Esclave Moi ? - 4 -

Je ne suis pas capable de dire combien de queues différentes j'ai sucées ou prises dans les fesses mais heureusement qu'ils avaient des toilettes pour nous rafraîchir une fois l'orgie de sexe finie. On a rejoint Pat et les deux folasses qui n'étaient pas très fraîches non plus et Pat a appelé le taxi. On a discuté sur le trottoir en attendant. Pat souriait de me voir fesses nues et m'a demandé si j'avais imaginé un jour être comme ça dans une capitale.
- Je n'aurais jamais pensé ça réalisable maître Pat. J'ai entrevu Eric en bas mais vous avez dû le savoir.
- Oui en effet je vais l'emmener doucement vers la voie que tu suis. Je sens chez lui une curiosité pour tes fantasmes et qui est loin de me déplaire. Je pense qu'après une semaine ici, un séjour dans une "maison de garçon" comme ils appellent ça et puis ici, ça lui fera du bien. Mon autre idée est de vous laisser la jouissance d'un bunker que je possède pas loin, sur les bords de la mer du nord et de te laisser le soin d'en faire une petite pute. Je l'en sens capable. Mais toi, pourrais-tu le dresser en vraie pute?
Il a du remarquer mes yeux brillants.
- Si vous le voulez oui. Mais il va morfler et devoir changer!
- On verra, je réfléchis à ça. Voilà le taxi. Montez, on a besoin de récupérer.
Naturellement je suis monté au fond derrière, Eric à coté de moi, puis Hervé avec Jim et enfin devant Pat. Une fois le taxi démarré, je me suis penché à l'oreille d'Eric.
- Comment il était le grand noir?
- Euh... Tu nous as vus?
- T'as sûrement regardé vers moi, toi aussi!
- Oui c'est vrai et t'étais bien entouré! Moi je suis remonté aussitôt après.
On arrivait et j'ai fermé ma gueule. Pendant que Pat réglait le taxi on est remonté à bord. Jim m'a dirigé vers ma nouvelle piaule.
- Dessape-toi et ranges tes fringues, tu t'en occuperas après.
Sur le lit, il avait jeté des liens qu'il attachait à chaque montant. Une fois nu, il m'a fait m'allonger sur le dos.


- Je t'ai vu tout à l'heure te branler et tu ne recommenceras plus avant un bon moment.
Il a attaché mes poignets et mes chevilles aux quatre coins du lit.
- Dors ou réfléchis mais demain je vais te corriger pour cette faute.
Il a mis un coussin sous mes fesses pour les surélever, me laissant dans la bouche un plug pour le saliver avant qu'il ne l'enfonce sans ménagement dans sa destination.
- Aller dors. Moi je vais voir si Eric ou Hervé ne dors pas encore pour le baiser. Au fait, ce qu'on a bu tous en arrivant était un cocktail avec du viagra.
Il est sorti me laissant dans le noir et le silence le plus complet. Je sentais le plug mais après les enculages à répétition c'était supportable et j'ai fini par m'endormir. J'ai été réveillé brutalement par la lumière de la trappe du haut où le soleil brillait. Eric est descendu en premier suivi de Jim. Eric nu, Jim en short moulant en latex je pense.
- Toi, assieds-toi là et regarde le bâtard morfler pour s'être branlé sans le demander hier.
Il a défait mes liens et m'a couché sur une poutre. Je tournais le dos à Eric et il n'a pas pu manquer de voir le plug dans mon cul. J'n'ai pas eu le temps de réfléchir que le premier coup claquait sur mes fesses. Il se servait d'un fouet avec de très nombreux brins, spectaculaire mais pas trop douloureux. Ce qui ne m'a pas empêché de gueuler pour évacuer la pression de recevoir ça au réveil. Je me tortillais sur la poutre mais je bandais comme un fou de découvrir ce nouveau plaisir, surtout (en bonne salope) devant Eric.
- Tu vois ce qui t'attends si tu ne mets pas les cuissardes que Pat t'a achetées?
- Oui Jim oui. Je comprends , je les mettrais.
- En attendant, regarde ce qui t'intriguait qu'il avait dans le cul.
Il a chopé fermement la base du plug et a tiré en dévissant. Le plug est sorti de mes fesses laissant les bords de mon cul fripés se refermer.
- Tu veux lui remettre?
- Non Jim, pas ça je peux pas.

- Alors je te le mets?
J'ai vu son regard affolé et à la fois attiré.
- Laisse-le maître, je suis là pour votre plaisir.
- Bon puisqu'un esclave décide, tu vas te mettre dos à la poutre et te renverser en arrière, cuisses écartées.
J'ai senti sa main sur ma queue, il avait un glaçon dans la main. J'ai frissonné et eu la queue molle pratiquement instantanément. J'ai senti qu'il passait un anneau autour de tout le sexe, couille et queue, allant chercher loin dessous pour passer le poids des couilles dedans. Puis un deuxième anneau qu'il a enfilé dans des ergots et enfin un tube métallique brillant, recourbé ver le bas qu'il a verrouillé par un cadenas.
- Cette fois, fini de te branler bâtard. Comme il fait bon, tu vas monter sur le pont prendre le soleil, faire bronzette. Tu verras sur le quai y a plein de petites tapettes qui passent et comme on est un peu surélevé par rapport au quai ils vont avoir une vue imprenable sur ton cul et ta cage. On va essayer d'en attr une Pat et moi. Aller monte t'allonger. Sans poils tout est bien visible.
Je suis monté sur l'avant de la péniche et j'ai gagné le bord près du quai. Depuis la veille, toute pudeur m'avait abandonné et j'ai mis une serviette sur le toit de tôle brûlant avant de m'allonger comme Jim le voulait. Le toit était arrondi et ceux qui passaient devaient avoir une vue imprenable sur ma cage et mes fesses. Mais j'ai décidé de moi-même de relever les genoux en gardant les pieds sur le toit. Cette fois je pense qu'ils devaient voir dans ma raie, jusqu'à ma fente que je savais rester entrouverte. Il y a eu quelques sifflets admiratifs qui m'ont fait sourire et entre mes genoux je matais ceux qui me mataient. J'ai aperçu un blond dont j'aurais bien fait mon ordinaire tellement son visage était beau et fin et ses yeux instigateurs. Il est passé plusieurs fois, s'arrêtant un peu plus à chaque fois et je n'ai pu que lui sourire. Sourire auquel il a répondu. Hélant Pat et Jim en allemand, je n'ai pu comprendre mais il a franchi la passerelle et Pat lui a servi à boire.
Il était en short, de coté par rapport à moi et je n'ai pu que plonger les yeux par une jambe du short qui baillait. Je ne voyais pas de poils mais vu la blondeur de ses cheveux ça ne voulait rien dire. Ils ont discuté un moment. Il s'est approché au-dessus de moi et en mauvais français m'a dit:" Toi salope, voir ce soir à la boîte". Il s'est penché et m'a écarté les genoux comme pour une grenouille.
J'ai sursauté quand il m'a donné une tape sur les couilles. Il a souri. Ce soir liebe. Il est parti. Jim m'a dit de me retourner pour bronzer aussi le dos. Il a lui-même arrangé la cage de ma queue en me faisant ouvrir les cuisses. Là. Après le côté face, montre leur le côté pile.
Cette fois je ne voyais plus qui passait sur le quai.

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