La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 481)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°480 - Sous le joug de l’inconnu -

Le répit ne dura guère, soumis compelled MDE fut détaché par l’inconnu armé d’une longue et fine tige de bois, et emmené au centre de l’enclos. Là, il laissa un peu d’espace entre lui et le soumis MDE, environ un mètre cinquante.

- Allez la salope, en marche, au trot !

Il donna le signal de départ par une vive frappe sur les fesses rougies de l’esclave MDE. Malgré l’absence d’instructions, soumis compelled MDE comprit rapidement qu’il était censé trotter comme il l’avait appris auparavant, levant bien haut les genoux, tout en avançant en cercle autour de l’inconnu. Celui-ci ne le ménageait pas par ses coups et fessait de plus belle l’arrière-train douloureux du soumis MDE. La fatigue, la soif, le feu au cul et maintenant le tournis… L’esclave MDE craignait de défaillir, de s’effondrer à tout moment. Mais malgré ces douloureux ressentis physiques, soumis compelled MDE appréciait son conditionnement mental. Il s’affichait là, tel un pantin, une bête de cirque, esprit libéré, esprit entièrement consacré à son éducation et à la soumission. Il trottait d’une manière absurde et ridicule, levant mécaniquement toujours un peu plus haut les genoux, craignant une nouvelle décharge de chaleur rougeoyante sur son cul martyrisé, même si ces décharges de douleurs l’excitaient grandement dans un plaisir intérieur puissant. Il tourna encore et toujours pendant près d’un quart d’heure. A bout de force, l’inconnu décida la fin de l’exercice pour le soumis MDE. Il attrapa soumis compelled MDE par le collier et le ramena vers ces congénères. L’esclave MDE s’effondra à genoux dans la boue et goûta le confort du repos qu’offrait cette position soumise. Perdu dans sa fatigue et sa soif, il ne remarqua pas le Maître venir vers lui. Il était simplement bien trop exténué pour y prêter attention, malgré ses désirs de soumission absolue envers Lui.

Le Maître lui souleva le visage, ôta enfin ce bâillon-mors et le regarda longuement, sans rien dire, droit dans les yeux avec un visage que l’on aurait pu croire impassible, sévère. Quand, enfin au bout d’une longue minute d’un silence froid à faire trembler d’émotions le soumis, le Maître engagea alors un large sourire et s’adressa à Son esclave.

- Tu as bien travaillé Mon chien, je suis fier de toi.
- Mer… Merci Maître Vénéré.
- Tu sembles épuisé ?
- Oui Maître, je le suis et j’ai très soif Maître.
- Tu vas pouvoir te désaltérer d’ici peu Mon chien, mais avant ça, prosterne toi à Mes pieds, rends-moi grâce, remercie-moi, comme un bon chien de ton espèce doit le faire !

Alors soumis compelled MDE sans hésiter s’allongea de tout son long dans cette terre boueuse, redressa la tête et exprima haut et fort ses plus sincères et respectueux remerciements à Monsieur le Marquis d’Evans en se prosternant devant le Maître tel un musulman faisant sa prière.

- C’est bien Mon chien, redresse toi et ouvre la bouche maintenant.

Le Maître avait sorti son sexe de son pantalon et le tendait à soumis compelled MDE.

- Allez viens boire à la source directement, Ma salope !

L’esclave MDE ne se fit guère prier, les urines du Maître lui envahirent la bouche, imprégnant la langue et les muqueuses totalement asséchées. L’humiliant flot atteignit sa gorge éteignant par miracle l’incendie de la soif qui le tenaillait depuis le début de la matinée. Le chien MDE se délectait de ce sublime nectar légèrement salé, amer et tiède. Monsieur le Comte, quant à lui pissait sur le corps du soumis, le souillant un peu plus encore. L’esclave humilié se sentit, plus que jamais, encore plus excité de bonheur et de plaisirs maso !.. C’est Monsieur le Comte qui remmena soumis compelled MDE dans Ses écuries. Il l’enferma dans un box, celui dans lequel il avait passé la nuit, lui laissa les bras attachés dans le dos, lui retira le Tampax de son cul, puis verrouilla le collier du soumis MDE à une chaine fixée aux poutres de la structure.
Soumis compelled MDE éreinté se coucha sur la paille, les muscles endoloris, les fesses tuméfiées, sale, crotteux et boueux, avec un arrière-goût d’urine dans la bouche. Il s’endormit comme une masse, très satisfait de cette matinée, si heureux de vivre et donc d’être au plus profond de lui-même ce qu’il est, ce qu’il a toujours été, un esclave-soumis-chien ! ...

Rêvait-il ? L’esclave MDE percevait de douces sensations sur son anus, comme si on l’effleurait, le chatouillait. Trop las encore, il ne parvenait pas à ouvrir les yeux, il se contentait d’écarter un peu plus les cuisses pour éprouver plus encore ces agréables impressions. Il se redressa tout de même lorsqu’il sentit qu’un doigt lubrifié s’immisçait dans son fourreau intime. Il fut surpris de voir de nouveau cet inconnu près de lui. Il était nu, à genoux, sa queue érigée en main, se la branlant doucement. Un doigt de son autre main fouillait l’intimité de soumis compelled MDE. L’esclave MDE se laissa faire, ne bougea pas, ne montra aucune résistance, s’écartant même un peu plus comme un appel à être enculé. Comment aurait pu-t-il faire autrement d’ailleurs ? Il savait qu’il allait devoir subir (ou et avoir le plaisir) l’assaut de cet homme en chaleur. Assaut, le terme était bien choisi car sitôt son doigt retiré, il se rua et enjamba le soumis MDE toujours allongé, plaqua son thorax contre la paille, glissa ses grosses mains sous ses aisselles pour l’attr par-dessus ses épaules et le maintenir à sa merci. Il l’enfourna d’un trait sans aucun autre préambule. Son gros chibre força le passage et s’immobilisa au fin fond de ses entrailles… soumis compelled MDE ne put retenir un cri rauque, un cri à la fois de douleur et de bonheur jouissif mentalement… Grâce à cet homme, ses désirs les plus intimes devenaient réalité, désirs d’être , pénétré par des assauts virils. Les coups de reins étaient violents et incessants, incapable de bouger sous cet homme charpenté, soumis compelled MDE se laissait pilonner, marteler et ramoner.
Haletant, transpirant, suffoquant même par moment, il perdait pied tout en se pâmant. Toujours excité comme une bête, l’homme se dégagea du cul de soumis compelled MDE, l’attrapa par son collier, le fit se retourner et lorsqu’il eut sa queue aux bords des lèvres du soumis MDE et la lui enfourna en fond de gorge, en lui maintenant la tête de ces deux mains.

- Avale la pute, avale ma queue !

Assis, l’esclave MDE était maintenu fermement entre les cuisses musclées de l’inconnu qui balançait son bassin avec une énergie folle, tout en écartant de ses deux index la bouche de soumis compelled MDE. Lui bavait, cherchait à prendre sa respiration, suffoquait sous la charge. Totalement assailli, il se laissait malmener avec un plaisir certain. Il fut de nouveau culbuter, l’homme le coucha sur le dos, lui releva les cuisses sur la poitrine et l’enfourna encore et toujours, le baisant, l’enculant avec une ardeur décuplée, et puis… soudainement il se cabra, lâcha un juron en espagnol en même temps que son foutre en flot épais par saccades puissantes dans le cul de soumis compelled MDE. Offert, impassible, inerte l’esclave MDE chercha à reprendre son souffle. Jamais il n’avait vécu une telle jouissance, à la fois physique et mentale, jamais il n’avait pris autant de plaisir à être ainsi enculé, jamais son cul lui avait procuré un tel plaisir… L’homme se dégagea, se redressa et vint s’accroupir près du visage de soumis compelled MDE. D’une main, il s’écarta les fesses et posa son anus sur la bouche de l’esclave MDE.

- Suce-moi le cul chienne ! lui lança-t-il

Alors la langue de soumis compelled MDE passa sur ces poils odorants et transpirants, tout en cherchant l’intimité de cet inconnu. Il lécha longuement, consciencieusement jusqu’au moment où soudainement l’homme se redressa, attrapa l’esclave MDE par le collier pour le relever et le plaquer brusquement contre la palissade de bois. soumis compelled MDE prit presque peur, lorsqu’il vit l’homme encore bandé et excité.
Allait-il devoir le ‘’subir’’ encore ?, même si ‘’subir’’ n’est pas tout à fait le mot tellement l’esclave éprouvait ce puissant plaisir masochiste

- Ecarte les cuisses, chienne et ne bouge surtout pas ! Intima-t-il à soumis compelled MDE en le tenant par le cou.

Il crocheta l’anneau du collier de l’esclave MDE à un mousqueton, attacha ses chevilles à des bracelets cuir fixés à la palissade, puis recula de trois pas, en ordonnant au soumis de le regarder se masturber.

- Regarde chien, ce qui différencie un Dominant d’un esclave… Moi je peux me branler, et jouir autant de fois que je l’entends, toi salope ça t’est interdit !

Toujours autant excité, l’homme se branlait avec frénésie et juste au moment de défaillir, il s’avança et éjacula un foutre épais et visqueux, par saccades successives sur l’abdomen de soumis compelled MDE. Sa main glissa sur le ventre du chien, s’imprégna de la semence déposée puis cette main gluante passa sur le visage de l’esclave MDE, étalant le foutre sur les joues et le front de l’esclave.

- Un jour peut-être, tu viendras en stage chez moi et je ferai de toi une bonne pute ! lança l’inconnu à soumis compelled MDE en le quittant et en le laissant attaché dans ce box et englué de sperme sur le visage.

Qui était cet homme Dominant ? D’où venait-il ? soumis compelled MDE ignorait tout de lui et bien sûr son questionnement resterait sans aucun doute, sans réponse. Il resta attaché longtemps dans ce box, se sentant complètement avili, diminué, sans plus aucune force mais si heureux de n’être plus rien ! ou plutôt d’être juste un trou, un vide-couilles. Il puait la pisse, la transpiration, le foutre, son corps couvert de boue séchée, son fessier zébré, son visage ‘spermé’. Il ne ressemblait plus à rien, plus à rien effectivement mais n’être plus rien l’excitait tellement. Et plus il se voyait ainsi, et plus cette image dégradante de lui se réfléchissait et se répandait, et plus il trouvait un sens à sa vie nouvelle d’esclave… Et cette image, Monsieur le Marquis voulait lui aussi la conserver, Il était là devant Son esclave à prendre de nombreux clichés, à le photographier sous plusieurs angles, à lui faire prendre différentes postures :

- Penche la tête vers la droite, les yeux au sol… redresse un peu les épaules… cambre tes reins !

Alberto arriva sur ces entrefaites, il tenait un bouchon de paille dans les mains. Avec méthode et application, il frotta l’esclave MDE sans grande précaution ni ménagement avec cette chaude mais néanmoins blessante paille, il fit tomber cette fine croute de terre séchée du corps de soumis compelled MDE. Puis il le détacha, et l’emmena près d’un jet d’eau froide. Il l’aspergea longtemps, le lavant de la tête aux pieds. Lorsqu’il revint dans son box, propre mais grelotant, le soumis trouva une gamelle remplie de pain détrempé. Il dévora le tout sans se poser la moindre question...

(A suivre…)

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