La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 458)

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°451 - compelled MDE avec les soumises Phryné et Holly MDE (deuxième partie) -

Monsieur le Marquis d’Evans disposait d’une partie de Son Cheptel à Ses Pieds. De sa main droite, il claquait les fesses de son esclave mâle, comme s’il voulait donner le tempo ou la mesure, avec la gauche, pour transmettre l’émotion et les couleurs, il caressait la chevelure de Sa chienne Phrynée MDE toujours affairée à bouffer le cul et les couilles bien pendantes de ce chien mâle excité, s’agitant encore et toujours dans l’anus de l’esclave Holly MDE. Sans le moindre mot, le Maître, dictait Ses désirs, Ses volontés, et imprimait ainsi sa propre interprétation dans ce qui était Son œuvre. Il savait, sans rien dire galvaniser, exhorter, enfiévrer et enflammer les trois chiennes MDE qui se livraient sous ses yeux, aux plaisirs charnels, à la sublime luxure sans la moindre retenue.

- Ca suffit Mes putains, mettez-vous tous les trois à genoux.

L’ordre était tombé brutalement et Ses trois esclaves avaient interrompu leurs ébats dans l’instant. compelled MDE sentit que le Maître lui pressait la bite. Voulait-il s’assurer de la dureté de la queue de son chien soumis ? Voulait-il vérifier qu’il n’ait pas joui dans le préservatif ?

- Quittez vos bandeaux Mes salopes et regardez-vous, examinez-vous, dévisagez-vous, Je le veux !

compelled MDE exécuta l’ordre, cligna des yeux, tant la lumière était ardente puis redressa un peu la tête, posa ses yeux sur la belle poitrine de celle qui venait d’enculer, esquissa un timide sourire, puis plongea son regard dans les yeux clairs de la chienne-soumise Phrynée MDE. Elles étaient belles l’une et l’autre, chacune à leur manière. Elles dévoilaient sans retenue leur intimité, s’offraient même naturellement, avec grâce et volupté, avec de surcroît, un quelque chose de lascif donnant un caractère très sensuel, sinon intense et raffiné à la situation.

compelled MDE se laissa également regarder, contempler, examiner par ses deux sœurs de soumission. Il ne cacha point sa virilité, arborant peut-être même fièrement sa bandaison ! Oui, sa queue restait raide… Le Maître avait réussi à vaincre les craintes de compelled MDE.

- Ma belle Phrynée vient ici, installe-toi en levrette à Mes pieds, cambre bien tes lombes, montre bien ton intimité à tes congénères.

Et la chienne exécuta immédiatement, sans même se poser la moindre question. compelled MDE comprit bien vite que celle qui était maintenant prosternée avait dû être utilisée par le Maître ou quelques objets phalliques ; son anus s’ouvrait et s’écartait telle une fleur s’épanouissant au soleil.

- Approche Mon chien, et encule là ! Tu m’en as enculé une, il faut que l’autre reçoive aussi ta bite de chien … Ca restera ainsi équitable …

Le Maître avait ce don, il fixait les ordres naturellement, sans grande sévérité, sans invectiver, sans crier ni gronder, et ses esclaves lui obéissaient presque d’instinct, simplement en toute évidence et authenticité. Le chien soumis approcha de celle exposée, ne se questionna même pas une seconde, et la pénétra d’un trait entrant son épais membre sans préambule.

- Et ne jouissez pas, cela va de soit …

compelled MDE ne jouirait pas… Il le savait, il n’était pas là pour jouir, mais satisfaire les ordres du Maître. Il se sentait considéré comme un simple objet, un objet sexuel, un objet donnant du plaisir et ça lui plaisait, ça l’excitait même et lui permettait de consolider une forte et belle érection. Sans hampe dure glissait et se retirait de ce fourreau chaud, humide et délicat, il s’activait, pénétrait, se retirait, pour mieux s’enfourner encore, telle une mécanique bien huilée. Oui, il n’était rien d’autre qu’une machine à baiser ne pouvant avoir d’orgasme ! Les vas-et-viens perdurèrent ainsi jusqu’à ce que le Maître en décide autrement. La belle soumise Phrynée MDE laissait échapper de longs et interminables ‘’han’’ de plaisirs à chaque coups de reins de son sodomite mais obéissante, elle se retint pour ne pas laisser éclater sa jouissance anale.


- C’est bien Mon chien, tu as bien forniqué et copulé, je suis fier de toi, retire toi maintenant.

Et le chien se retira immédiatement et s’installa aux pieds du Maître, aux côtés de ses sœurs de soumission. Leurs langues glissaient entre les orteils de Monsieur le Marquis d’Evans pour le remercier et le vénérer. Phrynée et Holly MDE eurent le privilège de ‘fellater’ le Maître, compelled MDE n’eut pas cet honneur encore… Normal pensa-t-il, lui n’était qu’un chien au Chenil, elles, les deux chiennes étaient des esclaves confirmées et enfermées dans les Cachots de cette auguste Demeure. Elles étaient donc d’un rang supérieur dans la hiérarchie des slaves, compelled MDE le savait, ne le vivait pas mal, au contraire même, cette basse considération, le motivait, le stimulait, l’incitait à fournir tous les efforts exigés par le Maître, pour qu’un jour, lui aussi retrouvât ces fameux Cachots pour y être enfermé définitivement… Holly MDE et compelled MDE, furent rangés côte à côte, à genoux, un peu à l’écart… Le Maître les attacha ensemble et leur fixant des menottes, puis il s’intéressa à la chienne soumise Phrynée MDE. Il exigea d’elle qu’elle soit à quatre pattes, les reins cambrés, les cuisses écartées. La main du Maitre attrapa la chatte de la docile esclave, elle se laissa fouiller en gémissant, puis un gode la pénétra ardemment. Il s’enfonçait et se retirait à vive allure dans cette vulve dilatée, et à chaque soubresaut, Phrynée MDE, sous le regard d’Holly et compelled MDE, laissait échapper des geignements qui n’avaient rien à voir avec des cris de souffrance ou de douleur… Son corps ondulait, frémissait, ondoyait… s’était-elle maintenant qui s’empalait sur ce sexe toy, elle remuait, se travaillait, se balançait, s’embrochait et se taraudait tout en poussant des cris d’extase… Le Maître la laissa faire, l’incita même à prendre du plaisir à se laisser aller à la jouissance.

- Tu mouilles bien Ma chienne, tu es belle à te trémousser, donne toi bien en spectacle, offre-toi !

Les gémissements reprirent de plus belle, les va-et-vient s’intensifièrent encore jusqu’au moment où le Maître retira sinon arracha subitement le gode des entrailles de la soumise Phrynée MDE, pour le lui planter dans la bouche.
Et c’est avec application que la belle s’exécuta à lécher le gode

- Tu as pris suffisamment de plaisir Ma belle Phrynée, lèche bien ta mouille, nettoie tes souillures !

Éreintée, épuisée, Phrynée MDE pu s’asseoir à même le sol, pour prendre un peu de repos. Le temps était venu pour le Maître de s’occuper de Ses deux autres esclaves. Il les fit mettre en levrette tous les deux, toujours maintenus, liés entre-eux par l’un de leurs poignets. Le chien mâle compelled MDE sentit qu’une noisette de lubrifiant lui était sommairement posée sur son anus offert. Il comprit qu’il allait être à son tour utilisé. Au même moment, il entendit aussi sa sœur siamoise gémir ! Un gode d’une taille respectable lui dardait le cul… L’instant d’après, le divin sexe du Maître pénétrait la cavité intime du mâle… compelled MDE ressentit une vive douleur, l’enculade avait été sans appel ! Mais très vite les sphincters du chien soumis acceptèrent ce sexe turgescent, ce membre viril de bonne taille. Il se laissa aller à une chanson de geste, à un long récit versifié, à un énoncé linguistique plutôt sommaire fait de « Ahhh ! et des Ohhh ! ». Un chant, somme toute mélodieux, en duo avec sa sœur Holly MDE… compelled MDE était heureux, le plus heureux des slaves, il avait ce sentiment de se sentir privilégié, oui d’avoir ce privilège d’être enculé par le Maître, de recevoir Sa noble queue qui le fouillait, le pénétrait, le culbutait… sublime présent, fierté d’appartenance, plaisir de s’offrir, acceptation de la contrainte, tout se mélangeait dans sa petite tête ! Il remuait son cul, masturbait avec ses sphincters cet appendice congestionné, s’empalait. Oh Dieu qu’il était bon d’appartenir, qu’il était agréable de plier sous le joug du Maître, qu’il était bon de sentir toute la prégnance de la Domination du Maître ! Détachés l’un de l’autre, Holly MDE dut se coucher à plat, dos sur le sol, compelled MDE, lui se tenait en quadrupédie, près de sa sœur Phrynée MDE. Le Maître lui attrapa le menton et l’obligea à le regarder droit dans les yeux.
Bien difficile pour l’esclave mâle de maintenir son regard dans le regard Dominateur du Maître. Ces puissants yeux bleus étaient d’une telle densité, exprimait une telle volonté, une telle maîtrise !

- Tu es un bon chien, un bon mâle soumis, je vais avoir encore besoin de ta queue ! Lui dit le Maître en lui malaxant les couilles.

La queue de compelled MDE n’avait plus fière allure. Comment parviendrait-il à satisfaire les exigences du Maître si sa queue restait molle et flasque ?

- Mets-toi debout mon chien, face à ma belle Phrynée et fais-toi sucer !

Phrynée MDE ouvrit grand la bouche, attrapa avec ses lèvres la bite du chien, la décalotta, et lécha tout d’abord le gland. Il n’en fallait pas plus pour que ce lubrique esclave MDE se remette à bander… Phrynée MDE avait un savant savoir-faire, elle pompait son frère de slavitude avec une certaine dextérité… Il était de nouveau en rut et il eut bien du mal à contenir une éjaculation… Dieu merci, juste à temps, le Maître stoppa les activités.

- Chien à quatre pattes !

En quadrupédie devant le Maître, cuisses écartées, reins cambrés et queue redressée, compelled MDE attendit sagement les ordres. Le Maître, une nouvelle fois lui souleva le visage, le regarda sans mot dire, droit dans les yeux. compelled MDE en redressant son regard s’aperçut que le Maître lui aussi bandait fort. D’ailleurs ce sexe érigé devant lui vint s’introduire dans sa bouche. Le chien-soumis le pompa, le suça quelques instants seulement. Monsieur le Marquis d’Evans se dégagea rapidement de cette bouche, puis frappa le visage de compelled MDE avec ce sexe dur et bouillant.

- Tu es une bonne salope, Mon chien et tu dois, à chaque fois que je l’exige, honorer Mon sexe par tous tes trous…

L’humiliation ressentie, excita un peu plus encore compelled MDE. Sa queue perlait, se redressait plus encore. Elle fut parée d’un préservatif !

- Va Mon chien, va prendre ta sœur Holly MDE, pénètre-la, fais-la jouir, active toi bien dans sa chatte, je le veux !

compelled MDE alla à quatre pattes, vers celle qui avait été désignée. Elle semblait lascive, détendue, sereine… Elle écartait les cuisses ostensiblement, montrait son sexe dépilée naturellement. compelled MDE l’enfourcha, la pénétra, remua tant et plus pour la faire jouir. Ce n’est qu’au bout d’un certain temps qu’il y parvint, il sentit le corps de sa sœur de soumission se tendre, ses muscles intimes se contracter. Un râle annonciateur plus fort que les précédents permis à compelled MDE de comprendre qu’il avait exhausser les ordres du Maître ! Il se retira d’elle, montra le préservatif au Maître avec fierté et soulagement : lui n’avait pas joui ! Rassasiés de sexe, les trois esclaves MDE se couchèrent à plat dos, sur l’épaisse moquette. Debout, du haut de sa grande taille, le Maître posa un pied sur le visage de Phrynée MDE, puis fit de même avec compelled MDE et enfin avec Holly MDE. Chacun des trois esclaves exprima librement, chacun son tour, ce qu’il ressentait à travers cet acte symbolique. Pour compelled MDE, il y voyait une vraie Domination, une force tranquille, un bien être rassurant, une soumission paisible et sereine. Les minutes s’égrainèrent ainsi, jusqu’au moment où quelqu’un frappait à la porte :

- Entrez !

La porte de la chambre du Maître s’ouvrit, un garde entra timidement.

- Vous m’avez fait appeler Maître ?

- Oui, tu peux remmener ce chien en Mon Chenil, sans omettre de lui reposer sa cage de chasteté. Je n’ai plus besoin de lui pour l’instant tout au moins…

(A suivre…)

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