Apprentissage 3

Apprentissage 3

J'attends depuis un certain temps déjà, toujours menottée sur ce lit, le cul en offrande, bien ouvert après qu’il y ait fait rentrer sa bite, mais surtout encore dégoulinant de sa semence. Je me demande ce qu’il fait, pourquoi il ne revient pas. Je voudrais l’appeler, mais j’ai peur de lui désobéir en agissant de la sorte. Alors, je me contrains à atteindre. J’entends du bruit de loin, il a l’air de chercher quelque chose. Lorsqu’il revient, il me détache et me fait m’asseoir sur son lit. Il me dit que pour me féliciter pour ma soumission, il a un présent pour moi et me tend une boite. Toute excitée, je m’empresse de l’ouvrir. J’y trouve un bijou anal. « Ton cul sera magnifique avec ça, viens l’essayer ». Loin d’être convaincue par cet objet de taille assez imposante et dont l’extrémité est ornée d’un bijou brillant, je ne peux pourtant que le remercier. Je me rends alors compte que je connais en fait rien de cet homme, pas même son nom. Comment ai-je pu ne même pas connaitre son nom ? Lorsque je lui demande, assez gênée, s’il veut bien me le rappeler, il répond en souriant que ça n’a aucune importance puisque je n’aurais pas eu le droit d’employer ce nom. En effet, le seul qualificatif que je peux utiliser pour le désigner sera « Maitre ». Je peux donc le remercier d’un « je vous remercie, Maitre pour ce présent que vous me faites l’honneur de m’offrir ». J’avais volontairement appuyé le vouvoiement et ma formulation pour stigmatiser l’emploi du terme Maitre. Mais cela lui a beaucoup plu. Il me dit que j’ai compris toute seule que je dois vouvoyer mon Maître et m’affuble d’un « Gentille Fille » que je trouve extrêmement dégradant, mais je laisse passer. Il ajoute que je devrais répondre quel que soit le nom qu’il choisit pour me désigner, et que je devrais noter cette leçon dans mon carnet. Malgré cette parenthèse, il me fait m’allonger sur le ventre et lui présenter mon cul. Il s’amuse à empoigner mes fesses, à les mordiller, les griffer.

Il me tend le plug pour que je le prépare à rentrer dans mon cul en l’humidifiant grâce à ma salive. L’acier est froid contre ma bouche et rien que de l’imaginer, mon cul se crispe déjà. Maître le remarque bien et cela ne lui plait pas du tout de voir mon cul se refermer. Sans rien dire, il va chercher son fouet et me dispense quelques coups bien placés sur mon cul, pour me rappeler qu’il a bien vu que je ne me suis pas laissée faire comme je le devrais. Je ne dis rien, mais je ne suis plus vraiment excitée pour porter ce plug. Comme c’est la première fois, il me dit qu’il va me préparer à nouveau, mais que si je recommence, la prochaine fois, il le fera rentrer, quel que soit la dilatation de ce trou. Il me fait lécher ses doigts pour me caresser ce petit trou. D’abord au tour, puis de plus en plus en plus à l’intérieur, d’abord avec un doigt, puis un deuxième. Ses caresses sont très appliquées, comme s’il connaissait mon corps par cœur et qu’il savait exactement comment me faire du bien. Je ne peux retenir de nombreux gémissements, de plus en plus forts. Il pourrait me faire jouir, rien qu’avec ses doigts et mon cul, il serait capable de m’offrir ce divin plaisir, mais quand il sent que cette jouissance est proche, il retire ses doigts et place le plug qui n’était plus lubrifié dans mon cul. Le contact de l’acier glacé me refroidi d’un coup et je manque de laisser échapper un cri plaintif.
« Tu ne crois tout de même pas que je t’aurais laissé jouir après ce que tu viens de faire, vilaine fille ? » et, devant mon air déçu, il me demande si je pensais mériter de jouir. Peut-être pas, c’est vrai, je lui ai désobéi. Mais j’en avais tellement envie, de cette jouissance. Il me rappelle alors le moyen le plus simple de ne pas être punie de la sorte : ne pas être vilaine et ne pas désobéir à son Maître.

Il me demande de m’habiller, pour examiner ma tenue. Alors que je me saisis de mon string, il me demande de le reposer d’un ton sec, ne laissant place à aucune protestation.
Pas le droit aux sous-vêtements. Il me laisse mettre ma jupe, légèrement évasée et déjà assez courte, mais se saisit de ciseaux pour la raccourcir, pas beaucoup plus bas que mes fesses, alors que je n’ai plus de culotte. Je me sens déjà très mal à l’aise à l’idée de devoir sortir comme ça. Il agrandit aussi les découpes de mon haut, pour que l’on puisse voir mes seins qui dépassent, autant par le décolleté que sur les côtés. Il me regarde et semble très satisfait de ma tenue, digne de la salope que je suis apparemment. Désormais, je devrais toujours porter des tenues similaires. J’en ai honte rien que d’y penser, je sens déjà le plug glisser entre mes jambes, le vent soulever ma jupe et dévoiler mon intimité dénudée … Malgré tout, je ne peux pas être tranquille, et mon Maître me demande justement de sortir faire le tour du quartier. Je ne peux protester, mais je ne sais pas comment je vais y arriver. Il me fait sortir et me demande d’aller chercher du pain dans une boulangerie assez éloignée, pour me forcer à croiser du monde. A cette heure-ci, je ne serais pas la seule dehors.

Une fois dehors, je me dépêche autant que je peux, tout en évitant de croiser du regard les gens qui regardent ma tenue d’un air plein de reproches. Je n’ose même pas regarder la boulangère quand elle me tend mon pain. Je m’empresse encore plus de rentrer. Alors que je longe un petit parc, une main, se tend vers mon bras et m’attire vers lui. C’est mon Maître. Il m’entraine dans le parc, sans un mot. Dans ma tête, des milliers de questions se bousculent. Pourquoi est –il là ? Que veut-il faire ici ? Mais plus j’avance, mieux je comprends ce qu’il attend de moi. Et je n’ai pas le droit de le décevoir. Il m’entraine dans un coin un peu à l’écart, et d’un regard, m’indique ce qu’il attend de moi. Je me met à genoux, déboutonne son pantalon et baisse son caleçon pour pouvoir enfin prendre sa bite dans ma bouche. Elle est déjà si dure, si grosse, je n’ai aucun mal à la réveiller et elle se retrouve bientôt très saillante.
En m’attrapant par le cou, il me fait me relever et passe sa main sous ma jupe. Je suis assez stressée à l’idée que quelqu’un nous découvre, mais je suis en même temps super excitée à l’idée qu’il puisse me baiser ici, ma chatte est déjà dégoulinante d’envie. Il me pousse contre un banc pour que je puisse venir y prendre appui sur les mains, penchée en avant, alors qu’il se place derrière moi et découvre mes fesses du peu de vêtements qu’il me reste. Il peut alors admirer le bijou qu’il était venu placer dans mon cul un peu plus tôt et s’empoigne à mes fesses pour venir me pénétrer. Sa bite est si bien en moi, je sens chacun de ses mouvements et chaque coup de rein, chaque va et viens me fait un peu plus oublier le stress de la situation pour ne plus me concentrer que sur le plaisir qu’il me donne. Il est même obligé de mettre sa main devant ma bouche pour m’empêcher de crier mon plaisir et de nous faire repérer. Il accélère encore plus son mouvement, la faisant rentrer si fort et si vite que je me suis mise à perdre le contrôle de mon corps qui en tremblait de plaisir. Il me maintient contre lui pour ne pas que je tombe le temps de ma jouissance, avant de laisser la sienne venir en moi et dégouliner le long de mes jambes. Il se rhabille ensuite et me demande de le rejoindre dans 5 minutes, pour plus de discrétion. C’est compréhensible, vu ma tenue, et surtout que je n’ai rien pour essuyer sa semence qui coule encore depuis ma chatte. Je ne comprends pas pourquoi il aime temps que je me balade dans la rue dans cette tenue, mais je ne puis pas lui résister, alors je me soumets à sa requête.

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