La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 473)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°472 - Encore quelques jouissances bien perverses, chez Monsieur le Comte –

Près du Maître, les trois chiens mâles dominants étaient restés en posture d’attente avec leur impressionnant sexe dressé et prêt à saillir tous culs qui seraient présentés à la copulation anale si le Maître l’exigeait et cela pendant le temps de la flagellation de soumis compelled MDE. Sur ordre, l’un des trois tourna la manivelle du treuil pour faire redescendre l’esclave MDE de son arbre perché. Les deux autres prirent grand soin de leur congénère, l’attrapèrent par les épaules, soulevèrent sa nuque pour que soumis compelled MDE ne se blessa point au moment de son atterrissage.

- Reste allongé un moment Mon chien, le temps que tu retrouves tes esprits, le temps que ton cerveau s’irrigue de nouveau correctement. Mais que cela ne t’empêche pas d’écarter un peu les cuisses telle une belle salope que tu es !

Le moment était délicieux, divin, soumis compelled MDE sous l’emprise des endorphines ressentait de la satisfaction et un grand bien-être, avec un sentiment de grande détente. Un bonheur simple stimulé par ces hormones et par ce qu’il venait de vivre. Seul le Maître avait été capable de lui apporter une telle béatitude, une telle jubilation et il se demandait bien comment il pourrait faire pour LE remercier à sa juste hauteur. Jamais il n’avait vécu une chose pareille. Mais l’heure n’était pas venu, les trois chiens soumis dominants s’intéressaient à ce corps inerte et étendu. L’un des trois se hasarda, il regardait le Maître en l’implorant presque, tout en glissant sa langue sur la paire de couilles de l’esclave MDE. Le Maître le laissa faire, sa langue glissa une nouvelle fois sur les boules de soumis compelled MDE. Alors les deux autres esclaves se précipitèrent sur les tétons de l’esclave MDE, les lui sucèrent et les lui mordillèrent. La queue de soumis compelled MDE, toujours à l’air libre s’enflamma instantanément… L’excitation monta d’un cran, les trois chiens mâles dominants, étaient toujours eux aussi excités, terriblement bandés.

Ils étaient à l’évidence en rut et tous trois se disputaient maintenant le trou de cette petite chienne en chaleur qui ne demandait qu’une chose : se faire prendre ! Le plus costaud, le plus musclé, le plus membré fit sa loi, il écarta d’un revers de main ses deux frères de soumission, glissa sa langue dans le cul de compelled MDE, déjà les cuisses relevées sur la poitrine. Il lubrifia bien ce trou de sa salive, puis recula et tenta de chevaucher soumis compelled MDE.

- Stop ! Fit le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, en claquant le dos de l’esclave avec une cravache. Puis il reprit :
- N’oublie pas, tu n’es qu’un chien, et même si tu as le pouvoir d’utiliser ta queue, tu restes un chien-esclave, un vulgaire chien, alors si tu veux prendre Ma pute, prends-là comme un bon clébard, à quatre pattes.

Alors, le mâle dominant ne se fit pas prier et il bouscula soumis compelled MDE, lui fit faire volteface, appuya sur ses lombes, lui écarta les jambes, lui remit un ou deux coups de langue sur son anus et s’enfonça d’un trait en lui… L’esclave MDE poussa un « Ahhhh ! » au premier coup de reins, puis ne put retenir des gémissements à chaque fois que cette queue labourait son cul… Sur ordre du Maître, les deux autres mâles dominants, la queue dressée entre leurs jambes, durent repartir travailler tête basse et quelques peu dépités et très certainement très frustrés.

- Allez offre-toi bien Ma chienne, tire lui son bon jus, je veux qu’il se vide bien les couilles…

Soumis compelled MDE se donna plus encore, fit onduler son bassin par de amples mouvements, contractait ses sphincters à chaque fois que la queue cherchait à se retirer de lui et les relâchait à chaque fois qu’elle le dardait. Le Maître voulait assoir sa domination sur ce chien mâle enculeur, il voulait lui faire comprendre que bien qu’il ait certaines prérogatives, à ces yeux il n’était rien… rien d’autre qu’un chien, qu’un esclave ! Alors il décida de l’enculer, là, à cet instant précis, quand bien même lui-même forniquait.
Il ne tarda pas à exhiber à l’air son sexe déjà raide et le pénétra d’un coup de rein violent lui arrachant un cri sorti du plus profond de ses entrailles. Sitôt la pénétration passé, il se fit rappeler à l’ordre par le Maître :

- Continue à bien limer Ma lope pendant que je t’encule, le chien !

Les coups de reins du Maître étaient si puissants qu’ils parvenaient à irradier les reins de soumis compelled MDE. C’était des grands coups de butoir à répétition qu’il percevait, ceux du chien d’abord et sitôt après ceux du Maître, avec en plus une belle et sublime humiliation. Lui au plus bas de l’échelle, de la hiérarchie, sous son congénère cet esclave mâle dominant, lui-même assailli par un coït énergique, puissant, viril du Maître. Des gémissements, des soupirs, des râles et beaucoup d’excitation dans cette pinède méditerranéenne, le soumis mâle dominant explosa dans le cul de soumis compelled MDE et peu après c’était autour du Maître de foutrer le cul de cet esclave appartenant à Monsieur le Comte. Sitôt la basse besogne dédiée à soumis compelled MDE, (nettoyer les queues avec la bouche) le Maitre attacha l’esclave de Monsieur le Comte à un arbre, debout, dos contre le tronc. Puis il lia soumis compelled MDE avec une chaine partant de son collier à un autre arbre. L’esclave MDE était libre de ses mouvements, et la chaine suffisamment longue pour qu’il puisse de là où il était enchainé approché le chien soumis dominant. Le Maître posa la cage de chasteté à Son chien, puis lui ordonna de se mettre en levrette et de tendre son cul. Il lui glissa dans le fondement un plug un peu particulier. En fait, un plug électrique, vibrant et télécommandé à distance. Le Maître testa l’appareil, soumis compelled MDE sursauta dès qu’il perçut la première impulsion.

- Mon chien, à chaque fois que tu ressentiras cette décharge dans ton cul, il te faudra aller branler ce chien attaché et tu devras obligatoirement le faire jouir. Je veux qu’il crache tout son jus, qu’il ait les couilles complètement asséchées, d’ici deux heures tout au plus, tu entends ?
- Oui Maître vénéré.

- Tu le branleras aussi longtemps que nécessaire jusqu’à ce qu’il jute, autant de fois que je le déciderai. Tu y mettras toute ton énergie, uniquement avec ta main et la force du poignet, tu entends Mon chien ?
- Oui Maître Vénéré
- Tu as intérêt de respecter mes ordres, sinon, tu le sais, je serai contraint de te punir !
- Oui Maître Vénéré.

Et le Maître quitta les lieux et sitôt après son départ, soumis compelled MDE reçut une première et longue décharge qui l’irradiait complètement. Il masturba énergiquement son congénère dix bonnes minutes au moins avant qu’il ne jouisse. Les deuxièmes et troisièmes masturbations durèrent plus longtemps encore. Le chien mâle dominant ne prenait plus aucun plaisir, la masturbation énergique de soumis compelled MDE lui devenait douloureuse et pénible. Il ne bandait plus guère. Il en fallait de la volonté à soumis compelled MDE pour lui extraire quelques gouttes encore à en avoir mal au poignet ! La quatrième branlette dura plus longtemps encore, si longtemps d’ailleurs que soumis compelled MDE n’était pas arrivé à ses fins, il reçut une cinquième décharge électrique avant même qu’il ait pu faire jouir une quatrième fois l’esclave ! Les Maîtres en pleine discussion, arrivèrent d’un pas lent vers leurs esclaves.

- Alors les chiens, avez-vous su obéir aux ordres de Monsieur le Marquis ? s’exclama Monsieur le Comte

Les deux soumis baissèrent la tête honteusement sans apporter de réponse. Monsieur le Comte s’approcha de son esclave, d’une main lui attrapa les couilles, de l’autre lui claqua le visage.

- Comment oses-tu chien ? Pourquoi n’as-tu point obéi à Mon Noble et Très Cher Hôte ?
- Maître, je n’ai…
- Tais-toi salope, pas un mot, tu entends !

Deux claques tombèrent encore sur son visage

- Tu ne mérites pas la place que je t’ai allouée dans ma meute, celle d’un chien soumis dominant !
- Oh Maître, pardonnez-moi, s’il vous plait et punissez moi
- Tais-toi t’ai-je dis ! Je sais ce que j’ai à faire, cesse toutes revendications, oui je vais te punir, une sanction bien plus pénible que le fouet où quelques autres instruments… (Monsieur le Comte se tût un long moment) … Tu vas redevenir qu’un esclave, un simple esclave dominé, puisque ta nouille ne sert à rien, elle sera de nouveau encagée !
- Non pas ça Maître, pitié

Monsieur le Comte jeta un regard froid et dominant sur son esclave et sortit d’une sacoche une cage de chasteté métallique.
Il la lui posa, sans grande difficulté, la queue de l’esclave faisait grise mine, sans tenir compte des suppliques incessantes de son chien. Monsieur le Comte le détacha et lui ordonna d’aller retrouver Alberto travaillant dans les écuries près des chevaux, pour se faire enculer, se faire saillir promptement par Alberto...

- Et toi Mon chien, pourquoi n’as-tu point obéi correctement.

soumis compelled MDE baissa plus encore le regard et se prosterna sans qu’aucun ordre ne lui soit fixé, devant le Maître. Il n’avait rien à dire mais simplement accepter le châtiment voulu par Monsieur le Marquis d’Evans. Il reçut alors une longue et douloureuse décharge électrique dans le cul qui le terrassa littéralement, qui lui fit perdre l’équilibre au point qu’il dut s’allonger de tout son long sur le ventre, sur quelques plantes urticantes et épineuses. Douloureuse sensation de pénétration profonde, pénible mais peut-être jouissive malgré tout, sur le plan mental évidemment ! Le soumis MDE avait fauté, il était normal qu’il soit corrigé, pour grandir pour être plus respectueux encore des volontés du Maître, telles étaient ses réflexions intimes.

- Cet accessoire est excellent mon Cher Marquis
- Oui, je l’ai acquis il y a déjà quelques temps, l’intérêt de cet objet c’est qu’il peut être glissé discrètement soit dans un cul soit dans une vulve… Je l’utilise beaucoup hors de Mon Château, lorsque par exemple j’emmène un de Mes chiens ou chiennes en course. Je m’amuse toujours de les voir se tortiller et danser dans un rayon de supermarché, et puis voyez cher Comte, cet objet est facile d’usage, avec des réglages simples permettant de régler la durée et l’intensité avec cette télécommande d’une portée de 200 mètres environ !
- Voilà qui me fait penser Très Cher Marquis que j’ai dans mon antre une vieille gégène datant de la guerre d’Algérie. Un de mes slaves l’a quelque peu modifié pour qu’elle soit supportable. Peut-être voudrez-vous la tester sur votre chien, un de ces jours ? (NDLA : Une gégène est une dynamo électrique manuelle dont l'utilisation première est d'alimenter les téléphones de campagne. La gégène fut jadis utilisée pour r des personnes en leur appliquant les électrodes afin de faire circuler un courant électrique entre diverses parties du corps)
- Avec grand plaisir…

Gégène… rien que le mot faisait peur à soumis compelled MDE, fusse-t-elle supportable ! Déjà il appréhendait le jour ou le Maître déciderait de le mettre à l’épreuve de cet instrument… Mais pour l’instant le soumis MDE était détaché et il dut suivre les Maîtres partant pour la piscine. Il resta couché sur la margelle le temps de leur baignade et dût s’occuper d’eux lorsqu’ils sortirent du bain. Il les épongeait, les essuya, transporta les transats à l’ombre des palmiers puis se coucha aux pieds du Maître.

- Votre chien a-t-il toujours ce merveilleux plug dans le cul Très Cher Marquis
- Oui toujours, voulez-vous vous amuser un peu Juan Antonio ?
- Oui ça me plairait effectivement.

Le Maître donna la télécommande et les explications nécessaires à Monsieur le Comte et l’esclave MDE senti des premiers frémissements qui l’excitèrent.

- Là, en appuyant ici, vous pouvez régler les variations !

Et le plug se mit à bouger lentement, avançant et reculant tranquillement dans ce fourreau chaud et humide… Le soumis MDE prenait du plaisir et le manifestait par de petits gémissements et des halètements. Il était resté allongé sans bouger, y compris lorsque le Maître lui soulevait une fesse pour voir l’objet allant et venant dans les reins de Son esclave. Les halètements redoublèrent lorsque l’intensité soudainement augmenta, soumis compelled se redressa, se mit à quatre pattes, pour supporter l’objet et prendre plus de plaisir. S’adressant à Son soumis, le Maître l’humilia :

- Tu te verrais dans une glace… tu n’es vraiment qu’une vraie petite chienne lubrique !

Et le Maître avait raison, soumis compelled MDE, ne retenait plus ses gémissements, il tirait même la langue, haletait telle une chienne qui avait besoin de se faire saillir… Sa nouille comprimée, bavait, une excitation soudaine envahissait le corps tout entier du soumis MDE, avec une envie irrépressible de se branler… Il frottait sa queue encagée contre le sol, en espérant peut-être jouir. En vain, bien sûr ! Les Maîtres riaient aux éclats et stoppèrent l’engin… Pour le repas de midi, soumis compelled MDE et Maïko (le jeune esclave pianiste dénommé ainsi) durent rester sans bouger près des pieds des Nobles, mains derrière la nuque, cuisses écartées. Ils avaient été débarrassés de leurs cages de chasteté et de temps à autre, ils étaient caressés, pelotés et branlés juste comme ça, juste pour le simple plaisir des Maîtres, d’avoir près d’eux, deux soumis totalement dévoués et sans pudeur. Ce n’est qu’après que les Maîtres eurent fini de déjeuner que les deux esclaves de nouveau encagés se partagèrent leur repas dans une seule gamelle. Lorsque l’un mangeait, l’autre déglutissait et réciproquement. Le début d’après-midi fut calme, il faisait chaud, trop chaud, les Maîtres s’étaient endormis dans les transats, avec à leurs pieds les deux soumis eux aussi accablés par cette chaleur, quelque peu paresseux. Après la sieste, les Maîtres se baignèrent de nouveau, autorisant cette fois-ci les deux esclaves à venir les rejoindre dans la piscine. L’eau était bonne, peut-être même un peu trop chaude pour se rafraichir vraiment, mais soumis compelled MDE et son congénère apprécièrent la grande bonté des Maîtres !

En fin d’après-midi, une fois que la température commençait à redescendre doucement, Monsieur le Comte proposa à son Hôte de marque de lui faire visiter ses écuries. Les deux esclaves suivirent les Maîtres, debout, tenus en laisse, mains attachées dans le dos. Monsieur le Comte était éleveurs de purs sangs anglais ainsi que des trotteurs. Plusieurs de ses chevaux nés en son haras avaient une renommée internationale parce qu’ils avaient gagné de grandes courses. Il possédait une quarantaine de pouliches et quatre étalons qui par leur lignée, étaient très prisés par les éleveurs de yearlings. Chaque printemps des éleveurs du Monde entier venaient faire saillir leurs juments moyennant des prix astronomiques. Ce haras avait fait la fortune de Monsieur le Comte. Les bâtiments étaient modernes, très bien entretenus par les esclaves du Maître des Lieux. Les box étaient nettoyés deux fois par jour et pas un brin de paille ne trainait dans le vaste hangar. Monsieur le Comte était un passionné, il aimait ses chevaux bien plus que tout et tenait à leur bien-être. Au cours de la visite Monsieur le Comte prit son Très Cher Ami par le bras puis l’éloigna des deux esclaves pour lui parler discrètement sans que ceux-ci entendent la conversation.

- … (seul Monsieur le Marquis entendit le propos de Monsieur le Comte)
- Excellente idée très Cher Juan Antonio ! Et comment je veux !…

Alberto arriva sur ces entrefaites, et il emmena les deux esclaves dans un enclos vide pour les équiper de rangers aux pieds, d’un harnais sur la poitrine. Il glissa un mords dans la bouche de chacun d’eux, attacha des rênes aux mors, puis inséra dans le cul des esclaves un plug prolongé d’une queue de cheval.

- Sont-ils prêts ?
- Si, si Mossieur.
- Bien alors la séance de dressage équestre va pouvoir débuter, juste pour le fun nous allons nouer aux couilles de ces esclaves de petits grelots, j’aime entendre tintinnabuler ces grelots lorsque ces dogs transformés en horses se mettront à galoper… Pendant ce temps Alberto, sort deux sulkys ainsi que deux chambrières.

(A suivre…)

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