouche, elle lâche le cordon qui me retombe sur le nez et dans les yeux
- Ferme ta bouche maintenant, je ne veux pas que tu en perdes une goutte.
Je resserre les mâchoires doucement, autant mordre une éponge pleine, je suis obligé de déglutir au fur et à mesure, Du liquide refoule, j'ai le visage inondé. Je regarde les deux copines assises sur le canapé, elles ont l'air aux anges. Bientôt le tampon n'est plus qu'un truc tout ratatiné entre ma langue et mon palais. Je relève la tête et ose affronter enfin leur regards, elles trinquent ensemble un grand sourire aux lèvres.
- Maintenant tu vas recracher tout ça dans la poubelle de la cuisine, bouge pas, je t'accompagne, tu reste à genoux, comme une chienne.
Je la suis péniblement sur les genoux et je fini à quatre pattes tellement elle tire sur la laisse. Dans la cuisine Marie appuie sur la pédale de la poubelle pour ouvrir le couvercle.
Approche "Tit put".
Elle me tire par le collier jusque sur la poubelle.
- Allez recrache la dedans, aussi, ce que tu as sur la tète, t'est vraiment qu'une grosse sale finalement, allez file, relève toi tu nous mets le couvert et tu nous sers, ...Compris "Tit pute», et surtout tu reste comme tu es, c’est un bonheur de te voir comme ça dans la maison souillé de pisse et de saloperies sur tes sous-vêtement de cochonne. En plus je suis sur que tu mouille comme une cochonne, fait voir.
D'un coup elle relève le bas de ma combinaison et me retrousse. Mes bas ont séché entre temps sur mes cuisses, par contre de longs filets de mouille sortent de mon sexe ridiculement petit, comme elle le fait constater à sa copine de retour au salon, le haut de mes bas est pleins de traînées visqueuse.
- Regarde Martine, en plus elle mouille comme une salope, tu vois elle adore ça, je suis sur quelle mouille du cul, ont verra ce soir ... Après le repas tu descendras au garage chercher le sac de Martine dans Sa voiture et tu feras de la place au garage pour quelle puisse la rentrer. Ok. N’oubli pas de préparer sa chambre aussi, sinon !
- Oui madame.
- On passe à table,.............. Viens nous faire le service... Approche que je te défasse de cette laisse, tu as l'air complètement emprunté avec ça !
Je vais de l'une à l'autre en desservant les assiettes de la cuisine au séjour et vice versa. Elles ne prêtent aucune attention à moi, continue de discuter entre elle. Martine quand même, je le sens à son regard quelle me jette de temps en temps à l'air plus gênée qu'autre chose. Par contre moi je crois bien que si ça continue, mon repas de midi vas ce réduit à sa plus simple expression. Arrive le moment du dessert ou je leurs sers chacune un éclair au chocolat, acheté la veille, accompagné d'un café. Elles n’en finissent pas de discuter, de se raconter les derniers potins.
- "Tit put", approche, viens ici.
Je m'avance à coté de Marie l'air un peut constipé, je dois dire. Ne sachant plus trop bien ou est ma place.
- Mais toi à genoux la devant et ouvre ta bouche !
Je m’exécute, trop content au fond de moi même, ne sachant pas trop ce quelle vas encore inventer. Consciencieusement elle passe ses doigts dans sont assiette pour amasser le restant de crème de son dessert et me tend ses deux doigts souillés.
- Lèche salope !
Un par un, je lèche ses doigts, elle me les enfonce vicieusement dans la bouche en les tournant et les retournant en tous sens.
- Tu vois Martine une vrais petite pute, regarde comme il aime bien faire sa cochonne.
Elle me barbouille le visage qui est de plus en plus collant avec toutes les souillures de la matinée, la peau du visage me tire, lorsque j’ouvre la bouche en grand.
- Allez débarrasse moi tout ça, range tout dans le lave vaisselle et rejoins nous en bas, Allez files... Viens me faire voir ta nouvelle voiture Martine.


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