Chapitre I : L'Homme Du Métro

Pour certaines personnes le métro n'est qu'une boite sombre dans lequel un bal harmonieux ce produit tous les jours. Dans une monotonie parfaite, régler comme une pendule, le même spectacle est joué à l'infini.
Le sol sale de la garé ce met à trembler sous le poids du géant de fer sortant de son antre pour expulser les parisiens arrivant à leur destination après une journée de travail bien remplie, croisant dans une cadence d'enfer leur remplaçant. Le bruit infernal des portes qui ce ferment se déclanche, c'est ainsi que le jeux commence. Ici la règle est simple, regarder ses pieds, ne pas sociabiliser, celà pourrait mener à la perte.

Certaines personnes... il fut un temps j'appartenais à ce groupe. Avant ce fameux ce soir. Avant ce trajet.
Avant que je prennes cette ligne A pour rentrer chez mes parents. Avant que je découvre une forme de plaisir qui m'était alors impossible d'envisager. Pourtant ce soir là restera à jamais graver dans ma mémoire comme le jour de la plus grande révélation de ma vie.


19h30 je cours comme tous les soir attr mon RER qui est dans quelque minute. Les marches sont ma meilleurs option mais les talons de 8 cm que je porte couplés à ma jupe bien trop petite pour envisager de courir ne le permettent pas.
Ce sera l'escalator bondé de monde. Je me suis toujours demandé pourquoi je devais m'habiller de cette sorte pour vendre des fleurs.
Mon patron prétextait que c'est l'uniforme en vigueur, que je pourrais paraitre plus "attirante" pour le client. Attirante moi... Avec mes 1m65 et mon 80B je ne voit vraiment pas comment l'être. De plus j'ais 18 ans mais en parais 15. Ma mère dit toujours que c'est à cause des cheveux blond, ça rajeunie.


Foutu escalator, beaucoup trop long. J'ai rater mon RER. Le prochain est dans 12 minutes. J'ai le temps d'allumer mon Ipod et d'enclencher ma musique et c'est parti pour une playliste des hits du moment. La gare est bondée de toutes les classes sociales, je peux voire à ma droite le mendiant du coin qui quête la pièce pour le pinard du soir et à ma gauche le cadre moyen plus qui ne ce doute pas que ça femme ce fait sauter par un autre.

Ainsi va le monde.
Mon regard est à présent porté sur un homme qui à la trentaine, costard cravate, cheveux brun mais des yeux bleu. Cette homme à retenue mon attention car il un air qui ne colle pas avec le décor, il est serein. Tous ce qui nous entoure respire le stress mais lui est calme comme si il prenait un bain en écoutant un musique zen. Mince cette homme m'intrigue.
Le bruit sourd du RER passant dans le tunnel me sort de mes pensés, il arrive en gare. Pas trop bondé pour une fois, il y'a même des wagons de libres.
J'aime la solitude je rentre donc dans en bout de queue. Le train pars 4 arrêts avant ma destination. fermons les yeux et écoutons la musique, ça va passer vite.

- Bonsoir mademoiselle puis-je m'assoir ?
j'ouvre les yeux et d'écouvre alors l'homme trop calme dressé devant moi.
- oui bien sur.

Il s'assit et se tue. Flute moi qui pensait être seule me voilà enfermé avec lui, espérons qu'il descende vite je ne suis pas à l'aise avec lui assis en face de moi. Bon dieu mais le wagon est libre est il décide de ce mettre dans le même carré.
La meilleur attitude dans ce cas est de fermer les yeux mine de rien.

Le RER avance, les vibrations des railles ce font sentir dans le siège. De douces vibrations qui me masse les cuisses endolories par ma journée de travail. Bien que mes yeux soient fermés je sens le regard de l'homme sur moi, son regard bleu, doux et calme. Je sens aussi ça cuisse collée contre la mienne.
Les sièges sont vraiment trop petit. Heureusement je sent ça chaleur sur ma jambe nue, ce n'est pas désagréable. J'aurais dut mettre des collant.
Les vibrations sont de plus en plus importante plus le train vibre plus la cuisse de l'homme ce frotte involontairement contre la mienne, c'est un bon.
J'aime. La chaleur de ça jambe ce diffuse jusqu'a ma culotte. Mais j'en veux plus et écarte discrètement un peux plus mes jambes. Les vibrations sont maintenant comme un massage doux et langoureux, cette chaleur atteint mon entre jambe et je sens que je commence à mouiller, restons discrète.

Je suis de plus en tremper, j'ai rarement des relations sexuelle c'est surement pour ça que je suis aussi sensible.

Première station. Les vibration s'arrêtent. J'ouvre les yeux l'homme regarde la vitre. Je suis trempée et un peux honteuse. Mais il n'a rien remarqué.
Personne ne monte dans notre wagon. Le ReR repart.
Les vibration reviennent mais je ne m'abandonnerais pas une nouvelle foi à ce plaisir faussement charnel.
Quelque minute passe et le train ce stop net, une poignet de seconds passent et plus de lumière.
- Mesdames messieurs en raison d'un incident technique nous devrons rester immobiliser plusieurs minutes... merci de votre compréhension.
Merde fait chier.
L'homme ne dis rien... paisible comme à son habitude.

Je referme les yeux. Faire semblant de dormir c'est la meilleur armes pour ne pas avoir à parler. Et pour dire quoi ? Que ça cuisse ma fait mouiller ?
ça cuisse je la sens encore. Chauffer mon corps comme un volcan. Il a poser ça main sur ça cuisse, je devine son doigts qui me touche, sans le vouloir.
Je ne dois pas penser à ça mais j'aime bien cette sensation. Je me rend compte que doucement je recommence à mouiller, les gouttes perle dans ma culotte.
L'homme a encor bouger ça main, elle touche maintenant nettement ma cuisse, je n'ose rien dire. ça main me caresse doucement l'entre jambe me donnant quelque frisson... Mais que fait-il. J'aime ce massage mais il ne faut qu'il s'en rende compte. Malheureusement maintenant il touche discrètement ma culotte, ce qui à pour effet de me faire écarter les cuisses un peu plus. Je suis trempée.

Je sens son doigt ce faufiler entre ma culotte est mon sexe, c'est délicieux. Il caresse mon clitoris. J'ai beau faire semblant de dormir mais il devient de plus en plus difficile de ne pas émettre quelque gémissement. Un autre de ses doigt masse mes petit lèvre... si délicatement. Mon corps est chaud comme ma braise et mes seins sont dure comme l'acier.
Son doigt est rentré. Il me doigte, d'abord avec un puis deux doigt mon vagin ce dilate de plus en plus.
Il enfonce ses doigt jusqu'a un point que j'aime tellement. Je l'aide de mes coup de bassin pour pouvoir sentir ses doigts encore plus profondément. je vais jouir.

Le train repart brusquement. L'homme retire ça main. Le rer s'arrête au bout de 30 seconde à un station, l'homme part.
Me voilà trempée, seule dans le wagon vide.
Je suis frustrée, je passe donc délicatement ma main dans ma culotte et enfonce deux doigts dans mon vagin. Il m'a fallu à peine 1 minutes pour jouir comme jamais.

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