Suite De Baiseuse

Nous venons de jouir, surtout moi avec ma bite dans sa bouche. Elle m’a demande juste de la sucer: elle se finira dans la voiture. Nous nous rhabillons rapidement. Elle est prête avant moi: c’est plus vite fait de remettre une mini jupe et un t-shirt que les vêtements d’hommes. Nous partons vers la mer, l’endroit où je veux passer mes vacances, 8 jours c’est court. Elle avoue qu’elle ne sait où loger. Connaissant ses talents je lui offre de partager la chambre, ce qu’elle accepte sous prétexte que je baise bien, alors que je n’ai fait que la sucer et la masturber. Pour moi, c’est une bonne occasion; je n’aurai pas à chercher une hypothétique fille. Il me semble que ma queue se souvient bien de sa langue de ses lèvres, de sa bouche quoi. Nous ne sommes qu’à 10 minutes quand elle remet sa main sous sa jupe, cette fois elle ne se cache pas pour se faire du bien, puisqu’elle a remonté sa jupe: je peux voir directement sa main sur son clitoris.
Elle arrête quand nous approchons de l’hôtel.
Mon premier soucis et de ranger mes affaire dans l’armoire et d’aller prendre une bonne douche. Cette fille m’étonne, elle aussi range ses affaires et vient contre moi pour la douche. Je m’attends à une opération masturbation! Pas du tout: je peux prendre la douche tranquillement. Je sors pour me sécher, elle aussi. Mais la voilà qui se sert de la serviette pour la passer en vas et viens sur sa chatte. Elle file aussitôt sur le lit, écarte à nouveau ses jambes et entame une branlette avant de s’arrêter. J’étais plus qu’ intéressé. Elle fouille dans l’armoire avec un gode comme je n’en ai jamais vu: il doit avoir plus de 18 centimètres avec des anneaux circulaire de lus en plus proche.
Elle se rallonge, se trémousse sur le lit pour trouver une place agréable: elle ne s’occupe plus de moi. Elle se touche un peu la chatte à pleines mains avant de poser le gode juste à m’entrée de son sexe. Je peux tout voir en m’asseyant à ses pieds. Elle entre le jouet dans son vagin, non pas, comme je le pensais de façon presque horizontale, elle arrive à le faire entrer presque verticalement.

Je me demande comment elle peux jouir ainsi. Elle l’enfonce complètement et commence des vas et viens. Elle lève ses jambes, les serre: sa main passe par-dessous ses cuisses.
Elle recommence ses gémissements: je ne sais si elle fait ça pour m’exciter, en tout cas je bande sérieusement. Je lui demande de me sucer: pas question elle jouit d’abord et ensuite je ne l’ai ni baisé, ni enculée. Heureusement pour moi elle jouit très vite. Elle sort le gode, plein de sa mouille et me le donne: je le lèche avec avidité: sa cyprine est délicieuse. Quand elle est remise de cette dernière masturbation enfin elle a besoin de moi.
- Maintenant tu vas me la mettre au cul, selon ce que je te dirai de me faire et comment j’aime.
- C’est toi qui décide.
- Bien sur, écoute surtout ce que je vais te demander: ne m’encule pas si je ne suis pas assez mouillée, j’aurai mal et t’enverrai à la pêche.
Je n’ai plus qu’à obéir à ses désirs. Après tout elle sait ce qui lui plait et par contre coup me plait d’avance. Elle se mets en levrette, se mouille bien l’anus. Quand elle me demande de venir, je ne me précipite pas sur son anus. Je me contente de faire ce qu’elle dit:
- Reste avec ta bite sur mon cul, sans bouger, pour m’exciter encore plus.
- Entre tout doucement pour que je m’habitue à ta queue.
- Arrête quand ton gland est passé,
- Laisses ton gland un moment sans bouger
- Est-ce que tu sens bien l’anus ouvert et ton repli du gland, juste à la fin de l’anus.
- Ne bouge pas un moment pour que moi aussi je sente le bien être arrivé dans mon ventre.
- Entre lentement ta bite dans mon cul.
- Je te sens bien comme il faut: tu est au fond de mon ventre. Reste ainsi, sans bouger. Je te sens de mieux en mieux. Maintenant mets moi là, je vais jouir.
En effet je la sens jouir. Elle jouis plus fort qu’avec son godemichet.
- C’est bon continue, même si je jouis, j’aime me faire mettre comme ça.
Je la lime sans arrêt: je craignais de jouir trop vite: j’avais oublier que dans l’après midi déjà elle m’avait envoyé en l’air plusieurs fois.
Je tiens le coup tant et tant qu’elle me demande d’arrêter. Elle n’en peut plus. Pour me satisfaire elle prend ma bite ans sa main. Elle branle presque aussi bien que quand elle suce. Au début, sa main est légère, presque inexistante, elle fait descendre le prépuce doucement. Elle le fait aller jusqu’au début des couilles. Elle le lâche complètement pour le reprendre un instant après, elle le remonte plus vite, en s’arrêtant juste avant le gland qu’elle recouvre ensuite. Elle le redécouvre juste pour y poser un bisou. Son autre mains me caresse les couilles très légèrement. Je me sens partir dans l’univers des délices. Elle passe un doigt insistant sur mon anus. C’est bizarre cette manie de mettre un doigt dans le cul. C’est très adapté soit à une fellation soit à une masturbation.
Elle accélère très lentement. Je sens ma bite grossir encore. Si je mettais branlé, j’aurai déjà joui. Avec elle la masturbation dure longtemps, très longtemps, ce n’est pas un succédané à une baise, c’est une partie de la baise, ça en fait parti.
Quand elle sens que je vais jouir, elle arrête presque: quand elle sent que je me calme, elle reprend sa branlette. Je ne jouis que quand elle le décide, c’est-à-dire longtemps après le début: elle va très vite maintenant: il me semble qu’un ouragan me frappe. C’est mon sperme qui part en grosse doses. Elle regarde les jets qui faiblissent jusqu’à l’arrêt.
Ce n’est pas une fille, c’est une déesse grecque qui est spécialisée dans l’orgasme masculin. Je me sens fatigué comme si j’avais baisé trois ou quatre filles l’une après l’autre: je ne l’ai jamais fait, mais je pense que ce doit être la même chose.
Elle téléphone à la réception pour qu’on nous monte un encas pour deux, avec une bouteille de vin bien alcoolisé.
On frappe à la porte: elle est toujours nue pour aller ouvrir. Sa nudité ne la gêne pas du tout, au contraire, elle fait du charme au serveur. Nous descendons rapidement notre repas, en buvant notre vin.
Elle ouvre le mini bar pour en sortir une bouteille de bière. Je me demande ce qu’elle veut en faire et je comprend vite qu’elle en connais déjà l’utilisation prévue: elle la vide dans les toilettes, revient, se couche à nouveau, et la ait entrer dans sa chatte. Seul le goulot en sort: c’est asse pour faire ce qu’elle veut: elle arrive à se lever et marcher avec cette bouteille dans la chatte. Elle va dans le douche pour passe le jet sur son clitoris. Elle me demande de venir pour que la bouteille la baise. J’arrive tant bien que mal à attr le goulot et fait aller et venir la bouteille dans son ventre. Elle jouit encore et encore. J’enlève l’objet.
Je ne sais combien de fois elle a pu jouir.
Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil, elle décide de partir: je ne la regrette pas sur la moment. Je suis plus tranquille. Je ne bande pas bandant plusieurs jours. Quand je bande je me branle en pensant à ses frasques et à nos étreinte, sans désirer qu’elle revienne. L’expérience a été concluante: je ne m’arrête plus pour les auto stoppeuses.

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