Pour Son Plaisir (5)


5 – L’invité

Les semaines passent. Chaque jour j’ai droit à une correction pour un motif qui peut être futile : parce que j’ai oublié de remettre une serviette sèche dans la salle de bain, parce que je suis rentré trop tôt ou trop tard. A chaque fois, c’est le même rituel. Je dois me présenter à Jacques, à genoux, les mains sur la tête. Parfois, il me laisse un long moment seul dans la pièce, puis lorsqu’il arrive, il peut avoir avec lui un accessoire : une canne, un martinet, une raquette… Le plus souvent, c’est à mains nues que je reçois la fessée. Je dois alors me coucher sur ses genoux, mettre mes deux mains à terre ou me tenir à ses jambes. Il commence toujours par me caresser les fesses puis il frappe sur l’une ou l’autre fesse. Lorsqu’il estime qu’elles sont suffisamment rouges, il s’arrête. Et là, je dois me remettre en position d’attente, les mains sur la tête.
Sinon, Jacques m’aide dans mes études. Je fais même des progrès. Je dois effec un stage à l’étranger. Jacques me propose d’intégrer une de ses filiales en Espagne, ce qui convient à tout le monde. Nous passons donc février et mars ensemble en Espagne, à Blanes, près de Barcelone. Il dispose d’un appartement plus petit que celui que je connaissais mais fort agréable. Le rythme imposé est épuisant : chaque jour de la semaine je me pointe au boulot à 7 h. Il tient à ce que je sois le premier arrivé dans la boîte. C’est lui qui m’y amène. On fait le point et ll me confie ensuite au directeur commercial. Pendant le boulot, il n’est pas question de sexe… Même si la conversation a un jour débordé sur le fait que je n’avais pas de poils ! Vers 16 h je quitte l’entreprise et rentre seul à l’appartement. Là je me mets aux travaux ménagers, dans la tenue exigée : jock strap et tongs. Quand Jacques rentre, vers les 20 h, nous nous mettons à table et ensuite il s’occupe de moi… Le plus souvent ça se passe dans sa chambre. Il me demande de le déshabiller lentement : je lui enlève la chemise tout en caressant sa poitrine.

Puis je m’occupe de son pantalon. Je lui enlève le caleçon avec la bouche, ce qui l’excite, tout en lui caressant les fesses et les jambes. Puis je gobe son membre. Il me retient la tête pour me l’enfoncer au plus profond de ma gorge. Quand il s’allonge, je mets ma tête à hauteur de sa bite et je joue avec ses couilles et sa bite jusqu’au moment où il décide de m’enculer. Le plus souvent, il le fait sans ôter le jock. Il me met à quatre pattes sur le lit avec un oreiller sous le ventre et il entre en moi après m’avoir lécher le trou. C’est délicieux. Je voudrais bander et me branler, mais la cage m’en empêche… Lorsqu’il est satisfait de ma journée, j’ai le droit de dormir auprès de lui sinon, je dois dormir au pied du lit avec juste un coussin et une couverture.

Un soir, il n’est pas rentré seul. Ma surprise fut immense. Jacques était accompagné d’un autre homme, tout émoustillé de me voir dans l’appartement.
Je ne sais plus où me mettre. J’essaie de mettre mes mains devant mon sexe, mais inutile, le jock cache l’essentiel. Jacques me présente

- C’est Cédric, mon stagiaire. Il débute encore

- Bonjour Cédric

- Bj’r m’sieur

- Tu as l’air en forme ! Tu as quel âge ?

- Il a 20 ans. Ça fait à peu près un an que je l’ai à mon service. Mais assez parlé de lui…

Je suis là debout, ne sachant quelle posture prendre pour être le plus à l’aise.

- Cédric aime la fessée ! tu veux essayer ?

Je fais l’étonné mais je ne trompe pas mon monde…

- Pourquoi pas ?

- Cédric, viens voir Patrick

Patrick devait avoir le même âge que Jacques. Il était plus costaud que Jacques, brun avec une barbe naissante. Il était plus petit, mais plus trapu. Je m’approche. Il sentait l’eau de toilette.

- Montres moi tes fesses

Je me mets dos à Patrick qui commence à me caresser les fesses. Je sens ma bite qui veut grossir, mais qui est freinée par cette cage.
Ça me fait mal. Il écarte les deux globes pour scruter mon intimité.

- Viens, allonges-toi sur mes genoux

J’obtempère. Jacques nous regarde, une canette à la main. Et là Patrick m’enfonce un doigt dans le cul. Ma réaction est immédiate. Je pousse un cri inattendu. Et là je reçois une première claque.

- Ah, il n’aime pas ça ? il va en avoir pourtant !

Et la fessée commence. A chaque coup de sa main je sens la chaleur m’envahir. Il frappe irrégulièrement, ce qui accroît l’effet de panique quand la main claque la fesse. A chaque coup, il commente : petites fesses, bien bombées, beau cul, pas de poils… A chaque fois, il frappe plus fort. Je me tiens à son pantalon pour ne pas tomber et surtout pour retenir mes cris. Il me fait mal, plus que Jacques.

Quand il s’arrête, Jacques et Patrick m’emmènent dans la chambre et m’attachent au lit sur le ventre. C’est la première fois que je me fais attacher de cette façon, en présence de quelqu’un et je ne suis pas rassuré.
Mon cul est offert à ces deux hommes qui commentent. Jacques s’approche de moi et me dit qu’ils vont s’occuper de mon cul. Il me dit de me détendre que ça fera un peu mal mais qu’ensuite ce sera très bon. Patrick se met à me lécher le cul. Sa barbe me gratte un peu les fesses. Mais il lèche divinement. Je ne peux toujours pas bander et ça me fait très mal. J’essaie de me concentrer sur la langue de Patrick, qui s’enfonce en moi. Puis Jacques prend le relais, il met un petit gel et enfonce un doigt, doucement. Je sens son doigt s'introduire de plus en plus. Ça me fait un drôle d’effet. … puis il en met un deuxième. Quand il le retire, ça fait un bruit de bouchon. Il recommence, puis approche ses doigts de ma bouche pour que je les lèche. J’ai des hauts le cœur, mais ça passe… ça dure un moment, j’ai soif… pourquoi j’ai soif ? je suis mal à l’aise dans cette position. Je vois Jacques quitter la pièce et revenir avec des godes de plusieurs tailles. Il m’en présente un petit.


- On va commencer léger.

Petit… De bonne taille quand même… je ne sais pas si je vais supporter ! Il est plus gros que le chibre de Jacques. Très lentement, il m’enfonce l’objet. Je respire très fort. J’essaie de me détendre, mais c’est de plus en plus difficile. J’ai une suée. Patrick me donne à boire. Et la séance reprend. Il graisse l’objet et me l’enfonce, lentement, pas petits bouts. Ca y est, il est en moi, je sens que je peux le retenir si je ne pousse pas. Jacques et Patrick ont l’air satisfait. Ils s’embrassent goulument puis se déshabillent. Patrick me présente sa queue. Beaucoup plus grosse que celle de Jacques. Je le suce machinalement, un peu épuisé avec ce truc dans le cul. Elle a un goût salé et amer. Jacques le remplace très vite. Sa queue est bien meilleure ! Pendant que je suce jacques, Patrick le caresse et lui lèche le cul. Puis Jacques lâche sa purée dans ma bouche. J’avale tout. C’est bon… je nettoie bien sa queue. Patrick me représente la sienne mais je ne veux pas qu’il éjacule dans ma bouche. Je fais des yeux désespérés vers Jacques. Il finit Patrick à la main et c’est mon visage qui reçoit le tout.
Ils quittent la pièce. Je reste seul un long moment. N’y tenant plus, j’appelle Jacques, qui entre furieux :

- C’est toi qui m’appelle ? Mais c’est le monde à l’envers. C’est qui le maître ici ? je te laisse le temps qui me plaît !

- S’il te plait, détaches-moi

Et je me mets à pleurer comme un gosse.

- Je t’en prie, j’ai mal au ventre, je me sens sale…

- Ce n’est pas le moment

Et il me laisse à nouveau seul. Je pleure. Un bon moment plus tard, Jacques revient un martinet à la main.

- Tu me fais honte devant mes amis ! tu ne dois pas m’interpeller comme ça

Et il se met à me donner des coups de martinet. Les lanières claquent sur mes fesses déjà rouges et mon dos. Je crie mais rien ne l’arrête. Ça brûle, beaucoup plus que les fessées à la main.
Et en plus ça enfonce le gode. Je crie, je pleure… Et tout à coup, ça s’arrête. Sans un mot, il me détache, me jette une serviette et me traîne dans la salle de bain. Il me met sous la douche froide. Je frissonne. Il ne m’a même pas enlevé le jock. Quand la douche est terminée, il me dit que je peux enlever le gode et me sécher. C’est presque aussi douloureux à enlever qu’à enfoncer. Mais ça soulage une fois qu’il est sorti. Je me sèche en tremblant. J’ai froid…
Jacques m’ordonne ensuite de le rejoindre. Il regarde mes fesses et me soigne les blessures. Visiblement, il y est allé un peu fort… Le soir est tombé. Il m’a autorisé à manger à table mais nu. Ensuite il m’a enlevé la cage et m’a sucé délicieusement. Il a récupéré mon sperme dans un petit pot qu’il m’a demandé de nettoyer avec la bouche. Ensuite j’ai dormi près de lui. Il m’a réchauffé et la nuit j’ai bandé ! j’ai bandé ! j’ai bandé !
Le lendemain j’ai dû le soulager dès le matin. Puis il m’a emmené à l’entreprise comme si de rien était. A partir de ce moment, plusieurs « amis » de Jacques vinrent à l’appartement. A chaque fois je servais de jouet… Le plus souvent pour mon plus grand plaisir !
Fin mars, nous sommes rentrés à l’appartement en France. C’est là qu’il m’a annoncé que je n’avais plus besoin d’étudier à l’école de commerce. Il allait me prendre en charge à temps plein. Mon stage lui avait donné satisfaction et je pourrais diriger l’une de ses filiales, quand il le décidera. Mais avant, la dernière étape pour lui appartenir : me faire circoncire.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!