La Débauche De Christelle 1

Christelle, 34 ans, s'était mariée il y a dix ans à Patrice, de onze ans son aîné. Cadre supérieur partant tôt le matin et rentrant tard le soir, son époux, s'il ne la baisait guère, lui évitait de travailler et lui payait ses quelques fantaisies. Ils n'avaient jamais réussi à avoir d', ce qui permettait à Christelle de consacrer ses journées à son bon plaisir.
Elle avait commencé par se doigter la chatte sous la douche, le matin. Puis, encouragée par ses magazines féminins, elle avait acheté des godes. De la jouissance qu'elle tira de ces objets, elle conçut le plus profond mépris envers la petite bite mollassonne d'un Patrice épuisé par son boulot.

Cependant, elle dissimulait cet état d'âme, ne cherchant aucunement à se fâcher avec celui qui était censé être l'homme de sa vie. Avec le développement des tubes, elle passait de plus en plus de temps à se branler sur Internet, particulièrement excitée par les vidéos américaines de Noirs bien membrés usant de bourgeoises blanches comme de leurs chiennes.

Disposant de beaucoup de temps pour réfléchir sur sa situation, Christelle en vint un jour à se dire que sa vie sexuelle méritait mieux que ça. Le cul soigneusement affermi et rebondi par six heures hebdomadaires de fitness, la taille fine, les seins saillants, elle se savait encore désirable et ne voulait pas gâcher les dernières heures de sa jeunesse dans les étreintes de son mari qui étaient rares, expéditives et pour tout dire pathétiques. Elle chercha alors à prendre un amant conforme à ses fantasmes.

Le problème était que son entourage, fort bourgeois, ne comportait aucun jeune étalon à la peau d'ébène. Profitant d'un déplacement de Patrice à l'étranger, elle se rendit donc habillée avec des talons très hauts et une mini-jupe très courte dans le quartier chaud de la Chapelle, à Paris. Objectif atteint: elle fut tout de suite pris pour une pute.
Après avoir refusé plusieurs clients, elle accepta d'être emmenée par un colosse noir de 24 ans.

Il habitait dans un immeuble de la rue Marcadet passablement sordide.Christelle le suivit, aussi angoissée qu'excitée. Dès qu'ils arrivèrent dans son studio, l'homme se jeta, fou de désir, sur cette rombière qu'il n'aurait jamais imaginé sauter dans ses fantasmes les plus dingues. Il lui arracha sa culotte d'un grand coup sec, ce qui fit hurler Christelle de stupéfaction. Puis, sans se soucier de préliminaire, il la retourna contre le mur et enfourna une bite énorme dans sa chatte. Christelle étant trempée depuis le début de la soirée, cela rentra comme dans du beurre.

Enfin, elle se faisait baiser comme elle en rêvait! Les sites de cul américains ont un terme parfait pour ça: "to pound". Soit broyer, pilonner, marteler. Immobilisée sous un marteau-piqueur, elle hurlait sa jouissance lorsque son amant sortit de sa chatte aussi brutalement qu'il était rentré. Elle n'eut pas le temps de faire part de sa désagréable surprise que celui-ci plongeait le nez dans entre ses deux fesses, se délectant de son cul brûlant et humide. Vierge du petit trou et sentant qu'elle risquait d'être sauvagement enculée, elle protesta. L'autre n'en tint pas compte:

"- Je paye, je fais ce que je veux.

- Non, ce sera gratuit pour toi, je fais ça pour le plaisir !".

Il n'écouta pas, projeta Christelle sur son lit, maintint sa tête dans l'oreiller pour ses cris et força le trou du cul avec son gland énorme. Aidée par les litres de mouille préalablement déversés, sa bite n'eut aucun mal à s'engouffrer intégralement dans les intestins de Christelle qui avait l'impression d'être remplie par un homme comme jamais elle ne l'avait été. Quoique le jeune Noir se ficha complètement du plaisir de Christelle, une bite aussi énorme actionnée aussi violemment dans son cul ne manquait pas de stimuler également une partie de sa chatte. L'orgasme était absolument total, et, si son amant n'avait pas eu le réflexe de lui fermer sa gueule avec la main, la salope eut réveillé tout l'immeuble avec ses couinements de truie à l'abattoir.


Enfin, après un quart d'heure à être sodomisée comme la dernière des chiennes, elle sentit une chaleur se répandre dans son cul. Le foutre. Son assaillant se calma, lui nettoya la raie du cul avec sa bite. Puis il exigera d'elle qu'il nettoie son gland. Un peu révulsée par les odeurs, elle hésita. L'autre ne lui laissa le temps, lui sauta dessus et lui planta ses couilles sur son menton. Il lui pinça le nez pour l'obliger à ouvrir la bouche. Elle n'avait plus le choix et le suça consciencieusement, avalant chaque goutte de sperme. N'ayant pas eu l'occasion de goûter ce magnifique membre noir au début de leurs ébats, elle se prit au jeu commença une fellation de plus en plus ardente.
Son amant l'arrêta:

"désolé, je n'en peux plus et demain je me lève à 4 heures pour aller bosser au chantier."

Christelle, insatiable, se sentit frustré:

"quand puis-je te revoir, comment t'appelles tu? "
Idriss lui donna rendez-vous le lendemain après-midi en banlieue nord, dans la ZAC de Roissy-Aulnay. La matinée allait être longue pour Christelle.

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