Début De Cavale

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

C’est bon de se retrouver chez soi après une bonne journée de travail. Je suis tranquillement installé dans mon fauteuil, mon whisky à la main tandis qu’Eliane s’active déjà pour le repas du soir. « On a sonné … va voir, je suis occupé ». Je laisse à regret mon verre et la télécommande sur le guéridon et je me lève.
Par l’œilleton, je vois un homme qui tient un carton dans ses bras. « Qu’est-ce que c’est ? » « Un colis avec accusé de réception ». A cette heure cela semble bizarre, mais maintenant les livraisons n’étant plus réservées à la poste je me demande ce que cela peut être. Sûrement une commande pour Eliane. Je déverrouille et j’ouvre la porte. Celle-ci est brutalement repoussée et je me retrouve assis au milieu de l’entrée. Je devine plus que je ne vois deux silhouettes entrer avant que la porte ne se referme. L’un des 2 hommes, celui qui tenait le carton le lâche et se penche vers moi pour m’asséner un violent coup au visage. Avant de sombrer, j’ai le temps de réaliser que le carton est vide et qu’en fait c’est moi-même qui l’avais mis à la poubelle…
Je reviens à moi dans le salon, le carrelage est froid… qu’est-ce que je fais là ? Je m’assois mais je ne peux me redresser, un pied vient de me repousser contre le radiateur. Je regarde autour de moi. Ils sont bien deux, un grand blond aux cheveux très courts et un maghrébin plus petit que son compagnon. Tous les deux n’ont guère plus de quarante ans. Eliane est dans le fauteuil, avec juste les mains attachées sur les bras de celui-ci. Le maghrébin se trouve derrière le dossier, et dans sa main gauche, il tient un couteau que je reconnais pour provenir de notre propre cuisine. C’est visiblement le blond qui dirige le duo. « Reste calme, nous ne resterons que jusqu’à ce que le soir soit venu. Si tu te comportes correctement, vous ne risquez rien ». Je comprends qu’ils viennent en fait de s’échapper du centre de détention qui se trouve à 800m de mon domicile.

Ce n’est pas la première fois qu’une évasion se produit ici, mais en général on ne l’apprend que le lendemain par les journaux. Nos deux visiteurs ont choisi contrairement aux autres à s’enterrer sur place en attendant que cela se tasse.
On aperçoit des gyrophares à travers les vitres et je suis tenté de me lever pour appeler. Comme s’il avait deviné mes pensées le blond dit « Je ne te conseille pas de bouger ! Ils sonnent aux portes, quand ce sera ton tour, tu iras voir, mais souviens-toi que ta femme est à portée de lame de Khaled…si tu savais pourquoi il était enfermé tu prendrais mon avertissement au sérieux. ».
Effectivement, peu de temps après je me conforme à ses instructions en déclarant n’avoir rien vu rien entendu.
L’attente s’installe. J’ai repris ma place auprès du radiateur et eux à tour de rôle visitent le frigo et mon bar.
Depuis un moment, je trouve que Khaled regarde de plus en plus bizarrement Eliane. Ce pourrait-il que… ? Non je dois me tromper. Eliane a 58a, certes elle est encore présentable mais la différence d’âge est flagrante. Pourtant la main qu’il vient de poser sur l’épaule de ma femme ne reste pas inerte et tout en la caressant se rapproche de l’échancrure du chemisier. Une nouvelle fois, je veux me lever, mais l’autre homme me repousse du pied. « Reste calme… il ne lui fera rien de mal ! ... Arrêtes de lui faire peur Khaled on n’a pas que ça à foutre ». « Il reste au moins 2 heures avant qu’on puisse bouger…et…ça fait 6 mois que je n’ai pas touché une femme ! – Dans quelques heures on sera loin et tu pourras te payer les meufs que tu veux… enfin si ça peut te calmer ».
La main descend dans l’échancrure et brutalement fait sauter les boutons du chemisier, puis empoigne le sein droit et le sort du bonnet. La poitrine d’Eliane n’a plus la fermeté de ses jeunes années, mais elle y a gagné en lourdeur et cela semble ne pas déplaire à son tourmenteur. La main qui tient le couteau se saisit des cheveux de ma femme et l’oblige à tourner la tête vers la droite.
« Tu vas me sucer ma vieille ! ». Abandonnant le sein, la main droite de Khaled baisse le zip de son pantalon et libère un sexe qui se déplie rapidement. Eliane a beau essayer de se dégager, les narines pincées et la menace du couteau l’oblige à écarter les lèvres. Une larme s’écoule de ses yeux, tandis que Khaled commence à lui baiser la bouche. Le spectacle ne laisse personne indifférent, le complice blond se caresse l’entrejambe et moi-même à ma grande honte je sens que je commence à bander. Eliane devenue plus docile, Khaled s’est remis à pétrir les seins. Le blond s’approche et observe un moment la scène. « Après tout... ». Il s’agenouille et s’installe entre les jambes de ma femme. Celles-ci ne sont pas attachées et elle essaye de les resserrer. Tentative vouée à l’échec vu la force de l’homme. Il relève la jupe et semble dubitatif devant le collant qui n’a rien de bien sexy. Il n’hésite pourtant pas longtemps. En 2 mouvements, le collant est déchiré en son centre et la culotte arrachée. Il passe ensuite ses mains sous les cuisses et la tire pour la positionner en bordure de fauteuil. Il sort à son tour son sexe déjà bandé, crache dans sa main et étale la salive sur la fente encore sèche. Il introduit un doigt la faisant se cabrer, joue un peu avec les lèvres et le bouton puis posément il s’enfonce en elle. C’est pratiquement à ce moment que Khaled lâche un flot de sperme au fond de la gorge d’Eliane, la faisant suffoquer. Je la vois déglutir même si un filet blanc coule le long de son menton, je sais qu’elle a avalé la plus grande partie. Posément, l’autre mec la pilonne. Il semble rechercher à faire jouir sa partenaire ce qui est pour l’occasion plutôt bizarre. Je n’ai aucun doute sur le résultat, la tête ballottée, les lèvres mordues, j’observe la montée du plaisir en elle. Oubliées les larmes, haletante, le regard à la dérive, Eliane n’existe que par cette jouissance qui va la terrasser. « Détache-la ». Le couteau tranche les liens qui la maintiennent au fauteuil.
Aussitôt ses doigts se crochent dans le dos du grand blond. « Tu n’as pas peur qu’il en profite ? » « Non ne t’inquiète pas, je crois même que ça le fait bander ce connard ». Il la soulève et se tient ainsi debout, empalée sur ce membre et secouée de frissons, les jambes serrée autour de son partenaire. Khaled en profite pour lacérer ce qui reste du chemisier, la jupe et le soutien-gorge qui ne soutient plus rien depuis un moment. Il ne reste à Eliane pour tout vêtement que les lambeaux du collant ouvert complètement de l’entrejambe aux genoux. Il l’emporte jusqu’à la table massive du salon, balaye d’un revers de main les objets qui s’y trouve et l’allonge à nouveau. Sans déconner, il glisse les mains sous les lourdes cuisses, s’empare des mollets qu’il dépose sur ses épaules. Eliane grimace, peu habitué à ce genre de contorsion, mais le pilon qui la remplit recommence son va et vient et la voilà repartie vers l’extase. Elle ne se prive d’ailleurs pas de gémir, l’invitant à ne surtout pas arrêter. Khaled qui jette régulièrement un œil vers moi semble satisfait de ma passivité. Il arbore à nouveau une superbe érection. « Eric, laisse m’en un peu, je veux la faire couiner aussi cette salope ». Pourtant avec la même régularité, l’interpellé poursuit son mouvement alors Khaled malaxe les seins tout en se branlant.
Ca y est la cadence accélère de manière régulière et Eliane part dans un long feulement. La table pourtant très lourde semble se déplacer. Soudain Eric se cabre et d’où je suis, je vois bien ses couilles se rétracter plusieurs fois. Lorsqu’il se retire enfin, laissant retomber les jambes de ma femme, je vois le foutre dégouliner de son sexe béant. Elle semble complétement stone. Khaled se précipite, mais la position ne semble pas lui convenir. Il la bascule sur le ventre et la pénètre aussitôt. « Putain que c’est bon ! Je nage un peu, tu l’as bien remplie ! » Eliane, appuyée sur les coudes ne cherche pas à se dérober ni à cette nouvelle incursion, ni à ces mains qui lui pétrissent les seins.
Eric dont l’érection a légèrement fléchi commence à se déshabiller. Il se met entièrement nu et je comprends que nous n’en avons pas fini avec eux. Il monte sur la table et s’agenouille devant Eliane. Il me regarde en souriant « Tu nous excuseras, mais on a un peu de temps à rattr. Ca ne te dérange pas ? » Khaled se marre « Non, il nous est reconnaissant de faire reluire sa vieille… Putain elle est vraiment bonne, je vais avoir du mal à m’en passer ! » « T’inquiète s’il le faut on reviendra » « Je me ferais bien son cul…ça semble bien étroit…Le dernier que j’ai pris c’était celui de ce petit con… ». Eliane qui depuis un moment multiplie les orgasmes ne réagit pas. Alors Khaled sort son sexe et le dirige vers la rosette de ma femme qui tressaillit. « Fais attention ! Qu’elle ne me morde pas ! » Il faut reconnaître qu’il s’y prend avec douceur et lenteur et déjà la tête du gland a disparu aspirée par les fesses dodues. Le reste suit sans difficulté et il recommence à la besogner. Je m’aperçois que tout en se faisant sucer, Eric est en train de filmer la scène avec… mon téléphone ! L’enfoiré ! « Un petit souvenir… pour éviter les bavardages inutiles. D’ailleurs j’avais besoin d’un téléphone ».
Cela fait deux heures que cela dure… Ils se sont vidés dans tous ses orifices. Eliane est écroulée sur la table, dégoulinante de sperme. Les deux ex-détenus ont profité largement de mon « hospitalité ». Mon bar est vide, mais ma femme est pleine. Ils prennent les clefs de ma voiture et se dirige vers la porte « Tu pourras porter plainte demain… » et avec un sourire malicieux « A un de ces jours, tu peux y compter… notre bon souvenir à ta femme ! ».
Pourquoi est-ce que je n’ai même pas honte ?

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