Plaisirs De La Plage (1)

Plaisirs de la plage (1)

Avec ces temps de confinement, j'ai un peu plus de temps et cela me permet de vous raconter un agréable moment vécu il y a déjà deux ans lors de mes vacances.
J'ai trente-cinq ans, un physique agréable, un mètre soixante-quinze pour soixante trois kilos, avec un corps légèrement dessiné par l'ombre de muscles. Yeux verts et cheveux châtains enfin pour terminer la description style très classique et comme vous l'avez deviné je suis homosexuel discret vivant seul.
J'ai la chance de posséder une résidence secondaire sur la côte Aquitaine. Quelques jours après mon arrivée, je reçois un appel de mon cousin Hugo. Je suis un peu surpris. Il est âgé de cinq ans mon aîné. Il me demande s'il pouvait venir passer quelques jours pour prendre l'air les trois prochains week-ends. Son épouse (norvégienne) est partie pour toutes les vacances chez ses parents là-haut avec les deux s. Les activités professionnelles d'Hugo l'avaient obligé de rentrer seul quelques semaines plus tôt. Hugo est ce que l'on pourrait dire – splendide -, une réelle silhouette de gravure de mode, sur tous les plans et je ne bluffe pas.
Hugo est arrivé vendredi soir. Bien que nous soyons fin août, la saison est optimale avec très beau temps et chaleur. Avec l'important jardin très bien paysagé et arboré je lui propose de se reposer et profiter du soleil comme il en avait envie, mais il me confie qu'il veut aussi profiter de la mer.
Donc samedi en fin de matinée, j'ai une idée que je lui expose.
- Si nous prenions la voiture pour aller à la mer, je connais un endroit tranquille. Je marque un temps d'arrêt,
Et il me répond par l'affirmative. A ce moment je lui rajoute,
- Cela te dérange t'il que ce soit un endroit naturiste ?
Un peu étonné, il me rétorque
- Cela sera la première fois, alors pourquoi pas.
Nous voilà partis, et après quelques kilomètres nous arrivons à cet endroit tranquille.

Nous sommes seuls. Nous nous installons à l'abri de la légère brise dans les petites dûmes, ce qui nous permet de voir et admirer la grève et l'Océan. Nous étendons les serviettes et nous quittons et rangeons progressivement nos vêtements. Il est un peu hésitant et gêné, mais il se met entièrement nu. Je peux encore plus admirer le corps d'Hugo. Son torse très joliment dessiné montre d'élégants muscles, une très légère ligne de poils descendant de la poitrine vers le pubis. Celui-ci est taillé en un fin triangle, et il me semble que ses couilles soient rasées. Hugo subodore que je suis homosexuel, mais nous n'en avons jamais parlé, ni évoqué. Jusqu'à ces vacances jamais une réflexion, jamais un geste l'un envers l'autre.
Nous voilà allongés tous les deux. Je m' oins de crème solaire ce que fait également Hugo. Il est allongé, les jambes un peu écartées, et je peux voir sa queue qui repose sur sa cuisse. Elle est molle mais apparemment de belles dimensions. Je me fais un peu de cinéma, quand la mienne commence à légèrement gonfler en bougeant lentement pour être positionnée bien dans l'axe. Il faut que je me calme, car je ne voudrais tout de même par être en pleine érection devant lui. A certains moments il passe une main sur sa cuisse en effleurant rapidement sous ses couilles et remontant sur sa bite. Avec l'heure qui s'écoule, il y a un peu de déambulation : des jeunes, des nettement plus âgés, des petits, des grands, des minces, des obèses. Parfois un, s'installe à plusieurs mètres, parfois par groupe de trois ou quatre copains. Un homme d'une quarantaine d'année dépose sa serviette non loin de nous, (de mon côté) pour s'allonger sur le ventre la tête tournée vers nous. Au début je ne prête pas trop attention de sa présence. A un moment Hugo me lance:
- c'est bien ici ! tu as eu une riche idée.
Je ne relève pas. Est-ce pour le cadre ou est-ce pour ce qui se passe? Je ne lui réponds pas vraiment seulement un "hum" bouche fermée. La queue d' Hugo a pris un peu de volume, mais n'est pas encore bien raide, ni droite, je suppose.
Inconsciemment je regarde sur le côté, le voisin me fait un clin d'œil avec un sourire. Il me fait un signe de sa main (poing fermé et pouce en l'air) pour me faire comprendre que c'est bien. Lui par contre qui s'est retourné, est en pleine érection. Quelques minutes après je m'aperçois qu'il se lève et se dirige vers nous.
- Pardon messieurs, vous n'auriez pas du feu (la question bateau classique)
Je lui réponds par la négative, que je ne suis pas fumeur, ni mon cousin, tout en voyant les yeux écarquillés d'Hugo admirant le sexe de belles proportions en pleine érection de cet bel inconnu. Et pris de je ne sais quelle pulsion je lui lance
- Mais vous aimez peut être la pipe ?
- Ah, pourquoi pas !
D'un air sûr de moi, je lui lance
- Mon cousin devrait aimer
Hugo se met immédiatement assis
- Mais qu'est-ce qui t'arrive. Je ne vais pas me faire sucer par un homme, je suis venu ici avec toi pour connaître un endroit naturiste, mais tu m'avais caché que c'était un repère de pédés !!.
Je fis un clin d'œil à l'inconnu pour qu'il reste malgré l'intercation .
- Oui, excuse-moi Hugo je ne t'ai pas demandé si tu voulais, ni rien dit du lieu mais depuis tout à l'heure je vois bien que tu observes les mecs et tu en bandes.
Il ne répond rien, devenait un peu rouge et s'énervait intérieurement. Je lui rétorque aussi :
- Tu verras la différence de se faire sucer par un homme, Astrid (son épouse) ne te suce pas aussi bien, j'en suis persuadé. Ferme les yeux et laisse-toi faire. Allonge-toi
C'est ce qu'il fait, en bougonnant et s'allonge bien de tout son long, sa queue avait un peu ramolli. L'inconnu, se présenta, je suis Thierry. Celui-ci se mit à genou et commença par lécher le gland et le frein d'Hugo qui au début restait complètement immobile, mais progressivement par moments des sursauts des muscles de ses cuisses se produisent. Puis Thierry mit les vingt centimètres d' Hugo en bouche. De la salive coule le long de celle-ci et des bruits de succions se font entendre.
Les mouvements de va et vient étaient très amples et profonds. Je voyais les mains d'Hugo s'ouvrir et se fermer en malaxant les bords de la serviette de plage. Parfois un soupir, parfois un gémissement, et même un petit cri. Il soulevait de plus en plus son bassin au rythme de la succion.
Thierry me fait un sourire et me lançe
- Il a l'air d'apprécier
Je vis Hugo hocher de la tête pour acquiescer cette phrase. Probablement sentant l'excitation grandir et peut être son envie de jouir Thierry retira progressivement le sexe d'Hugo de sa bouche, et s'adressa à lui.
- Alors ? Ce fut désagréable ? Tu regrettes l'initiative de Jean-Eudes (moi)
Hugo n'ose pas répondre de suite, cramoisi il nous lance
- C'est vachement (alors qu'il ne parle jamais comme cela) excitant c'est vachement bon - Salaud pourquoi as-tu arrêté? j'allais jouir! Salaud !!, salaud !! Moi qui croyais qu'Astrid savait me sucer, quand elle daigne me le faire. Il n'y a pas de comparaison. Continue, continue, je veux jouir.
Je le calme en lui caressant la tête, et lui réponds
- Attends un peu détends toi, Je suis persuadé que Thierry va te finir.
Je m'aperçois qu Hugo de sa main a empoigné son sexe raide et brillant de la salive de Thierry. Je lui enlève la main.
– Non, non, ne te branles pas. Attends !
Pendant ce temps Thierry nous avait momentanément quittés pour aller vers ses affaires et chercher son petit sac. Il revint vers Hugo et repris place à genoux. Il sorti de sa pochette un petit flacon et répandit de l'huile sur la queue d'Hugo, qui s'est laissé faire. Et là il commença à masser toute la longueur de la queue d’Hugo en insistant sur son gland, son frein et sa couronne. Et là Hugo de mit à se tortiller, à gémir et poussant des gloussements intercalés de "Arrêtez, arrêtez, c'est trop fort non, non".
Je me suis rapproché et pris un peu de l'huile de Thierry pour commencer en même temps à masser le périnée d'Hugo et m'approche progressivement de son œillet.
Là ce n'étaient plus des gloussements, mais presque des cris de plaisir. Thierry d'une main (re)cherche dans son petit sac et oh surprise en sort une petite tige plate (en alliage médical) d'une vingtaine centimètres de long et d'à peu près sept millimètres de largeur. Il arrête le massage du gland, et de l'autre main tient la queue raide bien droite. De l'autre avec son pouce et son index ouvre l'entrée du méat et enfile la tige qui par son poids descend seule le long du canal de l'urêtre. Hugo pousse des "non, non, pas çà" la tige continue d'entrer et toute la longueur est entrée laissant seulement apercevoir la petite anse de maintien. Puis doucement Thierry repris une douce masturbation avec la tige à l'intérieur de la verge. . De mon côté je continue de masser et essaye de rentrer un doigt. Hugo est très serré. Je masse et commence des va-et-vient sur la longueur de deux phalanges. Hugo ne proteste pas mais gémit.. Thierry accélère la masturbation et la queue d'Hugo est d'une rigidité incroyable. Mon doigt est entré dans l'orifice et commence à faire de petits cercles. L'œillet se détend et lors du mouvement giratoire, j'en profite pour rentrer un second doigt. A un moment la tête d'Hugo s'agite de droite à gauche en criant "c'est bon, c'est bon, continuez, continuez" Thierry me sourit et me fait de nouveau un clin d'œil. Il s'approche de mon oreille et me dit doucement
-mets de l'huile sur ma queue, je veux le prendre. Continue à lui préparer le cul.
- Oui, mais avec un préservatif.
- N'ai pas peur, il ne risque rien, je suis négatif, je suis du corps médical, je suis pharmacien.
Je suis ses instructions et met de l'huile sur sa queue. Je ne sais pas si je vous l'avais dit, c'est celle que regardait Hugo, fait pas moins de vingt trois centimètre et d'un bon diamètre de six. Un vrai gourdin. Je continue à faire manœuvrer mes doigts à l'intérieur d'Hugo. Doucement je retire mes doigts tout en massant alentours de son trou. Continuant à le masturber Thierry se positionne doucement, tellement excité et envahi par le plaisir Hugo semble ne rien percevoir de notre complicité. Difficilement j'arrive à tenir de ma main le sexe de Thierry pour lui positionner devant le trou huilé d'Hugo. Je lâche la queue de Thierry qui était bien positionné et prends le relais sur celle d'Hugo. En serrant je sens la tige à l'intérieur et la dureté de l'érection.
Thierry me regarde tout souriant et pousse progressivement son énorme manche qui arrache un bruyant cri d'Hugo.
- Pas çà, pas çà j'ai mal. Bande de connards! sales pédés!
Je continue la masturbation plus activement aux rythmes des coups de butoirs de Thierry. Ce dernier a mis les jambes d'Hugo sur ses épaules pour lui faciliter l'entrée complète de son impressionnante bite. D'une main j'enlève progressivement la tige de l'urêtre et fait apparaître de longs filaments de liquide séminal. Je continue l'astiquage de mon cousin en montant et descendant bien tout en serrant un peu plus. Je sens sa veine se durcir et gonfler. J'en informe Thierry. Il me fait signe de la tête oui. En me rajoutant moi-aussi. J'accélère, j'accélère. Hugo vibre, ondule, gigotte, ses mains tapent de plus en plus forts sur la serviette. Il pousse un horrible hurlement qui ameute les vacanciers. Il hurle un J e j o u i i i i s !! et trois énormes giclées de sperme s'échappent de sa verge pour terminer leur trajectoire sur son ventre et une sur son visage. Au même moment la lance de Thierry en pleine éjaculation sort à son tour et vient inonder Hugo.
Thierry probablement habitué, reprend très vite ses esprits, mais Hugo lui est complètement haletant, épuisé, vidé et semble même inerte. Je lui caresse doucement le visage et Thierry lui fait un baiser et s'allonge à ses côtés.
Doucement je l'essuie des deux semences mélangées pendant que Thierry se le fait lui-même.
Après un bon moment Hugo revient progressivement à lui. Je me sens tout de m^me un peu coupable, malgré ce bon moment. Surtout pour moi qui suis voyeur. Quelques bonnes minutes suivantes Hugo prit la parole. A ses mots j'en suis resté surpris et étonné;
- Ah, que c'était bon, je n'ai jamais connu un tel plaisir accompagné d'un si fort orgasme. Merci Jean-Eude malgré ta trahison, mais surtout toi Thierry avec ta fellation. Je suis honteux de m'être fait enculé. J'ai honte
Après un petit moment de repos, nous allions nous séparer, ce qui était dommage.je leur propose alors que nous allions ensemble au restaurant. Tout le monde était d'accord de déjeuner ensemble Au cours du repas nous avons su que Thierry était pharmacien, marié et père de trois s. Hugo écoutait un peu stupéfait et parfois choqué. Hugo nous confie qu'il n'avait jamais connu les jeux de sexe avec des hommes et ne pensait pas avoir du plaisir avec la gente masculine. Le déjeuner s'est bien déroulé, nous allions nous saluer, quand Hugo nous lance
– Nous pouvons nous revoir avant mon départ après demain ? C'est trop bon ce que j'ai vécu. Jean-Eudes je t'en voulais au début, je ne savais pas que les hommes donnaient autant de plaisir. Ce soir je crois que je vais me branler en pensant à tout ce que vous m'avez fait agréablement subir. Si tu veux Jean-Eudes nous revenons ?
Nous sommes revenus le lendemain avec une nouvelle expérience.
Eudes

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