Semaine Du 1er Mai Lundi Acte 2 Tournante De Chantier

Lorsqu’il ouvrit la porte, Pascal m’attendais « Helen comment as-tu trouvée cette matinée »
Moi « tu exagères vraiment, me montrer au plus profond de moi comme tu l’as fait »
Pascal « je leur ai montré que tu étais une femme du monde et que tu aimais les bonnes choses »
Moi « oui, bien sur, on rentre »
Pascal « oui »
je voyais que l’on s’éloignait de la maison
Moi « mais où va-t-on, on ne rentre pas à la maison »
Pascal « pourquoi veux tu rentrer, la journée n’est pas terminée pour toi »
Moi « Arrête tout de suite Pascal, je veux rentrer immédiatement »
Pascal « tu vas voir ça va te plaire »
Moi « arrête, arrête de suite, et rentrons »
Il ne répondait pas. Nous avons roulé et nous avons emprunté une petite route, jusqu’à un fourgon.
En arrivant devant Pascal me dit « c’est ta surprise » je regardais, il y avait deux hommes à l’intérieur
La porte latérale du petit camion s’ouvrit. Un homme était au volant et 2 autres grands et costauds à l’arrière. Ce n’était plus l’encadrement en costume cravate. Pascal ouvrit ma porte et me dit « bon après midi » en me poussant dehors. A peine descendue il partit me plantant là. Ils me firent monter et assoir entre eux deux. Nous avons fait des présentations rapides. Celui qui conduisait me regardait dans le rétroviseur en me souriant. Nous roulions à peine que je me faisais ploter dans tous les sens, ma fermeture éclair de rode était descendue, mon soutien gorge retiré. Ils me bouffaient les seins comme des bêtes. Ce n’était pas très doux. Je fus mise à genoux sur un coussin de la banquette. Ils me besognaient la bouche à tour de rôle. Ils étaient très costauds, avec de grosses mains et des bites pas males. L’un d’eux est passé derrière moi m’a soulevé ma robe, mis un doigt de chaque coté en disant « c’est bien ouvert et lubrifié » Après s’être encapoté, il m’a prise d’un coup, un sexe assez épais sans être trop long, il ne tapait pas au fond de moi, j’ai poussé un crie et il m’a besogné tellement fort que j’avais des difficultés à sucer son collègue.

Ils ont interverti leur position. J’ai joui plusieurs fois en criant comme une chienne. Nous avons roulé puis empreinte un chemin caillouteux, nous nous faisions balancer. Nous nous sommes arrêtes, je pouvais distinguer des discussions à l’extérieur, la porte latérale s’est ouverte immédiatement. J’étais embrochée de chaque coté, le haut de ma robe trainait au sol et le bas était remonté sur mes fesses. Ils m’ont sorti en m’encadrant, les commentaires graveleux fusaient. Je fus emmené en direction d’un algeco, nous étions en pleine campagne. Celui qui me tenait par le bras à ma droite : « ici, ma poulette tu peux gueuler tout ce que tu peux, personne ne t’entendra »
Dès l’entrée, je pu m’apercevoir que l’endroit était à la limite de l’insalubrité, ça ne sentait pas très bon, je fus mise à plat ventre sur une petite table carré ma robe qui était légèrement descendue à été remontée brusquement, à la limite de la déchirer. Je me débâtais en leur disant « attendez un peu », mais j’étais immobilisée rapidement. L’homme qui se plaçait derrière moi pour me prendre cracha sur mon cul et étala la salive en m’introduisant un doigt puis 2 de chaque coté avec « hum que c’est chaud dedans on va y être bien. Elle est déjà bien ouverte, regardez ces trous ». Il m’écartait les fesses et les autres regardaient. Il recracha sur mon cul en disant « elle est tellement ouverte cette salope que son cul absorbe ». Je fus prise et besognée. Ils y allaient en moi comme des brutes, j’avais les hanches qui heurtaient le bord de la table et mes pieds décollaient du sol à chaque introduction. J’avais la tête dans le vide et je suçais les autres. Ils tournaient autour de moi. Ils étaient une douzaine. Je sentis une quantité de liquide assez froid s’étaler sur mes fesses et glisser dans mon cul et des doigts l’accompagné, il coulait aussi sur ma chatte. Je fus ouverte pendant que je me faisais baiser. Ça glissait très bien. Un tapis en mousse pas très propre fut mis au sol, celui qui était derrière moi a présenté son sexe à l’entrée de mon cul et est entré en disant « les mecs qu’est ce que c’est bon par là aussi » Je fus sodomisée à la chaine par 5 ou 6 hommes de suite.
J’en vis s’allonger sur le tapis de mousse et dire « amène là on va lui faire une totale » J’ai été relevé, j’avais des difficultés à tenir sur mes jambes et assise sur sa bite. Mes jambes ont été très vite relevées et ils me défilèrent dans la chatte et la bouche sans ménagement. Ils me prenaient par les cheveux et m’enfonçaient leur bite encapoter au fond de la gorge. J’ai joui au bout d’une bonne dizaine de minutes, sous des commentaires « elle jouit la petite pute, ça lui fait du bien, une fois qu’on lui sera tous passés dessus elle aura le cul en feux…. » Ils me rentraient dans le vagin sans se soucier de rien, ils poussaient, il fallait que ça rentre. Une fois qu’ils avaient tous tourné autour de moi plusieurs. Un homme qui avait un sexe de très bonne taille s’est allongé sur des palette qui étaient au fond de l’algéco, ils m’ont porté et empalé dessus vaginalement et ensuite un des deux du fourgon a dit « regardez, je vais lui en mettre une deuxième dans la chatte » il est entré en moi d’un coup sec et me tirant par les cheveux et en disant « tu vas jouir salope ça te fait du bien une deuxième » lorsqu’il m’a lâchée les cheveux les autres se sont précipités pour me la mettre dans la bouche. Je reçu une succession de doubles vaginales. J’étais étonnée qu’ils laissent mon cul tranquille. Ils s’en sont occupés après et à ce moment ils étaient plus que déchainés, j’avais l’impression qu’ils ne sodomisaient pas souvent de femme. Ils poussaient souvent des cris « ouha qu’est ce que c’est bon » lorsqu’ils rentraient moi. Je subissais les pénétrations qui se succédaient agrémentées de plusieurs orgasmes qui décuplaient leur énergie. Ils ne prenaient aucunes précautions, ils sortaient de mon cul pour me la remettre dans la bouche. Je commençais à sentir la fatigue et des douleurs surtout au niveau de mon cul. Ils m’ont ensuite assise sur une chaine et m’ont éjaculé dessus. J’avais du sperme sur le visage les cheveux et le corps. Ils sortaient ensuite un peu d’air frais faisait du bien.
L’un d’eux m’a tendu un rouleau d’essuie main d’atelier pour que je m’essuie, en me disant « essuie toi et rhabille toi on va te ramener ». Lorsque je suis sortis ils avaient quasiment tous disparus . Ceux qui m’avaient amenés sont montés dans le fourgon, je les ai suivis et nous sommes retournés sur la petite route où Pascal m’avait laissée. Je sentais la transpiration, le sperme le cul.
Pendant le trajet l’un des deux me dit « j’espère que ça t’a fait du bien et que tu reviendras, tu es aussi bonne que ta copine » Je ne lui répondais pas, Pascal m’attendait. Je descendis du fourgon pour monter dans sa voiture.
Pascal « comment vas-tu après cette petite expérience, qui ta fait je suis sur le plus grand bien »
moi « je comprends mieux pourquoi tu étais si gentil et attentionné avec moi ce matin, tu me prends vraiment pour ta pute, que tu fais baiser par qui tu veux »
Pascal « une expérience pute de cadres et de chantier, une première » .
Moi « tu n’étais pas obligé de leurs montrés mes performances intimes, ni mon cul vue de l’intérieur »
Pascal » Après les autres il fallait que je leurs montre l’étendu de tes talents. Ils ont vu l’intérieur de tous vos culs ».
En arrivant à la maison, il y avait juste Pierre et Thierry.
Je demandais « où sont les autres »
Pascal « à la plage. Nathalie avait une folle envie de revoir ses 10 mecs super membrés, Daphné et Sylvie elle un peu de bronzette plus du reste »
Pierre « nous sommes allés avec Thierry au bateau. Il est prêt pour une petite balade »
Pascal « très bien. On va en programmer une pour la fin de semaine » . Je suis montée dans ma chambre me prendre une bonne douche et dormir un peu car il était quand même 17h30. Lorsque l’équipée est rentrée de la plage, le bruit m’a réveillé. Après un bon repos pour tout le monde, nous avons diner autour de la table du salon tous ensemble. Tout le monde était un peu fatigué, même Nathalie avec ce qu’elle nous a raconté il y avait de quoi, nous nous sommes couchés et avons dormi pas très tardivement.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!