Ma Première Fois À L'Hôtel

J'étais en classe de terminal en ce temps, elle en première. Marie et moi sommes amis depuis quelques mois déjà. Elle connaissait assez bien ma copine officielle à l'époque. On marchait ensemble pour rentrer le soir mais c'était pas la grande amitié entre elles. Une semaine auparavant, Marie avait accepté jouer au benevolat avec moi. C'est à dire que nous allons baiser ensemble mais pas question d'amour entre nous; elle avait son copain à Baguida en ce temps or elle était à Totsi et moi Djidjolé. Ce jour on était en récré et sur le balcon, je taquinais Marie comme quoi, j'avais envie d'embrasser ses lèvres semblables à des raisins, sucer, lecher ses seins aux allures de noix de coco, caresser son corps centimètre après centimètre, lecher, sucer doigter son clitoris et sa chatte; et m'ocuper de tout coeur de ses fesses (elle les a énormes, elle n'a rien à envier à Liza de Djanta Kan). Après m'avoir demandé si je suis certain de ce que je lui dit, elle accepta à condition qu'on quitte l'école pour nous retrouver chez elle après 30 minutes. J'acceptai aussi vite comme un mendiant nigerien de Zongo accepterait un billet de 1000 francs CFA et me voilà quelques secondes après devant le censeur pour prendre une fiche de sortie. Je lui expliquai que je devais me rendre à Cotonou vite pour prendre un collis que m'avais envoyé ma mère depuis la France via une béninoise. Vu que j'étais sérieux et brillant en classe, le censeur me donna sans broncher la fiche de sortie. Je revint en classe, prendre mon sac sans oublier d'envoyer un SMS de confirmation à ma bénévole. Je sortit de l'école, revint à la maison prendre une douche, me parfumai le corps. Tandis que je regardais la circulation tout en me brossant les cheveux, (notre maison était au bord d'une grande voie, ma chambre étais à l'étage) je vis ma future nikeuse passée sur un zémidjan. Je m'empressai de prendre des capotes sous mon lit, les mit dans ma poche et sortit de la maison. Me voici devant le portail de Marie quelques minutes après.

J'appuie sur la sonette et c'est au moment de vérifier que j'avais bien mes outils de travail ( capotes et chocolat) alors même que j'entendais des pas venir que je me rendis compte que j'étais encore dans ma tenue scolaire, pentalon bleu, chemise blanche.

Le portail s'ouvrit et je vit Marie m' apparaître, souriante avec un décolté qui mettait en valeur ses nichons alors qu'en bas, elle avait noué un pagne à la taille. Elle était belle, sensuelle avec ses dents blanches et ses cheveux tirés en queue de cheval. Une queue de cheval, c'est ce qu'il me faudrait pour m'occuper de la fente à celle-ci me suis-je dit en voyant le bout de ses lolos pointés comme un obut américain dressé en direction de Bagdad. On pouvait facilement lire l'envie qu'elle nourissait à mon égard dans ses yeux. Elle me dévorait tellement, j'ai vite compris, que cette meuf aux hanches et fesses énormes se nommait bien Marie mais, elle n'avait rien à avoir avec la vierge. Marie m'expliqua brievement que ses frères et leurs potes avaient amener de la marchandise à la maison et vue que leurs chambres étaient saturées, le plus agé a pris sa chambre à elle. J'étais effondré, deçu, découragé. Je n'allait donc pas pouvoir labourer ce terrain si juteux à mes yeux. J'allais lui demander si elle pouvait venir chez moi le soir quand, elle me dit:
- Te fache pas, suis-moi !
Je m'éxécute et je la suit. Arrivée au bord de la route la première tandis que mon portable sonnait, elle appelle deux zémidjan tandis que je reçevait le coup de fil. Je montai sur la moto qui m'était réservée sans savoir quelle était la destination. Après quelques minutes, ma moto qui suivait celle de ma conquette aux très grosses fesses s'arrêta devant un hôtel. Je descendit tout comme Marie qui s'empressa de payer les z-men et rentra dans l'hôtel. Je compris vite que ma première séance de jambes en l'air avec Marie allait donc se faire dans un hôtel, ce hôtel. Etant toujours au téléphone ( à l'autre bout, une ex qui cherche revenir après 3mois de séparation), je fit semblant de ne pas être venu avec la fille aux grosses fesses qui avait payé mon z-man, tellement j'avais honte; mais c'est sans compter sur ma tenue scolaire qui me trahit.
S'il est vrai que l'habit ne fait pas le moine, il aussi vrai qu'on reconnaît le moine par son habit . Soudain j'entend derrière moi un des deux agents de sécurité murmuré :
- ces élèves de (Nom de notre école) ne font que se baiser au lieu d'aller étudier; et au second de m'envoyer :
- Jeune homme n'avez-vous pas cour? (En mina )
Je ne savait plus quoi faire encore moins quoi répondre. Le seul truc qui m'est venu à l'esprit est de sortir mon chocolat alors même que mon appel s'achevait. Je rangai mon portable dans ma poche et au moment de mettre une tablette à la bouche, l'autre con, me renvoie :
Jeune homme n'avez-vous pas cour?
En ce moment, je vit Marie venir et pour ne pas paraitre faible je retourne à mon interlocuteur dans un Français purement sorti de la Sorbonne:
-Je comprends pas votre langue! ; Puis marchai avec précipitation vers Marie. Une fois dans l'hôtel, Marie m'expliqua qu'elle avait déjà régler les frais et me demanda si je voulais prendre quelque chose, devant le regard des hôtesses, je répondit par la négativité alors que j'aurais avec plaisir accepter un petit Guiness . Nous montâmes les escaliers vite, Marie ouvra la porte rentra, ce que je fit aussi, elle ferma la porte puis me dévorant des yeux comme un sommalien devant un plat de riz, enleva son pagne. Surprise ! Elle n'avait rien en dessous .

La suite vient .
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ps: Le mina est la langue parlée à Lomé, la capital du Togo

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