Katherine Et Laure (Pov Katherine)

Je me réveilla brusquement en sursaut. Je n'avais même pas remarqué que je m'étais endormie dans le train. Je poussai un grognement : j'étais tellement crevée ! J'avais passé toute la nuit à bosser un devoir pour la fac, et n'avais donc pas dormi plus de 4 heures, et pourtant en bonne élève bien sage, j'avais décidé d'aller quand même en cours, quitte à dormir sur le trajet !

Je soupirai légèrement : la fac était très bien, les cours super intéressants et je m'étais faite plusieurs amis, mais par rapport au lycée ça demandait beaucoup plus de travail, et ça laissait beaucoup moins de temps pour sortir, faire la fête, voir mes amis, bref entretenir ma vie sociale... et ma vie sexuelle. Ca faisait presque deux mois que je n'avais pas fait l'amour avec quique ce soit, là où au lycée je m'envoyais en l'air plusieurs fois par semaine, tandis qu'en vacance je le faisais plusieurs fois par jour. En effet, N'avoir pas baisé depuis si longtemps me pesait grandement, et je décidais que boulot ou pas, je m'enverrai en l'air ce soir. Il me restait juste à savoir avec qui.

J'arrivai à la fac sans avoir réglé cette question : j'avais de nombreux plans cul, mais je n'arrivai pas à décider lequel choisir. J'étais toujours perdue dans mes problèmes sexuels lorsque j'entrai dans l'amphi où se tenait mon premier cour de la journée. Je cherchai des yeux Laure ma meilleure amie qui était dans la même classe que moi, mais je ne la voyais nulle part. Ce n'était pas son genre de sécher un cours, intriguée je lui envoyais un SMS pour savoir si tout allait bien. Elle ne me répondit qu'à la fin du cours, pour me dire qu'elle ne s'était pas réveillée, et qu'elle m'attendait devant la cantine de la fac.

Je l'y rejoignis et la taquinai :

"Salut belle gosse ! T'as fait la grasse matinée aujourd'hui ?"

Laure eut une moue piteuse et me répondit :

"Non c'est juste que j'ai pas dormi de la nuit..

."

"Ah moi aussi, j'ai pas arrêté de bosser, vivement les vacances !"

"Oh ma pauvre chérie dit Laure avec une moue moqueuse, moi j'ai pas dormi de la nuit parce que j'étais avec un mec..."

"Veinarde ! Je le connais ton étalon ?"

"Oui c'est Kévin, tu l'avais rencontré sur un site de rencontre."

"Ah oui je m'en souviens."

Je m'en souvenais même très bien, et au souvenir de l'incroyable baise que j'avais eue avec Kévin le désir exacerbé par 2 mois d'abstinence se réveilla en moi avec violence. Imaginer Laure aux prises avec Kévin me rendit folle d'envie, mais curieusement je me rendis compte que j'eus plus envie de Laure que de Kévin. Il faut dire que Laure était très sexy : de taille moyenne, elle était brune avec une gueule d'ange, une poitrine généreuse et des fesses délicieusement rebondies. Elle et moi avions plusieurs fois baisé ensemble, découvrant toutes les deux notre côté bisexuel. Aux souvenirs de nos folles soirées embrasées, j'eus encore plus envie d'elle, et après avoir changé de sujet et avoir discuté de choses et d'autres, je lui demandai :

"Ca te dit de venir chez moi ce soir ?"

Je vis Laure hésiter. Ce n'était tant qu'elle hésitait à venir chez moi ou pas, mais probablement qu'elle ne savait pas à quoi s'attendre. Une soirée avec moi pouvait très bien se traduire par une banale et innocente soirée pyjama entre filles, ou une virée en boîte de nuit, ou encore une nuit de baise incroyable. Un bref instant je compatis : avec moi la pauvre ne devait jamais savoir sur quel pied danser, ça devait être dur ! Toutefois, elle se reprit bien vite et me dit en souriant :

"Oui bien sur ça serait pas mal !"

Après le déjeuner, nous allâmes en cours, et la journée passa lentement. J'avais hâte d'être au soir et de me retrouver seule avec Laure... La journée arriva enfin à sa fin, et Laure et moi prîmes le train qui nous ramenait chez moi. Durant le trajet, Laure me demanda :

"Ton petit frère est à la maison ?"

Je comrpis le sens de sa question : serions nous seules chez moi ?

"Non, comme c'est les vacances de la Toussaint, il est parti avec mes parents voir mes grands parents.
"

"Donc on aura ta maison pour nous toutes seules ?"

"Oui, on sera seules toute la nuit ! Lui répondis je avec un sourire charmeur."

Je vis qu'elle était encore plus perplexe : savoir qu'elle et moi serions seules cette nuit ne devait pas l'aider à savoir quelles étaient mes intentions. Toutefois elle n'insista pas : elle serait de toute façon bientôt fixée...

Une fois arrivée chez moi, je lui proposai de s'installer dans le canapé du salon pendant que j'allais chercher de quoi manger. Au passage, je retirai mon pull, me retrouvant en débardeur noir au décolleté large, qui avec mon jean moulant me mettait bien valeur. Je vis qu'elle me regardait, aussi en me dirigeant vers la cuisine, j'adoptai une démarche quelque peu lascive, histoire qu'elle profite bien de mes fesses en action. Une fois dans la cuisine hors de sa vue, je souris, confiante : Laure ne tarderait pas à tomber sous mon charme, j'en étais sure, elle et moi avions déjà baisé ensemble plusieurs fois, y compris sur le canapé où elle se trouvait en ce moment, et le souvenir de nos folles soirées embrasées devaient sans doute la travailler en ce moment...

En guise de goûter, je pris du nutella, de la confiture et du miel : pas besoin de prendre de pain ou autre tartine, c'était sur Laure que je comptais déguster tout ça. Mettant le tout sur un plateau, je retournai au salon. Je posai le plateau sur la table basse, me plaçant devant Laure, et me penchant afin de lui mettre mon postérieur bien en vue.

J'eus à peine le temps de poser le plateau sur la table basse, que Laure m'attrapa par la ceinture de mon jean et me tira sur le canapé. Je tombai lourdement à côté d'elle.

"Je peux savoir ce qui te prend ? Dis d'un ton faussement surpris."

"Fais pas l'étonnée, je te connais bien je sais quand tu chauffes quelqu'un répondit Laure. Tu croyais vraiment qu'en me titillant comme ça t'allais conserver ta vertu encore longtemps ?'

"J'espérais bien que non répondis je avec un sourire sallace.
"

Nous nous jetâmes alors l'une sur l'autre, nous embrassant sauvagement, nous déléctant de ce moment de passion. Puis, Laure quitta ma bouche pour m'embrasser le menton, puis le cou, et enfin le décolleté. Tout en faisant cela, elle me massa les seins, avec dextérité. Je frissonai de la tête aux pieds : j'étais vraiment en manque. Après avoir bien profité des baisers et caresses de Laure, je lui attrapai les cheveux, et relevai sa tête de force. Je la plaquai contre le dossier du canapé, et vins à califourchon sur elle, lui massant à son tour ses seins moulés par son T-shrit vraiment court... Laure se mit à haleter de plaisir, et me servit l'un des ses sourires coquins dont elle avait le secret. Je me penchai sur elle, et lui mordit le menton, sachant à quel point elle aimait la sauvagerie, et je lui embrassai ensuite les joues la bouche, explorant son visage avec ma bouche. Puis, interrompant ces embrassades, je saisis le pot de nutella, et après l'avoir ouvert, trempai mon doigt dedans. Je le fis ensuite sucer à Laure, qui s'adonna à sa tâche avec apllication. Après quoi, j'étalai une bonne dose de nutella sur mon décolleté.

"Lèche ! Lui ordonnai je avec un sourire charmeur."

Laure s'exécuta joyeusement, passant sa langue sur mon décolleté, retirant avec application tout le nutella qui s'y trouvait. Une fois qu'elle eut terminé, sa bouche était pleine de nutella, aussi je lui enlevai en l'embrassant langoureusement. Ce fut à mon tour de me retrouver la bouche pleine de nutella, aussi Laure m'embrassa pour me l'enlever, se retrouvant à nouveau salie. Ce petit jeu dura quelques minutes, chacune d'entre nous léchant ou embrassant la bouche de l'autre pour lui retirer le nutella qu'elle venait de se mettre. Lorsque ce fut fini, je dis à Laure :

"A toi de me servir de tartine, mais avant retire ce T-shirt !"

Laure m'attira contre elle et me dit d'un ton suppliant :

"Non s'il te plaît, j'ai envie qu'on aille dans ta chambre maintenant pour passer aux choses sérieuses.
"

Je m'apprêtais à refuser, désirant prolonger notre petit jeu, mais Laure sur être convaincante : elle glissa sa main dans mon débardeur et dans soutif, me massant les seins de sa main experte, me faisant frémir de plaisir.

"Ok ma coquine, répondis je en capitulant, allons là haut histoire de passer aux choses sérieuses !"

L'attrapant par le jean, je l'entraînai dans ma chambre. Nous grimpâmes les escaliers, et allâmes vers ma chambre. Là, Laure me poussa par derrière et me plaqua contre le mur, se collant à mon dos, massant mes fesses d'une main main et mes seins de l'autre, et m'embrassant la nuque. Je frémis, sur le point de devenir folle : après deux mois d'abstinence, ce traitement était vraiment délicieux !

Je me retournai vivement, et tirant Laure par le T-shirt, je la jetai sur le lit. Je vins sur elle et l'embrassa sauvagement, puis Laure me fit rouler, et se retrouva au dessus de moi, je me laissais faire un moment, avant de la renverser à son tour. Nous continuâmes ce petit jeu un moment, roulant l'une sur l'autre, jusuqu'à ce que soudainement je la plaque avec plus d'autorité : immédiatement Laure se laissa faire, comprenant que les choses sérieuses allaient commencer.

A califourchon sur elle, je retirai mon débardeur, et la laissa me dévorrer le corps, m'embrassant le bassin, remontant jusqu'à mes seins qu'elle libéra de mon soutif, avant de les embrasser et les lécher avec avidité. Ensuite, je la plaquai contre le matelas et lui retirai son T-shirt, et cette fois ci, ce fut à moi de lui dévorer le corps léchant son nombril, couvrant de baisers son bassins et son buste, puis, lui retiran son soutif, j'enfouis ma tête dans sa généreuse poitrine et lui léchai et embrassai les seins.

Après quoi, je lui retirai enfin son jean, puis sa culotte, la regardant droit dans les yeux, après quoi ce fut à mon tour de me dénuder. Une fois nues toutes les deux, je décidai de passer aux choses sérieuses, et la faisant s'alonger sur le côté, me calai dans son dos, frottant nos deux peaux nues l'une contre l'autre. Tout en lui embrassant la nuque, je l'enlaçai, et de ma main droite, je lui massais et lui pétrissais ses seins, tandis que de lagauche, je lui malmenai le clito, lui arrachant des cris de plaisir. Laure se démenait dans mes bras, se tordant de plaisir et me criant de continuer et d'aller plus vite. Je la serrais encore plus fort afin de l'emprisonner dans mon étreinte, tout en continuant de lui faire un bien fou, et pour la stimuler, je lui mordis l'épaule. Laure en devenait complètement folle, et ses ruades quasiment incontrôlées, s'accentuaient. Je finis par la libérer, et lui lui laissai quelques secondes de répits pour reprendre ses esprits. Après quoi, je repassai à l'attaque.

Cette fois ci je vins sur elle, et me mis en position de 69 : m'asseyant sur elle, je lui tendis mon intimité, tout en m'occupant de la sienne : je léchai son minou, suçai son clito, jouant de ma langue, la faisant bouger comme une tornade, Laure faisait de même de son côté, sa langue rentrant en moi et s'agitant de haut en bas me faisait un bien fou. Nous nous entredévorâmes ainsi pendant de longues et délicieuses minutes, avant de changer de position.

Laure toujours étendue sur le dos, je me retournai et vins m'asseoir sur ses seins. Je me mis alors à onduler du bassin sur sa poitrine, frottant mon sexe contre ses seins, augmentant progressivement le rythme, jusqu'à atteindre une vitesse rapide : je me mis alors à pousser de légers gémissements de plaisir, auxquels Laure répondit par ses propores soupirs. Tout en se délectant de ce que je lui faisais, elle me caressa le dos d'une main, et de l'autre me massa les seins, ainsi nous tremblions toutes les deux de plaisir. Après quoi, je descendis et m'installai sur elle au niveau du bas ventre, et cette fois ci, ce fut contre son proxe sexe que je frottai le mien, augmentant progressivement la cadence, jusqu'à ce que le plaisir soit très intense. Laure se tordait de plaisir, tandis que moi, je me tenais les cheveux en gémissant de plus en plus fort. Je me penchai sur elle et l'embrassai langoureusement, puis je me redressai et la giflai, avant de reprendre mes vas et viens, à un rythme varié : tantôt rapide pour la faire crier, tantôt lent pour la frustrer.

Laure ravie du traitement que je lui avais infligé décida de me rendre la pareille : elle se redressa et me renversa, me faisant tomber sur le matelas sur le dos, et ce fut au tour de Laure de venir me chevaucher : elle se frotta contre moi Laure se déanchait avec dextérité, allant d'avant en arrière avec des petits mouvements secs du bassin, à un rythme élevé, tandis que je lui claquais les fesses en l'encourageant à aller plus vite. Il était rare qu'elle ait le dessus sur moi, aussi elle en profita pour bien enfoncer le clou : elle me prit les mains et me les plaque contre le matelas, histoire de bien me mater, et, coquine, elle voulut me faire languir et ralentit le rythme, mais je n'étais plus d'humeur à laisser les choses traîner : je me redressai et la renversai, reprenant le contrôle des opérations.

Je la renversai et la mis à 4 pattes, puis je me mis à me frotter contre son intimité, faisant d'amples mouvements, qui nous procuraient des sensations électriques, ne m'arrêtant que pour la doigter avec dextérirté et vigueur. La sentant proche de l'orgasme, je décidai de lui porter le coup de grâce, je me levai et pris dans mon plcard un gode ceinture que j'enfilais rapidement. Je revins ensuite derrière Laure et la pénétrai vigoureusement, le gode s'enfonçant en elle et en moi. J'entrepris alors de la baiser en levtette, comme un garçon l'aurait fait avec elle, mais en mieux puisque c'était moi. J'entamai des vas et viens rapides et puissants, alternant de temps en temps avec des coups plus doux mais plus amples et qui faisaient aller le gode plus loin en nous deux. Tout en la baisant en levrette, je lui claquai les fesses avec de petites claques sèches qui lui arrachaient des petits couinements de plaisir. Puis j'entamai le sprint final, et lui envoyai de puissants coups de reins, d'avant en arrière, me déanchant comme jamais. Laure se mit à crier très fort, et à me supplier d'aller plus vite. Je continuais ainsi, jusqu'à ce que le plaisir devint insuportable : alors ne pouvant plus le contenir, nous eûmes toutes les deux un délicieux et monstrueux orgamse, qui nous laissa affalées sur le lit, pantelantes et ivres de plaisir.

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