Lointaine Arabie
Javais été envoyé par ma société en Arabie sur un gigantesque chantier qui édifiait des hôtels dans le désert. Nous étions logés dans un de ces cubes blancs tout aménagés que je partageais avec 3 ouvriers arabes venus de je ne sais quel pays. Comme jétais le supérieur, je bénéficiais du privilège davoir une espèce de chambre délimitée par un voile de tissu tendu dans un coin dans lequel était logée ma couchette composée dun matelas posé sur un bat-flanc.
Les premiers jours sétait passés sans rien de trop spécial si ce nest que le manque de femmes commençait à peser lourdement et rendait les caractères de certain assez agressifs. Pour ma part, nétant pas trop porté sur la chose, je supportais assez bien la situation mais, ce nétait pas le cas de tout le monde. Il commençait à circuler un tas de revues pornos remplies de photos de femmes nues dans des positions disons assez variées. Aussi, quand regagnant mon coin intime je trouvais un de ces magazines jeté sur mon lit, je me le gardais pour le soir et une fois enfoui dans mon drap, jen commençais la lecture. Eh bien, les filles avaient disparues dans celui-ci faisant place à des mecs qui sexhibaient en couple, lun des deux ayant toujours le membre dressé avantageusement sous le regard admiratif de lautre homme qui lui rendait hommage dune bouche attendrie, le suçant avec amour. Cest vrai que les photos des queues étaient superbes remplissant toute la page et je dois avouer quelles ne me laissaient pas indifférent me rappelant une histoire de collège avec un copain qui mavait obligé à le branler un jour mayant surpris en plein astiquage. Aussi quand je tombais en arrêt devant une pine en gros plan dégoulinante de sperme, je ne pus retenir ma main de semparer de ma queue lagitant frénétiquement tant jétais excité.
Cest sans doute Karim mon voisin de table qui avait dû déposer la revue pour mexciter. Dès le début de notre séjour, je devais subir le frôlement de sa jambes contre la mienne tant nous étions serrés autour de la table et je métais habitué à ce contact régulier mais cest vrai que le lendemain matin, il ne se gêna plus et cest sa cuisse qui doucement vint au contact de la mienne, il savait que je ne me déroberais pas, il avait deviné que jétais mûr en me voyant baisser le nez dans mon bol, laissant sa chaleur mirradier discrètement sous la table.
Maintenant je sentais son regard dominateur toujours fixé sur moi à la dérobé, il savait que jétais une proie facile et ne manquait jamais une occasion de me frôler à chaque fois quil le pouvait. Cest vrai que la promiscuité des autres mâles et cette insistance masculine toujours présente commençait à me travailler et une curieuse envie commençait sournoisement à se développer en moi, et bientôt je me surpris à trainer à table en lisant, pour pouvoir les regarder évoluer discrètement, comparant la grosseur de leur braguette respective, sentant monter en moi un désir jusque-là inconnue qui me faisait bander. Quest-ce quil marrivait donc, lenvie de magenouiller devant une queue pour la sucer comme sur les photos me venait maintenant, après tout, jétais loin de chez moi et une petite expérience, personne ne le saurait jamais
Aussi quand quelques jours plus tard je trouvais un petit baigneur d glissé discrètement dans mes draps je senti la fièvre monter en moi me faisant tremblé dappréhension. Je savais quil allait venir cette nuit et jessayais de rester éveillé attendant la suite des évènements, mon cur battant la chamade mais, le sommeil fut plus fort que moi et je sombrais dans les bras de Morphée...
La nuit était déjà avancée quand je me réveillais, je ne rêvais pas, un corps était serré contre le mien, je ne lavais même pas senti glisser dans ma couche et soulever le drap léger qui nous recouvrait maintenant tous les deux mais sa main bouillante était bien là, posée maintenant sur mes cuisses, les caressant doucement. Je ne voulais pas montrer que jétais éveillé et, je le laissais continuer ses caresses qui maintenant parcouraient tout mon corps, me faisant frissonner malgré moi, lui montrant que je nétais pas insensible à sa présence par mon silence coupable, le laissant se serrer contre mon corps, quil étreignait maintenant convulsivement mécrasant à moitié sous lui, sa queue battant sur mon ventre répandant sa forte odeur de sperme qui maffolait complètement
Cest quand il commença à sintroduire entre mes fesses que jessayant de me débattre un peu mais, coincé comme je létais sous son corps musclé, je ne pouvais pas faire grand-chose et dailleurs, en avait-je vraiment envie et linstant daprès, cest un doigt inquisiteur qui qui se mit à fouiller ma raie à la recherche de ma pastille quil écarta sans façon de ses doigts tous graisseux, lattendrissant à sa façon en la lubrifiant de quelques aller et retour à lintérieur, la préparant pour la suite des évènements et saisissant mon sexe maintenant tendu de désir au creux de sa main à nouveau huilée, il se mit à le pétrir assez brutalement le décalottant bien à fond pour bien lenduire de son produit comme il lavait fait pour mon trou, cest vrai que cétait agréable de se sentir tout gras serré contre son corps, quil ne soit pas une femme métait totalement indifférent, seul la chaleur de son corps contre le mien comptait mais, jaurais bien aimé quil me finisse en lui faisant cracher son jus pour une fois que je bandais.
Curieusement, il me laissa tomber aussi vite quil était arrivé, regagnant sa couche me laissant là pantelant dans mes envies, mon trou bouillant de ses intrusions et cest quand je senti les picotements augmenter, que je compris soudain son manège. Il mavait enduit les fesses de piments comme cest la mode chez eux et maintenant la douleur augmentait me donnant une envie folle de me gratter tant elle était infernale et attrapant une serviette que je nouais autour de mes reins, je me précipitais vers les urinoirs voisins essayant de tenir mes fesses écartées pour de les aérer, la queue pendante sous la brûlure infernale...
Jallais franchir la porte quand jeu un mouvement de recule : plusieurs hommes étaient déjà là se branlant doucement en attendant un spectacle éventuel. Mais je compris quil était déjà trop tard quand le pieu de Karim fouettant mes cuisses me poussa à lintérieur du baisodrome, marrachant ma serviette et mexposant comme un trophée aux autres, tout fière de ramener une proie blanche. Le piège était refermé, et quand ses mains bouillantes se mirent à frôler mes reins, je me laissais aller lui obéissant, livré en pâture autres mâles avides du spectacle. Je le laissais me tourner vers lui, moffrant à son désir, le laissais mécraser contre le mur, malaxant mon corps de ses grosses mains calleuses tout en marmonnant des paroles incompréhensibles. Sa queue bouillante de désir me fouettait les cuisses à chacun de ses mouvements sentrechoquant avec la mienne au passage et quand enfin il me retourna contre le mur, elle ne tarda pas à trouver son chemin.
Ses mains empoignèrent mes hanches, et, alors que je craignais qu'il ne s'enfonce sauvagement, il le fit lentement, sa queue bouillante écartant mes fesses douloureuses, le gland remontant lentement le long de mon sillon à la recherche de son but en augmentant encore le feu du piment pendant quil me penchait en avant. Quand il simmobilisa enfin contre ma rondelle, je me mis à appréhender la douleur de la déchirure mais, sa pesée se fit toute en douceur, augmentant progressivement, le gland violacé écartant mes chaires doucement, délicatement, sa chaleur mirradiant au fur et à mesure quil senfonçait en moi en me dilatant, la douleur augmentant au fur et à mesure quil me défonçait et je serrais les lèvres pour ne pas crier tant je souffrais mais, je ne voulais pas le montrer aux autres salauds qui se branlaient contre moi, frottant leur sexes dans mes cheveux, contre ma bouche.
Il me prit longtemps, entrant et ressortant, son torse suant plaqué contre mon dos. La douleur avait laissé la place à la démangeaison infernale, et je me tortillais dans tous les sens empalé sur la queue pour essayer de lapaiser, enfin son rythme s'accéléra, et brutalement, ses grosses mains qui me tenaient par la taille se crispèrent me coinçant impétueusement collé contre lui, mécrasant les fesses dune poussée impétueuse, lançant son dard au plus profond de mes boyaux et je sentis dans mon cul bouillant la pulsation des jets de foutre qui s'échappaient crachant dans la capote. Et quand enfin il se retira mabandonnant là, je pus me relever écartant les autres dune poussée, une envie folle de me soulager me vint et voyant le latex tout gluant abandonné par terre, je men emparai et le présentant devant mon engin tendu de désir, je lintroduisis doucement dans létui plein de foutre et commençais à me branler avec pour apaiser la brûlure. Il était tout gluant de sperme qui se mit à refluer le long de ma queue débordant dans mes poils, les empoissant de foutre à chaque aller et retour de ma pine dans la capote et ne pouvant plus tenir, je me laissais aller dans un grand râle mêlant ma semence au jus crémeux de la pine qui avait crachée dans mon cul, tout en recevant le foutre des lascars qui mavaient coincé entre eux pour finir de se branler sur moi.
Toute la journée, jessayais de ne pas montrer ma souffrance, mon anneau me brûlant à chaque pas sous la morsure du piment rendant ma démarche très hésitante je voyais bien quils se foutaient tous de moi lorsquils parlaient entre eux dans la langue de leur pays en me regardant à la dérobée. Le soir alors que nous étions revenus au camp, Kader un autre ouvrier du chantier qui possédait une voiture me proposa de descendre avec lui au village, pour acheter quelques bricoles à manger.
Jacceptais en masseyant à son côté pour me changer les idées mais quant au bout de quelques kms il posa sa main sur ma cuisse en engageant la voiture sous un porche tranquille, je compris quil devait faire partie de la troupe qui mavait vu me faire monter dans la nuit car il nhésita pas une minute ouvrant sa braguette en se tournant vers moi tout en me plaquant la tête sur son slip odorant gonflé de désir. Cest vrai quil devait y avoir une sacrée bite là-dedans, elle était tendue, coincée de travers sous le tissu et quand je passais maladroitement ma main sous lélastique de la cuisse, je rencontrais ses énormes balloches et les écartant doucement, je memparant à pleine main de la grosse tige qui se mit à palpiter sous ma caresse pendant que je la dégageais de sa prison en baissant le slip gênant la laissant osciller lourdement tendue de désir.
Son gland était énorme, tout congestionné, et il devait bander depuis un moment déjà car il était tout poisseux de sperme qui avait dû suinter dès que jétais monté à côté de lui et cest sans doute pour cela quil était si odorant enfin disons même légèrement puant sur les bords...
Sachant que je navais pas le choix, Je commençais donc par lui faire sa toilette, léchant doucement le gland du bout de la langue, insistant sous le gland mais les grosses mains calleuses qui se refermèrent autour de ma tête me firent vite comprendre lurgence de la situation en mécrasant les lèvres sur le bout de la queue impatiente et comme par jeu je résistais, il me pinça le nez mempêchant de respirer et comme jouvrais la bouche pour reprendre de lair, la bêbête qui nattendait que ça sengouffra entre mes lèvres commençant à se branler dans ma bouche en de grands vas et vient mobligeant à la saisir rapidement de mes deux mains réunies sur le nerf de buf, limmobilisant tout en pressant le dessous du gland poisseux avec ma langue en le branlant doucement cest vrai que cétait agréable de le sucer, de le sentir tout glissant dans la bouche, il palpitait contre mon palais, et je ne pus mempêcher daccélérer la cadence le suçant de plus en plus vite comme je lavais vue dans le bouquin porno et quand je le senti se raidir soudain, jaccélérais encore le cadence en écartant ma bouche pour voir le foutre jaillir mais, les deux mains me ramenèrent brutalement à la réalité menfournant convulsivement la grosse bite dans la bouche, les jets de sperme chauds giclant entre mes dents, débordant de mes lèvres en coulant sur mon menton tant il y en avait, ce salaud devait être plein à ras bord...
Quelques jours plus tard, posé sur une fesse dans lavion qui me ramenait au bercail, je songeais au petit bois qui nétait pas très loin de chez moi où rodaient des drôles de types la nuit et je changeais de fesse pour pouvoir aérer un peu mon petit trou, enfin petit, manière de dire...
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