Une Soirée Inoubliable

L’histoire de notre rencontre et de notre première fois, écrit à deux mains.

S : On s’est connu sur les bancs de la fac, dans une ville du sud de la France. Je n’avais jamais été avec une fille et d’une manière générale je ne savais pas m’y prendre avec la gente féminine. Elle était tout ce qu’un garçon de 18 ans peut désirer. De taille moyenne, une silhouette athlétique, des fesses qui rendaient fous tous les autres garçons, et même certains profs, et des yeux verts et brillants. Je n’osais pas faire le premier pas, elle m’impressionnait.
C : C’est vers le milieu de l’année que j’ai décidé de l’approcher. Notre foyer étudiant disposait d’un billard et il y jouait souvent avec ses amis. Je savais qu’il me regardait, il rougissait à chacun de mes sourires. Il était de taille moyenne mais sportif, un joueur de rugby. J’ai demandé à rejoindre la partie. J’avais des armes pour moi, mon pull enlevé, j’arborai un chemisier suffisamment entrouvert, un jean taille basse qui a la fâcheuse tendance à tomber et à dévoiler mon string rouge. Sans être une bimbo, je suis assez fière de mes formes : un beau 95C et des fesses rebondies et musclées.
S : J’ai cru traverser un rêve, elle tournait autour de la table, se penchait langoureusement pour jouer ses coups ou bien redresser fièrement ses fesses vers moi. Je ne savais si elle le faisait exprès ou si le jeu et mon esprit échauffé me jouaient des tours. Je me sentais rougir comme un idiot, les coups d’œil que je lançais à son décolleté n’avaient rien de furtif, ses sourires me rendaient fous.
C : Sa timidité m’amusait et j’avais maintenant la certitude de lui plaire : mon jeu l’échauffait. Je ne me considère pas comme une salope, en fait je n’avais connu qu’un autre garçon avant la fac, mais j’étais décidé à l’avoir lui.
S : La réalité du temps nous rattrapa, il nous fallait revenir en cours et j’avais l’impression d’avoir complétement raté ce premier échange. Il fallait que je la revoie, il fallait que je tente quelque chose.

C’est mon meilleur ami, Romain, qui vola à mon secours :
« Les gars, les vacances d’hiver approchent ! Il faut fêter ça ! Ce soir on sort tous au bar. T’as qu’à venir avec Clarisse, Sam ». Il avait fait sa déclaration suffisamment fort pour qu’elle l’entende aussi et elle accepta l’invitation.
C : Le prétexte de la soirée était parfait. Les cours finis je rentrais chez moi pour me préparer à la soirée. Il fallait que j’en mette plein les yeux à Sam, j’optais pour un corset bustier noir attaché dans le dos, une jupe assez courte noire également et enfin des dessous en dentelles simples mais efficaces.
S : Elle est entrée dans le bar vers 21h, elle était tout simplement magnifique. On a commencé une discussion banale mais l’alcool aidant on s’est vite orienté sur des sujets plus sérieux.
« Tu es magnifique ce soir...
- Tu n’es pas mal non plus tu sais. Ne reste pas planté là voyons ! Invite-moi à danser »
S : Nos corps se sont très vite rapprochés. Son parfum m’envoutait. Ma main descendit son dos, je m’arrêtais à la limite de sa jupe, attendant une réaction. Elle ne fit que sourire et se dressa sur la pointe des pieds pour que ma main passe sur ses fesses. Je ne pouvais plus retenir mon érection et je savais qu’elle le sentait.
C : Ce petit jeu me plaisait. Il était doux et gentil. Et son érection éveillait en moi des émotions nouvelles, j’en voulais plus. Il s’est penché vers moi et m’a embrassé, longuement et passionnément. La situation m’excitait.
S : Notre baiser me fit perdre ma retenue. J’avais envie d’elle et je sentais qu’elle avait envie de moi. Je glissais à son oreille mon envie de quitter la soirée avec elle. Elle accepta.
C : Je lui proposais d’aller chez moi. Il accepta. L’envie enflait en moi. Toutes les petites ruelles étaient prétextes à s’arrêter et s’embrasser. Ses mains se faisaient de plus en plus baladeuses. Mon manteau cachait la scène à d’éventuel passant. Il me poussa contre le mur.
S : L’excitation m’avait rendu fou.
Je me fichais du monde autour et de l’éventualité de me faire prendre, il n’y avait plus qu’elle. Tout en l’embrassant je remontais sa jupe, mes doigts rencontrèrent le collant et les coutures de ses dessous. Je massais son entrejambe, laissant courir mes doigts de ses lèvres à ses fesses. Son souffle se fit plus fort à mes oreilles, son intimité plus humide. Je sentais ses doigts déboutonner mon jean, elle le baissa en un rien de temps, mon caleçon avec. Elle se mit à genou et sourit devant mon sexe tendu.
C : Il avait vraiment une belle verge. Le contact de ses mains sur mon intimité m’avait rendu folle, mon cœur battait la chamade, la chaleur me montait aux joues. J’avais envie de faire des choses que je n’avais jamais faites, j’ai pris ses testicules dans une main et sa bite de l’autre, ma langue vient lécher son gland.
S : Elle me malaxait délicatement les boules tandis que son autre main me branlait doucement, sa langue s’enroula autour de ma bite puis elle l’engouffra dans sa bouche. Le plaisir m’envahit. Ma main appuyait l’arrière de sa tête pour qu’elle avale toujours plus profondément ma verge.
C : J’hoquetais sur la pression de sa bite dans ma gorge, les larmes me montaient mais je sentais son plaisir grandir. Il ne fallait pas que tout cela se termine trop vite, je voulais plus. Je retirais son sexe de ma bouche et cherchait dans mon sac pour mettre la main sur des capotes. Une fois mise je me relevais et baissais mon collant et mon string trempé. Ma jupe relevée je lui tournais le dos.
« Vas y prend moi tout de suite !
- Et si quelqu’un vient ?
- La ruelle est vide et sombre, on aura le temps de se rhabiller, de toute façon je m’en fou, je peux plus attendre »
S : Elle avait raison, on ne pouvait plus attendre. Je pressais mon gland contre ses lèvres, caressant l’entrée de son intimité de haut en bas, mon autre main fit le tour de sa hanche pour aller caresser son clitoris que je sentais se dresser sous mes doigts.

« Vas-y, n’attend plus ! Pénètre-moi ! »
Je m’exécutais, lentement ma verge se glissa à l’intérieur de son con. Elle se cambra pour faciliter la pénétration.
C : J’étais tellement excitée que je laissais échapper un petit cri dès la première pénétration. Ses va-et-vient se firent plus rapides, plus profonds et mon plaisir s’en trouva décupler. J’étais trempée, jamais je n’avais vécu de telles sensations. Une chaleur se répandit dans tout mon bas-ventre, je sentais que je perdais le contrôle de mon corps.
S : Elle vibrait sous mes coups alors que j’accélérais la cadence, mes mains malaxaient son cul si parfait. Je sentais le plaisir m’envahir à la mesure de ses petits cris étouffés. Mais je ne contrôlais pas mon plaisir, mon corps se crispa et je sentis ma semence mourir dans le préservatif. J’étais heureux et en même temps déçu de ne pas avoir pu lui donner plus.
C : Cette seconde expérience s’est avéré bien plus réussi que la première, j’avais ressentie un plaisir fou. Mais la réalité revient nous frapper, il faisait froid et on se sentait un peu ridicule d’avoir cédé si facilement à nos instincts. Un rire nous échappa pour rompre cette scène surréaliste. On se rhabillait en vitesse et on s’embrassa langoureusement, j’étais vraiment heureuse. Une voix vient rompre le charme :
« Sam ? Clarisse ? C’est vous là ? Qu’est-ce que vous foutez dans cette ruelle ? Ca fait une heure que je vous cherche, vous venez faire after chez Lucas ?
- Non désolé mais je crois qu’on va rentrer, Sam s’est proposé pour me raccompagner »
S : Elle me fit un sourire et me prit par la main, ses yeux verts pétillaient, mon bonheur était total et j’avais la certitude que j’allais tomber fou amoureux de cette fille.

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