La Vie D'Un 5*****

Nous nous sommes rencontrés par le plus grand des hasard. Ce dimanche, j’étais sur le trottoir en marchant quand brusquement je levais la tête pour voir une drôle de plante sur un balcon. Je m’arrêtais même quand une jeune femme me tombe dans les bras, au sens propre du terme: elle aussi regardait la même plante. Se la serrais pour qu’elle ne tombe pas. Nous nous sommes excusés. Elle avait eu peur, comme moi, à la différence que je le cachais. Elle restait contre moi, sans bouger. Je regardais son joli visage. Elle levait la tête pour me regarder. Je voyais simplement sa bouche. Je n’ai pu me retenir: j’ai posé la mienne sur la sienne. J’ai sorti ma langue pour aller visiter la sienne quand elle aussi me la donnait.
Notre baiser interminable a du s’arrêter quand nous devions respirer normalement. Il a repris aussitôt après. Nous ne pouvions rester là à gêner la circulation piétonne. J’ai pu l’emmener jusqu’à un banc pas loin. Elle reprend connaissance. J’ai peur qu’elle me quitte déjà après ce baiser: j’essaye de l’embrasser encore en espérant y arriver. J’ai la chance de reprendre sa bouche.
Nous ne pouvons quand même pas passer le journée à nous bécoter. Je commence à lui parler:
- Merci de vous être jetée dans mes bras et de m’embrasser.
- On peut se tutoyer quand on vient de s’embrasser comme nous le faisons, non ?
- Tu as raison. Où allons nous maintenant: nous promener, au cinéma, dans une boite ?
- Pourquoi pas nous balader ?
- Où ?
- Je ne sais pas au parc zoologique, il parait qu’il y a une serre amazonienne.
Nous y allons, même s’il faut plus d’une heure pour y arriver. Nous faisons le tour finalement assez vite.
La même question revient. Je vais peut être faire une connerie en l’invitant chez moi.
Je l’embrasse encore une fois, peut être la dernière:
- Si nous allions chez moi ?
- Pourquoi pas chez moi.
- Comme tu veux , allons chez toi.


Nous voilà partis chez elle. Nous n’avons pas décider de ce que nous ferions chez elle, certainement pas de la dentelle ou du tricot. Nous nous arrêtons souvent pour nous embrasser. Je me permet même de passer rapidement une main sur sa poitrine: elle ne se dérobe pas. Nous sommes vite chez elle. A peine rentrer elle pose sa main sur ma bite, me fait bander, sort mon outil et le branle à sa façon, aller et retour très rapide. Je lui demande pourquoi elle a été aussi vite en avalant mon sperme en plus. Elle me raconte son histoire: elle est femme de chambre dans le seul hôtel 5 ***** de la ville. Elle assiste et participe souvent à des histoires qui l’excite beaucoup. Tout ce passe avec des clients ou clientes. Aujourd’hui elle est plus calme et choisit celui qui lui plait. Elle veux me faire subir ce que certains lui donne pour jouir.
Elle commence relativement tôt dans la journée, vers 8 heures. La plus part des clients sont partis ou sur le point de le faire. Elle tient à me raconter ce qu’il lui arrive:
L’autre matin elle entre dans une chambre, après avoir frappé. Personne ne répond, au bout de 5 minutes elle rentre, comme elle en a l’ordre.
Elle voir affaler sur le lit un homme nu qui se branle. Il lui propose 100 € pour qu’elle le regarde jouir. Regarder quelque chose qui va durer 5 minutes pour 100 €, c’est un bon pourboire. Elle le regarde et le voir se donner du plaisir l’excite assez pour qu’elle commence à avoir envie de baiser le type. Elle se met nue et va prendre la bite pour la branler elle-même: elle aime bien le sperme: elle va en profiter. Ce qu’elle ne savait pas c’est que cet homme est un champion de baise: il a l’habitude de se branler tous les jours pour son métier: il est « acteur porno ». Il a une longue résistance à l’orgasme. Elle continue sa masturbation quand il arrive à la faire tomber sur le lit. Elle se doute bien de la suite en partie au moins. Une fois couchée, il lui écarte les jambes pour lui mettre sa langue là où elle le voudra.
Elle n’est pas très gourmande, le clitoris lui suffit. La bouche de cet acteur vient sur elle, la langue commence son travail de sape. Il sait comment et quand les femmes jouissent. Il fait trainer son orgasme plus d’une heure. Quand elle jouit il lui semble descendre du ciel. Ce n’est pas encore fini, il ajoute encore une friandise: il pose sa langue sur son anus et pour la première fois de sa vie elle a une langue dans son cul. Bien sur elle jouit et tombe presque inanimée de plaisir. Elle s’aperçoit qu’il bande toujours. Elle reprend une bonne masturbation en changeant de méthode: elle prend la queue à deux mains en serrant comme si elle avait un con. Elle mouille ses mains et elle arrive à surprendre ce type en le faisant jouir. Elle recueille une bonne quantité de sperme qu’elle avale avant de se rhabiller en vitesse pour aller finir son travail qu’elle bâcle un peu.
Elle ne regrette pas cette matinée, elle a bien jouit.

La veille, un peu plus tard, dans la dernière chambre, vers 14 heures, elle entre pour trouver deux femmes nues qui en 69 s’aimaient.

Elle en a tant vue que rien ne l’étonne en matière de sexualité, elle-même a déjà baisée avec une cliente en ayant sa dose de plaisir.

(Je crois que je suis tombé sur le bon numéro.)
Elle continue: J’allais partir pour les laisser à leurs plaisirs quand celle qui paraissait être la dominante lui dit qu’elle peut venir partager son corps avec les leurs. Après les avoir bien jaugées elle se demande si elle ne ferait pas bien de venir elle aussi se faire masturber et sucer par ces deux filles. Elles lui semblent fort désirables. En tant que femme elle a peu d’expérience homo. Elle en a suffisamment pour tenir sa place comme troisième, alors pourquoi ne pas participer elle aussi, surtout qu’elle a fini sa journée de travail.
Elle vient seule vers les deux femmes qui se lèvent: elle voit deux femmes nues, bien sur, aussi sexy l’une que l’autre. Au fond d’elle-même elle pense, avec l’expérience qu’elle a que n’importe quel homme n’hésiterai pas à se les farcir.
Elle aime beaucoup les hommes pour le bien être qu’ils lui donne en la baisant ou l’enculant; Pour les femmes, au début elle raisonne comme un homme. Quand les deux femmes sont presque sur elle, elle réalise qu’elles vont la faire participer à leur sabbat. Sabbat qu’elle aimera de suite.
Elles l’embrassent l’une après l’autre sur la bouche: elle trouve sur chaque langue le gout légèrement différent de cyprine. Ce petit gout lui donne envie de lécher elle aussi les deux sexes. Elle sent sa chatte mouiller. Elle a envie de deux chattes à la fois. Alors, elle ne demande rien à personne: les deux sexes sont juste à sa portée: elle pose ses mains sur les deux moules et trouve rapidement les clitoris. Les autres femmes se laissent faire: une nouvelle qui vient leur donner ce qu’elles aiment. Elle branle les deux à la fois. Les deux autres femmes viennent lui rendre un peu de son plaisir: une caresse son clitoris pendant que l’autre ne s’occupe que de sa poitrine. C’est une spécialiste: elle entoure le bas des deux seins puis, tranquillement excite les tétons. Celle qui la branle l’embrasse sans arrêt: leurs langues se mélangent et plus elles se caressent plus les deux femmes sont excitées.
La femme de chambre ne peux se retenir plus longtemps, elle me dit avoir jouit pour cette première fois, debout, contrairement à ce qu’elle aime, plus de trois fois.
Les deux amantes la font se coucher: Celle qui est la dominante se couche sur le dos, écarte les jambes enjoint à la femme de chambre de venir en 69 pour partager avec elle se plaisir sexuel. Le 69 commence comme tous les 69: elles se retrouvent avec le sexe de la partenaire sur la bouche. Elles commencent à se lécher d’abord le bouton puis descendent un peu: elles rentrent les langue dans le vagin de l’autre. La seconde fille vient se coucher sur celle du dessus, elle se met dans la même position que celle du dessous pour que sa langue puisse lécher la raie des fesses pour arriver sur l’anus. Elle le lèche avec douceur juste pour faire jouir une fois de plus.
Quand elle sens l’orgasme arriver, elle entre la moitié de sa langue dans le cul. Sa compagne peut avancer une main pour à son tour lui mettre deux doigts dans le cul. Le trio se démène tant que les jouissances sont continues.
Elle passe tout le reste de la journée avec les deux filles qui s’acharnent sur elle pour la faire jouir.
En entrant chez elle, fatiguée elle se couche directement, et pourtant en se réveillant pour satisfaire un petit besoin, quand elle est sur la cuvette, elle pisse et ayant fini, elle se caresse encore une fois, malgré l’urine qui coule encore: elle a en tête ces orgasmes avec deux femmes.

Un autre jour elle tombe sur une chambre où trois hommes s’envoient en l’air: Le premier, vers la porte est nu, il bande et se branle. L’entrée de la femme de ménage de le dérange pas, s’autant plus que les deux autres sont dans une position qui ne laisse aucun doute: Le premier est en levrette, le deuxième est derrière lui: il l’encule. Il l’encule tellement fort que les vas et vient nécessaires suffisent pour que l’enculé n’ai pas à bouger sa main quand il se branle. C’est la première fois qu’elle voit deux homos en action. Elle est quand même étonnée de vois la grosseur de la bite qui entre dans le cul. Elle irait bien pour elle.. Si elle reste, c’est presque plus par curiosité que pour autre chose. Quoique la vue d’un bite dans un cul masculin l’excite comme quand un homme voit deux femmes se sucer.
Elle se sens mouiller, elle a presque envie de demander à celui qui se branle de la prendre, elle, la femme dans le trio.
Son arrivée change la donne: un est bisexuel, il se charge d’elle: c’est celui qu’elle a vu le premier. Sa queue plait bien. Alors pourquoi ne pas baiser avec lui. Elle va le décharger de ce qu’il fait: elle prend elle cette bite pour finir de la masturber. L’homme reste couché sur le dos, les autres la regarde manipuler la bite.
Elle donne envie à notre amie de l’avoir d’abord dans la bouche et ensuite dans la chatte. Elle le suce comme elle aime faire, elle lèche s’abord le gland, à peine, pour ensuite le prendre en entier dans la bouche. Elle en tient la base avec une main qui fait les mouvements de masturbation. La plus grande partie de la pine est dans sa bouche. Elle n’attend qu’une chose que le jus masculin vienne dans sa bouche pour l’avaler lentement. Il l’arrête pour qu’elle vienne sur lui pour baiser. Elle est un peu déçue de ne pas pouvoir profiter du sperme. Elle enjambe le corps masculin, seule se place le con sur la bite et s’enfonce doucement. Quand elle sens la bite au fond d’elle elle remonte lentement. Elle fait face à son baiseur qui lui fait signe de venir entièrement sur lui. Ils s’embrassent: elle reconnait le gout su sperme dans sa bouche: il a sucé un de ses copains. Au moins elle aura eu dans la bouche un peu de ce qu’elle cherchait. Elle sens qu’un autre vient sur elle. Elle sait déjà ce à quoi elle va avoir droit; une bite au cul. Pour elle c’est la fête, elle aime se faire mettre par deux queues. Elle se trompe: il ne va pas dans son cul, il va dans son con. Cette première est douloureuse au début. Par contre quand le vagin s’est ouvert comme il faut, elle sens bien ces deux bites qui dans le même trou la baisent. Elle a le temps de profiter de cette étrange pénétration pour la déguster à sa juste valeur. Les deux pines s’acharnent dans son sexe, elle en jouit encore plus fort. Elles arrivent à lâcher leur sperme pratiquement ensemble. Elle est comblée à tel point qu’elle va sucer celui qui se faisait mettre dans le cul l’instant avant. Elle lui caresse les couilles, passe deux doigts dans son cul déjà ouvert et lentement elle arrive à le faire jouir. Enfin elle reçoit une bonne dose de semence.

Quand elle fini de me narrer ses aventures sexuelle dans son hôtel, elle m’a fait bander: je ne pensais jamais à ce qui pouvait se produire dans de genre d’établissement.
Elle aussi est excitée. Elle me dit qu’elle a envie de baiser avec moi qui semble normal. Elle a sorti ma queue depuis le début de ses récits, la suce juste un instant pour me la prendre à pleine main. Ca se voit qu’elle est habituée à manier des bites. Elle sait s’arrêter avant l’orgasme. Elle est nue rapidement, elle me déshabille comme un . Couchée, elle ouvre ses jambes. Je peux voir tout son con. J’ai envie de la baiser. Elle ne le veut pas immédiatement:
- Suces moi, s’il te plait.
- Où ?
- N’importe où si tu me donne du plaisir, j’y suis accro.
- Tu te branlerai si tu était seule ?
- Bien sur, j’aime me taper une branlette.
- Montres moi.
- Là, maintenant ?
- Ne dis pas que tu aurai honte.
- Non, je n’aurai pas honte, puisque ça te fais plaisir je vais me branler maintenant.
Elle fait ce qu’elle dit: elle passe une main dans sur sa chatte, semble choisir l’endroit avant de caresser son bouton avec trois doigts réunis. Je la regarde attentivement pendant qu’elle se branle. Je bande de plus en plus: je n’y tiens plus; moi aussi, devant elle je commence à ma branler. J’arrive à ne pas jouir, par je ne sais quel prodige. Elle gémit en jouissant. J’en profite pour venir sur elle et lui mettre ma pine à l’endroit que je préfère, dans son cul. Elle arrive péniblement à se mettre sur le ventre sans que je sorte de son cul. Maintenant elle peut profiter de la sodomie pour se masturber encore. Elle est devenue une vrai machine à jouir.
Nous nous voyons pour ses jours de congés. Elle me raconte ces aventures où elle arrive toujours à se faire mettre ou lécher: elle commence à apprécier les femmes. Elle me fait toujours bander surtout quand elle me raconte ses baises lesbiennes

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