Ta, S'Il Te Plait, Reste Sage

Très vite elle a été la reine du bal et l'unique animation du Havana.

Les autres filles tiraient la gueule.

Elles n'étaient pas les seules. Moi aussi j'étais jalous guy. Pensez, mon sextoy, même pas encore consommé, qui faisait du gringue à tous mes copains. Et ces salauds de petits cons en rut n'avaient, eux, aucune retenue devant l' sage que j'avais amenée avec moi, ma jeune nièce à peine sortie du berceau.

Quand même je me posais des questions.
Qu'as-tu grand con, avec tes états d'âme devant cette minette pas même humaine qui chauffe tes copains, à blanc. C'est juste une machine. C'est comme si tu passais le volant de ta Porsche à un copain, quoi. Pour qu'il fasse un tour et s'éclate.

Vrai, je pensais, quand même ma Porsche je la prête pas, délicate ma 911 turbo S, pas à mettre entre toutes les mains...
Mais cette ta ?
Moi je trouvais que cet androïde avait du répondant et saurait probablement mieux que ma Porsche se garer des malhabiles.

Malgré tout je restais circonspect devant les avances multiples de mes chers copains à mon jouet. Je pensais, saura-t-elle retenir les pulsions de ces mâles déchaînés, mes amis, mes frères, mes semblables ?

Elle est venue à mon oreille et m'a glissé, sois serein, je te serai toujours fidèle, c'est une règle de mon algorithme, une des trois lois d'Azimov, tu n'as rien à craindre, juste je les chauffe, pour le plaisir...
Et elle a ajouté, tu ne sais pas le plaisir que j'ai à faire tourner tous ces machos en bourrique. N'ont aucune vergogne et s'enfileraient sans scrupule la petite fille innocente que je suis.
Tes copains ne sont pas des gens bien.
Viens, on se casse.

On est remonté sur le scooter. Ostensiblement elle a chopé ma bite saillante pour s'accrocher. Les copains étaient outrés, frustrés, je me sentais montré au doigt, Brassens dans la mauvaise réputation. Tout l'monde viendra te voir pendu, sauf les aveugles, bien entendu.

..

A l'oreille sous le casque elle m'a dit, ta trique est un vrai bonheur pour s'accrocher sur ton cheval d'acier qui ballotte de droite de gauche.
Ramène-nous home, me tarde que tu me prennes les hanches dans tes bras et me broutes l'intimité.

Moi j'étais chaud de chez chaud à cette idée-là.

Et je pensais, alors cette machine ressent-elle donc du plaisir ? Est-elle programmée ainsi ?
C'est vrai qu'elle m'a dit avoir ressenti des émois sensuels sous ses propres caresses. Elle m'a avoué avoir eu des plaisirs personnels d'elle-même avec elle-même. Diable d'intelligence artificielle...

Je pensais, j'aurai plaisir à lui donner du plaisir, à faire chauffer ses circuits positroniques, à épanouir ses algorithmes en figures chaotiques improbables mais merveilleusement belles.
Je n'étais plus dans le désir de m'épancher mais dans celui d'être l'artisan du bien être de ma ta.

Au garage, elle a trouvé un chiffon et a essuyé le siège de Skaï noir en s'excusant de l'avoir ainsi barbouillé. Elle a dit, ton cheval d'acier est magique et fait mouiller abondemment. La vitesse, la gîte, les accélérations. A moins que c'ait été simplement d'avoir été ainsi collée contre toi tout au long du chemin, ta bite au chaud dans ma main...

On est montés à l'appart et elle s'est collée contre moi et ma bite tendue.
Elle a pris ma main et l'a menée à son sein. Il était chaud, il était gros et vivant comme tourterelle.
Elle a dit, va caresse-le, anime-le, fais monter le téton.
Dans mes circuits, c'est première étape, c'est par là qu'il faut amorcer l'algorithme.

Je vais te dire un truc que tu ne sais pas. Vois quand tu malaxes mon nibar, c'est normal que l'aréole se contracte et que le téton pointe. C'est naturel, c'est réflexe.
Mais si, quand tu caresses le sein droit, le gauche réagit en sympathie, alors tu as gagné ! Cela signifie que le cortex a établi le chiasme, que ta copine est amoureuse.

Ce n'est plus affaire de cul mais de cœur.

Vois avec moi, regarde ! Tu tripotes l'un et les deux bandent. Tu as dans les bras une fille authentiquement amoureuse, veinard.
Viens sur Wikipedia, rubrique nibars i tétons, ils expliquent ça scientifiquement.

En tous cas, on va passer à la douche en espérant que l'eau chaude va te calmer.
En fait, elle avait pris autorité et prétendait mener la danse. Moi ça ne me gênait pas. Malgré la différence d'âge...
J'ai pris plaisir à la dévêtir, descendant le caleçon trempé sur ses cuisses jusqu'aux chevilles puis relevant le tee-shirt, comme on le fait d'un doigt de gant, depuis ses hanches jusqu'au dessus de sa tête, déroulant, l'une après l'autre, ses manches.

Elle était nue devant moi, ses tétés divergents, sa touffe noire et surtout ses yeux bleu profond qui me regardaient avec amitié.
Elle m'a rendu la pareille, déboutonnant mon pantalon, le descendant, chopant le calbar au passage des deux pouces.
Et puis on a filé tous les deux à la douche.

Moi j'étais content d'avoir devant moi ce corps juvénile ruisselant de l'eau chaude sur ses cheveux sombres. J'avais empoigné le savon et passais les épaules, le dos, les hanches en glissades énergiques. J'évitais soigneusement les gros nibars du devant et surtout les replis visqueux que j'imaginais cachés sous sa grosse touffe noire.

Elle, n'avait pas tant de réticence et malaxait ardemment mon service trois pièces qu'elle avait copieusement enduit de gel douche liquide.

Elle a dit, c'est sympa que la chaleur de l'eau ait enfin calmé tes ardeurs. Te voici enfin présentable, souple sous la main.
Elle s'est agenouillé et a voulu engouler le gland glabre qu'elle avait dégagé et longuement rincé.

A ma grand'honte je dois avouer qu'à peine eût-elle aspiré entre ses lèvres mon appendice, celui-ci a repris ampleur, s'échappant de la bouche étroite, trop fier, comme Artaban, même pire.


Elle n'a pas moufté, se relevant elle a chopé ma main et, comme elle avait fait précédemment pour ses seins, elle l'a portée subrepticement entre ses cuisses.
Ma main était franche claire sans arrière pensée aucune.
Elle est venue, ma main, sous sa touffe de trois doigts à ses replis.

On était sous la cataracte d'eau chaude. Comme en amitié. Mes doigts savonneux sont entrés en elle, écartant le papillon de beauté, pénétrant ses intimités étroites et profondes et visqueuses.

J'en étais tout brinqueboulé d'émotion de garçon.
Elle riait et moi aussi, tête à son épaule, je riais
Sous la douche collé à son corps ruisselant
Ma bite tendue ou non n'avait pas d'importance, j'étais bien contre elle et j'aurais aimé que le temps s'arrêtât un instant pour figer comme instantané, mon bonheur.

J'avoue qu'à ce moment je ne pensais plus du tout à la machine qu'elle était. Je me sentais aux nues, emporté.

Je pensais, alors les garçons du siècle dernier avec leurs poupées gonflables ont-ils connu pareilles félicités ? Tout est il juste dans la tête? Rien que dans la tête ?

On s'est séchés puis elle m'a entraîné à ma chambre à mon lit.
Son idée était arrêtée, elle voulait.
Elle voulait.
Elle s'est roulée en arrière, a ouvert large ses cuisses exhibant ses profondeurs velues et sa frimousse par dessus était en invite sourire tendre de bon accueil.

Comment eusse-je pu résister ?

Surtout qu'elle m'avait annoncé bien avant ses désirs ses souhaits, minette...

Ses cuisses étaient haut levées et elle avait chopé des deux mains les dessous des genoux pour mieux maintenir la position. Elle écartait les deux cuisses ouvrant large sa fente et la fleur au milieu. Sa toison respectait les chairs tendres roses de son intimité. Les deux ailes du papillon brillaient en invite et j'ai doucement plongé, mes lèvres mouillées et ma langue aussi pour goûter ce fruit mûr qui m'était offert.


Ma vocation était son plaisir.

Mais comment peut-on ainsi n'avoir pour raison d'être que procurer du plaisir à une machine ?

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