Laurie La Copine De Mon Fils

Je m’appelle Alain j’ai 54 ans, marié depuis 23 ans, à une très jolie femme, et père de 2 garçons de 20 et 18 ans.
En juin 2013 après une matinée de bricolage, je pris une douche et en sortant de la salle de bain entièrement nu, prêt pour un bain de soleil sur la terrasse, je tombais nez à nez avec mon fils (SEB) 20 ans et sa petite amie Laurie 18 ans. Une superbe jeune femme aux yeux noirs, une chevelure noire également tombant sur ses épaules. Elle mesure 160cm pour 50kg, avec une poitrine de rêve, un fessier rebondit juste comme il faut, des cuisses musclées, et un petit air timide qui donne envie de la protéger.
Donc nous nous retrouvons face à face, mon fils me dit :
Putain papa tu pourrais mettre quelque chose quand tu sors de la douche
Moi : je ne savais pas que vous étiez là, tu devais revenir que ce soir
Dans le même temps je regardais la jeune fille, qui n’avait pas tourné la tête et qui me matait, surtout au niveau du bas ventre.
Mon fils rentre dans sa chambre décrochant son téléphone, et je me retrouve seul dans le couloir, face à cette bombe, en petite robe légère et très courte. Je ne peux m’empêcher d’avoir une érection, que je ne cache pas. Elle rougit, tourne la tête et rentre à son tour dans la chambre.
Je vais m’installer dans mon transat, et quelques minutes plus tard, j’entends ne provenance de la chambre de mon fils, des soupirs puis des gémissements de plaisir. Je pense : c’est moi qui la chauffe et c’est lui qui en profite.
L’été passe nous sommes mi septembre il fait encore très chaud, je suis nu sur mo transat à lire un bon policier, mon fils me tel et me demande d’aller chercher, rapidement Laurie à la gare, car il est retenu par son travail pour au moins 3 heures et elle doit déjà l’attendre.
Je saute dans mon bermuda et une chemisette, et je file à la gare récupérer la belle.
En arrivant je la vois entourée de 3 jeunes hommes, qui rient, et qui la serrent de près.

Elle a l’air tout affolé, et cherche une issue à sa situation. Je sors, de la voiture, dès qu’elle m’aperçoit, elle se précipite dans ma direction en brisant le cercle des importuns, et en criant : voilà mon père, papaaaa
Et avant que je n’ai pu réagir elle se jette à mon cou, se serre contre moi en me disant merci et en m’embrassant sur les joues.
Les 3 jeunes gens partent en rigolant et en nous disant : papa faut pas laisser ta beauté seule tu vas te la faire enlever.
Nous restons quelques instants sans bouger (je savoure la situation), son corps collé au mien, sa tête sur mon épaule, elle sanglote doucement. Je la repousse délicatement en lui prenant la taille en disant : c’est fini ils sont partis
Laurie : j’ai eu si peur, ou est SEB
Moi : il est retenu au boulot, c’est lui qui m’a appelé car il n’arrivait pas à te joindre.
Laurie : c’est vrai mon tel est déchargé
Moi : c’est pour ça qu’il m’a appelé très inquiet et embêté de devoir rester ce soir.
Laurie (en colère) : il reste à la demande de l’autre Cougar sa patronne, elle le regarde comme une tigresse qui va manger toute crue un jeune faon.
Moi : mais tu es jalouse, je sais que cette dame et très agréable à regarder, je pense même qu’elle en joue, je crois aussi qu’elle aime bien les hommes, un peu plus jeune qu’elle, mais je ne pense pas qu’elle ferait des avances à SEB.
Et en lui ouvrant la portière de la voiture et en la déshabillant du regard j’ajoute : il a tellement mieux dans son lit.
Elle se retourne et me jette un regard mi en colère mi coquin
En montant je m’aperçois, qu’elle une jupe plissée très courte, et un bustier hyper moulant qui ne cache rien de sa magnifique poitrine libre de tout sous-vêtement.
Tout en conduisant, je ne peux m’empêcher, de jeter des œillades sur cette beauté en me disant : elle est trop jeune, c’est la copine de ton fils.
Moi : ça va mieux, mais qu’est qu’ils te disaient les 3 dragueurs de tout à l’heure ?
Laurie : ils me disaient des choses obscènes, ils me plotaient, les seins, il y en a un qui a même passé sa main sous ma jupe au niveau de mon sexe, je lui ai mis une gifle, ça a bien fiat rire ses copains.
Puis vous êtes arrivé et vous m’avez sauvez.
Moi : tu n’as rien trouvé de mieux que de m’appeler papa
Laurie (en rougissant) : oui excuser moi, et je me suis précipitée à votre cou car j’étais tellement soulagé de voir quelqu’un qui allait pouvoir m’aider. Vous auriez fait quoi s’ils avaient insistés ?
Moi : je ne sais pas, je serais intervenu c’est certain. Mais je pense qu’il n’y avait pas beaucoup de risque, en général ces individus ne sont pas très courageux. La preuve dès qu’ils ont vu papa ils sont partis.
Et puis j’ai eu droit à un petit câlin très agréable.
Laurie (encore rougissante) : oh j’espère que je ne vous ai pas choqué
Moi : choqué n’est pas le terme exact, je dirais plutôt émoustillé.
Laurie : (écarlate) oh je vois, comme l’autre fois quand vous sortiez de la douche, et tout à l’heure il me semble bien avoir senti quelque chose.
Moi : ce n’est pas grave c’est la nature, un homme normalement constitué bande quand il se retrouve enlacé à une superbe jeune femme presque nue.
Et sans réfléchir, je lui pose la main sur les genoux, elle sursaute légèrement mais ne dit rien. Ma main remonte, le long de ses cuisses qu’elle garde serrées. Sa peau est douce soyeuse. Personne ne parle, je conduis le regard fixé sur la route, pendant que ma main droite la caresse des genoux à l’entre cuisse. A chaque passage, j’appuie un peu plus fort sur son sexe. Je l’entends respirer plus fort, jetant un œil dans sa direction, je vois sa poitrine tremblée et ses pointes toutes dures sous le tee-shirt.
Elle stop ma main avec la sienne en disant : il ne faut pas faire ça c’est pas bien
Moi : mais tu en as envie, et moi aussi, laisses toi aller, tu vas adorer.
Je l’entends soupirer, ses mains libèrent la mienne, et ses cuisses s’ouvrent.
Sa culotte est trempée, je passe un doigt sous l’élastique et je pénètre son sexe humide et étroit. Elle gémit sous la caresse. Je sens son ventre venir à la rencontre de mes doigts,
Laurie : j’ai envie de jouir
Moi : je vais bientôt m’arrêter mais je serai ravi de te voir jouir.

Je retire ma main, pour lui palper les seins, elle soulève son bassin et fait glisser sa culotte. Elle incline le dossier, pose ses pieds sur le tableau de bord, les jambes bien écartées et je vois ses doigts, pénétrer et frotter son sexe avec vigueur, elle a les yeux fermés la bouche ouverte, elle va jouir, elle respire de plus ne plus fort.
Moi je vais exploser dans mon bermuda, je lui demande de me sucer. Sans rien dire l’air hagard, sans arrêter de se masturber, elle se met à genou sur son siège, et se penche sur moi, je sors ma bite, qui s’enfonce dans sa bouche. Avec ma main sur sa nuque je lui donne le rythme. Très vite elle jouit, n’y tenant plus je jouis à mon tour à grands jets chauds. Elle est surprise, essaie de se retirer, mais je la retiens en lui donnant l’ordre de tout nettoyer et de tout avaler. Je sens sa langue chaude passée sur mes couilles, ma tige et mon gland. Quand elle se relève elle me dit : vous auriez pu me prévenir
Moi : c’était trop bon désolé
Laurie : mais je ne l’avais jamais fait jusqu’au bout
Moi : et tu n’as pas aimé ?
Laurie : bof (en faisant la grimace)
Je stoppe la voiture, dans un endroit très tranquille, près de chez moi, ou je viens parfois faire des galipettes avec ma femme.
Laurie : pourquoi vous vous arrêtez ?
Moi : parce que nous avons encore plein de choses à faire
Laurie : nous en avons fait assez je pense
Moi : tu crois, je suis certain que tu aimerais avoir ma queue dans ton minou tout doux.
Laurie : non merci, je me suis fait plaisir, je vous ai fait plaisir, maintenant on en parle plus et on rentre.
Moi : ok mais avant on fiat un petit tour à pied pour se détendre
Laurie : ok
Elle ouvre la portière, commence à descendre, ramasse son string
Moi : non reste le cul à l’air, c’est très agréable par ce temps d’être nu dans la nature.
Et pour montrer l’exemple je me mets nu.
Elle me regarde hausse les épaules, et sans me regarder part se promener.

Je suis à quelques pas derrière elle, j’admire ce corps, sa petite jupe se soulève de temps en temps te laisse entrevoir ses fesses fermes te bronzées. Je suis de nouveau en rut.
Je m’approche d’elle et la prend dans mes bras. Mes mains emprisonnent ses seins, en les pétrissant doucement. Mon ventre collé à ses reins, elle ne peut ignorer mes envies.
Elle s’est arrêtée, nous ne bougeons plus. Je là sens sur la défensive, elle respire fort, comme énervé ou apeurée. Je profite de cet instant pour glisser mes mains sous le léger débardeur, elle sursaute.
Laurie : non s’il vous plait, ne faites pas ça ce n’est pas bien
Elle se débat doucement. Mes mains enserrent sa poitrine ferme et soyeuse, je sens ses pointes durcies, elle se débat mollement
Laurie : (en pleurant presque) s’il vous plait Alain laissez-moi partir
Moi : laisses toi aller, tu es si belle, tu vas voir ça va être délicieux
Et je l’embrasse dans le cou, lui mordille le lobe de l’oreille. Je lui pince les tétons. Elle pousse un petit cri de douleur ou de plaisir. Ma main gauche quitte sa poitrine pour venir lui caresser la joue et lui faire tourner la tête. Elle résiste encore, elle ferme les yeux et la bouche. Ma main droite descend vers son ventre, j’effleure sa douce toison, son clitoris et je passe un doigt sur ses grandes lèvres.
Pour esquiver ma caresse elle se penche légèrement en avant, plaquant encore plus ses fesses contre ma verge tendue. Je profite de cette position, pour fléchir légèrement les jambes, mon sexe passe sous ses fesses et vient se placer juste à l’entrée de son sexe.
Laurie : (me sentant presque en elle) non Alain pas ça
Moi : (donnant un grand coup de rein pour la pénétrer) trop tard ma belle
Sous ma poussée, nous manquons de tomber. Laurie nous ratt, en posant ses 2 mains sur un rocher devant elle.
Nous ne bougeons plus, je planter dans son vagin étroit chaud et humide. C’est l’extase, je passe mes mains sous sa jupe qui remonte sur ses hanches que je tiens fermement. Je ne bouge pas, je contemple ce cul sublime. C’est elle qui la première se met à bouger, en se frottant contre moi, comme si elle voulait que je la transperce.
Moi : (souriant) tu ne dis plus non ma coquine
Laurie : j’avais envie mais je pensais à Seb. Mais maintenant que tu es dedans baises moi fort fort.
Elle bouge de plus en plus, je la pilonne de plus ne plus fort. Le fait d’avoir jouit dans sa bouche me permet de résister plus longtemps à ma jouissance. Sous mes coups de reins, elle gémit
Moi je regarde ma bite sortir et rentrée dans ce ventre si accueillant. Je mate aussi ce petit trou qui doit être vierge.
Moi : (un peu essoufflé) tu aimes te faire baiser
Laurie : ouiiii j’aime avoir une bite dans le minou, vas y fort défonces moi
La tenant plus que d’une main, j’humidifie mon pouce avant de le passer sur sa rosette, que je force doucement.
Laurie : (surprise) oh non c’est trop bon comme ça
Mon pouce est rentré entièrement dans son anus, je le fais bouger un peu pour détendre les parois.
Laurie : ne t’arrêtes pas je vais jouir, vas y vas y vas y ouiiiiiiiiiiii
Je la baise fort de plus ne plus fort, elle part dans un orgasme et un cri de plaisir
Laurie : (après quelques instants) c’était trop bon. J’aime être prise comme une chienne en chaleur
Elle s’aperçoit à ce moment là, que je n’ai pas jouit que je suis toujours planter en elle. C’est l’instant que je choisis, pour enlever mon pouce et le remplacer par ma bite. D’un coup sec, je la sodomise. Insensible à ses cris de douleur et de surprise, je la lime avec vigueur. Je ne vais pas résister longtemps.
Elle ne dit rien elle subit, puis je vois sa main droite descendre sous son ventre elle se caresse.
Moi : tu aimes ?
Laurie : (entre 2 soupirs) ça va mieux fais doucement, j’aime sentir tes couilles taper mes fesses ouiiiiiiiii ouiiiiii
Moi : cambres toi que j’aille bien au fond
Je ne tiens plus ce cul offert, j’accélère le mouvement, nous sommes en sueurs je jouis ma semence se répand dans son intestin.
Laurie : (jouissant très fort) ouiiiiiiiii j’adore que tu me défonses la rondelle je suis une salope, j’aime le cul ouiiiiiiiiiiii, j’aime ta bite ouiiiiiiiiiiiiiiii .
Sans rient dire épuisés, nous sommes retourné à la voiture. Après
avoir repris nos esprits, nous nous sommes embrassés langoureusement.
ET NOUS NOUS SOMMES PROMIS DE NE JAMAIS RECOMMENCER

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