La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1474)

L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1465) -

… le Châtelain savoure le spectacle, celui de mon corps ciré et exposé à Son regard gourmand, de cette ‘œuvre d’art’ laquelle je suis le sujet et le Maître en est le peintre, le sculpteur… A peine remise de mon prodigieux orgasme, je réalise ce qui vient de se passer. Plusieurs fois avec le Châtelain, nous avons parlé d’un éventuel côté masochiste en moi, mais sans jamais aller plus loin. C’est bien la première fois que nous essayons. Je réalise aussi que rien par mes fantasmes et ressentis, le Maitre l’avait deviné, et comme toujours en ce qui concerne ma vie à Ses pieds, Il avait bien raison concernant mes pulsions masochistes. Je sors bien vite de mes pensées car, malgré cet orgasme hors normes, tellement violent, puissant, j’ai jouis sans l’autorisation du Maitre. Je sais la gravité de ma faute, surtout que le Noble a horreur de la désobéissance. Je ne sais pas quoi faire, l’envie de me jeter aux pieds du Maitre pour implorer Son pardon est si présente, mais attachée ainsi, je ne peux bouger. Et même si je ne l’étais pas, je n’ai pas reçu la permission de bouger, et encore moins de parler. Je reste donc silencieuse ne souhaitant pas aggraver mon cas…

Le silence du Châtelain ne m’aide pas, et je culpabilise tant, sans même pouvoir le contrôler, je me mets à pleurer car ma faute que je sais extrêmement grave, mais même dans cet état, j’essaye de rester la plus silencieuse possible. Dans l’espoir de ne pas faire plus tomber de courroux du Maitre sur moi... Après, ce qui me parait une éternité d’attente, le Noble commence à me détacher, il m’att par les cheveux et me traine ainsi, jusqu’à la nouvelle cage, ramène par lui plus tôt et se trouvant dans mon salon. Je suis comme une chienne qui vient de faire une bêtise, et qu’on met dans sa cage en punition, sauf que je me doute que ce ne sera pas ma seule punition. Ne pouvant me mettre entièrement debout dans cette cage assez basse, je suis obligé de m’y allonger couchée en chien de fusil.

Pas un mot n’est prononcé de la part du Maître, le seul bruit présent dans la pièce et celui de mes larmes suite à ma faute. Et même si j’essaye de rester toujours le plus silencieuse possible, elles sont comme entendues. Je ne sais ce qui se passe, Monsieur le Marquis es tellement silencieux que je n’arrive pas à distinguer un bruit qui me permettrait de savoir ce qu’il fait. A un moment, j’entends juste la porte de chêne s’ouvrir et se refermer. Je ne sais combien de temps et passer depuis que le Noble m’a enfermée dans la cage. Mais j’entends enfin Ses pas dans le salon. Sans m’y attendre, je sens quelques choses toucher mes fesses et me mettre de légers coups. Il ne faut pas longtemps pour comprendre que c’est le Châtelain qui fait passer Son pied entre les barreaux pour me donner de légers coups. Et c’est d’une voix Dominante, qu’Il exige :

- Allez la chienne au lieu de pleurer, vient recevoir ta punition pour ta faute, sors de ta cage, et vas à quatre pattes te mettre allongée, couchée sur le dos et les quatre pattes en l’air devant le canapé, exécution, la chienne mal dressée…

Je m’exécute donc, étant le cul face à la sortie de la cage, il m’est difficile de sortir. Trouvant sûrement que je prends trop de temps, le Châtelain m’att par mes cheveux et me fait sortir en tirant en arrière. Il me met aussi quelques claques cinglantes sur la fesse pour me faire comprendre d’aller plus vite. Arrivée devant le canapé, je me positionne comme exigé par le Noble. Il arrive derrière moi, d’abord avec un gode vibrant électrique dans les mains, qu’Il me m’insère d'abord dans ma chatte déjà bien humide. Ce gode sera mise en mouvements de va-et-vient par le câble d’alimentation qu’Il branche à une prise murale. Ensuite, il prend un plug également électrisé et flanqué de deux autres longs câbles qui se finissent par des pinces au mordant en métal. Il me pénètre le plug dans le cul, et m’accroche les deux pinces une à chaque sein, sur mes tétons dressés pour ensuite aller également brancher aussi ce plug à la prise murale par son câble d’alimentation.


- Alors, écoute bien, Ma salope de chienne, puisque tu aimes tant jouir et même jouir sans y être autorisée, tu vas encore jouir. Mais où est la punition, te penses-tu ? Eh bien, tu vas tellement jouir que tu me supplieras d’arrêter, mais Moi et Moi Seul décidera quand ce délicieux supplice s'arrêtera et peu importe combien tu me supplieras d’arrêter. De plus, le plug relié dans ton cul a aussi pour effet de donner des petites décharges électriques qui partiront aussi jusqu’à tes tétons de chienne. Parfois je déclencherai aussi les décharges pendant que le gode te baise la chatte. Et à chaque fois, que tu jouiras à ne plus retenir ton orgasme, je déclencherai des décharges électriques dans ton cul et sur tes tétons qui irradieront tes seins et dans ton sexe et cela tout à la fois pendant tes orgasmes. Tu es donc autorisée à jouir quand tu le souhaites et surtout autant que tu en a envie…

C’est ainsi que le Châtelain active le gode qui commence à bouger dans ma chatte en des va-et-vient réguliers et qu’il active parfois avec des décharges électriques d’une forte intensité et qui réveillent mon côté masochiste nouvellement découvert. C’est donc assez rapidement que je me mets à jouir, n’y tenant plus car ce traitement est trop bon, trop excitant alors j’explose dans un orgasme puissant. Mais à peine remise de cette première jouissance, que le Noble recommence à augmenter la rapidité des allers-et-retours du gode dans ma chatte ainsi que les décharges devenant parfois plus forte. Et ainsi j’explose encore dans un orgasme incroyable, surtout quand il active en même temps le plug électrisant mon cul et mes seins. Je ne sais pendant combien de temps, ni à combien d’orgasmes, j’en suis, mais je commence à avoir du mal, beaucoup de mal, malgré des excitations foudroyantes activées en permanence. Le Maitre ne me laisse aucun répit après un orgasme. Et de fait, ceux-ci s’enchaînent sans discontinuité à un rythme fou, effréné, infernal ! Parfois j’entends Monsieur le Marquis m’insulter, et m’humilier pendant que je jouis encore et encore à n’en plus finir, Surtout que pour accen encore plus fort mes excitations, il me branle à tout va, mon clitoris sans ménagement et surtout sans s’arrêter… Il a même sortie son sexe et à commencer à se masturber devant moi, pour finir par m’éjaculer dessus souillant mes seins de Sa divine Semence…

Je ne sais pas à combien d’orgasmes mon corps a subi, je ne sais pas depuis combien de temps je jouis sans modération, sans retenue.
Mais je commence à ne plus pouvoir jouir, alors que paradoxalement l’excitation est toujours parfaitement stimulée surtout comme je suis appareillée. Et je comprends le Maitre quand Il me disait que la jouissance peut être un exquis plaisir tout comme elle peut être une douce . J’essaye entre deux orgasmes foudroyants de supplier le Châtelain d’arrêter, d’au moins me laisser reprendre mon souffle, mais rien n’y fait, le Maître reste sourd à mes supplications. Le gode continue à aller et venir et à vibrer, les décharges électriques continuent dans ma chatte, mon cul et tétons, et mes jouissances aussi... Sûrement quand Monsieur le Marquis réalise que je suis entièrement vidée, épuisée, Il décide enfin d’arrêter… Je suis épuisée, et je n’en peux plus, je n’ai jamais autant jouis à satiété. Le Châtelain m’enlève tout mon appareillage et me fait lécher gode et plug avec ma langue afin de bien nettoyer le matériel. Puis Il att une très longue chaine, qu’Il m’attache à mon collier, et aux pieds de la table basse. Je n’arrive plus à bouger. Le Noble me ramène une gamelle d’eau devant moi, Il m’autorise à boire. Apres avoir un peu repris mes esprits, c’est agenouillée devant Lui que je supplie le Maitre de me pardonner pour ma faute pour mon orgasme interdit.

- Bien Ma chienne, sèche tes larmes, et calme toi, tu as été punie et tu as parfaitement subi ta punition. Tu es donc pardonnée, mais ne t’avise pas à recommencer. Je veux que cela te serve de leçon… Bien, tu vas rester ainsi attachée à cette table pleine de sperme jusqu’à demain matin. Tu as interdiction de bouger, si ce n’est pas à quatre pattes, ton repas ce soir, tu le mangeras dans ta gamelle et tu dormiras ce soir par terre et pas dans ta cage, tu as interdiction de jouir pendant une semaine. A bientôt la souillonne cochonne…

Sans un mot de plus ou un regard, le Noble me tourne les talons et s’en va me laissant ici comme ça. Ou je suis restée ainsi jusqu’au lendemain matin comme exigé par le Châtelain.
Le lendemain matin, je lui ai fait un compte-rendu de ma nuit passée ainsi, de tout ce moment passé ensemble. C’est seulement trois semaines plus tard, que j’ai des nouvelles du Maitre…

(A suivre …)

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