Préparation De Partouze

L’organisation demande beaucoup de temps. Je suis aidé par Steph, l’amie d ‘un copain. Trouver une salle qui convienne, grande pour contenir une bonne centaine de participants, Un traiteur bon et pas cher, surtout pas bégueule. Avoir suffisamment de li, fauteuils, chaises et tapis. Nous préparons une partouze géante. Les invitations ont circulé dans la fac. Nous sommes sur d’avoir autant de garçons que de filles: le nirvana se prépare. Pour le fonds musical, pas de problème: un des participant fait le disc-jockey souvent pour ce faire de l’argent de poche.
Avec Steph, nous sommes fiers de nous. Pour fêter notre future réussite nous allons dans une bistrot boire un coup. Il est 22 heures. Steph prend un café serré pour rester longtemps éveillée. Un armagnac suffit pour moi. JE demande à Steph pourquoi un café serré:
- On ne va pas se quitter ainsi?
- A bon et pourquoi ?
- Parce que je ne sais toi, mais, moi, j’ai envie.
- Envie de quoi ?
- Devine, idiot.
- Tu veux dire que nous….
- Oui, noue ne pourrions pas, nous pouvons.
- Et ton copain ?
- Tu ne crois pas qu’on est mariés; nous profitons chacun de notre coté des occasions qui se présentent, d’autant plus qu’en pensant à toutes les préparations que nous faisons, j’en suis excitée.
- Maintenant que tu en parle tu m’excite. Tu vas me faire bander.
- Je m’en doute, je suis toutes mouillée. Et puis tais toi, embrasses plutôt.
Sitôt demandé, sitôt fait: mes lèvres sont sur les siennes.
Elles sont douces comme du miel. Sa langue vient dans ma bouche. Elle aussi a bon goût. J’en mangerai. C’est-ce que je fait d’ailleurs rapidement. Il faut croire qu’elle a réellement envie de moi: elle prend ma bite dans sa main par-dessus le pantalon et la masse sans arrêt.
- Branles moi: j’en ai trop envie
- Pas dans ce café.
- Tu as peur qu’in nous voit ?
- Oui, tout simplement.
- Tu n’a jamais baiser en public.


- Si, mais jamais devant les clients d’un café.
- Il faut un début à tout.
Sans rien dire de plus, elle arrive à sortir ce qui devient un gourdin. Elle ne se gêne pas pour ma branler. Elle a raison, c’est excitant de le faire devant des gens qui risquent de vous voir. Je n’hésite pas à poser ma main sur son sexe: elle a soulevé sa robe et baissé son string. Je suis aux premières loges pour regarder son minon. Je pose ma main sur son pubis, elle la prend pour que je la pose sur son clitoris. Elle m’indique ainsi la vitesse que ma main doit avoir pour lui donner le septième ciel.
Ayant ma bite dans la main, c’est elle qui mène la danse. Elle a sa tête sur mon épaule et murmure des: oui, encore, fait moi jouir.
Elle arrêt ce qu’elle me faisait: dommage j’étais sur le point de jouir Je resta sur son sexe et je sens quand elle jouit.
- Partons, allons chez moi.
- J’ai envie de toi.
- Moi aussi, allons baiser normalement chez moi.
Je suis surpris de voir où Steph habite: une grande maison qui appartient à ses parents absents pour plusieurs semaines. Nous restons au salon, vaste salon plein de tableaux, certains coquins, dont l’un représente deux filles s’embrassant sur la bouche.
- Comment ce fait-il qu’un tel tableau soit là. Oh, ce n’est rien, si tu voyais ceux de la chambre de mes parents, tu n’en reviendrais pas: je vais te les montrer. Elle m’y emmène et là j’ai encore un choc: il y a trois œuvres qui sont totalement pornographique: des scènes où
Deux hommes s’occupent d’une seule femme, deux femmes qui se sucent et surtout un groupe de filles qui se baisent en chœur.
Steph reprend ma bite, me fait bander encore plus. Elle explique que autant son père que sa mère sont des adeptes de tout pour jouir. Elle sait depuis son plus jeune âge que le sexe n’est pas une chose interdite. D‘ailleurs elle a emmené chez elle son premier amant qui lui a fait l’amour dans sa chambre. Ses parents le lendemain lui demandant simplement si elle avait eu du plaisir.
C’est bien pour ça qu’elle veut que nous baisions, non pas dans la chambre, mais au salon. Il me fait assoir sur la banquette, se met en face de moi, commence un déshabillage en règle. J’avais vu son sexe, et le début de ses cuisses, là je pouvais tout admirer: une poitrine pas très grosse mais très ferme, des hanches dignes d’une vénus. Ses vêtements éparts, ajoutaient à l’érotisme. Elle venais vers moi: c’étais mon tour de me mettre nu. Je bandais toujours: elle venait pour me caresser encore, s’arrêtait encore cette fois pour me sucer. Elle commençait par le bouche fermée, s’ouvrant lentement selon la progression de ma bite. Elle décalottait mon prépuce lentement, puis mon gland passait toujours lentement dans ses lèvres. Sa langue ne venait me lécher qu’après. J’avais plus tard ma queue entre une de ses joues et sa langue. Sans nausée elle prenait ma pine jusqu’au fond, sur sa glotte. Sa tête faisait des aller et venues. Je ne pouvais me retenir, je la prévenais que j’aller jouir. Elle n’arrêtait pas en prenant mon sperme dans la bouche. Elle se redressait enfin la bouche encore pleine de ma semence, elle me regardait et très lentement en le dégustant elle avalait mon sperme. Elle finissait en disant que j’avais bon goût.
Comme j’étais désarmé pour un petit moment elle se mettait jambes écartées pour que je la suce à mon tour. Je passais ma tête entre ses jambes et sans m’arrêter en route je posais ma langue directement sur tous ces endroits secrets. Elle dirigeait encore ma langue la où elle la voulait. Bien sur elle me faisait commencer par le clitoris, puis la lèche des grandes lèvres. Je lui mettais ma langue dans son vagin. Elle jouissait sans arrêt. De moi-même j’allais sur son anus. Elle écartait ses fesses pour que je passe la langue là aussi. Elle jouissait toujours de plus en plus rapidement.
Enfin elle me demandait de venir la baiser. Je voulais autre chose: puisqu’elle avait aimé ma langue sur son anus, je voulais la sodomiser. Elle ne croyait pas que j’allais le lui demander (elle avait un fond de réserve et de pudeur en elle).
Elle se mettait à genoux sur le tapis, le corps posé sur la banquette, avec une main libre. J’étais très proche de son cul: elle le mouillait avec de la cyprine. Je posais, avec son aide, mon bite juste à l’entrée secrète de l’anus. Je ne pensais pas qu’elle ai le cul si bien fait pour la sodomie: je pouvais l’enculer très facilement. Je la lui mettais à fonds: les poils de mon bas ventre venaient contre ses fesses. Je pensais pouvoir y aller et venir. C’est elle qui commençait. Je lui laissais le choix du rythme qui li convenait. Elle faisait son choix en fonction de ses diverses jouissances: il y en eu beaucoup. Steph se servia de sa maon libre pour se banles le bouton; Je la laissais faire comme elle voulait, à un moment je ne pouvais plus tenir; je jouissait dans son ventre.
Nous ne nous sommes séparés qu’au jour naissant, après l’avoir baiser dans les règles dans son vagin.
La partouze se déroulait bien, les garçons et les filles étaient toujours à un moment donné en train pour se baiser ou s’enculer ou encore fais des 69 mixtes ou entre même sexe. L’étonnant était de voir nombre de garçons qui j’aimaient entre eux. baisant. Nous n’avons pas baisé ce soir là, mais le lendemain elle venait près de moi en me proposant d’être son nouvel amant officiel, elle avait rompu avec son ex qui ne la baisait pas aussi bien que moi. Depuis que nous sommes ensemble j’ai gagné un nouveau logis: chez ses parents ou je suis considéré comme le fils de la famille. Quelques fois c’est sa mère qui me demande si sa fille baise correctement. Je ne répond par un signe de tête

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