Vacances

Enfin les vacances. Nous sommes un groupe de filles chaudes qui travaillent dans la même boite. Nous sortons toutes d’une grande école d’où les employeurs viennent nous chercher même avant la fin des études. Nous ne nous gênons pas du tout pour prendre notre plaisir là où il se trouve.
Ainsi par ordre, la moins sage, Angèle, un peu beaucoup esclave de ses sens est une vraie salope. Elle ne sort jamais sans ses boules de geisha, ne porte jamais de culotte, des fois un vague soutif, des jupes à la limite de l’indécence. A 25 ans elle ne compte même plus les aventures masculines ou féminines qu’elle a vécues, comme toute bonne nymphomane. Elle m’a même entrainée une fois dans une relation lesbienne d’où j‘avoue avoir tiré un plaisir trouble. Depuis quand elle me le propose, je refuse, avec un creux dans le ventre : elle sait bien faire jouir les filles, mais je préfère une bonne bite dans ma chatte. Pourtant à 25 ans, je suis assez grande pour avoir ma propre sexualité.
La troisième, Julie a 26 ans. Normalement elle est avec un type qui me semble bien mais qui pour elle ne respecte pas leur pacte d’origine : la baiser au moins deux fois pas jour.
Bref sous sommes trois femelles à la recherche d’aventures. Coté fric, pas de problème puisque nous louons une villa avec 4 chambres à moins de 50 mètres de la Méditerranée. A cela s’ajoute la location d’une voiture pour les trois semaines.
Enfin après le TGV, la location réelle du véhicule, nous arrivons sur nos lieux de divertissements. Nous trouvons notre logis facilement. Moins d’une demi-heure plus tard nous voici sur la plage vers 18 heures. Un grand galop, nous plongeons directement. Après une quart d’heure nous sortons pour rejoindre notre repère. Nous nous essuyons à la salle de bain après la douche. Nous en oublions le rideau. Tant pis si les autres nous voient quand nous prenons notre plaisir avec le jet d’eau. Je dois être la plus prude en me retournant juste à ce moment là, alors que les autres se branlent sans pudeur.


Angèle veut nous essuyer ce que nous acceptons d’avance. Nous savons qu’elle va nous tripoter agréablement. C’est vrai qu’elle arrive à nous faire jouir sans problème en se servant de la serviette et du peignoir. Nous restons nues pour le diner avec la ferme intention de sortir un moment ce soir. Pour nous c’est la vraie détente, même si notre toquée d’orgasmes ne pense qu’à ça justement. Il lui faut vite un homme ou deux, elle s’en fiche du moment qu’elle en aura une dans sa chatte ou son cul.
La fatigue du voyage fait que ce soir nous allons rejoindre nos lits. Si un voyeur nous regardait il aurait un joli spectacle : trois nanas nues allant se coucher, sans mettre de nuisette. En insistant il verrait Angèle se branler une ou deux fois.
Par contre le lendemain matin après une courte grasse matinée, nous allons faire des courses au super marché du coin, après avoir petit-déjeuné dans le bistro d’à coté. Là bien sur nous sommes draguées sans vergogne pas des vacanciers. Nos tenues se prêtent facilement à ce petit jeu : nous montrons plus que nous cachons. Nous prenons rendez vous pour l’après midi sur la plage.
Nous voilà enfin au cœur du sujet. Nos Don Juan sont là. Nous ne sommes pas prête encore à aller nous baigner : ils nous emmènent dans un endroit discret. Nous jouons aux innocentes, ne sachant pas ce qu’ils veulent (?). Ils ont raison l’endroit un peu éloigné de la plage centrale est bien protégé par des genets. Un sentier mène vers des endroits fréquentés uniquement pas des amoureux ou des amants, ce que nous ne sommes pas encore. Nous espérons toutes les trois qu’ils ne tarderont pas à le devenir. Nous ne sommes pas venues de si loin pour compter les mouettes.
Le hasard fait bien les choses ; nous avons chacune un « client » qui nous plait bien, surtout quand nous voyons leur délicate forme à travers leur maillots. Le bien n’est pas très bien monté à priori. Je sais par expérience qu’il doit bien bander. Nous nous allongeons près les unes des autres.
Les mâles sont sur nous rapidement. Après les baisers sur la bouche l’épluchage commence. Les bouches cherchent les pointes des seins. Je ne peux pas parler pour les autres : moi je vois bien grossir une bite. Elle est encore plus grosse que prévue. Il y a longtemps que je n’aurais pas un tel morceau.
J’arrive à faire tomber son ultime rempart. Sa bite est encore plus belle ainsi. Je me sens attirée par elle. Je le laisse me lécher la chatte, il me fait jouir. Il vient sur moi d’en l’intention évidente de me baiser. Je le veux dans ma bouche. Quand il veut me monter dessus j’arrive à me dégager, à prendre sa bite dans ma main, à me retourner pour la mettre dans la bouche. Il se laisse faire. Ma langue caresse lentement le gland. Je prends son gout dans la bouche. Mes lèvres se transforment en sexe, mes joues servent à le branler dans la bouche. Et enfin il jouit. Je ne l’attendais pas si vite. Mais je suis bien récompensée. Son jus, fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, véritables boissons des déesses, me remplit de plaisir. Il reste sur le dos, rompu du plaisir que je lui ai donné. Je veux sa langue sur moi, je vais lui donner toute ma chatte. Là il fait montre de sa maestria à faire jouir les filles.
Je regarde les autres. Chacune à sa façon trouve son plaisir. Si Julie se fait mettre normalement, entre les jambes, Angèle est en levrette avec la bite dans le cul. Pour aller bien avec elle il lui faudrait au moins deux hommes, un devant l’autre derrière. J’ai essayé deux ou trois fois la double pénétration. C’est jouissif mais fatiguant au possible. Il n’empêche que si on m’en proposait maintenant j’accepterais avec plaisir.
Nous allons quand même nous baigner. C’est plutôt une suite de la baise qu’autre chose, sinon que c’est dans l’eau. Mon type est derrière moi, sa bite entre mes fesses, ses mains sur ma chatte. Je me caresse les seins pendant qu’il me branle : il le fait bien le salaud.
Angèle a trouvé le moyen de changer de partenaire. Elle est devant lui, porté en hauteur pour mieux se faire baiser. Sa bouche est collée contre celle de son amant du moment. Je vois Julie penchée en avant avec le type derrière elle. Elle se fait mettre dans le cul.
Nous ne sommes pas très sages. Nous le savons et continuons. Des promeneurs passent pas loin. Heureusement qu’ils ne voient pas que nous sommes tous nus, les hommes avec leur queues dans nos corps. Ils ne nous empêchent pas de jouir notre soûl.
Ce soir, c’est la fête au village. Nous allons écouter l’orchestre qui ne joue, pas mal pour une fois. Nous sommes un peu éloignés pour nous donner encore. J’ai changé d’amant : ma réputation de bonne fellatrice est faite. Je suis chargée de récupérer le sperme de nos amis. Je ne retrouve pas le bon gout du premier. Je ne pense pas en retrouver un jour un similaire.
Les vacances commencent à peine. Nous allons vivre des baises mémorables.
Si vous le désirez, je parlerai de la suite dans une prochaine chronique.

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