Série Les Voisins - Épisode 9 : Mickael Résistera-T-Il À Ces Petites Salopes. Partie 2/2

Je m’appelle Mickael, cette histoire est la suite de l’épisode 31 dans Série « adultère » où je vous avais expliqué comment j’avais trompé ma femme Josiane deux fois, avec Mlle Carole, la propriétaire de l’immeuble, résidant dans son immense appartement, au cinquième et dernier étage.

Après cet odieux chantage, même si je n’avais pu faire autrement, je reconnaissais volontiers que j’avais vraiment apprécié baiser avec cette petite bourgeoise capricieuse. Ça faisait deux mois que je n’avais plus vu Carole, En rentrant du travail, j’appris par mon épouse Josiane que Mlle T avait l’intention de louer son logement et qu’elle le faisait visiter dans la soirée. Cette nouvelle me réjouit car je savais très bien que si cette salope me relançait, j’aurais d’énormes difficultés à lui refuser. Comme souvent après le film, je profitais des soirées douces pour aller courir une demi-heure au parc. Je savais qu’à cette heure tardive, le calme y régnait. Il n’y avait plus d’, seuls quelques coureurs et certains couples d’amoureux se promenaient dans la pénombre.

Ce soir-là, je rentrais de mon footing nocturne, il était environ 22 h 30, Carole se trouvait à l’intérieur de l’ascenseur lorsqu’elle me vit, arrivée en courant. Elle lâcha ses deux sacs qu’elle avait dans les mains puis bloqua aussitôt les portes. Je l’avais prise par les épaules, je penchai ma tête pour lui faire la bise comme deux amis pouvaient le faire. Voulant se retrouver seule avec moi, elle m’attira dans la cabine. Sans attendre une seconde de plus, au lieu de me faire deux bisous, elle me ceintura avec ses bras pour un baiser fougueux, tout appuyant sur le bouton du 5e étage. Rien à faire, cette salope me faisait de l’effet, je savais que je ne pourrais pas lui échapper.

Ses lèvres douces soudées aux miennes et sa langue se mélangeait parfaitement à la mienne. Je sentais chez elle un grand besoin de baiser, elle était comme une morte de faim me triturant les fesses et se frottant contre mon sexe comme une hystérique.

Je la poussai pour la plaquer délicatement contre la paroi de la cabine où le miroir réfléchissait nos corps et prit ses deux seins dans mes mains, ses tétons pointus poussaient le fin tissu de son chemisier par l’excitation. Depuis que je la connaissais, j’appréciais sa poitrine, je m’amusais tantôt à les lécher, tantôt à les mordiller ce qui ne faisait qu’accroître son plaisir et le mien.

C’était bien ce que je pensais, elle était probablement en manque car elle n’avait pas attendu pour poser sa main sur ma queue au-dessus de mon short en nylon qu’elle massa un moment avant de dire :
— Tu es déjà prêt, dis donc…
— Avec toi comment faire autrement ! Lui répondis-je tout en continuant de jouer avec ses seins.

Sans attendre plus longtemps, elle plia ses genoux et s’accroupit devant moi et descendit ma petite tenue sportive pour mettre à l’air ma verge dont elle appréciait la forme et la grosseur : « Oh quelle queue ! Elle m’a manqué. » Me dit-elle en s’empressant de la prendre dans la bouche. Arrivée au 2e, les portes s’ouvrirent, je vis par le miroir que Gaëlle, une jeune étudiante locataire d’un studio voulait monter dans l’ascenseur : « Excusez-moi. » Dit-elle avant de se retourner. Les portes se referment et la cabine commença à monter. Pour faire durer le plaisir, j’appuyai sur tous les boutons d’étage, pendant ce temps Carole aspirait mon gland avec des savants va et vient ou léchait le long de ma verge telle une gourmande dévorant une glace.

À n’en pas douter, elle devait aimer sucer ma colonne de chair, elle la pompait, la léchait avec envie mais l’ascenseur arriva à destination et les portes allaient s’ouvrirent pour la 5e fois :
— Baise-moi comme une chienne Micka ! Me demanda-t-elle.

J’étais en pleine érection, il ne m’en avait pas fallu plus, j’appuyai de nouveau sur les boutons pour faire le parcours inverse, cette fois-ci nous descendions et nous nous arrêtions à chaque étage.
Je l’attrapai sous les aisselles pour la relever puis je plaquai son dos contre le miroir. Après lui avoir relevé sa jupe et dégagé son string tout trempé, je lui levai sa jambe et je l’avais pénétrée d’un seul coup. Sa chatte était tellement mouillée que je n’eus aucune peine à l’embrocher et elle avait aimé ça : « Oh Oui ! C’est bon, vas-y ! »

Mes mains accrochées à ses fesses fermement, je m’activais avec des va et vient puissants qui lui perforaient littéralement sa chatte : « C’est trop bon ! Baise-moi plus fort ! » criait-elle. Ce qui me donnait de l’énergie pour la défoncer encore plus fort : « Je savais que ce n’était pas la dernière fois, Micka » Ma fougue, la grosseur de mon sexe et la bonne maîtrise de ma queue lui procuraient le plaisir escompté, elle gémissait de plus en plus fort, elle allait jouir, elle ne pouvait plus se retenir mais malheureusement nous étions arrivés au rez-de-chaussée. Je me retirai car je vis une nouvelle fois Gaëlle qui voulait remonter dans la cabine.

Cependant ne désirant pas nous déranger, elle prit l’escalier, je renouvelai l’opération et nous remontions. Carole avait voulu baiser avec moi et bien elle allait en avoir pour son envie. Toutefois je fus surpris d’entendre :
— Par derrière Micka, je ne prends plus la pilule.

Je ne lui dis rien mais j’avais compris, je l’avais retournée, elle avait l’intention de se faire sodomiser. Après l’avoir préparé rapidement avec un doigt préalablement mouillé de ma salive et de sa mouille, j’allais bien m’occuper de son cul. Penchée en avant me présentant ses fesses bien tendues en arrière, elle se tenait en posant ses deux mains de chaque côté de la cabine d’ascenseur :
— Encule-moi, j’adore ! Ici, c’est encore plus excitant.

Elle n’avait pas menti, malgré le petit cri qu’elle poussa lorsque mon gland pénétra avec difficulté dans son anus, dès que je ramonai son conduit anal, elle n’arrêtait plus de gémir, c’était plus fort qu’elle, plus je la secouais plus elle criait : « Oh oui c’est bon ! Encore !» Quelques minutes plus tard, la sodomie l’emporta et provoqua en elle un orgasme très intense.
Elle se cramponnais, elle tremblotait de tous ses membres. C’était tellement bon qu’elle ne se rendit pas compte que nous avions refait un aller-retour. Je me vidai de tout mon foutre dans son rectum, lorsque les portes s’ouvrirent au 5e étage : « Merci Micka ! Au fait ! Je me marie samedi, nous partons vivre à Paris. » J’étais enfin soulagé, je pouvais désormais être libéré de son emprise et redevenir fidèle :
— Cette fois c’est bien fini, Carole ! Tu me promets ?
— Tu crois ? Sait-on jamais. Me dit-elle en me faisant la bise.

Si le problème « Carole » était réglé, je n’en avais pas fini pour autant, Gaëlle m’ayant sans doute reconnu en voyant mon visage dans le miroir, j’appréhendais qu’elle raconte tout et que cela n’arrive aux oreilles de Josiane car mon épouse était très proche de toutes ces jeunes étudiantes qui habitaient dans l’immeubles, contrairement à moi qui les voyait peu. Je ne savais pas comment aborder le sujet, d’autant plus que Gaëlle était loin d’être sage, elle et deux de ses amies Marie du 1er et Diane du 3e étaient à 19 ans très mignonnes mais semblaient être de vraies petites salopes. Alors qu’à la demande des parents, elles n’avaient pas le droit de recevoir chez elles des garçons, elles ne s’en privaient pas.

Je savais donc à qui j’avais à faire, cette jeune fille de bonne famille n’était pas une ingénue. En effet, quinze jours auparavant, lorsque j’étais allé courir dans le parc, la nuit était tombée depuis un long moment, il y avait très peu de monde, hormis les quelques coureurs que je croisais dans l’obscurité. À mon premier passage, j’avais remarqué un jeune couple se tenant par la main, il m’avait semblé reconnaitre Gaëlle mais je n’en étais pas certain. Concentré sur mon footing, je courais mais à mon deuxième passage, en les cherchant du regard, je les vis se diriger vers le sous-bois en riant. Il n’y a aucun bruit hormis les voix des joueurs de boules que l’on entendait au loin.

Très curieux, j’avais arrêté de courir pour aller dans leur direction, je n’étais pas voyeur, je ne sais pas pourquoi je les avais suivis.
En pleine nuit, cette partie du parc n’était pas éclairée, lorsque je m’approchai d’eux, caché derrière un arbre, je découvris la scène. Sur le banc seulement éclairé par la lumière de son smartphone, le type avec le pantalon sur les chevilles, filmait Gaëlle en train de le sucer avidement, à genoux sur le banc devant lui. Toujours dissimulé à quelques mètres d’eux, je reconnaissais bien le visage de la jeune locataire, avalant le sexe dressé de son ami qui lui imposait le rythme avec ses mains posées sur sa tête. Me trouvant ridicule en les matant ainsi, j’avais tourné les talons avant de reprendre mon footing.

Le lendemain soir, je n’eus pas besoin de chercher comment rentrer en contact avec la jeune fille. De retour du travail, dès mon arrivée Josiane me dit que l’évier de la cuisine de Mlle Gaëlle R était bouché et que je devais intervenir au plus vite. Je me doutais bien que quelque chose se tramait derrière mon dos. J’étais certain que c’était en rapport avec ce que cette jeune fille avait vu la veille dans l’ascenseur. Cependant, je n’en connaissais pas les vraies raisons : « Voulait-elle me chanter, elle aussi ? » Lorsque Gaëlle m’ouvrit la porte, cette blondinette de 1,55m ne portait qu’un mini short en Jean qui laissait apparaitre le bas de ses jolies fesses charnues et en haut un débardeur moulant. Sa forte poitrine contrastait avec son petit corps menu.

Elle me fit entrer mais me dit tout de suite que son évier n’était plus bouché et me proposa de m’assoir. Elle était appuyée devant l’évier et ses deux mains étaient accrochées au plan de travail, lorsque qu’elle débita son monologue :

« Hier soir lorsque je suis descendue aux poubelles, j’ai vu un homme entrain de chevaucher une femme dans l’ascenseur. Il la baisait avec une bestialité qui m’a laissé perplexe. Je n’aurais pas dû regarder, mais je n’arrivais pas à détacher mes yeux de cette scène de débauche. Puis arrivée en bas lorsque j’ai voulu remonter, les portes se sont rouvertes et je les ai encore vu au rez-de-chaussée, il continuait à fourrer sa partenaire. Cela m’a tellement excité toute la soirée que je me suis masturbée, j’aurais voulu être à la place de cette femme, baisée par derrière. Je n’ai pas arrêté d’y penser toute la journée, m’imaginant à la place de la propriétaire. Que dirais mon père s’il savait que dans l’immeuble où je vis, je pourrais être agressée par un pervers » :
— Connaissez-vous cet homme Mr S ? Est-il dangereux ?
— Que veux-tu exactement Gaëlle ?
— Allez courir avec vous dans le parc. J’ai peur d’y aller seule le soir, on ne sait jamais si le pervers s’y trouve.

Cette petite était bandante, sa position était très aguichante, sa tenue sexy et ses propos coquins me firent réagir. Je m’étais levé et j’avais très envie de lui prendre ses deux fesses et de l’attirer à moi, cependant la raison fut plus forte. Je ne voulais surtout pas la fâcher afin qu’elle ne dévoile rien à Josiane mais je devais lui faire peur : « Tu veux aller courir avec moi ou je dis à ton père Mr le juge R que sa fille est une petite salope qui suce des types la nuit, dans le parc ? Sache qu’à partir d’aujourd’hui, j’interdirai la venue de tes petits copains qui viennent ici en cachette. Crois-tu que je ne les voie pas ? J’ai laissé faire maintenant c’est terminé. »
— Excusez-moi Mr S ! S’il vous plait ! Ne dites rien à mon père, il me couperait les vivres.
— D’accord Gaëlle, si tu ne dis rien à ma femme.
— Merci ! Pas de problème, je suis d’accord. Vous savez, tout à l’heure, c’était vrai, j’aimerais aller courir dans le parc avec vous. Si vous le voulez, bien sûr.

Elle se lova contre moi, lorsque j’avais donné mon accord, elle avait dû ressentir la bosse que j’avais dans le pantalon car elle était restée contre moi un petit moment tout en me remerciant encore une dernière fois pour ma gentillesse. Paternellement, je lui fis une bise sur le front et lui donna rendez-vous pour 22 heures devant le trottoir, je ne voulais pas que Josiane me voie sortir avec elle. Je ne sais pas pourquoi, j’avais accepté car il était évident que cette petite garce allait sans doute me mettre dans tous mes états et que je ne parviendrais pas à résister à ses avances. Mes pulsions sexuelles allaient encore me faire faire une connerie.

Je fus rassuré lorsque je l’avais vu dehors, elle avait mis un short ample et un coupe-vent, nous avions couru à son rythme jusqu’au parc puis nous avions emprunter le parcours habituel. Gaëlle n’avait plus l’habitude de faire du sport, cela se sentait car après un petit quart d’heure, elle me demanda d’arrêter. Je n’avais pas fait attention, mais nous nous trouvions à peu près à l’endroit où je l’avais vu partir avec son copain la fois dernière :
— Je dois me mettre assise, suivez-moi, il y a un banc là-bas.

Ce fut qu’en arrivant sur place que je compris qu’elle m’avait mené dans la peine ombre, sur le banc où elle taillait une pipe à son ami. Je fis mine de rien, ne connaissant pas ses réelles intentions et pensant qu’elle devait probablement reprendre son souffle, je fis quelques étirements et l’invita d’en faire autant :
— Non ! je n’en peux plus, vous pourriez me masser le dos ?

Elle changea sa position, elle se mis assise sur le dossier du banc et me demanda de m’approcher. Je me plaçai derrière, elle baissa la tête lorsque j’entrepris de lui masser ses épaules énergiquement : « Vous faites trop fort Mr S, attendez j’enlève mon coupe-vent. » Quelle surprise, cette petite salope était nue en dessous, elle ne portait même pas de soutien-gorge. Je n’avais rien dit et entrepris un massage un peu moins tonique, elle se laissait faire en se tournant un peu afin que mes mains touchent ses seins lorsque je massais ses flancs :
— Vous ne trouvez pas que ma poitrine est trop grosse. Me dit-elle de but en blanc en se retournant. Je me fais un complexe.
— Mais non Gaëlle, tu as de super seins. Lui dis-je en les prenant à pleines mains.

Je bandais déjà comme un âne, je savais maintenant que j’allais la baiser, c’était ce qu’elle voulait : « Suce-moi la bite ! » Lui ordonnais-je. Elle ne se fit pas prier, ayant ses habitudes, elle se mit à genoux dans la même position que l’autre fois et s’apprêta à me pomper le dard. Elle me décalotta lentement le gland avant de le prendre consciencieusement dans sa bouche et d'une main experte, elle me soupesait mes couilles. Dès qu’elle avait avaler entièrement ma bite jusqu'à la glotte, je crus que j’allais tout lâcher : « Arrête salope. Retourne-toi ! » Elle obéit aussitôt sans discuter, elle posa les pieds par terre, accrocha ses mains sur le banc et me tendis ses fesses. Elle avait très envie que je la prenne avec force : « Vas-y baise-moi ! »

Gaëlle sentit ma queue la pénétrer avec puissance, elle était déjà trempée. C'était bon, sa chatte était encore bien serrée. Je la remplissais totalement, j’allais et venait en elle à la perfection. J’avais envie de lui défoncer la chatte et je le lui dis : « Tu en veux hein, ma salope ? » Elle montait dans le plaisir, elle gémissait fortement sous mes grands coups de boutoirs. Soudain, je me retirai, puis ma main fouilla sa chatte pour me mouiller les doigts avant d’en enfiler un dans son anus puis un deuxième. En l’espace de quelques secondes, elle n’avait pas eu le temps de réagir qu’elle sentit ma verge à l'entrée de son anus Elle essaya de marquer un mouvement de refus, mais il était trop tard.

Je la maintenais fortement par les hanches et je progressais en douceur jusqu’à la garde. Avec ses petits cris, je compris qu’elle n’était pas habituée à se faire enculer, je restai donc un instant sans bouger : « Vas-y doucement, c’est que la deuxième fois. Ça fait mal. » Elle commença à bouger ses fesses, avait-elle envie que je la ramone. Alors je me mis en action, je commençai de profonds va et vient, variant la cadence à loisir, je me retirais pour la pénétrer aussitôt violemment et profondément, je lui arrachais des petits cris : « Tu vas aimer ça ! Salope ? »

Je l’avais limé encore quelques minutes, j’étais trop excité pour me retenir plus longtemps. Mon orgasme fut intense et violent, je sentis son anus se contracter sur ma queue, elle poussait des petits cris en serrant les dents. Je m’immobilisai au fond de son rectum et j’éjaculais abondamment. Nous avions repris notre footing pour rentrer à la maison, Gaëlle ne m’avait pratiquement plus parlé, elle avait perdu toute sa splendeur, je savais qu’elle n’avait pas du tout apprécié, elle ne m’avait jamais plus demandé de courir avec moi.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Mickael, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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