Nadine, L'Étudiante

Mon copain Jean a de drôle de façons de faire: normalement c’est lui qui doit héberger Nadine, une étudiante à lui confiée par ses parents. Voulant vivre sa vie à sa façon il me demande d’accueillir Nadine. Il m’embête un peu, comme je travaille dehors, je ne suis chez moi que le matin très tôt ou le soir tard. Au fond je n’en suis pas gêné. J’ai une chambre libre. Avant de donner une réponse je désire, ce qui est normal de rencontrer cette fille avant de donner mon accord définitif.

Jean vient accompagné de la fille: une jolie brunette aux yeux noisette. Description selon la police: 1 m 75, visage ovale, cheveux longs, poids approximatif 65 kg.
Pour moi c’est une belle fille. Prévoyante elle est avec sa valise. Elle se présente poliment, elle étudie l’architecture, elle en a pour 6 ans avant d’avoir son diplôme, si tout va bien. Ses parents attendent d’elle qu’elle étudie bien, qu’elle soit sage et bien « élevée ».
Bien élevée, ne doit pas être la pire des difficultés, qu’elle étudie aussi. Par contre j’ai des doutes sur la sagesse de la fille. Je suis d’accord à condition qu’elle me laisse vivre ma vie de célibataire. Elle peut se servir de la cuisine pour grignoter, de la salle de bain et des toilettes. En un mot qu’elle vive sa vie sans me poser de problème.

Elle s’installe le soir même. Le lendemain matin très tôt j’entend un grand cri. Je me demande ce qui se passe. Je me précipite dans sa chambre, entre sans frapper. Elle est à moitié nue, montée sur le lit:
- Là, là, l’araignée.
- Où donc ?
- Ben, là sur le mur.
J’ai beau chercher je ne vois rien. Je vais pour sortir quand je la vois enfin, Nadine, pas l‘araignée: je peux voir ses seins et un peu ses cuisses. Je fais l’aveugle: je n’ai pas envie d’avoir des emmerdes avec elle. Je pense quand même que ce que j’ai vu m’excite: j’aimerai bien l’avoir dans mon lit pour un nuit. Il faut que je sois sérieux, je dois oublier le physique de Nadine.



Le soir même une autre catastrophe: les toilettes coulent sans arrêt: je dois vite les faire réparer. Vers 22 heurs, c’est l’heure idéale pour appeler un plombier. Je vais voir ce qui cloche. Elle a mal tiré la chasse d’eau, vite réparée, je sors quand elle passe enveloppée d’un serviette pur aller prendre un bain ou une douche, je ne sais pas; Je la regarde avec gourmandise:
- Excusez moi je croyais que la réparation durerai plus longtemps. Je vais dans la salle de bain.
- Attention à vous de ne pas vous promener devant dans une tenue provocante.
La vie suit son cours avec toujours des rencontres avec une jolie fille presque nue. Un soir je n’y tiens plus: elle passe devant ma chambre, je l’att par le bras pour la faire entrer. Elle se débat pensant certainement que j’allai la violer. Elle ne me connait pas: je n’ai jamais fait l’amour avec une fille qui ne le veut pas.

Je la force à rester assise sur le lit, près de moi. Je lui explique gentiment que se balader presque nue devant moi m’excite follement. Il ne faut pas qu’elle recommence. Elle est soulagée, elle qui s’attendait aux derniers outrages et qui se retrouve avoir reçu une leçon, une simple leçon.
Le lendemain mon copain Jean vient me voir. Nous parlons de Nadine. Je lui explique qu’elle est une allumeuse, qu’elle risque de recevoir une bite sans sa figue sans avertissement. Il me calme comme il peut.

Le calme dure jusqu’au soir où encore une fois elle se balade vers la cuisine cette fois nue, mis à part un léger string. Je juge sa plastique, la rondeur de ses seins, celle de ses fesses. Je sens que je ne peux retenir ma bite: je bande. Je bande tellement que seule une aveugle ne le remarquerait pas.
Elle le voit, regarde un moment et à ma surprise vient vers moi. J’attends une défense style gifle ou autre. Pas du tout, elle vient se frotter à moi. Je retiens mes bras pour ne pas l’enlacer.

Elle me donne un léger bisou sur la joue et prend ma bite dans sa main.
J’en suis étonné surtout quand je sens qu’elle ne fait que me presser en cadence. La garce, elle sait exciter et entretenir une bite et elle se refuse depuis tout ce temps. Sa caresse se précise quand elle sort ma bite du pantalon. Elle me branle: je ne suis pas son premier. Elle sait arrêter avant que je jouisse: bon point pour elle.
Je me lâche en lui prenant les lèvres. Elle ouvre sa bouche pour un baiser de légende. Nos langues se rencontrent vite. Elle a vite fait d’enlever ma chemise, me baisser le pantalon et le reste. Je suis nu en un rien de temps. Cette fois elle ne rechigne pas pour venir dans la chambre.

Je peux la coucher tranquillement: elle se soulève pour enlever son string. Je veux lécher son coquillage: il me semble qu’il me nargue. Je pose ma bouche sur lui, elle garde ses jambes écartées. Je peux aller puiser à sa source le miel qu’elle secrète. Ce gout sucré salé m’excite encore plus. Ma langue fouille son abricot fendu. Son gout et son odeur sont assortis. J’ai à peine le temps de passer ma langue sur son bouton qu’elle jouit déjà:
- Oui, encore, baises moi.
- Rien que te baiser ?
- Ce que tu veux, fais moi jouir encore, j’en ai asez de me……
- De te quoi ?
- Me branler en pensant à toi.

Voilà qui est dit. Je ne vais pas me gêner avec cette petite garce.
Je vais lui sucer le cul, simplement pour savoir comment elle réagit. Très bien, à mon sens, alors je vais sur elle. Elle connait la suite. Elle prend ma bite dans sa main pour la guider dans sa vulve. J’entre à peine pour sentir la chaleur de son ventre qu’elle commence à mettre ses jambes autour de mes reins. Nous sommes cloués par mon bâton. Je sens mon gland glisser sans cesse dans son humidité. Ma queue est grosse dans sa petite chatte.

Elle jouit plusieurs fois à la suite: vers sa fin je ne me retiens même plus, je jouis à mon tour, ma queue lâche toute sa provision de sperme. Nous nous désembobinons.
Je me met à ses cotés pour l’embrasser encore à pleine bouche.
Je peux à peine caresser une sein: elle a passé une main vers ma pine. Elle me caresse légèrement. Elle prend mon gland entre ses doigts en le serrant. Elle me fait bander encore, quand je suis bien durci, elle se met sur le ventre, se badigeonne l’anus de cyprine. Elle m’invite
- Encules moi, maintenant.
- Tu aimes de faire sodomise ?
- Je ne sais pas, tu est le premier;
Me voila avec une baiseuse extraordinaire qui est vierge de ce coté là. Si elle a mal tant pis pour elle, elle l’aura cherché.
Je lui demande de se détendre, de mettre son cul come si elle allait déféquer. Je vois son anus s’ouvir: c’est le moment.
Je met mon mandrin dur sur son cul. J’enfonce doucement mon saucisson : il entre assez facilement. Presque trop facilement. Mon gland est vite passé. Son sphincter s’est ouvert sans casse. Tant mieux. Je la sens respirer de plus en plus vite. Elle halète maintenant. Elle a la bonne idée de passer sa main sous elle pour caresser son clito.
Elle a des soubresauts qu’elle ne maitrise pas du tout:
- Oui, ! C’est bon, je jouis.
- Je vais jouir aussi.
- Oui jouis dans mon cul. Je vais mourir de jouissance.
Non elle n’est pas morte.
Ses cours se passent bien; je suis là pour y veiller. En cas de problème je la prive de baise. Elle se branle souvent en mon absence, elle le fait bien devant moi, comme je le fait devant elle: nous partageons le même lit depuis notre première fois.



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