La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 484)

Compelled au Château - Suite de l'épisode N°481 - Délicieuses morsures ! -

L’esclave MDE avait pu se reposer et même dormir profondément, il fut réveillé par le hennissement des chevaux se trouvant tout près. Il resta allongé sur la paille encore, profitant de ses instants de quiétude, d’apaisement et de bien-être. Ce n’est qu’une heure après son réveil, que soumis compelled MDE vit débarquer Alberto. Sans un mot, il le détacha et l’attrapa par son collier et l’emmena à l’extérieur en direction de la pergola, à proximité de la demeure de Monsieur le Comte. Là, sous les poutres de bois, soumis compelled MDE fut attaché les membres en croix. Alberto, lui ôta sa cage de chasteté et s’en alla après avoir profité de la situation pour réaliser quelques attouchements pervers sur l’esclave MDE par des petites frappes et pincements sur les tétons et l’introduction profonde d’un doigt dans l’anus. Doigt qu’il retira aussi tôt et qu’il fit humer au soumis avant de partir, tout en prenant un sourire pervers et satisfait... La posture était éprouvante, heureusement, l’ombre des canisses le protégeait… Ce n’est peut-être qu’au bout de dix minutes, qu’il vit apparaître Le Maître accompagné de Monsieur le Comte. Ils venaient d’un pas lent, tout en discutant, vers l’esclave MDE. Le Maître s’immobilisa et caressa Son chien-esclave, d’abord sur la poitrine, puis sa main glissa dans son dos et sur ses fesses encore endolories, tellement meurtries qu’il sursauta.

- Mon chien semble bien excité !

En effet, soumis compelled MDE l’était. Les caresses du Maître avaient été suffisantes pour l’exciter. Sa queue avait pris du volume. Le Maître tira sur le prépuce pour bien décalotter son gland, essuya d’un revers de pouce, une gouttelette sortant de son méat.

- Es-tu prêt Mon chien à gigoter un peu, à danser pour Moi, Le Maître ?

L’esclave MDE ne comprit pas les allusions du Maître. Mais peu importe, il répondit :

- Oui Maître Vénéré.


- Bien, alors en avant pour une chaude salsa !

Monsieur le Comte posa et fixa un cercle métallique autour de la taille de soumis compelled MDE, puis demanda de l’aide à Monsieur le Marquis.

- Très Cher, pouvez-vous lui tenir les couilles serrées et en extension.
- Bien sûr, Cher Ami !

Une fois les boules du soumis MDE étirées, Monsieur le Comte fixa un collier de serrage métallique autour de ses burnes. Il en mit un autre autour de sa queue érigée, juste au-dessous de son gland turgescent. Enfin, il accrocha une petite pince métallique sous son périnée juste à proximité des lèvres de son anus.

- Voilà déjà une bonne chose de faite…

Monsieur le Comte pris un arrosoir rempli d’eau tiède et arrosa copieusement l’entrejambe du chien MDE, puis s’approcha d’une couverture posée sur un petit pilier de pierre, la souleva…

- Voilà l’objet Cher Ami !
- Quel merveilleux instrument…

L’instrument en question n’était autre que la fameuse gégène dont avait parlé Monsieur le Comte. L’esclave MDE fut terrorisé en voyant cet objet. Il comprenait beaucoup mieux les propos du Maître parlant d’une chaude salsa… Il cramponnait le cordage liant ses poignets, se pinça les lèvres pour éviter de demander grâce, puis il se ressaisit immédiatement quand il s’aperçut qu’il en était tout excité et que son érection était bien visible par les deux Dominants. Le Maître savait ce qui était bon pour lui, alors, il devait se remettre à Lui, se soumettre à ses désirs et volontés, sans peur ni crainte. Les trois fils furent branchés, Monsieur le Comte donna quelques rapides explications.

- Ici, deux boutons, un pour le voltage, l’autre pour l’ampérage. Si vous voulez augmenter l’ampérage vous devez pousser le bouton par ici, si par contre vous voulez poussez le voltage, alors il faut tourner le bouton dans le sens opposé.
- Pas de souci, j’ai bien compris…
- J’ai paré Votre esclave de ce cercle métallique autour de sa taille pour qu’aucune pulsion électrique remonte au cœur, vous n’avez donc rien à craindre, et lui non plus d’ailleurs.

- Parfait !
- Le principe d’avoir posé des électrodes +/- à plusieurs endroits de son corps permet également au courant électrique de circuler d’un endroit à un autre. Le fait d’avoir bien arrosé ses génitaux évitera des brûlures bien inutiles à Votre chien. Allez Monsieur le Marquis, la manivelle est à Vous…

Et le Maître actionna la manivelle doucement tout en regardant Son esclave attentivement. Il voulait avant tout surveiller ses premières réactions. La décharge électrique était parfaitement supportable, soumis compelled MDE, sursauta plus par crainte que par réaction. Alors, Le Maître fit faire deux tours à cette manivelle. L’intensité monta légèrement, mais rien de bien méchant encore… Voyant que son esclave supportait bien l’épreuve, l’intensité augmenta progressivement. Le soumis MDE commençait à gémir doucement et à se tordre légèrement. La manivelle tournait encore, l’ampérage avait été modifié. soumis compelled MDE se cabrait, gémissait plus sérieusement, mais les pulsions électriques ressenties l’excitaient grandement, encore bien plus. Même s’il n’avait plus à se prouver à lui-même qu’il était un puissant masochiste, il en avait en cette situation, une belle démonstration car sa queue ne débandait pas, au contraire même, elle prenait un volume plus important. Le courant irradiait son entrejambes passant de son cul à ses couilles, de ses couilles à sa bite, de la bite au cul avec des chocs plus au moins profonds, plus ou moins pénibles, mais toujours enfiévrant, excitant, hyper bandant. Électrisé, aiguillonné, chauffé et bousculé, soumis compelled MDE ne dansait plus la salsa mais une autre danse, celle de saint Guy. Il se contorsionnait, grimaçait, gémissait, s’emballait mais aussi s’enivrait, se pâmait, s’enthousiasmait au point qu’il crut qu’il allait jouir… Il se surprit même à hurler :

- Plus vite Maître, plus vite la manivelle, s’il vous plait, c’est trop bon ! …

Et le Maître accorda sa bienveillance à Son esclave, pendant trois minutes encore, il augmenta, voltage et ampérage et donna le plaisir si attendu à son chien… Le Maître aussi exaltait, soumis compelled MDE, Son soumis MDE, développait son endurance et exprimait ainsi pleinement son masochisme, sa formation progressait.
Il lui était agréable de le voir accepter la douleur et de le sentir au bord de la jouissance… Cela dura encore quelques longues minutes avant de libérer l’esclave… Détaché, soumis compelled MDE était heureux de cette nouvelle expérience vécue, il se jeta aux pieds du Maître, les lui lécha avidement et le remercia humblement ! Arrivés dans le patio, soumis compelled MDE dut se tenir à quatre pattes près du Maître assis sur un fauteuil de jardin. Un esclave de Monsieur le Comte servit des verres d’oranges pressés frais. L’esclave MDE eut droit d’en boire un dans sa gamelle… Voilà qui lui fit grand bien… Monsieur le Comte, après une courte absence était revenu les bras chargés. Il tenait en main une multitude de fouets, plus ou moins longs mais aussi des cravaches. Il les posa soigneusement sur le gazon, côte à côte.

- Voilà toute ma collection, Cher Marquis !
- Impressionnant, pouvez-vous me conter l’origine de ces instruments.

Sans hésiter, tel un passionné, Monsieur le Comte se lança dans une longue explication, donnant l’origine des fouets. Certains venaient d’Amérique Latine, utilisés par les gauchos argentins sur leur bétail, d’autres de Russie, un Knout court, fouet utilisé dans l’empire russe pour flageller les criminels et délinquants politiques, d’autres d’Afrique, une chicotte servant à punir les indigènes au Congo, un fouet de chamelier marocain… En tout une quinzaine, avec en plus des cravaches. L’explication avait été très intéressante et particulièrement enrichissante.

- Tiens mon chien, va chercher le knout que je puisse l’examiner de près !

L’esclave MDE se déplaça à quatre pattes, attrapa avec ses dents le court fouet désigné et le rapporta au Maître.

- Très belle pièce, d’une très belle facture !
- Oui effectivement, et il a l’avantage d’être terriblement douloureux. Il faut savoir l’utiliser pour ne pas provoquer de profondes séquelles.
- J’imagine ! Mais dites-moi mon très Cher Ami, après vos explications intéressantes, pourriez-vous me faire une démonstration de ces délicieux objets.

- Avec grand plaisir, me prêteriez-vous Votre chien ?
- J’allais vous le proposer.

Alors soumis compelled MDE fut conduit dans la pinède sous la barre de suspension, mais cette fois-ci, il fut attaché suspendu par les mains, la pointe des pieds à peine posés sur le sol. Etrange sensation perçue à ce moment-là par soumis compelled MDE. Il redoutait l’instant tout en l’espérant vivement ! Il voulait gouter à la morsure de ces lanières, c’était pour lui une occasion inespérée, malgré des craintes et des peurs bien normales mais ô combien excitantes !

- Je vous propose de lui administrer dix coups de chaque instrument, qu’en pensez-vous ?
- Parfait pour moi.

Le soumis MDE fit un rapide calcul, quinze fouets, dix cravaches soit deux cent cinquante coups ! Il n’en menait pas large ! Même si l’idée même lui provoqua une nouvelle et forte érection… Mais c’était sans compter sur l’expérience de Monsieur le Comte. Il savait manier ces instruments et emmener l’esclave vers ces délices masochistes si intenses. Les premières lanières des cravaches furent données avec juste l’intensité nécessaire pour que le corps de l’esclave s’habitue tranquillement, progressivement et lorsque les fouets entrèrent en action, le corps préchauffé, le soumis MDE se donna avec générosité et un vrai et réel bonheur. Les endorphines le conduisaient vers l’extase, l’enivrement, l’exaltation et la sublimation ! ... Son sexe d’une rare érection trahit toute la puissante excitation qu’il ressentait lors de ces multiples flagellations savamment administrées … Lorsqu’il fut détaché, il s’écroula au sol béatement, le corps totalement zébré, mais si heureux de cette expérience hautement sadomasochiste.

(A suivre…)

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