La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 459)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°458 -

Cela faisait un mois que compelled MDE était entré au service du Maître, un mois qu’il avait accepté de se laisser dresser, par Monsieur le Marquis d’Evans et son proche entourage, un mois déjà ! Il n’avait pas vu passer le temps, avait beaucoup appris, s’était beaucoup investi, avait donné beaucoup de lui-même pour progresser dans cette soumission qui lui semblait aujourd’hui indispensable pour son épanouissement et équilibre personnels. Il était fait pour être esclave, un esclave MDE, il en était sûr et certain aujourd’hui. A l’évidence, sa destiné était toute écrite depuis toujours, il le comprit ! Ainsi, se disait-il qu’il était donc né pour devenir ce qu’il était devenu désormais : un simple esclave obéissant... Une fin d’après-midi, compelled MDE fut sorti du Chenil par Monsieur Walter le Majordome et fut conduit au Château dans le bureau du Maître.

- Reste debout en attente le chien ! Monsieur le Marquis d’Evans arrive et veut te parler

Le chien-soumis avait appris à ne plus se poser de questions, avait appris à se laisser conduire et accepter toute situation, même les plus infâmes et humiliantes que Le Maître ou Ses subordonnés lui ordonnaient. Mais là, à cet instant, il eut une légère inquiétude. Le lieu n’était pas commun, il ne l’avait fréquenté que trois fois seulement depuis son arrivée au Château, et de surcroit pour y être sévèrement puni, par le Maître lui-même d’ailleurs. Quelle faute ou négligence avait-il commis pour être mené directement dans le luxueux bureau de Monsieur le Marquis d’Evans?

- Bonjour Mon chien ! Lui lança le Maître sobrement avec un calme qui reflète à merveille sa légendaire force tranquille étoffée par son fabuleux charisme
- Bonjour Vénéré Maître. Répondit compelled MDE d’une voix chevrotante, presque appeurée.
- Ôte-lui sa cage de chasteté ! Ordonna le Maître à l’attention de Walter

L’esclave n’osait plus bougé, tête basse, le regard posé au sol, les bras croisés dans le dos, il laissa faire Monsieur le Majordome.

Horreur ! Sitôt sortie de son étui, la queue de compelled MDE se redressa. Le chien soumis s’en voulait de ne pas savoir encore se maîtriser. Il bandait fort, ce n’était pas vraiment le moment.

- Redresse la tête et regarde-moi, Mon chien ! Lui intima le Maître…

Le Marquis d’Evans laissa volontairement long silence, très long silence s’installer créant ainsi une ambiance des plus bizarres pour l’esclave qui ne savait s’il allait être puni ou complimenté. Le regard d’un bleu magnifique, un regard droit, puissant et Dominateur du Maître fixa les yeux du chien. Celui-ci fut très impressionné et ce regard incomparable du Maître le fit trembler, lui provoqua des frissons qui irradiaient tout son corps…

- J'ai une belle surprise de taille pour toi, oui j'ai envie de te récompenser de ta parfaite attitude.

Le visage de compelled MDE s’illumina soudainement. Lui qui penchait être en ce lieu plutôt pour y recevoir une punition, reçu ce beau compliment… Il semblait pourtant au soumis de n’avoir fait que son devoir d’esclave ! Le Maître s’était approchée de compelled MDE, sa main gauche lui caressait le cul, la droite attrapait la queue du clébard et la lui branlait doucement.

- Il y a longtemps que tu n’as pas joui salope !!!

compelled MDE n’osa répondre, il ne comprenait pas où le Maître voulait en venir.

- Branle-toi chien, là devant moi, masturbe-toi bien, et vide tes couilles, sans lâcher une seule seconde Mon regard, tu entends ?
- Oui Maître
- Je veux que tes yeux restent plantés dans les miens pendant que tu t’astiques ta nouille de chien. Je veux que tu gicles tout en me regardant, tu as bien compris Mon chien ?
- Bien Maître, oui Maître.
- Alors vas-y Ma salope !

Et compelled MDE se branla ainsi, ne lâchant pas le regard du Maître. La branlette était rapide, les vas et viens de sa main s’activaient à une cadence digne d’un mâle en chaleur qui serait en manque d’éjaculations et qui se branlerait juste pour se soulager.
Mais en réalité, c’est bien ce qu’il était ! L’esclave était bien un mâle et en manque de jouissance causée par l’abstinence totale imputée à sa condition d’esclave et à sa cage de chasteté qu’il portait depuis 1 mois déjà ! Alors il ne tarda à jouir, des râles de plaisirs montaient de sa poitrine pour s’échapper de sa bouche quand il se vida, sans gêne ni honte, en gémissant fortement de cette éjaculation autorisée… Dieu que c’était bon… Son foutre abondant, s’étala sur le parquet de chêne.

- Oh merci Maître Vénéré, merci beaucoup pour cette agréable surprise.

Le Maître marqua un léger sourire, puis ordonna à compelled MDE de se mettre à quatre pattes, et de lécher et d’avaler ses souillures. Alors le chien obtempéra et c’est en position de quadrupède, cul bien relevé, la face contre le sol, qu’il s’activa à passer sa langue sur le beau parquet à lécher son propre foutre. Quelques gouttes épaisses de sperme étaient même tombées juste devant les souliers vernis du Maître. Quand compelled MDE les avala, Monsieur le Marquis d’Evans ne put s’empêcher de lui présenter sa chaussure droite afin que l’esclave puisse lécher le vernis. Le Maître durant cette scène lui caressa le cuir chevelu comme pour le gratifier de son affection comme on le ferait avec un véritable chien (l’animal)...

- Redresse-toi chien, met toi en position d’attente (position agenouillée, tête baissée, buste droit mains derrière le dos) et écoute attentivement ce que j’ai encore à te dire

Le Maître se tut encore un long moment, toisa longuement son esclave puis il reprit lentement :

- Ce jour est un grand jour pour toi Mon chien fidèle. J'ai estimé que tu méritais enfin ta place ici et donc j'ai le plaisir de t'annoncer que je t'offre un Cachot. Tu es resté au Chenil assez longtemps pour me démontrer ta dévotion totale et donc tu mérites amplement ce Cachot, ici à Mes pieds, à l’intérieur du Château. Soit heureux et fier de cela.

compelled MDE ne put retenir un sanglot de bonheur, des larmes de joies roulèrent sur ses joues, des larmes d’une reconnaissance inouïe.


- A moins que tu ne le souhaites pas Mon chien ? Tu le sais, je ne retiens jamais personne de force ici.

compelled MDE, sans qu’aucun ordre ne lui soit intimé, ne put s’empêcher d’embrasser les doigts du Maître en guise d’une profonde gratitude et c’est toujours à genoux, qu’il répondit :

- Oh Maître… oh Maître Vénéré, Mon Dieu, Mon seul Dieu, Votre chien soumis compelled MDE vous exprime ici toute sa gratitude très Cher Maître. Il se prosterne à Vos Pieds pour vous remercier humblement, sincèrement de la confiance que Vous lui accordez, en le plaçant désormais dans un de Vos Cachots. Croyez bien, Vénéré Maître que c’est avec fierté et un parfait dévouement que j’accepte d’intégrer ce Lieu dans la crypte de Votre Noble Demeure. Mieux encore que je ne l’ai fait jusqu’ici, je saurai Vous servir, Vous obéir et Vous apporter totale satisfaction. Vous m’honorez Cher Maître, soyez en assuré. A moi de grandir au milieu de Vos chiens et chiennes soumis déjà dans ces lieux et de progresser dans une soumission constante et totale à Vos pieds. Je m’y engage et en fait vœux Maître Vénéré… Merci Maître … Merci …

compelled MDE le savait, l’avait très bien intégré : il devenait d’une façon définitive et permanente un esclave propriété de Monsieur le Marquis d’Evans. Désormais, il ne serait que soumis compelled MDE.

(A suivre…)

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