La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 429)

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°428 -

Le chef de service de compelled MDE, alias Monsieur Alain dans ce Château, n’était autre qu’un agent recruteur de Monsieur le Marquis d’Evans. Fin psychologue, il savait en l’espace de quelques minutes seulement, si celui ou celle en face de Lui était ou pas un potentiel soumis. Joueur, tel un félin avec sa proie, il savait au départ se montrer agréable, devenait très vite le confident de celle ou celui-ci en portant toujours une oreille attentive, son discours était empathique. C’était un parfait manipulateur. Puis au fil du temps, après une analyse plus précise du comportement de l’individu, il devenait quelque peu prédateur. Il testait encore et toujours, par l’humiliation, par le rabaissement de l’autre, et le conduisait vers un état d’impuissance et de soumission, pour lui faire toucher du doigt qu’il prenait du plaisir et une forme d’excitation érotique dans une telle situation. Et c’était bien ça qu’il avait détecté chez compelled MDE, il ne s’était guère trompé, un vrai soumis dans l’âme, une petite salope aimant se faire dominer et prenant un réel plaisir sexuel à se laisser conduire dans la dépravation. Monsieur Alain avait beaucoup d’admiration pour Monsieur le Marquis d’Evans. Il savait qu’avec ce grand Maître expérimenté, ceux qu’il amenait ici était sûrs de vivre pleinement ce pourquoi ils étaient faits.

compelled MDE avait été détaché et conduit sans ménagement par un garde dans une petite pièce rustique et richement meublée. Une immense toile trônait au-dessus d’une cheminée en marbre rouge royal, aux veines gris clair. Elle y représentait un immense portrait, celui d’un homme en perruque blanche, en habit de cour, dans une posture debout, tête haute, le visage sévère. Ce n’était autre qu’un des aïeux les plus illustres de Monsieur le Marquis d’Evans, du temps où Louis XVI régnait encore, juste avant que la France ne sombra sous le joug des Révolutionnaires.

Ce portrait datant 1788 était celui du Marquis Charles-Edouard d’Evans. Il impressionnait par la haute prestance de l’homme. Le peintre avait su faire ressortir l’incroyable regard Dominateur du personnage qui était, faut-il le rappeler l’ami du fameux Marquis de Sade (lire les Origines de la Saga …).

Au centre de la pièce, il y avait aussi cette méridienne d’un velours épais rouge aux pieds dorés. Là, était couché nu, Monsieur Alain. Exhibant un sexe en érection, il se masturbait tranquillement sans aucune pudeur.

- Approche salope ! lança-t-il à compelled MDE

Monsieur Alain exigea à compelled MDE de se mettre à genoux près de lui et de lui sucer les tétons. La bouche et la langue de la chienne se plaqua contre le sein droit, sa main gauche glissa sur l’abdomen et le pubis de Monsieur Alain. Il se laissa faire, sembla même apprécier le doux traitement de ce nouvel esclave à former. Les gémissements de Monsieur Alain devinrent plus forts, plus nombreux, entre deux geignements, Monsieur Alain exprima son exigence de voir compelled MDE se comporter telle une petite chienne, une petite salope. La tension était palpable, l’excitation était montée d’un cran. Jusqu’ici, la mer était calme, mais un coup de vent subit et violent la fit se lever, se déchaîner. Monsieur Alain s’était redressé, compelled MDE fut bousculé, retourné, chaloupé et chopé. Fort excité, Monsieur Alain, le pénétra d’un trait, à sec et s’activa dans son petit trou déjà bien dilaté. Empalé en levrette, compelled MDE prit au fond de ces entrailles ce sexe cramoisi de désir et se donna assoiffé, contraint de s’affaler sur le ventre, les reins cambrés, s’abandonnant aux rythmes lancinants de Monsieur Alain et se laissa se faire ramoner avec désir et avidité. Monsieur Alain se laissa aller alors quand dans un long râle orgasmique, il gicla par saccades et répandit le fruit de sa jouissance au fond de ce cul offert.

- Je suis sûr que Monsieur le Marquis fera de toi une bonne pute…

Tels furent les mots de Monsieur Alain, comme une simple appréciation.
Monsieur Alain s’était redressé, puis quitta la pièce laissant là, compelled MDE tel un vieux kleenex usagé. Celui-ci n’osa bougea, il resta dans cette posture obscène, jusqu’à ce qu’une voix lui demanda de se lever. C’était celle d’e6934 MDE. Pas le temps pour compelled MDE de récupérer un peu, pourtant les assauts successifs l’avaient éreinté. Jamais jusqu’ici il n’avait pris autant de queue en si peu de temps. L’esclave e6934 MDE plaça un bandeau sur les yeux de compelled MDE, puis l’attrapa par son collier et l’emmena, sans mot dire, à travers les nombreux et luxueux couloirs capitonnés du Château. e6934 MDE ouvrit une double et lourde porte de bois sculpté et tira compelled MDE à l’intérieur de cette pièce… Une pièce très grande, comme une salle des fêtes mais assez sombre, seulement éclairée par d’immenses chandeliers en fer forgé. Le silence était prégnant. Pourtant un grand nombre d’individus étaient présents. D’abord Monsieur le Marquis, trônant dans un immense fauteuil tel un trône, il était placé sur une petite estrade surélevée. Sur son côté droit, assis sur un autre fauteuil moins large, un peu moins confortable, Monsieur Le Majordome Walter, à gauche, Madame la perverse Cuisinière, Marie. Derrière eux, se tenaient debout, parfaitement immobiles, quatre gardes genre colosses et au torse nu, bras croisés sur leur abdomen. Etait également rassemblé ici, tout le cheptel d’esclaves présents sur le domaine de Monsieur le Marquis. Toutes et tous étaient à genoux, nus, fessiers posés sur leurs talons, cuisses écartées, bras croisés dans le dos, regard bas. Ils formaient un large demi-cercle devant le Maître et Seigneur des lieux. Ils devaient être une cinquantaine d’esclaves. compelled MDE fut installé là, près de la soumise Phrynée MDE. On lui retira son bandeau. Il fut surpris de voir un tel cérémonial. Le Majordome se leva et prit la parole.

- Cher et Vénéré Maître, nous voici tous réunis ce soir devant Vous. En mon nom mais aussi au nom de Marie et des gardes présents, nous vous présentons nos plus humbles respects.
Votre Cheptel d’esclaves ici-bas est réuni comme tous les soirs pour la cérémonie dite punitive. Certains d’entre eux ont encore fauté et doivent être punis sévèrement pour qu’ils comprennent enfin ce pourquoi ils sont faits, qu’ils comprennent ce que l’on attend d’eux ici : une obéissance sans faille et le respect des règles de vie qui leur sont imposées ici dans votre Auguste et ancestrale Demeure.

Le Majordome se tut quelques instants puis il reprit un cahier à la main

- J’appelle ici, le chien-soumis-esclave e6934 MDE

L’esclave en question se déplaça à quatre pattes jusqu’à devant l’estrade. Il baisa les pieds du Maîtres, ceux du Majordome et de la Cuisinière puis s’installa à plat ventre, bras en croix, tel un pénitent. Le Majordome reprit la parole :

- Ce chien ne sait pas encore se taire, Monsieur le Médecin l’a trouvé en train de discuter librement dans une des salles de bain avec l’un de ses congénères.

Le Marquis d’un air grave, un ton sévère n’autorisant aucune réplique, annonça la sentence.

- Port d’un bâillon-boule pendant les 48 prochaines heures. Ce bâillon ne sera ôté uniquement pendant les repas ET 50 coups de fouet pour ce chien. Cet esclave peut reprendre sa place.

e6934 MDE, se releva, baisa encore les pieds du Maître Vénéré en signe d’une profonde reconnaissance d’être ainsi puni et regagna sa place, toujours à quatre pattes. Walter, le Majordome reprit alors la parole :

- J’appelle ici, la chienne-soumise-esclave Emeline MDE.

Même cérémonial pour cette femelle, elle se déplaça à quatre pattes, baisa humblement les pieds, et s’installa dans la posture requise.

- Le cul de cette chienne a refusé de prendre un plug, d’une taille tout à fait modeste, à plusieurs reprises dans la matinée, Monsieur le Marquis.

Le Marquis d’Evans regarda son Majordome et l’interpella d’un ton soucieux :

- Est-elle blessée ?
- Non Monsieur le Marquis, ces chairs intimes sont en parfait état de fonctionnement, aucune déchirure, point d’hémorroïdes, cette salope n’aime pas prendre des godes, elle préfère des queues.

- Dans ce cas, elle portera pendant 24 heures un plug d’une taille supérieure à celui qu’elle refusa. Cet objet devra être maintenu dans son cul par un harnais fixé à sa taille. J’ajoute 50 coups de badine sur ses fesses à rougir. Cette femelle peut reprendre sa place… (Walter annonça ensuite : )

- J’appelle maintenant, le chien-soumis-esclave compelled MDE

compelled MDE avança tremblant. Lui aussi s’appliqua de respecter le rituel, ému de se trouver face au Maître, il avait des frissons qui le traversèrent de la tête aux pieds quand il baisa avec crainte les vénérés pieds et s’installa au sol, à l’instar de ceux qui l’avait précédé.

- Cette nouvelle salope n’a pas su retenir, dans ses entrailles, le divin nectar que vous y aviez déposé

Le Maître resta silencieux quelques instants, comme hésitant. Fallait-il punir sévèrement ce nouveau venu pour bien lui faire comprendre la faute commise, fallait-il être un peu plus indulgent avec lui compte tenu de son arrivée récente au Château et de sa volonté affichée de soumission ? Le Maître pourtant lui avait promis le fouet, alors chose promise, chose due.

- Pour ce mâle, ce sera 50 coups de fouet que je lui donnerai moi-même, avec quelques contraintes supplémentaires. Et comme c’est ça première punition, il sera châtié ici devant nous tous, dès la fin de cette cérémonie.

Le fouet, compelled MDE, n’avait jamais reçu le fouet… il était terrorisé et excité à la fois !… Comment allait-il supporter un tel traitement… Il se redressa et c’est encore en tremblant qu’il baisa les pieds du Maître dès qu’il en reçut l’ordre. Il était, certes, terrorisé mais il ne saurait dire pourquoi, il sentit une forte excitation l’envahir, une excitation mentale qu’il ne pouvait contenir… Savoir qu’il serait fouetté devant tout le Cheptel et par les propres mais du Maître qu’il vénérait l’emplissait d’un immense honneur et bonheur, à en oublier les morsures du fouet.

- J’appelle maintenant la chienne-soumise-esclave Vanessa MDE

La femelle arriva lentement et se prosterna comme les autres.

- Cette garce a cru bon de refuser les avances de Monsieur le Médecin sous prétexte qu’elle avait ses règles.

Monsieur le Marquis n’hésita pas une seule seconde, la rude sentence tomba prestement.

- 50 coups de fouet pour cette chienne mais aussi elle devra coucher avec Monsieur le Médecin toute une nuit et subir tout ce qu’il exigera d’elle et si par malheur, il n’est pas satisfait, elle sera congédiée purement et simplement du Château …

compelled MDE vit des larmes coulées sur les joues de la chienne, lorsque celle-ci alla baiser les pieds du Maître. Elle resta là immobile à quatre pattes, reins cambrés espérant obtenir un adoucissement de la peine prononcée. Il n’en fut rien, alors elle regagna sa place à quatre pattes en pleurant… La simple idée d’être congédiée était plus triste à ses yeux que les coups de fouet…

- Voilà qui est fini pour aujourd’hui Monsieur le Marquis, vos autres mâles et femelles se sont comportés correctement.
- Bien ! dit le Maître.

Il se leva, s’approcha de ses esclaves, fit le tour d’eux, tous immobiles. Il les toisa de sa haute et digne stature. Puis Il attrapa la soumise Phrynée MDE par son collier, la fit se lever et lui demanda de rejoindre le centre de ce demi-cercle. Il fit la même chose avec e73700 MDE. Tous deux s’installèrent en posture d’attente. Le Maître regagna son fauteuil tranquillement, puis reprit la parole :

- J’ai constaté avec plaisir que depuis plus de huit jours, vous deux n’avez été punis. Je sais être sévère lorsqu’il est utile de l’être, mais je sais aussi être juste et encourageant, lorsque mes salves le méritent. J’ai donc décidé pour vous deux de vous accorder ce soir la jouissance… (puis en regardant le mâle) … Walter va te retirer ta cage de chasteté… Vous allez donc vous branler là devant nous tous ici rassemblés. Je vous accorde dix minutes et jouissances à souhait. C’est parti ! …

Walter déverrouilla et retira la cage et le Maître regarda sa montre puis porta un regard attentif sur Ses deux esclaves. La femelle ne se fit attendre, elle avait déjà écarté les cuisses, se caressait d’une de ses mains son clitoris déjà fort gonflé. Elle contractait les muscles de ses cuisses et fesses pour s’exciter plus encore. Parfois, elle se pénétrait avec une ou deux de ses doigts. Le mâle lui avait attrapé sa nouille flasque d’une main et imprimait des mouvements de va-et-vient qui la firent se redresser rapidement. De l’autre, il se caressait les fesses et parfois même glissait un doigt dans le cul… Les gémissements de plaisir se firent rapidement entendre… Les deux chiennes s’excitaient joyeusement en toute impudeur sans la moindre indécence, s’affichant même avec un certain aplomb ou certaine indolence, comme si l’acte en lui-même leur paraissait simple, banal et parfaitement naturel. Quand un ordre du Maître claqua :

- Je veux vous voir copuler comme des bêtes et jouir dans un parfait coït !

Ils ne tardèrent pas à obtempérer ! Le mâle monta sur la femelle excitée et déjà en levrette, tête plaquée sur le sol. Il la baisa puissamment à grand coups de reins et comme il n’avait pas éjaculé depuis longtemps, il ne tarda pas à lâcher un flot de sperme dans un râle jouissif sans se retirer, profondément en elle, en coït. Alors elle laissa échapper, elle aussi, son orgasme ! Ils jouirent donc tous les deux dans le temps impartis. Le mâle se retira alors et la femelle, sur ordre, lécha, nettoya la verge gluante et la semence de son congénère mâle, puis tous deux remercièrent le Maître et se prosternèrent devant Lui. Ils regagnèrent ensuite rapidement leur place. Le Maître, fit claquer ses doigts, deux gardes s’approchèrent :

- Le moment est venu de punir compelled MDE, allez me le cueillir

Le deux gardes s’approchèrent de lui, l’attrapèrent, le soulevèrent, lui fixèrent des bracelets cuir aux poignets, lui attachèrent une barre d’écartement entre les jambes. Ils le placèrent ensuite sous un palan accroché à l’une des poutres du plafond au centre de la pièce. Bras tendus au-dessus de sa tête, il fut attaché au crochet du treuil et soulevé de quelques centimètres afin qu’il resta sur la pointe des pieds.

- Accrochez lui des poids aux couilles, un kilo devrait faire l’affaire. Ordonna le Maître, toujours tranquillement assis.

Les deux gardes s’activèrent.

- Deux pinces à seins maintenant.

compelled MDE se mordit les lèvres pour ne pas hurler tant celle de droite lui faisait mal.

Marie la cuisinière et le Maître s’approchèrent avec quelques instruments de frappe entre leurs mains. compelled MDE trembla de tout son corps, et sentit son excitation intérieurement grandir. Mais déjà les premiers coups tombèrent, deux martinets frappèrent le corps tendu de compelled MDE. Bien difficile pour lui de rester impassible, se tortillant à s’en arracher les couilles avec ce poids pendant entre ses jambes. Les coups portés sur son pubis le firent plus que frémir. Un coup plus fort encore vint lui arracher un des pièces sur d'un de ses tétons. compelled MDE ne put retenir un hurlement. Et paradoxalement il en était que plus excité, jouissivement excité dans sa tête !
Les coups s’estompèrent… deux minutes seulement. En fait, guère plus car les affaires reprirent d’une autre manière. Cette fois, avec une seule lanière pour cingler ce corps. Le Maître prit les choses en mains, doux et lent au départ. Et progressivement plus mordant, plus appuyé. compelled MDE commença à se tordre et laissa échapper geignements et soufflait bruyamment. Mais il en éprouvait un incroyable et formidable plaisir masochiste. Il s’agitait et ne pouvait réprimer quelques mouvements d’esquive. Le voilà dans l’effort, la douleur, la résistance et l’incomparable plaisir maso, sous les regards attentifs du Maître, de Marie, Walter et de ses congénères. Concerto à quatre mains et une voix que le Maître prolongent à l’envie, de nombreuses et longues minutes… parfois des crescendo bien synchronisés, alternés par une séquence moderato… parfois un déluge de coups concentrés sur le même endroit du corps… Enfin compelled MDE peut reprendre son souffle… Heureux, il a joui maintes et maintes fois mentalement, des jouissances non physiques, difficile à décrire, des jouissances qui lui ont apporté un paradoxal bien-être à la souffrance. Il n’a demandé jamais grâce ou imploré pitié jusqu’à qu’il fut libéré ! Il ressentit alors un peu de fierté à être parvenu à montrer son endurance dont témoignent d’ailleurs les magnifiques arabesques sur son corps, dont il a été gratifié…

(A suivre…)

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