La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 451)

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°444 -

Chapitre 11 : compelled MDE avec les femelles-soumises Phryné MDE et Holly MDE – 1ère partie -

- Détachez ce chien, donnez lui un bon bain, nourrissez-le correctement puis, menez le en laisse dans Mon Chenil pour qu’il puisse prendre un peu de repos et dormir. Laissez le tranquille, il a suffisamment donné ces dernières quarante-huit heures. J’aurai besoin de ses services dès demain !

Telles étaient les décisions de Monsieur le Marquis d’Evans à l’attention des deux gardes présents. compelled MDE eut bien du mal à tenir debout, tant il était éreinté par cette longue séquestration, par les divers traitements subis. Ses jambes ne le portaient plus, pourtant, il se sentait rayonner de bonheur ! Il avait en lui cette petite flamme qui l’animait, qui lui donnait force et courage pour accepter, pour apprécier sa résignation, pour l’encourager à fournir les efforts nécessaires, à se surpasser même au-delà de ses forces, pour satisfaire encore et toujours le Maître… Un bon bain chaud lui fit grand bien. Le gardien black qui le savonnait, lui glissa bien à plusieurs reprises profondément un doigt dans le cul, avec une intention non dissimulée, mais celui-ci se fit reprendre par son acolyte :

- N’as-tu point entendu les propos du Maître, nous devons laisser ce chien tranquille ce soir !
- Il faut bien que je lui lave son trou !
- Une drôle de façon que tu as de le laver.

compelled MDE n’était pas dupe lui non plus, il voyait bien que son geôlier était très excité, son short, au niveau de la braguette, était grandement déformé… Résigné, le gardien ajouta, sans autre commentaire :

- Je lui aurai bien donné quelques grands coups de butoir à cette salope, regarde elle n’attend que ça, avec son trou du cul si dilaté et largement ouvert !

Effectivement, le geôlier avait vu juste, compelled MDE avait très envie de se faire prendre, de se faire enculer, de satisfaire toute queue gonflée de désir et ce, malgré sa fatigue, son exténuement, son épuisement.

Il se l’avouait, il devenait bel et bien une vraie chienne soumise. Mais les ordres du Maître primaient sur les envies de chacun, Lui seul décidait et tous se pliaient à Ses Décisions… Après un copieux repas pris à 4 pattes dans la gamelle, le cul bien cambré, compelled MDE fut mis dans un petit lit étroit, on le laissa nu sous une couverture rêche avec son collier autour du cou et sa cage de chasteté autour de sa queue. Il perdit l’esprit rapidement et s’endormit profondément tant la fatigue l’avait saisi dans tout son être... Il fut réveillé manu militari et emmené de la même manière au Château par un garde costaud au visage taillé à coups de hache sans grâce et au corps terriblement musclé. A peine si les pieds de l’esclave touchaient terre… il était tenu fermement par son collier et devait relever le menton… Quelle heure pouvait-il être ? compelled MDE avait perdu toute notion du temps depuis son arrivée ici. Seul le jour qui se levait à peine lui donnait une idée de l’horaire exact. La fraicheur matinale le saisissait, les frissons l’envahissaient et il se sentait si heureux de son état malgré l’inconfort du Chenil. Sans dire un seul mot, le gardien vint le chercher, tira sur la laisse, traversa la cour et le fit entrer par la grande et massive double porte principale du Château, puis l’entraîna au premier étage. Devant une lourde porte à deux battants, en chêne massif et au verni sombre elle aussi, sur laquelle était sculpté dans la masse du bois, d’un côté un phallus érigé et de l’autre une vulve aux lèvres finement façonnées, ce qui donnait à cette porte une certaine originalité. On aurait pu croire que la rainure verticale entre les deux battants de la porte faisait un minime rempart à une pénétration non sculptée. Le gardien s’arrêta et frappa :

- Entre !

compelled MDE reconnut immédiatement la voix du Maître. La lourde porte grinça et en s’ouvrant, l’ouverture éloigna le phallus de la vulve sculptée. Le gardien suivi du chien entrèrent dans une antichambre richement meublée.
Le Maître n’était pas là ! Et pourtant on avait bien entendu sa voix ordonnant d’entrer !

- En attente à genoux, salope ! ordonna le geôlier sur un ton sévère

compelled MDE exécuta prestement. Un bandeau lui fut mis sur les yeux, puis plus rien ne se passa pendant de longues minutes. Il sursauta, lorsqu’une main glissa sur son épaule ! Il n’avait pas entendu venir le Maître, à pas lents et feutrées, près de lui, tant la moquette était épaisse.

- As-tu bien dormi, Mon chien !
- Oui Maître. Répondit compelled MDE en baissant un peu plus la tête en guise de parfaite soumission.
- Bien, alors si tu t’es bien reposé, tu vas pouvoir œuvrer.
- Oui Maître, à votre disposition, Maître.
- Dans ma chambre, deux de mes plus fidèles chiennes soumises sont là. Elles t’attendent toute deux nues et en levrette. Il y a là, la chienne Phryné MDE et la chienne Holly MDE. Je veux te les présenter, Je veux que vous fassiez plus ample connaissance, Je veux vous voir tous les trois fraterniser. Je veux que vous trois ne fassiez plus qu’un. Je veux que ces deux chiennes t’accompagnent dans ton cheminement D/s dans ce château. Je veux que vous trois soyez une force dynamique ! (long silence durant lequel le Maître jaugeait l’esclave…)… pour renforcer mon aura et tout à Ma Gloire. Je veux que vous me Vénérez ensemble… Et tu le sais chien, lorsque Je veux… tu dois…

- Oui Maître !

compelled MDE sentit une lourde responsabilité l’envahir et peser sur ses épaules, mais aussi une grande marque de confiance évidente de la part de Monsieur le Marquis d’Evans. Le Maître, lui, avait très vite perçu les facultés d’adaptation de Son chien, ses réels désirs de soumission, ses réelles capacités à n’être rien d’autre de ce qu’il en ferait : un sujet exemplaire, un modèle façonné à sa main, un simple objet comme l’étaient Ses deux soumises Phryné MDE et Holly MDE.

- Redresse toi Mon chien, que j’ôte ta cage de chasteté !

compelled MDE debout, tête basse, cuisses largement écartées, se laissa faire.
Sitôt sortie de son écrin, la queue du chien soumis se redressa fièrement, le Maître lui empoigna d’une main les couilles, de l’autre le branla doucement.

- Tu es excité Ma salope !

Il l’était, c’était une évidence, pourtant quelque chose tracassait compelled MDE. Lui, attiré uniquement par les hommes, ayant un passé exclusivement homosexuel, de surcroit passif, parviendrait-il, si le Maître l’exigeait, à honorer les deux femelles, arriverait-il simplement à afficher sa virilité ? … Mais compelled MDE n’eut pas la faculté de réfléchir plus longuement, tant mieux d’ailleurs, Le Maître lui ordonna de prendre la position du quadrupède et il fut entrainé à l’aveugle, à quatre pattes, tiré par une simple laisse dans la chambre du Marquis d’Evans. Il se cogna un peu contre un meuble, malgré les moult précautions prises, puis s’installa selon les ordres dictés en levrette, au milieu des deux femelles installées dans la même posture.

- Que vous êtes belles et beau, mes chiennes, ainsi offerts, ainsi prosternés à Mes pieds.

Le Maître affichait une grande sincérité et fierté dans ses propos, ça se sentait, ça se respirait. Les trois soumis en retour exprimaient, sans mot dire, leur fierté aussi d’appartenir en présentant ostensiblement par leurs reins cambrés, leurs orifices exposés, leurs sexes dépilés… Bien belle image ! Le Maître rappela le pourquoi de cette rencontre, il insista largement sur son désir de voir Ses trois soumis entretenir une relation confraternelle en son Château, puis attrapa le chien mâle par son collier, le déplaça quelque peu pour lui coller la bouche contre l’anus de Sa soumise Holly MDE qui en levrette exposait une magnifique croupe arrondie.

- Lèche-lui bien le cul chien, je veux l’entendre gémir cette salope !

Sans la moindre hésitation, compelled MDE obtempéra, sa langue lapa avec douceur plusieurs fois l’orifice intime de soumise Holly MDE. Il constata un certain moelleux et souplesse des tissus, si bien qu’il ne lui fut pas difficile de glisser et d’introduire cette langue dans ce fourreau humide, tiède et distendu.
compelled MDE supposa que cette chienne avait du subir une dilatation anale peut avant, tant il lui était aisé de s’introduire en elle. Elle gémissait, trémoussait son postérieur, invitait cette langue à s’introduire plus encore.

- Je t’interdis de jouir ma petite chienne, dictait le Maître à sa soumise Holly MDE.

Il disait ces mots tout en tripotant la queue du chien maintenant à quatre pattes, le visage enfouit entre les fesses de la belle, la langue léchant les parois d’un anus bien dilaté. Il ne lui en fallait pas plus pour bander sauvagement.

- Continuez encore Mes chiens, vous me plaisez ainsi à vous voir vous baiser sur ordre !

Soumise Phryné MDE elle aussi gémissait, le Maître s’était approché d’elle et lui avait glissée deux doigts dans sa chatte et les faisait aller et venir à toute vitesse… Puis chacun des trois esclaves reçurent une volée de coups sur leurs postérieurs, avec un simple paddle, terriblement efficace ! Les culs rosirent dans un premier temps, puis devinrent plus rouge au fil des coups reçus. Le Maître exprimait son véritable plaisir visuel à admirer des croupes rougies.

- Toi le chien, retire ta langue maintenant de ce trou bien lubrifié et encule là !

Soumise Holly MDE ne bougea pas de position, compelled MDE se redressa, se fit mettre un préservatif sur sa queue par le Maitre lui-même, puis l’esclave mâle planta son dard délicatement dans ce fondement offert.

- Avec ce préservatif, il me sera facile de vérifier si tu as joui Mon chien, tu as intérêt à te contrôler, il t’en cuirait autrement. Aucune jouissance, j’ai dit…

Les propos du Maître étaient sans appel, compelled MDE savait à quoi s’en tenir. Il fallait qu’il donne des grands coups de queue, retienne toute éjaculation, tout en se faisant lécher les couilles par Phryné MDE, car celle-ci venait de recevoir cet ordre du Maître...

- Vous n’êtes que trois chiennes lubriques, n’aimant que la luxure !

Se plaisait à dire le Maître en posant son regard sur le spectacle que lui donnaient Ses trois esclaves. Il y prenait un réel plaisir, alors il décida de se dévêtir ! Maintenant nu, il se masturbait tranquillement en dictant et ordonnant toujours à l’un et à l’autre :

- Allez compelled MDE, pénètre la bien à fond, je veux entendre claquer tes couilles contre son cul, et tiens, profite aussi un peu de ma queue, ouvre la bouche, suce moi, tu sais bien faire deux choses en même temps, Non ?

compelled MDE, ne pouvant plus répondre, se contenta de hocher de la tête pour acquiescer.

- Et toi ma belle Phryné MDE lèche le cul de ce chien, toi Holly gémit plus fort, je veux t’entendre mais ne jouit pas…

Tel un chef d’orchestre, le Maître dirigeait ce trio, coordonnait les mouvements de chacun, imposait une pulsion commune pour rendre cohérent l’ensemble. Il claquait les culs pour orienter son interprétation, il n’y avait plus de place à l’individualité, tout devenait collectif et confraternel… Les esclaves MDE se contentaient d’appliquer les Volontés du Maître, sans se préoccuper le moins du monde de la moralité, sans ressentir la moindre pudeur, sans faire cas des bonnes mœurs ! Ils n’étaient là que pour obéir et subir !, bref ils se sentaient à leur place dans la plus parfaite des obéissances.

compelled MDE le compris, c’était une aide précieuse que lui accordait le Maître Vénéré, il pouvait bander, défoncer le cul d’une femelle, sans s’inquiéter de sa virilité ou de ses états d’âme qui lui préféraient son homosexualité...

(A suivre…)

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