Katherine 5

Bonjour à tous, je précise que ce récit est la suite directe de "Manon 2".

Le lendemain matin de mon incroyable nuit avec Manon, nous étions tous à table pour le petit déjeuner. Karl, le copain de Manon était en grande forme : sa copine avait la nuit dernière glissé des somnifères dans son verre pour que je puisse la baiser sous son nez, il avait donc très bien dormi. Comme il était en forme, Karl avait une super idée : il avait lu dans une brochure à l'office de tourisme qu'une séance de spédéologie, de visite d'une grotte, était organisée. Comme nous étions dans le Sud, et qu'il allait faire aujourd'hui près de 45°c, cette idée semblait bonne : visiter une grotte nous permettrait d'échapper à l'intense chaleur qui se préparait. Lorsqu'il émit cette idée, Manon, Laure et Margot exprimèrent leur enthousiasme. En revanche Katherine dit :

"Moi ça ne me dit rien, vous irez sans moi."

"Ah bon ? T'es sur ? S'étonna Karl."

"Oui oui, répondit Katherine. Je vais rester ici et m'occuper. Les grottes ça ne me dit rien."

"Bon si tu veux. Et toi tu viens ? Me demanda Karl."

Je m'apprêtai à répondre que oui : la spédéologie ça me disait bien, mais avant que je n'aie pu répondre, Katherine me donna un coup de pied dans le tibia. Retenant un grognement de douleur, je regardai Katherine surpris. Elle me regardait d'un air intense que je connaissais bien. Pris d'une intuition, je dis à Karl :

"Non ça ne me dit rien non plus, vous aurez qu'à y aller sans nous deux..."

"Bon, faites comme vous voulez, dit Karl."

Katherine m'adressa un léger sourire, puis prit une cuillère pleine de confiture et la suça rapidement avec une certaine sensualité. Je sentis soudain une raideur me prendre à l'entre-jambe... Katherine était mon plan cul régulier, et elle était ultra-sexy : des cheveux noirs, un visage d'ange, un corps de déesse, bref, l'idée de passer la journée seul avec elle avait quelque chose d'alléchant.

..

Après le petit déjeuner, Karl et les filles préparènt rapidement leurs affaires pour le départ, et s'en allèrent vers 10h du matin, nous informant qu'ils rentreraient dans la soirée. Katherine et moi nous retrouvâmes donc seuls, dans le jardin à faire des signes d'aurevoir aux autres pendant qu'ils partaient en voiture. Lorsque la voiture se fut éloignée, Katherine se tourna vers moi me sourit et me dit :

"Alors, que va t on faire seuls toute la journée ?"

"J'ai bien une idée répondis je."

Je m'approchai d'elle et voulus l'embrasser, mais à ma grande surprise elle me bloqua, me mettant deux doigts sur ma bouche. Elle me dit :

"Je peux savoir pourquoi tu as pris autant de temps ?"

"De quoi tu parles ? Répondis je sans comprendre. Autant de temps à quoi ?"

"A passer à l'action avec moi : ça fait déjà trois jours qu'on est là, tu t'es déjà tapé Laure et Manon (tout le monde t'a entendu), et moi jamais ?"
"T'es jalouse ? Dis je stupéfait."

"Pas du tout, mais j'aime pas trop l'idée de patienter et de faire la queue pour être seulement la troisième à profiter de la tienne de queue."

"Bah désolé, mais toi et moi on a pas eu trop d'occasion de..."

Elle sourit d'un air sadique et m'interropit :

"Je sais, mais je m'en fiche, j'ai décrété que tu méritais d'être puni... Et ta punition, ça sera de devoir attendre mon bon vouloir aujourd'hui !"

Je m'esclaffai : c'était du Katherine tout craché ! r ses partenaires était quelque chose qu'elle adorait faire. Provocateur je lui répondis :

"On s'est pas vus depuis presque 3 mois, et je suis sur que t'as envie de moi autant que j'ai envie de toi ! On parie combien que tu craqueras plus vite que moi ?"

"Pari tenu ! Répondit Katherine. Je parie même que tu craqueras trois fois pour moi avant que je ne décide de céder."

"On verra bien !"

Au bout d'un certain temps, Katherine me proposa d'aller à la piscine : il était seulement 11h du matin, mais déjà la chaleur se faisait sentir, et la température atteignait largement les 40°c.
J'acceptai donc avec plaisir.

Une fois à la piscine, nous voulûmes prendre deux vestiaires individuels pour nous changer, mais à cause de la chaleur, tous les vestiaires étaient pris. Alors nous en prîmes un pour deux.

Une fois dans le vestiaire, Katherine se déshabilla intégralement. A la vue de son corps nu, je ne pus résister : je l'attrapai et la serrai contre moi l'embrassant furieusement. Katherine se dégagea et me dit moqueuse :

"Tu n'as même pas tenu une heure avant de craquer !"

"Si tu craquais toi aussi on pourrait vivre un moment très hot dans ce vestiaire."

"C'est vrai... Mais je préfère continuer à te r."

Elle me repoussa, et après avoir mis un très sexy bikini noir, quitta le vestiaire, me laissant seul avec une érection monstrueuse. Je dus me calmer avant de mettre mon maillot de bain et sortir : je n'aivais pas envie que tout le monde puisse voir l'effet qu'elle me faisait...

Je me doutais que Katherine n'avait pas fini de me r : je ne me trompais pas. Lorsque je l'eus rejoint, elle était sur une chaise longue à côté de la piscine. Une fois moi aussi installé, elle me tendit un tube de crème solaire et me dit :

"Tiens, c'est important de se protéger du soleil, étale m'en dans le dos."

Sachant très bien que c'était une nouvelle façon pour elle de me tourmenter, je m'exécutai quand même, trop désireux de palper son corps. Je lui étalai donc de la crème dans le dos, puis sur les épaules, puis sur les cuisses et les jambes, tentant de contenir le désir et de m'empêcher de bander. Après lui en avoir étalé dans le dos, je pensai être tiré d'affaire, mais Katherine implacable m'ordonna de lui en étaler aussi sur le devant. Je lui passai donc de la crème sur le ventre, et le buste, rougissant d'excitation. La belle tortionnaire n'en n'avait toujours pas fini avec moi : ce fut ensuite elle qui me passa de la crème solaire sur le dos, puis se mettant à califourchon sur moi, m'en étala sur le ventre et le torse, palpant avec un plaisir évident mon corps musclé.
Elle finit cette séance par un long et délicieux baiser, s'attirant au passage les regards de pratiquement tout le monde à la piscine. Lorsqu'elle eut fini, elle arborait un sourire satisfait : en dépit de tous mes efforts, je bandais comme un taureau. Très gêné (mon érection se voyait comme le nez au milieu de la figure vu qu je n'étais qu'en caleçon de bain), je me mis une serviette dessus afin de masquer un peu tout ça, mais cela se voyait encore un peu ! Fière d'elle, Katherine partit se baigner dans la piscine, quant à moi je dus attendre un moment avant de l'y rejoindre. Le temps de me calmer !

Pendant tout le reste du temps que nous passâmes à la piscine, Katherine me chauffa encore. Elle ne perdait jamais une occasion de venir se coller contre moi, de m'embrasser avec passion (malgré les regards courroucés que nous lançaient les vieilles dames, ou ceux nettement plus intéressés que nous lançaient les autres adolescents), et parfois même me touchant le sexe sous l'eau. Bref, malgré l'eau fraîche, j'étais chaud bouillant et ce n'était pas qu'à cause de la canicule... Il ne fallut pas longtemps pour que je craque : alors que Katherine allait aux toilettes, je l'y suivis et la rejoignis dans le cabinet. Là nous nous jetâmes l'un sur l'autre, nous embrassant avec sauvagerie.

"Allez faisons le là tout de suite ! Dis je d'un ton haletant à Katherine."

"Ok dit elle en m'embrassant le torse et en descendant lentement, ferme les yeux !"

Je fermai les yeux savourant ma victoire avec délectation : certes j'avais craqué une deuxième fois, mais elle aussi venait de succomber à mes avances, et j'allai sans doute recevoir une de ses délicieuses fellations !

Katherine fit tomber mon maillot de bain et soudain je ne sentis plus rien : ni baiser ni caresse. J'ouvris les yeux et compris pourquoi : Katherine était partie ! Pire, elle avait laissé grande ouverte la porte des cabinets, me laissant seul à poil le sexe dressé dans les toilettes des dames ! Le pire fut qu'à ce moment une dame d'une quarantaine d'années passa devant le cabinet, et put admirer le spectacle.
.. Mort de honte, je remis tant bien que mal mon maillot de bain avant de partir en courant et de sauter dans l'eau afin de cacher mon érection...

Katherine était déjà dans l'eau, riant aux éclats devant ma déconfiture. Je boudai pendant un temps, mais elle finit par me rejoindre et se fit pardonner par de délicieux baisers.

"Désolée mon chéri, j'ai pas pu résiter ! Me dit elle entre deux embrassades."

Incapable de lui résister, je finis bien sur par lui pardonner. Une demi heure plus tard environ, nous quittâmes la piscine. J'étais toujours très excité par Katherine, et sur le chemin du retour ce fut pire encore : Katherine avait remis son short, mais avait gardé son bikini en guise de haut, elle était donc toujours d'allure aussi sexy, et en plus marchait d'une démarche lascive qui mettait en valeur ses magnifiques fesses. Je finis par capituler : sachant très bien qu'elle en profiterait pour me narguer, ravie qu'elle serait d'avoir une fois de plus obtenu avec moi ce qu'elle désirait comme elle le désirait, je l'attrapai par les hanches, et tâchai de l'enraîner dans un coin discret, tout en lui embrassant les épaules. Elle m'attrapa le menton et me rendit mon baiser avec sa sauvagerie habituelle.

"On pourrait nous voir ici mon grand, ça ne t'effraie pas ? Me demanda t elle."
"Pas du tout, je m'en fiche, tout ce qui compte c'est que j'ai envie de toi à un point que tu peux pas imaginer."

"Si je peux l'imaginer me répliqua Katherine. Je peux même le toucher, ajouta t elle en me massant mon sexe tout dur."

Je frémis de la tête aux pies et commençai à lui baisser son mini-short. Elle me susurra à l'oreille :

"Ca fait trois fois tu sais ? Tu capitules ?"

"Comme d'habitude. Grommelai je en lui léchant la nuque et en lui baissan son short jusqu'aux chevilles."

"C'est vrai, comme d'habitude."

Soudain, alors que je me préparai à glisser ma main dans son maillot, elle m'attrapa par le poignet, interrompant mon geste. Elle me sussura :

"Ceci dit, je t'avais prévenu : tu devras attendre mon bon vouloir !"

Sur ce, elle remonta son short et me repoussant, reprit sa route vers la maison de Laure, me laissant une fois de plus sur la quille.

Une fois rentrés à la maison, après nous être changés, nous passâmes à table. Après le déjeuner, désireux d'éviter Katherine et ses pièges, je m'installai dans la verranda confortablement assis sur une chaise à bascule, après avoir allumé le ventilateur qui me permettait de lutter contre l'étouffante chaleur qui régnait désormais en maîtresse. D'ailleurs, malgré le ventilateur, je ne tardai pas à souffrir de la canicule.

Je lisai ainsi depuis près d'une demi heure, lorsque je sentis soudain une présence derrière moi : Katherine était entrée dans la verranda et lisait par dessus mon épaule.

"Qu'est ce que tu fais ? Lui demandai je."

"Je m'ennuie, et j'ai chaud. Répondit elle d'un ton boudeur."

"Bah trouve toi une occupation !"

"J'en ai justement trouvé une..."

"Ah ? Et c'est quoi ?"

Sans me répondre, Katherine vint devant moi et m'arracha le livre des mains, le jetant sur la table de la verranda. Puis, se mettant à califourchon sur moi, elle commença à m'embrasser avec délice, me tenant par les joues. Je lui rendis son baiser et l'attirai contre moi, l'embrassant avec tant de fougue que j'en oubliai presque de respirer. Interrompant notre baiser, Katherine me demanda avec son sourire narquois :

"Ca te dit comme activité ?"

En guise de réponse, je l'attrapai par la nuque et l'embrassai à nouveau. Elle se dégagea et se relevant me retira mon pantalon et dans la foulée, mon caleçon. Elle s'agenouilla ensuite devant moi, et prit mon sexe en main. Elle se mit à le lécher de bas en haut, me faisant frémir de plaisir. Après quoi, elle me prit en bouche, et se mit à me sucer, me pompant et faisant des vas et viens avec sa bouche qui me firent me tordre de plaisir. Katherine accéléra encore le rythme de ses attaques bucales, jusqu'à ce que je commence à gémir de plaisir.

Alors, fière d'elle Katherine se leva et fit tomber short et culotte. Puis, elle vint sur moi en me tournant le dos, et s'empala sur mon sexe. Ainsi positionnée, elle se mit à se déancher sur moi, bougeant de gauche à droite, dansant à un rythme effréné, ne tardant pas à gémir de plaisir, et à me faire crier d'extase. Pendant que Katherine s'activait, moi je la tenais par les hanches, amplifiant le mouvement qu'elle faisait et améliorant encore les sensations que j'éprouvais. Je me penchai et lui embrassai la nuque, lui massai et les seins à travers son débardeur et lui chatouillai les côtes. J'étais bouillonnant de plaisir, adorais voir son corps et notamment ses fesses s'activer juste devant moi, Katherine elle prenait également un grand plaisir gémissait sans discontinuer, et se tenait les cheveux.

Au bout d'un moment, Katherine se leva de la chaise et revins sur moi, mais cette fois en se mettant de face par rapport à moi.Elle entamma des vas et viens, allant cette fois ci d'avant en arrière, profitant du mouvement de la chaise à bascule pour amplifier ses coups de reins et les rendre encore plus délicieux. Désireuse de me rendre fou, elle allait tantôt rapidement, tantôt plus lentement, profiant de ces moments pour bien me regarder dans les yeux. Tout en me baisant ainsi, Katherine me tenait les mains, plaquées contre le dossier de la chaise. Elle me fit l'amour ainsi pendant une dizaine de minutes. Après, elle se leva et me tirant par le T-shirt m'entraîna dans la chambre qu'elle occupait pendant les vacances.

Une fois dans la chambre, Katherine m'arracha mon T-shirt et me jeta sur le lit. Elle vint ensuite sur moi et me lécha les pectoraux puis les adbos. Elle se redressa ensuite et retira son débardeur, puis son soutif, libérant enfin ses volumineux seins (95C). Je me redressai et embrassai sa merveilleuse poitirine. Puis, je renversai Katherine, et vins la prendre en missionnaire, et entamai de brûlants vas et viens. Surplombant Katherine, je la baisais avec de puissants coups de reins lui faisant l'amour avec application, la travaillant au corps, frissonnant de plaisir à chacun de mes allers retours, tandis que Katherine, elle, gémiisasait doucement me disant à quel point j'étais doué, et à quel point elle kiffait ce que je lui faisais.

Ainsi encouragé, je décidai de passer à la vitesse supérieure : je saisis les jambes de Katherine, et les mis sur mes épaules, afin de la prendre en enclume. Ainsi, je pouvais la pénétrer plus en profondeur encore, ce qui provoqua chez nous deux une irrépressible vague de plaisir. Je me mis à aller et venir en elle à un rythme effréné, la pillonnant comme jamais, m'enfonçant profondément en elle, allant si vite que j'en transpirais à grosse gouttes, ce qui loin de dégoûter mon amante semblait au contraire l'exciter d'avantage. Katherine se tordait de plaisir, gémissait puis criait à en faire trembler les murs, s'aggripaient à ma nuque comme si elle craignait que je la fasse décoler du lit, et parfois me mordait le menton ou me griffait le dos, ce qui n'avait pour seule conséquence que de m'exciter d'avantage, et de me faire encore accélérer le rythme de mes assauts. A la fin, le plaisir que je lui procurais était si grand qu'elle se tenait la tête dans les mains. J'adorais baiser Katherine ainsi, l'excitation et le plaisir me faisaient trembler de la tête aux pieds, mais je savais qu'elle n'était pas du genre à se laisser faire et que tôt ou tard, elle reprendrait le dessus. Toutefois, elle éprouvait tant de jouissance à se faire baiser ainsi, que Katherine se laissa faire jusqu'à avoir un premier orgasme. Elle poussa un hurlement plus fort que les autres au moment de l'orgasme, et retomba sur le matelas, tremblante de plaisir. J'étais on ne peut plus fier de moi !

Katherine semblait bien décidée à me rendre la pareille : elle me renversa et me plaqua contre le matelas, se tenant à califourchon sur moi. Elle entamma des vas et viens d'avant en arrière, d'abord doucement afin de me stimuler et de réveiller la tigresse en elle qui s'était endormie après l'orgasme. Elle entamma doucement le rythme de ses vas et viens, jusqu'à atteindre une vitesse très élevée. A son tour, elle subit la chaleur torride de la pièce, et son corps se couvrit de sueur, ses cheveux furent également vite trempés, ce qui la rendait encore plus sexy que d'ordinaire. Rien que cette vision me fit trembler d'excitation, mais lorsque le rythme de ses vas et viens devint élevé et régulier, je me sentis défaillir, et je lâchai des cris de plaisir. Je me tordai sous l'effet de ses assauts, et frissonai lorsqu'elle me griffait le torse. Très excité je lui massais les seins, ou encore je lui claquais les fesses ce à quoi elle répondait par une gifle. La baise était très intense, et Katherine ne tarda pas à joindre ses gémissements aux miens. Décidé à participer, je soulevai les hanches pour lui donner moi aussi des coups de reins, lui arrachant des petits cris et l'incitant également à répondre par des coups de reins plus puissants encore, faisant danser des étoiles devant mes yeux. Trop fatigué par le poids que j'avais à soulver et par la chaleur, je finis cependant par renoncer, et laisser Katherine diriger seule les opérations, ce qu'elle fit avec grand talent. Je me redressai et lui dévorai les seins, adorant cela, elle me maintint la tête dans sa poitrine frissonnant de plaisir. Après quoi, elle me jeta sur le lit et m'y maintint cloué au matelas en me tenant les épaules. Totalement maîtresse de la situation, elle reprit ses vas et viens, mais allant plus vite encore, et allant parfois de gauche à droite, je sentis le plaisir monter en moi en une vague irrépressible, mon visage se décomposa sous le plaisir qu'elle m'infligeait, ce qui la fit sourire, et je finis par exploser en un monumental orgasme, qui me fit hurler et me laissa effondré et vidé sur le matelas. Katherine s'écroula à mes côtés, dans le même état.

Une fois remis de nos émotions, il était 16h, et nous décidâmes d'aller à la rivière, non loin de la maison de Laure afin de nous rafraîchir. Une fois arrivés là bas, nous vîmes que nous n'étions pas les seuls à avoir eu cette idée : de nombreux vacanciers étaient également venus se baigner. Katherine et moi nageâmes un temps dans l'eau, puis une fois raffraîchie, Katherine décida qu'il était temps pour nous de nous réchauffer : elle recommança le même manège que ce matin à la piscine, m'embrassant dans le cou, sur les épaules, sur la bouche, rallumant le désir en moi en un temps minime. Une fois revenus sur la plage, je me mis à l'embrasser langoureusement. Nous nous séparâmes, haletants et pleins d'envie l'un pour l'autre.

"Qu'est ce que tu dirais de rentrer à la maison ? Proposai je à Katherine."

"Pas envie, répondit elle. Par contre, j'ai bien envie de visiter ces buissons, là bas..."

"Eh bien d'accord, dis je, allons y."

Entraîné par Katherine, nous nous faufilâmes derrière des buissons de l'autre côté de la rivière. Dissimulés par la végétation, nous nous approchâmes d'un rocher et nous embrassâmes avec passion. Katherine enroulant ses bras autour de mon cou, moi la tenant par les hanches.

La belle brune se libéra de notre étreinte, et prenant appui sur le rocher, me tendit son postérieur. Le geste était sans équivoque. Je lui retirai son bas de maillot de bain, et la pris en levrette, la baisant avec passion et sauvagerie. Katherine se mordit les lèvres pour ne pas gémir (on aurait risqué de nous entendre), et se mit à taper le rocher de manière incotrôlée tant le plaisir était grand. Je la pillonnai sans méagement, désirant en finir au plus vite : à tout moment on risquait de nous surprendre ! Le sentiment de danger ajoutait encore au plaisir que je ressentais déjà à limer Katherine en levrette, à me sentir entrer profondément en elle, à l'entendre ses gémissements, et à la contempler vibrer sous mes coups de reins. Katherine finit par abandonner le rocher et à se redresser complètement, se collant à moi et m'attrapant par la nuque me collant à son dos. Ainsi étreints, nous fîmes l'amour debout, je la tenai fermement par les hanches et la limai par des coups de reins secs et profonds, continuant ainsi jusqu'à atteindre un délicieux et silencieux orgasme qui nous fit vibrer d'extase.

Après ce délicieux moment à la rivière, nous décidâmes tous les deux de rentrer à la maison de Laure. Arrivés là bas, nous tombâmes sur Karl, Margot, Manon et Laure qui étaient rentrés de la spédéologie. Pendant le dîner, ils nous racontèrent leur journée, et nous racontâmes la notre... en "oubliant" de mentionner tous les détails sexuels.

Après le dîner, nous allâmes tous nous coucher, étant tous fatigués, bien que pour des raisons différentes !

Pendant la nuit, je fus réveillé vers 1h du matin par la sonnerie de mon portable : je venais de recvoir un SMS. Laure, qui dormait avec moi grogna dans son sommeil mais ne se réveilla pas. Je pris mon portable et lus le SMS, il venait de Katherine :

"Sors dans le jardin, m'avait elle écrit."

Curieux, je sortis en silence de la chambre, et allai dans le jardin. Je n'y trouvai pas Katherine, en revanche j'apperçus sur le portail un pantalon. En m'approchant, je découvris qu'il s'agissait du jean de Katherine, dessus était collé un postit. A la lumière de mon portable, je lus ce qui était écrit dessus :

"Suis la piste."

Sans comprendre, j'envoyai un texto à Katherine :

"Je comprends pas, qu'est ce que tu me veux ?"

"Sors et tu comprendras. Me répondit elle par SMS."

Intrigué, j'ouvris le portail et sortai dans la rue. J'apperçus sur le murret d'un jardin voisin un débardeur, en m'approchant je vis que c'était celui de Katherine.

Un peu plus loin, j'apperçus un vêtement suspendu à un panneau. En m'approchant je vis que c'était un soutif, celui de Katherine. Intrigué et excité, je continuai de suivre la piste, et ne tardai pas à reconnaître le chemin : c'était la route de la piscine.

100 mètres après le soutif, je découvris les chaussures à talon de Katherine, et un peu plus loin, se trouvait l'entrée de la piscine : sur le grillage était suspendu quelque chose.

En m'approchant, je rougis et sentis l'excitation monter en moi : il s'agissait d'une culotte, celle de Katherine sans aucun doute.

J'entrai dans la piscine en escaladant la barrière et me dirigeai vers le bassin, me doutant que c'était là qu'elle m'attendait. Une fois dehors, devant la piscine, je vis que j'avais raison : de l'autre côté du bassin se tenait Katherine, totalement nue.

Lorsqu'elle m'apperçut, elle plongea dans l'eau avec grâce, et en émergea les cheveux trempés, et l'air plus sexy qu'une sirène. Très excité, je me déshabillai et plongeai à mon tour dans l'eau, la rejoignant rapidement.

Elle vint vers moi et m'enlaça. Je lui demandai :

"Pourquoi ce petit numéro ?"
"C'était pas marrant ? Me répondit Katherine avec un sourire."

"Si assez... Mais on aurait pas été bien dans la maison de Laure ?"

"Non... on aurait du faire attention à pas faire trop de bruit, et ça m'aurait soulé, et j'avais envie d'un bain de minuit, mais vu qu'il y a pas de mer ici on à plus qu'à le faire ici !"

"J'espère qu'on se fera pas prendre, dis je simplement."

Katherine me sourit et m'embrassa, et je me dis que ça valait la peine de prendre des risques ! Elle quitta mes lèvres, et vins m'embrasser dans le cou, m'incendiant le corps, et me faisant bander à nouveau. Je saisi Katherine et la pénétrai, elle enroula ses bras autour de ma nuque, et ses jambes autour de mes hanches, et commença une incroyable baise aquatique. Nous nous déanchions l'un et l'autre, nous administrant des coups de reins de plus en plus rapides et de plus en plus forts, allant sans cesse plus profondément, gémissant d'abord doucement puis très fort, puis criant carrément. Nous nous embrassions avec passion, nous entre-dévorant la bouche, le cou, les seins, les muscles, traçant des sillons brulants avec nos lèvres, n'interrompant nos baisers que pour nous mordre le menton ou l'épaule, incendiant chacun le corps de l'autre, nous caressant et nous griffant l'un l'autre. Nous faisions l'amour dans un tourbillon de coups de reins de baisers de morsures de caresses et de griffures, baisant jusqu'à en oublier nos prénoms. L'eau semblait bouillonner autour de nous, nous éclaboussant, parfois même nous submergeant surtout lorsque nos coups de rein nous faisaient couler rendant notre partie de jambe en l'air encore plus irréelle.

A un moment, nous émergeames de l'eau après avoir baisé sous la surface, et nous apperçûmes que nous nous étions rapprochés du bord de la piscine. Katherine en profita pour se coler à la parroi de la piscine, se laissant faire afin de reprendre son souffle. Je vins alors la prendre par devant, me collant contre son corps, la baisant avec délectation, allant et venant en elle, lui dévorant la nuque, lui massant avec énergie les seins, tandis qu'elle me murmurait à l'oreille combien elle aimait ce que je lui faisais. Puis, je m'écartai d'elle, je saisis le rebord de la piscine, et la baisai en faisant de grands mouvements avec mes bras, me servant de l'eau pour bouger et la baiser plus en profondeur. Elle lâcha des cris de plaisir, qui ne furent interrompus que lorsque je l'embrassai. Puis, je la retournai et la pris par derrière, allant et venant en elle avec vigueur lui massant les fesses et lui mordant l'épaule pour la stimuler. Katherine poussa un véritable hurlement de plaisir, avant de reprendre les choses en mains.

Elle se retourna promptement, et se propulsant à l'aide du mur, me poussa tout le long de la piscine, traversant le bassin dans toute sa largeur. Si bien que ce fut à mon tour de me retrouver collé à la paroi de la piscine. Katherine s'empala une nouvelle fois sur moi et me dis avec son sourire charmeur :

"A mon tour de te baiser mon chéri !"

S'accrochant à ma nuque, elle entamma de délicieux vas et viens, se déanchant sur mon sexe avec grâce et sensualité, me regardant droit dans les yeux avec une intensité brulante. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter irréstiblement en moi, et à frémir puis gémir de plaisir. Katherine joignit ses cris aux miens, tout en continuant à se déancher, ses seins ballotant juste sous mon nez. Katherine me lâcha ensuite la nuque, et se mit à baiser en s'allongeant sur le dos dans l'eau tandis que je la tenai par le dos. Elle se redressa ensuite, ruisselante d'eau, et après m'avoir embrassé, s'appuya sur la paroi de la piscine pour me baiser d'avant en arrière tout en se surèlevant par rapport à moi, me collant sa généreuse poitrine en plein dans le visage. Elle allait et venait à un rythme fou, m'obligeant à serrer les dents pour contenir l'énorme plaisir qu'elle me procurait. Je ne pus évidemment pas le contenir indéfinniment, et finis par exploser dans un délicieux orgasme en même temps que Katherine.
Trempés, haletants et comblés, nous retournâmes tous les deux chez Laure, regagnant chacun notre chambre, pensant l'un comme l'autre que ces vacances chez Laure étaient décidément géniales.

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