La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 463)

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°460 -

Compelled au Château (Histoire écrite par compelled MDE) - Episode 14 – soumis compelled MDE mis à la disposition de Monsieur Felipe.

En début de soirée, juste après le dîner de gala servi en l’honneur du Majordome de Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso, le chien soumis compelled MDE fut sorti du Cachot et conduit, par un garde, à quatre pattes jusqu’à la chambre de Monsieur Felipe pour être mis à la disposition de cet Invité de marque. Sitôt rentré dans cette vaste et luxueuse pièce réservée aux hôtes prestigieux du Maître, il fut interpellé par Le Majordome:

- Tu n’es que vermine ! Et la vermine ne se déplace qu’en rampant. Viens jusqu’à moi ainsi me présenter tes plus serviles et respectueuses salutations.

Et soumis compelled MDE glissa sur le parquet ciré à la manière d’un simple ver et déposa un baiser sur chacun des souliers vernis de celui qui déjà l’humiliait.

- Tu n’es rien, qu’un simple bâtard à dresser et tu peux t’estimer heureux d’être entre les mains de Monsieur le Marquis d’Evans ! Peut-être un jour fera-t-il de toi un chien, un vrai, bien docile, soumis et TRES obéissant. Mais pour cela tu devras subir et souffrir !

Monsieur le Majordome écrasait avec son pied droit, le visage de soumis compelled MDE sur le sol. L’esclave resta sans bouger, acceptant même l’humiliation de bonne grâce sinon avec un brin d’excitation.

- Retourne toi vermine, mets-toi sur le dos, membres en croix largement écartés, offre toi !

Walter ayant confié la clé de la cage de l’esclave à Monsieur Felipe, celui-ci ôta la cage de chasteté de soumis compelled MDE. Sa verge se redressa dans l’instant tant la situation excitait déjà le soumis…

- Je fais te faire regretter de bander comme un porc, d’avoir une paire de couilles entre les jambes ! Je t’interdis de te toucher, tu entends bien.



Ce n’était point dans les intentions de soumis compelled MDE. Ca il le savait qu’il n’avait plus la liberté de se caresser, de se masturber, de jouir sans qu’un ordre lui soit donné. Il resta ainsi érigé, affalé au milieu de la pièce, le temps que Monsieur Felipe revienne près de lui avec une trousse remplie de pinces de différentes tailles. Il lui en posa précisément vingt-cinq sur son scrotum, en les comptant une à une, puis huit le long de sa queue toujours en érection. Il en prit dix de toutes petites tailles qu’il agrippa sur le prépuce de l’esclave faisant une corolle tout autour de son gland, telle une fleur avec ses pétales… La douleur fit grimacer le chien soumis. Il sentit son sexe le bruler et se ramollir soudainement. Mais Monsieur Felipe n’est restait pas là, il fixa deux autres pinces bien mordantes sur chacun des tétons de soumis compelled MDE qui ne pu retenir une violente douleur, ce qui excitait amplement l’esclave mentalement !

- En levrette vermine ! lui ordonna Monsieur le Majordome.

Des pinces plus grosses encore vinrent se poser sur le périnée de l’esclave, sur ses fesses, et sur les lèvres de son anus. La douleur devenait quasiment insupportable, chauffant et irradiant son entre-jambes, et pourtant soumis compelled MDE ne bougea pas, se contentant de gémir seulement. Les pinces les plus douloureuses furent celles placées en dernier, juste à l’intérieur des cuisses sur cette partie du corps ou la peau est la plus fine ! soumis compelled MDE tremblait de tout son corps, geignait. Pourtant, il savait qu’il devait en passer par là, pour satisfaire le Majordome et au-delà le Maître. Il prenait conscience qu’en se donnant ainsi, qu’en souffrant, il y avait quelque chose d’exaltant : une attitude faite à la fois de fidélité, de circonspection et d’audace face à ses engagements, lui permettant sans doute d’accéder à son propre développement dans sa slavitude. Plus loin encore, ses pensées le conduisaient à admettre, que l’abnégation, l’oubli de soi, lui permettrait de se nourrir et de se développer, à dépasser son propre égoïsme, sans rien attendre en retour.
Ne voulait-il pas être qu’un simple esclave MDE ? Si, bien sûr… Il comprit alors que la douleur était salvatrice, elle agissait sur son mental en renforçant ses volontés, ses désirs, ses besoins. Il comprit que le Maître et ses Hôtes n’étaient là, simplement pour l’aider à vivre ce pourquoi il était fait. Alors soumis compelled MDE ne pouvait que leur rendre grâce et les remercier sincèrement. Il commençait à entrcevoir les bienfaits du masochisme, du plaisir que lui apportait la douleur : un plaisir simple mais presque autant jouissif qu’un banal acte sexuel !

Monsieur Felipe avait pris son temps dans la salle de bain, s’était douché, rasé et lorsqu’il revint dans la chambre, il trouva soumis compelled MDE concentré et apaisé. Il avait su apprivoiser la douleur, la contenir et l’accepter ! Il n’avait pas bougé d’un iota. C’est seulement lorsque la main de Monsieur Felipe passa entre ses cuisses et effleura l’ensemble des pinces posées que le chien soumis sursauta, tant la douleur lui fut terrible au moindre geste.

- Redresse toi vermine, mets-toi debout, tête basse et ôte-toi une à une les pinces que je t’ai fixées, sans omettre de les compter à haute voix…

soumis compelled MDE savait ce moment terrible. La dépose des pinces, par lui-même en plus, du vice à l’état pur de la part de Monsieur le Majordome, allait le faire souffrir terriblement. Pire encore il allait se faire souffrir ! Monsieur le Majordome le regarda faire en glissant sa main sous son peignoir et en se caressant ostensiblement… Bien belle et douce perversité ! De belles traces rougeâtres s’imprimaient au fur et à mesure de la dépose des pinces, dans les chairs intimes de soumis compelled MDE. Il se mordit les lèvres pour ne pas geindre ou hurler mais ne put contrôler quelques mouvements archaïques. Monsieur le Majordome se mit alors nu exhibant déjà une verge à demi dressée et se coucha dans ce grand lit à baldaquin et ordonna à soumis compelled MDE de venir le rejoindre.
Il lui intima de passer sous les draps et de le sucer, tout en lui titillant les tétons avec ses doigts. Son sexe prit rapidement de l’ampleur et une fois bien raide, il fit basculer l’esclave sur le dos, lui releva les jambes sur la poitrine et l’encula d’un trait sans aucun préambule. soumis compelled MDE avait pris l’habitude d’être sodomisé d’une telle manière, il se laissa fourrer sauvagement, accepta les assauts vigoureux de cet Hidalgo au sang chaud. La pénétration fut longue et sans plaisir pour soumis compelled MDE, il se laissa pénétrer, saillir et pilonner en gémissant à chaque fois que la queue de Monsieur Felipe se retirait pour mieux s’enfourner encore. Il éjacula à grands coups de reins puissants et très profondément dans les entrailles du chien et assez bruyamment en insultant l’esclave de bien des mots incompris… dans sa langue maternelle.

soumis compelled MDE resta dans le lit sur ordre du Majordome, avec interdiction formelle de se toucher et obligation de laisser son cul à disposition de toutes saillies inopinées pouvant intervenir à n’importe quel moment. A trois reprises dans la nuit, il fut réveillé et de nouveau enculé avec toujours ce ressenti de n’être qu’un vulgaire vide couille que l’on utilise au gré des besoins, des envies... Au petit matin, soumis compelled MDE dut lécher consciencieusement et longuement l’anus de Monsieur le Majordome et ingurgiter sans faire tomber la moindre goutte, sa pisse tiède et amer. Reconduit aux Cachots, cage de chasteté reposée, l’esclave y resta peu de temps. Il prit son petit déjeuner en dog, puis Monsieur le Marquis lui-même vint le chercher.

- Je suis fier de toi Mon chien ! Felipe vient de me faire plein d’éloge sur ton cul, ta docilité et ton obéissance
- Merci Maître Vénéré ! Se contenta de répondre soumis compelled MDE fier des mots du Maître à son égard

Le Maître s’aperçut bien vite que l’anus dilaté de Son esclave laissait échapper encore du foutre. Il fit alors glisser son doigt sur la raie anale du chien pour cueillir cette semence et pour la réintroduire dans le cul de l’esclave.


- Allons soumis compelled MDE, Il serait dommage que tu ne conserves pas en toi ce divin nectar. Il pourrait t’en coûter cher !
- Veuillez accepter mes plus humbles excuses Maître Vénéré
- Je les accepte chien.

Le Maître se tut un moment puis tenant fermement le collier de soumis compelled MDE à Ses genoux il reprit la parole :

- J’ai à te parler Mon chien !

L’esclave baissa un peu plus la tête en signe d’acquiescement et d’asservissement.

- J’ai décidé pour toi, pour ton éducation de t’emmener en Espagne, chez mon très Cher et vieil Ami, Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso. Je veux te faire découvrir d’autres sensations puissent-elles être douloureuses, Je veux commencer à t’enseigner ce qu’est le plaisir dans la douleur, Je veux te voir devenir un esclave masochiste acceptant les s infligées et les bienfaits qu’elles te génèreront, Je veux parce que Je te sais capable, Je veux parce que tu es mon chien fidèle, Je veux, tu entends Mon chien, Je veux…
- Oui Maître Vénéré, Vous voulez et je dois ! Je sais que ce que Vous voulez est bon pour ma condition, j’accepte de souffrir pour Vous, et plus encore me donner à Vous librement.
- Je suis fier de toi Ma chienne salope…

Soumis compelled MDE fut emmené dans la lingerie du Château. Le Maître lui fit enfiler un jean très étroit, il eut bien du mal à fermer la braguette, avec cette cage de chasteté maintenant cadenassée par un plomb plastique. Il mit un tee-shirt très cintré et une paire de chaussure en toile aux pieds. Le Maître lui retira son collier. Quelle drôle d’impression avait-il de se sentir et de se voir habillé ! L’heure était venue de s’envoler pour l’Espagne, de quitter le Château. On ordonna à soumis compelled MDE de s’installer sur la banquette arrière de cette grosse BMW série 3, à côté du Maître. Monsieur Felipe s’asseyait devant à côté de Walter le chauffeur. La voiture démarrait, direction l’aéroport de Lyon Saint Exupéry, direction l’Espagne....

(A suivre…)

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