La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 469)

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°468 -

Les larmes coulant à grands flots, tout d’un coup consciente et honteuse de ses actes et quelque part affligée de ne pas en avoir mesuré les conséquences pour ce qui se voulait n’être qu’une blague de bizutage pour la « stagiaire » nouvellement arrivée, qu’elle n’imaginait même pas capable de pouvoir devenir un jour une soumise digne de ce nom et qu’elle jalousait cependant car la jeunette lui volait le temps du Maître.

- Respectable Monsieur Le Marquis d’Evans, humblement contrite à vos pieds, je viens Vous avouer sans détours ma très grande faute dont je me repends et qui est bien telle que Monsieur Here l’a annoncée. C’est moi qui ai menti en demandant à la stagiaire, dont j’ignore le nom véritable, qu’elle devait sans tarder courir vous chercher et vous ramener ici avant le retour de Monsieur, parce que c’était lui qui l’aurait exigé et qu’elle se devait d’obéir à ses ordres sans se poser de questions, comme il avait commencé à lui apprendre.
- Oui, je t’entends, mais tu n’as pas été au bout de tes aveux, ce me semble, car tu ne m’as pas explicité les raisons qui t’ont poussé à agir ainsi en mentant effrontément et en portant préjudice au Maître auquel tu appartiens, ce qui est indigne d’une esclave, ce que tu ne peux prétendre ignorer car cela fait déjà deux ans que tu es sa soumise.
- Respectable Monsieur Le Marquis d’Evans, je n’ai aucune excuse valable, j’en suis consciente et j’espère que je pourrais obtenir Votre pardon et celui de Monsieur Here, même s’il me faut pour cela endurer une punition amplement méritée. Je crois que j’ai perdu mon self-control depuis l’arrivée de cette jeune fille. Monsieur Here a été très occupé pendant ces deux jours, il a eu fort à faire, je le reconnais bien volontiers. Mais j’ai honte de devoir dire que je pense avoir été très jalouse et excédée de celle qui avait su capter l’attention du Maître en si peu de temps, alors que j’ai toujours été obéissante et dévouée pendant des années de servitude.



Le Marquis d’Evans att le menton de slavina pour la redresser et plonger ses grands yeux bleus dans les yeux trempés de la soumise qui a bien du mal à soutenir le regard Directif et froid de celui qui la toise.

- Regarde-moi quelques instants que je puisse lire dans ton âme et savoir si ton repentir est suffisamment sincère. Sache que la jalousie n’est pas un sentiment acceptable pour une soumise ou un soumis, car il va à l’encontre de sa condition servile qui est de n’être plus rien par lui-même si ce n’est le désir de devenir un objet de plaisir, juste à travers son appartenance et son allégeance la plus totale au Maître. C’est un sentiment dévastateur dans la vie vanille, et encore pire dans la vie D/s. C’est en outre quelque chose que, pour ma part, je ne saurai tolérer en Mon cheptel, favorisant la fraternité entre les nombreux frères et sœurs de soumission qui sont sous Mon Joug et qui ont tous en commun le même désir, celui de satisfaire en tous points Monsieur le Marquis d’Evans et de vouloir le savoir heureux, chacun ou chacune y contribuant conjointement et non individuellement, car tous et toutes ont quelque chose de particulier et de merveilleux à m’offrir dans leur soumission lorsqu’elle est vécue de l’intérieur avec sincérité et Dévotion.

Slavina est impressionnée par le charisme et la Dominance du Châtelain qui parle avec une grande sagesse et des mots justes. Elle comprend un peu tard qu’elle a agi par stupidité comme une gamine manquant de confiance en elle. Elle s’effondre en pleurs recroquevillée sur elle-même à terre.

- Monsieur le Marquis d’Evans, Je vous supplie de bien vouloir accepter mes plus humbles excuses et daigner pardonner à l’indigne créature qui est prosternée à Vos pieds. Monsieur Here, Maître, je n’ose encore venir implorer votre pardon. Ayez pitié de l’esclave qui est Vôtre. Faites de moi ce qu’il vous plaira, je vous appartiens et je ne désirerai jamais rien d’autre. Je vous supplie de bien vouloir consentir à me punir de la manière qu’il conviendra tant à Monsieur le Marquis d’Evans, qu’à Vous-même, Maître, que j’ai offensés par ma faute malintentionnée et, qui plus est, totalement stupide et indigne de celle qui espère cependant redevenir l’esclave slavina dévouée aux pieds de Monsieur Here.


Le Châtelain prend la parole le premier en temps que Maître des Lieux.

- Slavina, je prends acte de tes propos et j’accepte d’entendre tes excuses pour l’instant. Je pense que Monsieur Here, Mon cher ami, qui m’a donné carte blanche, ne verra pas d’inconvénient à ce que j’exige pour partie de ta repentance que tu restes pendant 8 jours en ce Château. Outre le fait que cela ne te sera pas inutile pour ton éducation d’esclave-soumise, cela te fera du bien d’être en contact avec les chiens et chiennes de Mon cheptel et de constater que la jalousie n’a aucune place entre ses murs et à Mes pieds, et que la fraternité au sein du cheptel MDE est une règle de base à laquelle je tiens pour tout ce qu’elle a de positif tant pour les esclaves que pour Moi qui suis le Maître de tous et toutes sans distinction. Pour le reste de ton châtiment, car ta faute était volontaire et elle ne peut être effacée et pardonnée aussi facilement, tu verras en temps voulu ce qui te sera imposée pour pouvoir te racheter et ne plus jamais recommencer.

Le Noble s’approche alors de Monsieur Here et discrètement à l’oreille, il lui glisse quelques mots.

- Monsieur le Marquis d’Evans, Votre choix est plus que judicieux. Je reconnais là encore Votre talent dans la Dominance et la justesse de Vos punitions.
- Très cher ami, Je vais devoir vous laisser après ce petit intermède dont je me serai bien passé du début qui m’avait sur le moment fort irrité, mais les choses ont fini par rentrer dans l’ordre, et je ne connais pas la rancœur. Je serai d’ailleurs fort curieux de connaître le devenir de votre stagiaire. Je trouve que son titre lui convient bien. Elle n’a pas cessé de regarder tout ce qui se passait et tout ce qui se disait, je pense que cela n’a pu qu’être très instructif pour celle qui a encore tout à découvrir et à apprendre de vous. En tout cas, je reconnais que depuis votre arrivée, elle a appliqué à la lettre vos instructions « ne pas ouvrir la bouche et rester à vos côtés sans bouger et sans rien faire de sa propre initiative ».
Elle a peut-être plus de dispositions que je n’ai pu l’imaginer au départ, manquant juste de l’éducation de base qu’elle n’a jamais dû recevoir. Je vous souhaite de réussir votre pari après tout, et tant pis pour Maître D’Oz et Maître Kas, même si je les respecte également.

Le Châtelain salue son ami, en lui disant que son challenge lui fait penser à la comédie musicale « My Fair Lady » avec Audrey Hepburn et Rex Harisson dans laquelle un éminent professeur de linguistique rencontre une marchande de fleurs des rues sans le sou et sans éducation, avec une façon de parler des plus vulgaires et de se comporter des plus déplorables. Il décide d’en faire par défi une grande dame qui sera capable après quelques déboires de donner le change à tous par ses bonnes manières, son parler délicat et châtié, et son attitude des plus raffinées dans la haute société. Le Marquis d’Evans s’éloigne suivi de sa chienne soumise Holly MDE qui a attendu à quatre pattes sans jamais rien dire, ni se plaindre, bien trop heureuse de pouvoir rester le plus longtemps possible juste aux pieds du Maître Vénéré.

Monsieur Here att sa soumise par les cheveux qui était encore prostrée par terre en pleurs. Il la fait tourner sur place pour qu’elle soit orientée face à lui.

- A nous deux, slavina, maintenant. Es-tu d’accord pour accepter la punition que je vais devoir t’imposer, même sans en connaître la teneur ? Sauf à savoir qu’elle sera telle que Monsieur le Marquis d’Evans dans sa très grande sagesse me l’a édictée, outre le fait que je te laisserai donc demain pour 7 jours en ce Château. Le Majordome, Walter, te ramènera chez moi au terme de ton temps d’épreuve si tu n’as pas démérité pendant toute la semaine. Cela te laissera largement le temps de réfléchir sur ce qui s’est passé. Si outre ton désir de soumission tu avais eu un temps soit peu d’amour profond à mon égard, tu aurais dû avoir envie de tout faire pour que je gagne mon pari et m’aider dans ma tâche, au lieu d’être jalouse et sans raison qui plus est, puisque ma stagiaire que j’entends éduquer comme femelle-soumise est aussi la compagne vanille de mon employé Louis et que vis-à-vis de lui, je la respecterai toujours en tant que femme.

- Monsieur, j’accepte tout ce qu’il Vous plaira de m’imposer comme châtiment pour ma faute insensée, même si je dois en souffrir physiquement et moralement. Je suis en votre pouvoir et j’espère pouvoir regagner un jour votre estime et vous faire oublier ma défaillance insensée.
- C’est tout à fait cela, tu vas devoir en souffrir physiquement et moralement, car il est important d’aller combattre le mal à la base pour en extraire toute la graine malsaine.

Le Dominant envoie la chienne-femelle N°32MDE, qui avait été mise à sa disposition en début de soirée, chercher en cuisine une racine de gingembre bien fraîche et il lui demande de la débarrasser de la peau protectrice et de la tailler en forme de plug anal avant de revenir. Pendant ce temps là, il fait installer sa jeune stagiaire sur un sofa muni de larges coussins.

- Ma toute belle ingénue, il te faudra bien du temps avant de pouvoir prétendre être une soumise, mais je ne doute pas qu’un jour prochain, tu seras capable de te retrouver en présence du Noble Monsieur le Marquis d’Evans, sans faire la moindre gaffe de langage et sans risquer de l’importuner. Me feras-tu confiance jusque là et es-tu prête à m’obéir en tous points.
- Oui, Monsieur … je m’excuse …. Ah non, Le Grand Châtelain, l’a dit que je devais dire « je vous prie de m’excuser ». C’est comme cela qu’y faut dire ? j’savais pas !
- Je ne t’en veux pas pour tout ce qui s’est passé, ma petite protégée encore si inculte mais où tout est à parfaire grâce à mon aide. Monsieur le Marquis d’Evans a été très compréhensif, c’est une personne de très grande qualité apprécié de tous ici et dans notre milieu BDSM. C’est slavina s’est joué de toi, mais elle va le payer durement, cela lui apprendra. Je veux qu’à l’avenir elle puisse te considérer comme sa jeune sœur et non sa rivale, et que toi dans ton éducation tu puisses compter sur elle comme sur une grande sœur, car j’aurai aussi besoin de son aide et qu’elle te serve d’exemple, mais de bon exemple, et cela elle ne l’avait pas compris à sa juste valeur. Pour l’instant, enlève ta petite culotte et allonge-toi ici.

La stagiaire s’exécute un peu excitée à l’idée qu’elle va se faire sauter par Monsieur Here qui ne l’a encore jamais touché sexuellement jusque là, ce qui lui paraissait étrange, car elle avait l’habitude à l’usine que chacun lui mette régulièrement la main aux fesses, et qui depuis le début de la soirée n’arrêtait pas de voir des personnes qui copulaient dans tous les cas sans pouvoir elle-même participer aux festivités excitantes.

- Monsieur le Marquis d’Evans m’a raconté que tu lui avais dit que tu imaginais que le rôle d’une soumise était de « toujours écarter les cuisses, les fesses ou la bouche à chaque fois que le mec a envie de tirer un coup ou de se faire sucer ». Et bien la leçon de ce jour sera de te démontrer que ce n’est pas toujours le cas et que la soumission est bien plus que cela et même bien autre chose que cela. Tu es excitée ma toute belle, je le sens !

Monsieur Here passe sa main dans la chatte humide de la stagiaire. Il en ressort des doigts souillés qu’il trempe aussi sec dans la bouche de slavina qu’il vient d’attr par les cheveux pour la faire glisser sur le parquet et la conduire jusque dans l’entrecuisse de la jeune fille trempée qui a écarté les jambes sans la moindre pudeur.

- Slavina, mets-toi à quatre pattes et lèche cette belle chatte qui te fait face. Tu vas lui sucer son bouton d’Amour jusqu’à la faire jouir, et fais en sorte de lui donner du plaisir en t’attelant à ta tâche de bonne suceuse. Je vais te regarder faire et pour donner un peu plus d’ardeur à ma femelle, je vais parer ton petit trou de ce joli plug que je viens de faire préparer à ton intention. Tu garderas ce figging (intromission de racines de gingembre) jusqu’à ce que j’entende ma petite protégée jouir de plaisir avec ta langue. La prochaine fois, cela t’apprendra à parler à tort et à travers.

Monsieur Here enfonce le plug-racine profondément dans l’anus de slavina, qui sans tarder se met à sucer la chatte de la stagiaire, décalottant dans un premier temps le clitoris qu’elle titille de toutes ses forces, passant sa langue inquisitrice entre les lèvres intimes ou autour du bouton de rose excité et gonflé, car elle sait très bien que le gingembre qui au départ est largement supportable se transforme bien vite en une douleur de plus en plus insupportable qui ressemble presque à une brûlure tant l’échauffement produit est intense.

Pour ajouter à l’intensité de la punition, l’esclave N°32MDE est chargée de fustiger avec un martinet à longues lanières la croupe de slavina pendant qu’elle s’affaire à donner du plaisir avec sa seule langue à la jeune stagiaire, qui découvre pour la première fois de sa vie les plaisirs saphiques. Monsieur Here, pour ajouter à la prise de conscience de son esclave fautive et punie, ajoute :
- Tu vois, slavina, j’avais très envie de toi ce soir, j’avais envie de toi comme Maître mais aussi comme Amant. Cela faisait deux jours que je m’occupais sans relâche de ma petite protégée à éduquer et je comptais bien la laisser quelques instants sous la surveillance de l’esclave N°32MDE pour pouvoir m’occuper enfin de nous deux et m’octroyer du plaisir charnel que nous aurions pu partager. Il n’en sera rien par ta seule faute et tu me prives même de ta compagnie dans mon lit pour toute la nuit. Une fois la punition terminée, l’esclave N°32MDE sera chargée de te conduire dans un des chenils de Monsieur le Marquis d’Evans que tu vas pouvoir occuper pendant une semaine, 7 jours pendant lesquels aucune jouissance ne te sera accordée d’un commun accord entre Monsieur Le Marquis d’Evans et moi-même. Tu dois comprendre combien venant d’une soumise en qui j’avais totalement confiance, ton mensonge en est d’autant plus indigne et stupide. Tu m’as fait honte et il me faudra du temps avant de pouvoir oublier et te pardonner.

Slavina éclate en pleurs en entendant le Maître lui parler, Son cul est en feu avec la racine de gingembre qui lui dévore les entrailles. Elle qui avait agi par jalousie, se trouve maintenant obligée de donner du plaisir à celle qu’elle avait jalousée depuis 48h tout en sachant qu’elle-même n’en recevra aucun et sera frustrée pendant de longs jours. Mais ce qui lui fait le plus de mal est de se rendre compte combien Monsieur Here est attristé de ce qu’elle a fait. Ne songeant plus qu’à regagner l’estime de celui à qui elle appartient, elle s’active à lécher les lèvres humides de la jeunette qui commence à se cabrer avec des soupirs de plus en plus forts, sentant le plaisir monter dans le corps excité de la stagiaire qui aura au moins tiré beaucoup d’enseignement de cette soirée. Slavina, plus experte dans l’art de la fellation que dans le cunillingus, se force néanmoins à faire durer les caresses buccales autant qu’elle le peut, malgré la douleur qui lui cuit les fesses car les coups de martinet n’ont toujours pas cessé et celle qui lui brûle l’anus où le gingembre est encore enfoncé, pour donner plus de plaisirs à celle dont elle avait cru pouvoir jouer de sa naïveté quelques instants plus tôt.

- Ah, Ah, Ah, ….. encore, c’est trop bon …. « j’jamais » joui comme ça avant ….. hummmmmmmmmmmmmmm

La stagiaire découvre pour la première fois de sa vie un orgasme tout en douceur sans pénétration. Slavina est toujours en larmes de savoir qu’elle va devoir quitter le Maître pendant 7 jours ce qui reste pour elle la punition sûrement la plus difficile à supporter. Elle n’a toujours pas osé se relever attendant l’ordre de Monsieur Here qui lui ordonne de venir à ses pieds avant de pouvoir être emmené par N°32MDE. Il lui ôte le plug en gingembre et regarde celle qui se prosterne en larmes, avec la croupe rougeâtre, et le visage noyé de larmes.

- Maître, Je Vous remercie humblement d’avoir pris le temps de m’infliger une punition largement méritée. Je ferai tout pendant une semaine pour que vous puissiez à nouveau être fier de celle qui vous appartient. Je m’y engage, car je ne souhaite plus qu’une seule chose, regagner votre estime et pouvoir être autorisée à retrouver la place à vos pieds que vous m’aviez accordée.

(A suivre ….)

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