La Conversion De Marie À La Luxure (Chapitre 13)...Au Pays Du Mystère Et Des Relations Secrètes

Enfin, après quelques escapades hospitalières, il semble que les choses s'améliorent.J'ai profité de ces longues semaines d'immobilité pour écrire quelques nouveaux chapitres de l'histoire de ma tendre et douce.
Je vous en livre un aujourd'hui...je vous livrerai les suivants au fur et à mesure. C'est comme dans l'amour: l'attente fait partie de la conquête du plaisir....

Merci aussi pour vos messages de soutien et d'encouragements m^me si je n'ai pas répondu à chacun.




Au pays du mystère et des relations secrètes

Le temps de sortir de Delhi, grouillante et sale, (d'autant plus qu'on était en pleine période de pluies) pour prendre la route du Shekawati, nos deux complices s'étaient endormies. Adèle avait réussi à s'installer à côté de Mangal. Malgré, la sorte de fin de non-recevoir qu'il lui avait adressée, elle ne renonçait pas, le temps aidant, à le mettre dans son lit.

Marie, quant à elle, s'était allongée et dormait profondément, la tête posée sur mes genoux. Pour l'instant, elle ne s'occupait plus de Toshan. Je savais pourtant que ça ne durerait que le temps qu'elle retrouve des forces.
Je ne croyais pas si bien dire. Après 3 heures de route, nous nous arrêtâmes pour dégourdir un peu nos jambes. Marie s'approcha de lui et entreprit d'échanger avec lui en anglais. Demandant si la route n'était pas trop difficile, s'il n'était pas trop fatigué, s'il ne s'ennuyait pas, seul devant dans le minibus... .

Toshan en restait à des réponses vagues et convenues. Profitant d'un instant où Mandal s'était éloigné pour téléphoner, elle alla même jusqu'à lui demander comment il la trouvait en se mettant face à lui, en lui présentant sa poitrine qui se laissait bien voir entre les pans de son chemisier. Ce n'était pas perceptible, mais je pense que le pauvre garçon rougissait. Il répondit qu'il la trouvait très belle.


- Do you want to have sex with me?
Toshan surpris ne sut pas quoi répondre. Il eut une mimique qui semblait signifier qu'il ne détesterait pas, mais
qu'il pensait que c'était une blague. Puis, il me regarda d'un air interrogatif. Je lui fis un signe d'approbation.
Elle reprit:
- I'm very serious!
Toshan retourna à son volant en évitant toute réponse, surtout que Mangal revenait vers le minibus. De sa propre autorité Marie s'assit à côté de notre chauffeur. A peine en place, l'air de rien, elle souleva sa jupe jusqu'à mi-cuisses et entrouvrit son chemisier.
- Qu'est-ce qu'il fait chaud et lourd!

Elle n'en rajouta pas, mais, au long de la route, régulièrement, elle croisait et décroisait les jambes, attirant à
chaque fois l'attention de ce pauvre Toshan. Puis, à un moment, s'assurant que personne ne la voyait (à part moi), elle leva légèrement ses jambes et, faisant un geste de la main pour attirer son attention, elle enleva sa culotte et la mit à ses pieds. Quelques minutes plus tard, elle releva sa jupe encore plus haut.
De ma position, je ne discernais pas exactement ce qui était apparent, mais à la tête de Toshan, et à ses regards appuyés vers Marie, je pense qu'il devait avoir vue sur le petit triangle de poils pubiens qu'elle entretenait régulièrement avec attention.
Elle faisait tout pour conforter, à ses yeux, les légendes hindous qui disaient que les françaises (en particulier les blondes) étaient très accessibles et un peu "salopes".

Pour ma part, j'étais curieux de voir comment elle allait s'y prendre ensuite pour le conduire là où elle voulait
en venir. Nous nous arrêtâmes, de nouveau après 1 à 2 heures de route, embouteillées de temps en temps par quelques vaches couchées sur la chaussée ou par des troupeaux de dromadaires, et même par une sorte de procession de mariage.

Mangal avait prévu un pique-nique. Toshan s'engagea un peu à l'écart de la route principale pour mettre la voiture un peu à l'ombre.
Il sortit de la soute du Mercedes deux grandes couvertures, des petits sièges pliants et de grandes gamelles. Mangal nous expliqua que le pique-nique en Inde était une institution, ils appellent cela le Tiffin. Des boites encastrées dans une espèce de thermos. Dans ces boîtes en métal superposées, chaque étage correspond à un aliment. Au premier, les chapatis (rôtis) ou le naan (galette de pain indienne, une sorte de crêpes). Au second, le riz. Au troisième, les légumes...Il nous avait fait préparer un Targa (riz au curry, yaourt et épices).

Chacun s'installa. Alors que Toshan s'était agenouillé et commençait à servir, Marie s'assit sur un pliant face à lui, les jambes légèrement écartées. Hormis lui, j'étais le seul à savoir qu'elle n'avait pas de culotte.
Il essayait de faire semblant de ne pas voir, mais son regard était régulièrement attiré par le bonbon rose qu'elle lui imposait de regarder.
Je me demandais comment il allait pouvoir tenir et jusqu'à quand.

A la fin du repas, Mangal me prit à part. Contrairement à ce que je croyais, il avait tout vu, ou deviné.
- René! Je n'ai pas à régenter la conduite des personnes que j'accompagne, mais pourriez-vous suggérer à
Marie d'attendre un ou deux jours avant d'épuiser notre chauffeur? Il a besoin de se reposer ce soir, après la
route que nous faisons aujourd'hui.
- D'accord, je vais la calmer, un peu.

En retournant au minibus, je dis à Marie de revenir se replacer à côté de moi. Elle protesta un peu, mais s'exécuta devant mon insistance. Une fois assise, je lui transmis les souhaits de notre guide. Elle s'esclaffa, se releva, se pencha à l'oreille de Mangal qui était assis sur le siège avant et lui dit :
- A vos ordres, seigneur, mais vous, vous ne conduisez pas, si vous voulez, je suis à votre disposition pour
vous offrir un peu de détente, et je suis sûre que ma copine pourrait se joindre à nous.
N'est-ce pas Adèle?
- De quoi vous parlez?
- On dit que tu ne détesterais pas faire un bout de causette à Mangal ce soir. Tiens, viens, prends ma place, moi
je vais tenir compagnie à ton homme qui m'a l'air bien éteint. Il n'a rien dit depuis notre départ.
Elles échangèrent leurs places.

Après quelques minutes, pendant que Mangal nous expliquait l'origine des superbes maisons (les havelis) qu'on trouvait dans toute la région du Shekawati, n'entendant plus Marie, je me retournai pour voir ce qu'elle faisait. Je ne fus pas déçu. Elle avait ouvert la braguette de Jean-Michel, sorti son outil et le masturbait consciencieusement. Lui, en réponse, avait soulevé sa jupe et lui titillait le haricot. Ils me sourirent.
- On s'occupe, ça passe le temps.

Ces paroles eurent pour effet de faire se retourner Adèle. Elle me glissa à l'oreille.
- Tu es jaloux? T'en as envie.
Face à mes dénégations, elle me dit que je ne perdais rien pour attendre et qu'elle se rattrait ce soir. Que d'ailleurs, elles s'étaient mises d'accord toutes les deux et qu'il ne devait pas y avoir un seul soir du voyage sans qu'elles ne fassent l'amour. Peu importe avec qui, qu'au retour, elles feraient les comptes comme Thierry Lhermitte dans les bronzés, pour savoir laquelle aurait eu le meilleur score. Je lui demandai quelles étaient les modalités de décompte.
- Jean-Michel et toi valez un point, quelle que soit celle de nous deux que vous prenez. Toshan 3.Mangal 8.
Un hindou ordinaire dragué pendant le voyage 2. Et si jamais l'une de nous deux se tombe un seigneur
Rajput ou un Maharadja, c'est le jackpot, ça vaut 20 points.
- Et une femme autre que vous deux?
- On n'en a pas parlé. On verra si l'envie et l'occasion se présentent.
Elle parlait suffisamment fort pour que Mangal ait tout entendu. Quand elle eut fini, il se retourna, la regarda avec un grand sourire, puis s'adressant à moi.

- Si c'est vous qui faîtes l'arbitre, avec vos deux amies, vous avez intérêt à tenir les comptes sur un carnet, parce que les chiffres risquent d'exploser rapidement, vu leur tempérament.
J'étais un peu étonné qu'il ne dise rien du fait qu'il fasse partie du tableau de chasse. Commençait-il à se persuadé qu'il pouvait aussi agrémenter son travail de quelques prestations non prévues dans le forfait de départ?

Me retournant, je vis que Marie n’avait plus le sexe de Jean-Michel en main, mais en bouche. Lui, avait un air épanoui et béat. Il me fit un grand sourire. Adèle suivit mon regard, puis me dit à l’oreille :
- Notre voyage aura déjà réussi à dérider mon homme un peu plus encore. Jusque-là, il suivait, mais de manière très distanciée. C’est une grande victoire. Marie est vraiment une bonne copine.

Vers 15h30, nous arrivâmes à l'hôtel. C'était une ancienne haveli de luxe, avec un cachet très particulier, le
Vivana à quelques km de Mandawa, transformée en hôtel, les chambres étaient très spacieuses. Les murs peints, les fresques, les meubles sculptés, les lits immenses enveloppés par les moustiquaires, tout faisait que le charme opérait immédiatement. On avait l'impression de se retrouver deux ou trois siècles plus tôt, invités par l'un de ces riches marchands qui ont fait fortune par leur commerce caravanier. Mangal nous expliqua que les propriétaires étaient des descendants de ces riches marchands. Il nous donna trois quart d'heure pour nous changer et nous détendre avant de partir visiter Mandawa.

La visite de la ville frappait par les explosions de couleurs dans toutes les rues. A la fois par les peintures murales, les habits de soie, saris et autres aux couleurs chatoyantes, tous ces magnifiques témoignages d'un riche passé révolu donnèrent à Marie l'occasion de changer totalement de registre. Elle était passionnée par cet univers qui la renvoyait à des références culturelles qu'elle affectionnait. Encore une fois, elle surprit Mangal par son érudition.
- Vous auriez pu vous passer de guide. Marie sait autant de choses que moi. Je pourrais l'embaucher comme
auxiliaire.
Adèle saisit la balle au bond. Sentant que Marie prenait un sérieux avantage sur elle.
- Ç'aurait été dommage de ne pas vous avoir avec nous, vous nous auriez manqués. Et, pas seulement pour
votre savoir.
Il ne releva pas.

Après ce dépaysement, nous fûmes de retour à l'hôtel vers 18h30. A peine arrivées, les femmes se mirent en maillot de bain et partirent à la piscine. Je suggérai à Mangal de les y rejoindre. Il ne savait pas trop quoi faire.
Après avoir longuement hésité et devant mon insistance, il les y rejoignit. Jean-Michel et moi avions décidé de dépenser notre énergie au bar en attendant qu'elles aient fini leurs ébats.
Toshan avait disparu. Où passait-il la soirée? Nous apprîmes plus tard que des chambres dans une autre aile moins luxueuse étaient réservées aux chauffeurs.
Le bar était presque désert. Je racontai à JM, les défis de nos femmes.
- Si je comprends bien, on va compter les points.
- Ça peut avoir son charme. Si on voulait, nous aussi draguer, il fallait aller ailleurs qu'en Inde. Cela dit, je
pense qu'on ne devrait pas s'ennuyer quand même et je suis très en attente de voir laquelle va gagner. En
tous cas, elles s'entendent comme de vieilles copines.

Il était un peu plus de 19h quand elles réapparurent. Mangal était avec elles. Il semblait aux anges. C'était la première fois que je le voyais rire. Elles l'avaient conquis. Restait à savoir jusqu'à quel point.
Nous n’eûmes pas à attendre longtemps, pour être fixé sur le niveau d'intimité qu'elles avaient acquis avec lui…
Elles s'affalèrent dans le canapé, de chaque côté de leur nouvelle conquête.
- Il nage comme un poisson. Et en plus, c'est un roi en apnée. Il est même passé sous nos jambes !!!
On a même eu peur à un moment. On s'est demandé si on n'allait pas être obligées de lui faire du bouche à
bouche pour l'aider à reprendre sa respiration. Il s'en est sorti tout seul, mais on reste prêtes au cas où....
- Bon, moi je boirais bien un petit whisky. Et vous?
Après s'être renseignée sur les cocktails, Adèle demanda un mojito. Mangal, lui, resta très sobre, il commanda un thé vert, en expliquant qu'il n'avait pas l'habitude de boire et qu'il voulait rester conscient de ses actes.
Il ajouta:
- J'ai fait beaucoup de jaloux à la piscine, avec deux aussi belles femmes à mes côtés. En plus occidentales.

L'atmosphère était devenue très détendue. Je compris très vite que, même si, initialement, elles s'étaient réparties Toshan et Mangal, face aux enjeux, aucune des deux ne se cantonnerait à son premier choix.

A table, au restaurant, nous n'existions plus. Elles n'avaient d'yeux et de discours que pour Mangal. Adèle, très maline, réussit à lui faire goûter un cabernet local, il se laissa aller. Très vite, il devint plus locace. Il n'hésitait plus à parler des traditions érotiques de l'Inde. Elles minaudaient, lui parlaient à l'oreille, lui passaient les mains sur les cheveux, je crois même qu’Adèle s’était aventurée avec une main sous la table... Il semblait être plutôt fier, aux yeux de tous ceux qui regardaient notre table, d’être l’objet de l’attention de ces deux belles occidentales. Sa retenue de la veille, devant Bhavani et Toshan n'était plus qu'un lointain souvenir.
J'attendais cependant de voir comment allait se prolonger la soirée.
A la fin du repas, alors que les deux copines voulaient l'entraîner prendre un dernier verre sur la terrasse, il leur dit qu'il préférait aller se coucher, qu’il était un peu éméché, qu’il avait besoin de se reposer.
Marie l'interrompit et avec fermeté lui montra qu'il avait été trop loin.
- D'accord, Seigneur, mais pas tout seul. Tu ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça? En plus, nous on va
te dégriser ? Où est ta chambre? Je te l'ai dit, comme tu ne veux pas que je m'intéresse à Toshan, on va
s’occuper de toi toutes les deux.
Elle fit signe à Adèle. Elles le prirent par les bras. Il leur sourit et même, les embrassa furtivement sur la joue, en insistant un peu plus avec Marie. J'avais compris depuis un moment qu'il était davantage attiré par elle.
- Je suis à la chambre 127 au premier.
Nous les laissâmes guider notre guide vers une autre sorte de voyage.
- Allez, Jean-Michel, viens, je crois que notre présence n'est pas souhaitée, on va noyer notre chagrin en
attaquant le bar de ta chambre.
Nous discutions tranquillement quand on frappa à la porte. C'était Adèle qui venait chercher des préservatifs.
- On s'amuse bien, on lui a promis qu'avant le retour à Delhi, nous aurions étudié tout le Kamasutra avec lui!
Bonsoir les chéris, dormez bien!
Vers 23 heures, je rejoignis ma chambre. Marie arriva 1 heure plus tard. Elle m'embrassa et me dit:
- Je peux te dire que c'est un bon coup! Je te raconterai demain.
Il ne fallut pas plus d'une minute pour qu'elle s'endorme profondément à mes côtés.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, Mangal nous attendait. Il me serra vigoureusement la main, embrassa Marie et Adèle, comme si nous étions des amis de vieille date.
- Alors, ce voyage en intimité féminine, vous a-t-il permis de faire d'intéressantes découvertes?
- Pas inintéressantes du tout, mais ça mérite des visites d'approfondissement, avec des guides expérimentés.
Ce sont des lieux que vous connaissez bien et j'ai cru comprendre que vous jouiez parfois le rôle de guide
dans l'accompagnement sexuel des conquêtes de votre épouse comme je l'assume auprès de vous dans la
découverte de l'Inde ?

Toshan arriva un peu plus tard. Marie lui demanda s'il était reposé de ses 6 heures de conduite.
Mangal reprit la parole.
- Maintenant, passons à la journée qui nous attend. Nous quittons l'hôtel vers 9h30, si vous le souhaitez, vous pouvez profiter encore un peu de la piscine. Notre étape cet après-midi est Bikaner, dans le désert de Thar, ville d'un des derniers grands maharadjas de Jaïpur, le maharaja Ganga Singh qui a règné jusqu'en 1943. Nous logerons dans un de ses nombreux palais, le Laxmi Niwas Palace. Des parties du palais ont été converties en hôtel et musée après qu'en 1970 on ait retiré les pensions et titres à tous les maharadjas. Le maharadja actuel, Kumar Padmanabh Singh est son arrière petit fils, il n'a plus beaucoup de pouvoir. Le reste du palais lui est réservé. Il vit encore dans beaucoup de faste, grâce aux affaires qu'il fait. Il pourra vous arriver de le croiser.
Adèle demanda:
- Et, il est marié?
- Il a été couronné il y a deux ans. Je doute qu'il puisse vous intéresser, il va avoir 14 ans. En dehors des
vacances, il poursuit ses études dans un grand collège anglais. Dans sa suite, il a beaucoup d'hommes qui
l'initient aux attributs du pouvoir. Il y a aussi d'autres descendants de grands seigneurs Rajput, des Rajh. On ne sait jamais! Et pour votre information, sa mère est très belle.
- Moi, je pourrais l’initier à d’autres attributs qui lui seront tout aussi indispensables, et parfaire ses études,
mieux que dans un collège anglais …
C’était Marie qui n’oubliait pas ses fonctions de pédagogue, même en vacances !

......Nous avions deux à trois heures de route. En montant en voiture Marie s'était penchée vers Toshan et lui avait glissé quelques mots à l'oreille. J'appris après qu'elle lui avait dit qu'elle avait couché avec Mangal et que ce serait bientôt son tour.
Elle était en pleine forme. Elle avait décidé de lui sortir le grand jeu et s'était de nouveau assise à l'avant.

Elle portait une tenue minimaliste: une jupe blanche, courte, légère et très ample, un corsage dont seuls les deux boutons du bas étaient attachés. Comme elle avait mis un soutien-gorge push-up rouge, dès qu'elle faisait un mouvement, sa poitrine explosait aux yeux de tous. Pour maintenir une certaine forme de sérieux, elle avait passé sur ses épaules une grande étole en soie, dont elle recouvrait sa poitrine de temps en temps.
Adèle quant à elle, nous avait demandé si elle pouvait s'asseoir à côté de Mangal. Nous renvoyant à l'arrière, Jean-Michel et moi. Si bien que je ne pouvais voir comment Marie se conduisait avec Toshan.
Adèle, déçue par les informations qu'elle venait d'apprendre sur le maharaja, passa quasiment toute la route à minauder auprès de Mangal, posant sa tête sur son épaule, lui caressant la nuque. Parfois, elle lui posait des questions. Elle voulut savoir, par exemple, si les maharajas avaient des harems.
Il nous expliqua qu'à l'origine il n'y en avait pas. La polygamie était même une pratique des dieux. Qu'après la conquête musulmane des Indes, les Rajputs utilisèrent une stratégie, proche du harem, d'enfermement des femmes dans des parties des palais, ce qui participa à la dégradation de la condition des femmes en Inde.
- Aujourd'hui la polygamie n'est autorisée, officiellement, que pour les musulmans. Mais, comme vous l'a dit
Bhavani, le mouvement actuel vers la redécouverte des principes originels de l'hindouisme fait que dans les
milieux aisés et intellectuels une grande liberté de mœurs est aujourd'hui admise, et sans parler de polygamie,
la sexualité à tendance à devenir plus libre. Marie vous a parlé hier de deux livres érotiques, mais il y en a
d'autres sortis ces dernières années, et ils rencontrent tous un grand succès.

A notre arrivée à l’hôtel, un peu avant midi, le chef de réception nous attendait, entouré de 4 porteurs. Il salua énergiquement Mangal, puis se dirigea vers nos deux belles et s’adressa à elles, dans un français impeccable:
- Nous vous attendions avec impatience, nous avions entendu parler de vous…Messieurs, vos femmes sont
encore plus belles que le portrait qu’on nous avait fait d’elles… Laissez, on va s’occuper de vos bagages. Un
rafraîchissement vous attend dans le patio.
En le suivant nous découvrions ce palace impressionnant, d’un luxe ostentatoire.
Après l'accueil digne de princes nous rejoignîmes nos chambres respectives pour nous détendre un peu. Marie me demanda si je pouvais monter seul « elle resterait dans un des nombreux salons pour profiter de l'atmosphère très typique des lieux ».
En fait, elle attendait que Toshan ait fini de vérifier le transport des valises avec les bagagistes pour l'entreprendre.
Elle lui demanda de lui montrer l'endroit où il dormait et mangeait. Elle avait une petite idée derrière la tête dont nous pûmes mesurer la perversité le soir même.
Quand elle me rejoignit elle me raconta que tous les chauffeurs dormaient sur des paillasses, entassés dans des espèces de dortoirs en sous-sol, qu'elle trouvait ça anormal comparé au luxe de l'établissement. (Son côté soixante-huitarde qui se réveillait, croyais-je, seulement, à cet instant).
Je la questionnais sur sa nuit avec Mangal qu'elle m'avait promis de me relater.
- Doucement, Monsieur, j'ai quelque chose de plus urgent à faire. Je trouve que j'ai un peu trop délaissé l’homme de ma vie, ces derniers temps. Assieds-toi sur le lit, je vais te montrer combien j'ai d'amour pour ta personne.
Elle enleva son corsage, dégrafa sa jupe et se retrouva en sous-vêtements. Un string rouge à dentelles très sexy et minimaliste accompagnait le soutien-gorge push-up.
Voyant qu'elle me faisait encore de l'effet, bien que je la connaisse par cœur, elle ajouta.
- T'es pas le seul à aimer. Je crois que Toshan a bien apprécié pendant le voyage. Plusieurs fois, quand nous
étions bloqués par des passages de vaches ou de groupes, j'ai même guidé sa main. La première fois il a un peu
sursauté, après il s'est même enhardi tout seul et s'y est un peu attardé.
Mais occupons-nous de mon chéri.

Ce faisant, elle s'agenouilla devant moi, m'écarta les jambes et tout en me fixant dans les yeux avec un regard mi complice, mi moqueur, déboutonna mon pantalon et avec ses deux mains entoura mon sexe en le caressant de haut en bas. Elle n’eut pas besoin d’abaisser sa tête, le gigantesque lit à baldaquin était très haut, au point qu’un mini escalier de deux marches était toujours à disposition.
Sans un mot, tout en continuant à me fixer droit dans les yeux, elle s'attacha à me titiller le bout du gland par de petits coups de langue plus ou moins rapides, sans bouger ses mains qui ne faisaient que redresser ma bite, afin qu'elle puisse plus facilement être à niveau de sa bouche.
Après un long moment de ce travail qui, bien sûr me faisait bander comme un âne, elle éloigna sa tête, tendit son index et me caressa en remontant délicatement, tournant autour du gland, redescendant jusqu'aux testicules puis de nouveau remontant en tournant autour de ma queue, avec deux puis trois doigts. Lentement elle me lécha le bout du gland tout en continuant ses va-et-vient avec ses doigts. Ça devenait insupportable. Tout en continuant à me regarder fixement d’un air provocateur, alors que j’étais concentré sur la maîtrise de mon plaisir, à un moment où elle arrivait à la racine de mon sexe, d’un seul coup, elle m’introduisit un doigt dans l’anus. J’eus un sursaut qui me fit lâcher prise et lui envoyer un jet de sperme en pleine figure. Elle l’étala sur ses joues et sa bouche, le lécha comme une qui vient de satisfaire un plaisir de crème glacée. Tout en continuant à se badigeonner la figure elle caressa mon sexe de son autre main. Puis, relevant ses deux mains encore pleines de mon liquide au niveau de mon visage, elle me dit :
- Lèche !!!
Je m’exécutai tout en me disant que ses dernières 24 heures l’avaient drôlement émoustillée. Je n’eus pas le temps de me poser plus de questions. Elle me renversa sur le dos, enleva mon pantalon et mon slip, monta sur le lit et s’assit sur moi en embrochant mon vit. L’énergie avec laquelle elle se secoua sur moi ne tarda pas à me refaire bander.
- Je ne veux pas que tu éjacules trop vite, la hauteur du lit me donne une idée.
C’est au moment où je l’entendis parler que je ne m’aperçus qu’elle avait saisi son portable, tout en continuant à me chevaucher :
- Allo ! Adèle ? Tu es occupée ou tu peux me consacrer un quart d’heure ? Jean-Michel est avec toi ? Non, c’est parfait, alors viens seule, je voudrais te faire partager mon homme. Je crois qu’il ne va pas tarder à être à point.

Cinq minutes plus tard, Adèle montra son nez dans notre suite. Marie était toujours en action assise sur moi, me tournant le dos.
- Mets-toi en tenue assieds-toi sur lui et fais lui manger ton minou. J’aime l’idée de le rendre totalement
prisonnier de nos sexes.
Pendant qu’Adèle se déshabillait, Marie se retourna pour s’asseoir, cette fois face à moi.

- Ça va mon chéri, tu supportes d’être mon soumis ? Ce n’est qu’un juste retour des choses !
Je n’eus même pas le temps de lui répondre autre chose qu’un « Oui » sourd, Adèle s’était positionnée sur ma figure, face à sa complice. Et pour bien me montrer que ce qui l’intéressait n’était que ma langue et ma bouche, elle me prit les bras, les allongea le long de mon buste en les retenant entre ses cuisses :
- Allez, lèche et je veux que tu me fasses jouir, compris !!!
Effectivement, je comprenais de mieux en mieux qu’elles avaient décidé, avec une certaine connivence, que ce séjour serait celui de leur prise en mains des hommes qu’elles choisiraient et qui leur serviraient de jouets sexuels.
Elles se mirent à échanger comme deux copines qui prennent le thé. La seule différence était qu’elles étaient nues et s’agitaient sur moi. Par moment, elles s’arrêtaient de parler pour s’embrasser et/ou se caresser le ventre, les seins ou la nuque.
Adèle faisait très attention à ne pas m’ et à bien me faire lécher son sexe par tous les bouts en remuant ses fesses légèrement au-dessus de moi d’avant en arrière. Je crois même qu’elle prenait un certain plaisir à me faire humidifier son petit trou.
Leurs propos étaient, bien sûr, uniquement consacrés à leurs envies sexuelles. Marie lui annonça que le soir, elle lui laisserait Mangal pour elle seule, si elle en avait envie, et qu’elle avait trouvé un moyen de dévergonder Toshan.
Après une dizaine de minutes, Marie se leva :
- Bon, je crois qu’il a compris qu’il n’était là que pour nous satisfaire et que par contre nous décidions de sa
jouissance à notre guise. Allez, viens, j’ai autre chose à lui proposer…
Elle me dit de me lever, s’allongea sur le lit, sur le dos les jambes pendantes le long du lit. Elle attira Adèle vers elle, la prit par la main, et l’allongea contre elle, en lui disant d’écarter ses jambes le long des siennes. Elles étaient ainsi corps contre corps, leur cul respectif juste au bord du lit, à une hauteur qui me fit comprendre tout de suite le nouveau plan que ma chérie avait envisagé.
Diabolique !!!
- Mon amour, tu vas te placer entre nos cuisses et alternativement prendre celui de nos quatre trous qui te fait
le plus envie. Mais tu n’as pas le droit de rester plus d’une minute dans le même, sauf si tu le demandes
et qu’on t’y autorise ! De plus, tu ne dois te lâcher que lorsqu’on te le dira et nous donner de ta semence à
chacune dans le trou qu’on choisira !
Je voyais qu’Adèle, qui avait tourné la tête vers moi, pour voir mes réactions, était aux anges.
- Dommage qu’on n’ait pas aussi Jean-Michel sous la main, on aurait pu complexifier le jeu en l’installant
devant nos deux bouches…Bon, on va se rattr ma chérie.

Elle se tourna vers Marie et lui prit goulûment la bouche, après m’avoir dit de me mettre au travail. Quant à moi, je m’exécutai selon leur désir et entrepris de les lutiner comme elles le souhaitaient. Après tout, ce n’était pas le plus désagréable de ce qu’elles auraient pu me proposer, au contraire.
Pendant qu’elles se caressaient, se frottaient lascivement, je les pénétrais alternativement. Après un petit moment, et alors que je sentais que leurs culs s’agitaient un peu plus à chaque coup de boutoir, je me rendis compte que Marie attirait Adèle à elle plus fortement, faisant en sorte que tout doucement ses orifices soient plus accessibles que les siens et que j’y entre plus profondément. Je compris l’invitation et m’attachai à mieux la « soigner » que sa copine.
Ce fut à peu près à ce moment que Marie me dit qu’elle m’autorisait à m’attarder un peu plus sur chaque entrée. Je compris l’invite, mais pour ne pas trop délaisser Adèle, je résolus de la doigter tout en m’activant sur mon épouse.
Ces deux actions eurent pourtant le même effet sur mes deux amazones.
Elles se mirent à vibrer à l’unisson, se frottant et s’agitant de plus belle. J’attrapai alors les jambes de Marie à l’intérieur de celles de sa copine et les relevai sur mes épaules. Ceci eut pour effet d’écarter encore plus les cuisses d’Adèle en me laissant tous leurs orifices grands ouverts à disposition.
La mouille d’Adèle commençait à couler sur le pubis de Marie, rendant la situation encore plus excitante. Comme tout était largement accessible, les cons et les culs les uns au-dessus des autres, je décidai d’essayer de faire des entrées appuyées en rythme et assez fortes en l’une puis en l’autre. Ces coups puissants, s’ils nécessitaient de ma part maîtrise et cadence soutenue, avaient aussi pour conséquence qu’à chaque pénétration de l’une, l’autre en ressentait aussi les effets. Comme elles continuaient à se minauder, elles ne tardèrent pas à geindre à l’unisson. Et du coup à se gougnotter de plus belle.
Je n’attendis pas leur feu vert (d’ailleurs je ne sais pas si elles étaient encore en situation de m’imposer quoi que ce soit tellement je les sentais proche de l’extase). J’étais, moi-même tellement surexcité que je leur lâchais tout d’un seul coup. D’abord dans le petit d’Adèle, puis très vite dans la caverne de Marie. Pour finir, en me masturbant entre leurs cuisses entremêlées.

C’est à cet instant que je réagis. Le téléphone de la chambre sonnait déjà depuis un petit moment.
Je me précipitai pour décrocher pendant que mes deux coquines s’étalaient sur le lit tout en continuant à se faire des minauderies.
C’était Mangal qui me demandait si nous comptions descendre bientôt, on nous attendait depuis une demi-heure pour le déjeuner. Il me questionna aussi pour savoir si nous savions où était Adèle, que son mari la cherchait. Je lui répondis était avec nous, que nous n’avions pas vu le temps passer, tellement absorbés par un échange très riche et animé sur la culture ancestrale de l’Inde. J’eus droit à un :
- Ah bon ! Je me disais que vous étiez peut-être partis à la conquête de l’Everest.
- Je crois avoir conquis quelque chose qui ressemblait peut-être à ça…
- Je vois… et vous nous rejoignez dans longtemps après votre face à face ?
Je lui répondis que nous serions à la salle à manger dans cinq minutes. Les filles avaient déjà compris et étaient dans la salle de bain en train de se refaire une beauté et de se rhabiller. Je les entendais se parler à voix basse, certain qu’elles ne pouvaient qu’échanger leurs impressions sur ce petit épisode particulièrement insolite.
En sortant de la chambre, je dis à Marie :
- Très bien ton numéro, j’ai beaucoup apprécié. Je redécouvre chaque jour l’ampleur et les subtilités de ton imaginaire. Quand je pense qu’il y a peu de temps, tu n’aurais même pas osé croire que ce que tu viens de me faire faire était possible pour qui que ce soit. Je t’aime. Mais tu ne m’as toujours pas raconté ta nuit avec Mangal…
Je n’eus d’autre réponse qu’un petit sourire et un baiser sur la joue…

Notre arrivée dans la salle de restaurant ne passa pas inaperçu, d’abord parce que tout le monde était attablé et qu’un homme seul avec de chaque côté une superbe femme était, déjà, en soi, une attraction. Mais aussi parce que les tenue de mes deux compagnes étaient, comme toujours depuis le début de notre voyage particulièrement provocantes. Et n’étaient faites que pour, justement, attirée l’attention et les convoitises.
Mangal et JM nous regardèrent arriver jusqu’à la table où ils s’étaient installés avec le sourire entendu de ceux qui ont compris que l’apéritif dans la chambre devait être très épicé.
Notre table recouverte d’une grande nappe de coton fin qui tombait presque jusqu’au sol, était un peu à l’écart.
Adèle s’installa entre son homme et Mangal, et Marie entre ce dernier et moi. Les plats étaient déjà sur la table.

Nous n’étions pas assis depuis plus de cinq minutes que JM se glissa doucement sous la table. A l’attitude de sa femme nous comprîmes vite qu’il lui consacrait son exploration « souterraine ». Il remonta assez rapidement et s’adressa à nous :
- Je m’en doutais, elle a encore l’entrejambe chaud et mouillé, la salope ! En plus, ça m’a été facile à constater,
elle n’a même pas mis de culotte ! Vérifiez si vous voulez Mangal ! Je ne sais pas ce que tu leur as fait mais
j’ai l’impression que votre discussion ne devait pas être très philosophique ! N’est-ce pas René ?
Je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit. Adèle, suivant la sollicitation de son mari, avait pris la main de Mangal et l’avait conduite sous la table entre ses cuisses. Le pauvre garçon n’avait pas pu résister tellement il était surpris. Un peu gêné, il regardait tout autour de lui si quelqu’un d’autre pouvait voir ce qui se passait.
- Alors, je mouille n’est-ce pas, il a raison mon chéri, j’en ai pris plein et Marie aussi et on n’a pas fini. Si vous
voulez on vous consacre la sieste ? Quant à moi, je prendrais bien un nouveau cours de massage et gymnastique
locale du même genre que ceux que tu nous as donnés hier soir mon trésor !
Marie acquiesça.
Quant à moi, j’étais très perplexe. Ce qui me surprenait le plus était cette hardiesse nouvelle, comportementale et verbale dont venait de faire preuve Jean-Michel. S’était-il enfin décider à reprendre un peu les choses en main par rapport à sa compagne et devenir un peu maître de ses jeux sexuels. Sûrement que l’épisode apéritif en dehors de sa présence l’avait résolu à se lâcher.
Afin de permettre que tout le repas ne se limite pas aux frasques libidineuses de nos amies, Mangal embraya immédiatement la discussion sur les visites prévues, le fort en particulier. Effectivement, tout le monde l’écoutait avec attention. Il finit en disant que comme certains d’entre nous nous avaient fait prendre du retard, nous démarrerions nos visites dès la fin du repas. Je ne sais si c’était une manière de fuir les propositions d’Adèle ou si réellement il avait prévu de partir tôt. Toujours est-il que personne n’eut d’objection.
Les visites furent très envoûtantes comme tout ce que nous voyions depuis notre arrivée. Mangal attendit cependant notre retour à l’hôtel et que nous soyons tranquillement en train de prendre un rafraichissement pour nous instruire sur une caractéristique du lieu, qu’il n’avait pas abordée jusque-là, et pour cause...
Bikaner était l’origine de l’un des plus anciens manuscrits illustrés du Kâma Sutrâ, du moins en bon état de conservation. Il datait du XVème siècle. Si l’origine de l’œuvre la plus célèbre du patrimoine indien date bien des VIème-VIIème siècles, la plupart des manuscrits antérieurs à celui de Bikaner ont été détruits en totalité ou en partie par l’action conjuguée de la chaleur et de l’humidité du pays. De plus le style Bikaner tranchait sur les autres productions.
- Vous pouvez le voir en Angleterre à Cambridge au Fitzwilliam Museum. Mais comme, je savais que vous
étiez très attirés par ce genre de patrimoine culturel, je vous ai apporté mon exemplaire d’un ouvrage qui
montre et commente les principales planches. En plus, il est écrit en français.
Ce disant, il sortit le livre en question de sa serviette. Il jubilait de provoquer ainsi nos deux vamps. Et, effectivement son intervention fit son effet. Le titre était vraiment « le Kama Sutra de Bikaner »
- Maintenant reste à savoir quelle est la personne qui en fera le meilleur usage afin que je puisse lui confier ?
Aucun de nous ne se proposait, laissant le choix à Mangal. C’est à cet instant que Marie, toujours en pleine période imaginative intervint :
- Je propose que Mangal le garde à disposition dans sa chambre et que ceux ou celles qui veulent le lire, le
regarder ou reproduire en réel les illustrations viennent le faire chez lui. Ou alors l’empruntent, mais avec
garantie de ne pas le garder une nuit entière. Et par exemple de nous donner un nombre de jours maximums
au cours desquels on peut y avoir accès, pour ne pas le déranger tout le reste du séjour. Je propose trois
jours comme limite. En attendant on peut peut-être y jeter un bref coup d’œil ?

Sans attendre un acquiescement, ou l’avis de qui que ce soit, elle prit l’ouvrage des mains de notre guide et s’assit à côté de celle qui, en quinze jours, était devenue sa meilleure copine et complice. Elles tournèrent les pages en s’esclaffant devant certaines illustrations.
- Chéri, il faudra que tu voies certaines positions et que tu les expérimentes. A nos âges, on découvre toujours
des choses qu’on n’aurait même pas imaginées.
- Et pourtant, nous sommes plusieurs à avoir pu constater combien ton imagination était fertile. Bon,
maintenant, on va monter ce détendre vraiment. Marie, tu montes avec moi ! Tu auras tout le temps, plus tard,
pour te livrer aux investigations que ta soif de savoir semble avoir interdit des limites !
Je voulais aussi, qu’installée au calme, en vrai tête à tête, elle finisse enfin par me raconter sa dernière nuit en compagnie de Mangal. Ses silences lors de mes questions et son énigmatique « c’est un bon coup » à son retour dans la chambre n’avait fait que me rendre encore plus impatient d’en savoir plus, presque vingt-quatre heures après...
Elle s’exécuta et comme pour provoquer encore une fois, elle me prit par les hanches en lançant :
- Viens, beau brun, on va se détendre en essayant de ne pas se perdre de vue dans notre grand lit et en
s’attachant à être aussi inventifs que ceux qui ont créé le Kama Sutra, il y a quinze siècles.
En remontant à notre chambre, j’essayai d’expliquer à Marie que je trouvais qu’elle en faisait un peu trop ces derniers temps et que je ne savais pas ce qu’elle recherchait. Mais que, même si beaucoup de ses jeux me plaisait, c’était l’accumulation qui était un peu envahissante.
- Même si vous faîtes un concours, ça peut être marrant, mais c’est en train de devenir obsessionnel, et ça perd
un peu de son charme.
Dans un premier temps, elle m’écouta sans réagir, puis après un petit moment de silence, alors que nous étions presque arrivés juste devant notre suite, elle me dit :
- D’accord, Monsieur mon maître, on va vous obéir et redevenir une petite fille sage et obéissante. D’ailleurs, tu vois, je me mets à tes genoux.
Avant que j’ai ouvert la porte, elle se mit à genoux dans le couloir, sans même vérifier que personne ne nous voyait, croisa les mains devant son visage et en éclair, sortit mon sexe de mon pantalon pour le sucer, puis s’arrêta et dit :
- Tu vois, je te fais mes dévotions, je suis ta servante et ton disciple, je suis devenue encore plus salope que ce
que tu imaginais me faire devenir, je suis ta groupie pour la vie. Fais de moi la chienne que tu veux que je
sois. Décide quand tu m’offres et quand tu m’autorises à me donner.
Surpris, à la fois par l’action et les propos d’une supposée contrition, tout en me rajustant, je scrutai son visage. Je n’arrivais pas à vraiment discerner le degré de sérieux et la part d’ironie.
Entrés dans la chambre, je l’invitai à s’asseoir sur l’immense canapé. Je m’installai en face, sur l’un des fauteuils. Je ne voulais pas que notre échange soit perturbé par des contacts ou caresses quelconques.
- Maintenant, je veux le récit que tu m’as promis de ta soirée d’hier avec Mangal et Adèle.
- A vos ordres chef ! Je ne t’épargnerai aucun détail. Je tiens d’abord à te dire que sous ses dehors très stricts
British, c’est un sérieux coquin, qu’il s’y connait sur l’anatomie mais aussi la psychologie féminine et qu’il
est un baiseur nettement plus performant et endurant que toi !
Arrivés dans sa chambre, moins spacieuse et confortable que la nôtre, nous avons voulu le déshabiller. Il
nous a arrêtées en nous disant que chez lui, ce n’était pas les femmes qui conduisaient les ébats sexuels. Il
s’est assis sur le sol les jambes croisées et nous a demandé, l’une après l’autre de nous dévêtir lentement
lascivement, comme s’il était un grand Maharadja du XVIème siècle, que nous faisions partie de son harem
et que nous cherchions chacune à être sa favorite et que ce soit avec nous qu’il passe la nuit. Il a ajouté :
« à l’époque, les européennes étaient très recherchées et s’efforçaient souvent d’être encore plus sensuelles
que les indiennes ou autres orientales qui, en général, maîtrisaient mieux les danses suggestives ».
- Madame Adèle, à vous l’honneur !
Elle a demandé si tout était autorisé. Mangal a acquiescé. Le numéro qu’elle lui a fait ensuite était digne
d’une effeuilleuse professionnelle, voire même d’une gogo danseuse du Penthouse le plus chaud. Elle a sorti
son portable de son sac, a cherché un moment, puis la chanson de Joe Cocker, tu sais, la musique du film
qu’on a vu ensemble où Kim Bassinger fait un strip-tease d’enfer à Mickey Rourke, qui sert aussi de musique
pour « Full Monty ».
- Oui, attends……..c’est « You can leave your at home » et le film “neuf semaines et demi”
- Mangal nous a dit après qu’il ne connaissait aucun des deux films et pas non plus Joe Cocker.
Elle était sûre de faire un malheur.
Elle a commencé à enlever délicatement sa jupe en la dégrafant à peine et en se dandinant très légèrement
pour qu’elle tombe doucement sur la moquette… S’est approchée de lui, juste devant ses jambes, les a
écartées, tout en continuant ses oscillations lascives, de plus en plus près de son visage. Quand elle a été
quasiment à le toucher, elle a déboutonné son chemisier et lui a retourné sur la tête. Quand il l’a enlevé, il
s’est trouvé le nez et les yeux au niveau de l’entre-jambes d’Adèle qui se cambrait, toujours en rythme. Puis,
pendant qu’il était concentré sur ce qui lui faisait face, elle a dégrafé son soutien-gorge et lui a mis sur les
yeux. Il a voulu l’enlever, elle le lui a interdit.
- Pas tout de suite, sois patient…
Pendant un long moment, elle s’est déhanchée devant son nez, sa bouche, presqu’à le toucher. Comme nous
n’avions pas pris de douche et qu’il faisait chaud, dans tous les sens du terme, il devait sentir à plein l’odeur
de son sexe. A un moment, après avoir humidifié son index dans son vagin, elle le lui a passé sur les lèvres et
lui a ensuite fait sucer à plusieurs reprises. Elle l’a enlevé, puis lui a rouvert la bouche et introduit le haut de
son string, en même temps qu’elle lui ôtait le soutien-gorge qui, jusque-là, servait de bandeau. Et lui a dit :
- Descends-le, doucement, rien qu’avec ta bouche ! Tu t’arrêteras sous les genoux !
Tout cela en continuant son numéro de contorsions. Je voyais que le pauvre Mangal commençait lui aussi à
avoir très chaud, surtout que le vin qu’il avait bu à table devait aussi lui faire monter la température. Comme
tu t’en doutes, à un moment, elle lui a pris la tête à deux mains et lui a mis entre ses cuisses sur sa vulve, en
l’obligeant quasiment à lui brouter le minou. Et, alors qu’il semblait avoir commencé, elle l’a repoussé.
- Non, petit gourmand, tu y auras droit tout à l’heure, là nous ne sommes que dans la présentation et la
stimulation des papilles.
Elle a enlevé complètement sa culotte, doucement, puis s’est retournée et lui a fait le même numéro avec ses
fesses. Quand la musique s’est arrêtée, elle s’est remise bien droite. Puis s’est repenchée vers lui, lui a dit :
- Il reste quelque chose que tu n’as pas goûté…Il faut aussi te faire une idée.
Elle lui a de nouveau pris la tête entre ses mains et lui a pris la bouche avec détermination, puis enlevée aussi
vite.
- Voilà, jeune homme, j’espère que ça vous a plu. C’est vrai, j’ai un peu , mais j’ai deux lourds handicaps
sur Marie. D’abord je n’ai pas sa connaissance de votre culture qui semble vous impressionner, même si pour
ce que nous avons à faire, ce n’est pas ment le plus décisif, mais surtout, je ne suis pas blonde. Et là, je
sais que chez vous les européennes blondes sont particulièrement recherchées et ont une réputation bien
ancrée.

Je te jure, j’avais presqu’envie d’applaudir la prestation. Mais en même temps, je me demandais ce que je
pouvais faire pour amener Mangal à décider que je serais sa « favorite ».
J’ai éteins la lumière générale et n’ai laissé allumé qu’une lampe de chevet. J’ai choisi de prendre sur mon
portable « I can’t get no » mais pas par les Stones, par Ottis Redding. Tu sais la version qu’on a enregistrée
chez ton frère.
Je me suis déshabillée. Je ne pouvais pas faire un strip concurrentiel avec Adèle. Je me suis allongée devant
Mangal et j’ai commencé à me toucher, me caresser, me pénétrer, en remuant et en lâchant de petits
gémissements simulés d’orgasme. Après quelques instants, j’ai pris Adèle par la main, l’ai allongée à côté de
moi, l’ai caressée, doigtée, masturbée et l’ai poussée à faire de même. Je savais que l’homosexualité, encore
plus féminine, était proscrite, y compris dans les plus anciens textes religieux comme « les Lois de Manu ».

J’avais décidé de provoquer Mangal. J’avais ma petite idée. Je suivais du regard ses réactions. Il n’avait pas
l’air de détester le spectacle. Je voulais, à tout prix faire vraiment jouir Adèle avant la fin du morceau. Elle
s’agitait mais tentait de se retenir. A un moment, tout en lui caressant le ventre et les seins d’une main,
j’introduisis fermement quatre doigts dans son sexe. Puis, après les avoir bien agités, je décidai de lui entrer
toute la main pour la fister.
Elle poussa un cri, mais comme son numéro l’avait, elle aussi bien chauffée, et que son antre était bien
humide, ma main rentra profondément, l’agitation à l’intérieur finie par avoir raison de ses résistances. Elle
se mit à gémir, geindre, à chanter et soudain à couler en fontaine ininterrompue. Notre compagnon regardait
ça avec étonnement et gourmandise. Ce devait-être la première fois qu’il voyait une femme en amener une
autre à un tel paroxysme de plaisir.
Quand la chanson s’arrêta, je lâchai Adèle. Elle s’écroula sur le côté exténuée. Et je dis :
- Grand Maharadja, voilà, je viens de te le prouver. Tu as pu le voir, Adèle est la meilleure, elle fait des trucs avec son corps que je ne ferai pas, elle sait exciter les hommes mieux que moi, elle prend des super pieds, elle jouit et elle aime ça, et n’attend que toi depuis le début du voyage… Prends-la, tu seras comblé et elle te fera jouir comme un fou ! J’ai cependant une proposition à te faire. Prends-moi en auxiliaire, quand elle sera épuisée, je prendrai le relai, mais je le ferai aussi quand toi tu seras épuisé par son tempérament et que tu auras besoin d’un temps de décompression.
Adèle reprit :
- Oui, on t’a amené toutes les deux jusqu’ici, on reste toutes les deux, et tu nous prendras toutes les deux !
- Je n’avais pas vraiment l’intention de n’en garder qu’une. Pourtant, je me demande comment je vais
arriver à tenir face à deux femmes comme vous ! Cela dit, puisque vous voulez découvrir les secrets de
notre vision de l’érotisme, il vous faudra me laisser complètement l’initiative. Dans le Kâma-Sûtra, la
femme est à disposition de l’homme et s’attache à exécuter tous ses désirs.
Il nous demanda de nous allonger sur le ventre sans bouger, les bras au-dessus de la tête, en laissant une place
entre nous deux pour qu’il puisse s’y placer s’il le voulait. Il se déshabilla et commença par s’installer à
genoux, entre mes cuisses, et me caressa, me massa depuis le cou jusqu’aux fesses, sur le côté, sans jamais
s’aventurer vers mon sexe. Puis, il se mit entre Adèle et moi, d’une main il continuait ses va-et-vient sur mon
corps, toujours sans aucun attouchement sexuel, et de l’autre, il faisait de même sur elle.
Très vite, comme je l’avais bien chauffée auparavant, elle se mit à émettre de petits râles à demi étouffés. Il
s’arrêta de la caresser :
- Non, il vous faut apprendre à maîtriser votre jouissance, à prendre votre temps, à laisser monter l’excitation en la canalisant pour qu’elle explose et soit encore meilleure le moment venu. Le Kâma Sûtra n’est pas qu’un guide positions, il donne des conseils et recommandations sur les meilleures conditions pour parvenir au rapport parfait. Il rappelle l’importance qu’a le temps dans la volupté, le rôle joué par l’attente dans la montée du désir jusqu’à l’extase finale.
Il revint totalement sur moi. Cette fois en m’embrassant dans le cou, tout en continuant ses caresses.
Progressivement ses mains, ses doigts puis sa bouche se rapprochèrent tour à tour de mes fesses. Quand il sentit
que je commençais vraiment à avoir du plaisir, il me retourna sur le dos.
- Ferme les yeux et écarte tes bras, le long de ton corps ! Et toi, retourne-toi aussi et caresse-toi, très lentement en nous regardant, sans toucher ton sexe.
Il recommença ses caresses, mais là, il s’attaquait aussi à mon entrecuisse, à mes seins. Parfois, lorsque ses mains, doigts écartés remontaient le long de mes cuisses, ses deux pousses venaient frôler imperceptiblement mes lèvres, me provocant un léger tressaillement. Petit à petit, ses gestes furent plus appuyés. Je ne voyais pas ce que faisait Adèle, mais je ne l’entendais plus. A mon avis, elle enregistrait tous ses mouvements. Elle prenait une leçon.
D’une de ses mains, il me caressa le cou, l’autre s’attardant sur mon pubis et titillant mes lèvres, puis il introduisit furtivement un doigt, tout en caressant mon clitoris avec son pouce.
Alors que je commençais à monter en plaisir, il arrêta tout.
- C’est un supplice que tu nous fais vivre ! s’exclama Adèle.
- Non, maintenant, c’est à vous de vous occuper de moi, sans aller trop vite. Vous ferez ce que je vous dis. Déshabillez-moi lentement, avec douceur et à toutes les deux, sans attouchements trop suggestifs. Quand vous serez sur le lingam, vous n’aurez le droit d’enlever mon slip qu’avec votre bouche et sans toucher le gland avec vos lèvres. Tout ça en silence et langoureusement.
- Son altesse pourrait-elle se relever que nous puissions officier.
Bon, je ne vais pas tout de décrire, mais nous avons fait notre possible pour que ce soit sensuel, sans contacts trop explicites, Mais quand même avec des effleurements par moment. Quand nous avons terminé, il nous a dit que c’était pas trop mal, qu’on avait quand même des leçons à prendre…Puis, il nous a dit qu’on allait commencer des activités plus charnelles, mais qu’il n’avait pas de préservatif, qu’il ne pensait pas en avoir besoin au départ du circuit, mais qu’il était persuadé que nous pourrions remédier à cette situation. Adèle est partie très vite en chercher.
Pendant qu’elle faisait l’aller-retour, Mangal s’est installé à côté de moi sur le canapé. Il m’a caressée, mais là, avec de lentes pénétrations de ses doigts, des contacts clitoridiens appuyés, tout en m’embrassant dans le cou, sur les seins, au haut des cuisses. Quand Adèle est arrivée, il était la tête entre mes jambes et remontait lentement jusqu’à mon entrejambe en me léchant doucement.
- Vous avez déjà pris de l’avance !
Stop !
Maintenant, on va s’occuper de toi, à l’occidentale. C’est bien, ton truc, j’aime bien les préliminaires, les amuse-bouche, mais là, on n’en est plus là, on passe aux plats de résistance qui tiennent bien au corps si tu vois ce que je veux dire.
Sans attendre elle s’installa de l’autre côté de notre homme, et commença à le masturber doucement, lui lécher le gland et les testicules, puis, d’un seul coup, elle lui a happé son membre, lui a fait une fellation profonde et rapide, en s’arrêtant de temps en temps pour lui lécher le bout du gland, tout en lui caressant les couilles. Pendant ce temps, notre ami continuait à s’occuper de moi. Quand son excitation commença à devenir perceptible, il me renversa, en arrière, s’allongea sur le dos, me tira les jambes sur son visage et se mit à me brouter avec voracité. En même temps, il me caressait les fesses, glissait ses doigts dans la fente, titillait ma rosette qu’Adèle avait déjà bien humidifiée tout à l’heure.
Elle de son côté, avait vraiment envie de passer aux actes « sérieux ». Elle sortit un préservatif. A genoux par terre devant le canapé, elle le lui enfila sur la queue.
Pour ton info, il est pas mal fourni, mais pas beaucoup plus que toi et beaucoup moins qu’Albert (NB. voir le chapitre 6).
Il se laissait faire. Il n’était plus question des traditions indiennes de domination masculine.
Quant à moi, j’avais décidé d’attendre et de voir comment il déciderait de s’occuper de moi, de me prendre.
Elle s’assit sur lui en le chevauchant. Tant et si bien que nous nous sommes retrouvées face à face, comme ce matin avec toi. Il n’eut que le temps de me dire qu’il était désolé, qu’il était bien obligé d’obtempérer.
Elle fit comme pour la prise en main d’un jeune cheval, elle le fit passer par toutes les allures, en commençant par le pas, puis le trot et le galop. Elle pratiqua même le saut d’obstacle. Se sortant rapidement puis se réintroduisant très lentement. Tout cela en tortillant ses fesses.
Je crois qu’elle voulait le faire jouir en elle. Malheureusement pour elle, il est hyper endurant et possède une maîtrise remarquable. Bilan, elle commença à geindre, puis carrément à crier. Elle n’en pouvait plus. Lui, profitant de cette faiblesse qu’elle lui révélait, voulut lui montrer que c’était bien lui le maître.
Il me repoussa gentiment, me faisant signe qu’il reviendrait. Se détacha de l’empreinte d’Adèle, la retourna, appuyée sur le canapé. Puis la pénétra doucement en remuant sa queue avec sa main à l’entrée de son vagin. Il lui écarta bien les cuisses et entrepris un doigtage en règle sur le clito, les lèvres puis avec des mouvements très rapides en pressant son point G. Elle lançait de longues plaintes.
Il la fit se retourner sur le dos, allongée sur le canapé, s’installa entre ses cuisses. Et en lui ouvrant largement la vulve avec ses deux pousses, lui massa le clitoris avec ses index, lui décalottant, puis excitant le bout. Il reprit l’écartement de la vulve avec une seule main et de l’autre entreprit de masturber le petit bouton en le serrant entre le pouce et l’index comme on le ferait d’une petite quéquette. Il faut dire que son haricot était rouge vif, bien dressé et qu’il commençait à avoir une certaine dimension.
Elle avait maintenant la bouche béante, plus aucun son n’en sortait. Elle haletait comme si elle étouffait. Elle hurlait en silence - dents serrées, bouche ouverte. Seuls ceux qui ont vu une femme pousser un cri muet dans l'orgasme savent à quel point il est assourdissant. Le sien déchirait la chambre et déchaînait la frénésie de Mangal. Il se retourna et lui enfourna son vit dans cette grotte qui aurait pu en accueillir plusieurs tellement elle était écartée. Tout en continuant à lui exciter le bonbon. Par réflexe, elle referma ses lèvres sur le membre. Mangal, avec beaucoup de délicatesse lui agita doucement de haut en bas et sur le côté. Il se retirait de temps en temps pour lui frotter son vit sur la poitrine puis reprenait sa pénétration buccale. Lentement, faiblement, et quand elle geignait il enfonçait son mât profondément dans la gorge et la lui baisait.
Après facilement 5 minutes, il l’a retournée, cette fois sans ménagement, en me disant :
- Excuse-moi, je finis ce que j’ai commencé. Elle était allongée sur le ventre complètement à plat, et visiblement éreintée par ce qu’elle venait de subir durant la dernière heure, moi d’abord puis le travail approfondi de Mangal. Il lui écarta les fesses et entra son vit. Je n’étais pas assez près pour te dire s’il était dans le minou ou par l’entrée dérobée…Je pense qu’il la sodomisait. Toujours est-il, qu’une fois à l’intérieur, il lui resserra les cuisses en les maintenant serrées entre les siennes. Puis il s’activa doucement, sans jamais sortir d’entre les fesses. Je voyais que lui aussi commençait à avoir la température qui montait, mais je sentais qu’il se retenait.
Ce n’était pas le cas d’Adèle. Maintenant elle lançait des cris vifs et lancinants, en lui répétant :
- Viens ! Vas-y ! Lâche-toi ! C’est bon ! Je vais mourir !
Agrémentés de :
- Oh ! Oh la la ! Oh Non ! Oui, oui, oui !
Enfin, tu imagines.
- Parfaitement bien. Je m’y crois même !

Il se retira. Adèle se retourna, s’affala et souffla longuement.
- Nom d’un chien, avec son côté gentleman, je n’aurais jamais pensé que c’était une telle bombe !

- Je comprends maintenant pourquoi elle était aussi minaude dans le bus ce matin à côté de lui.

Mangal, s’assit en tailleur au pied du lit, il n’avait plus l’air de prêter attention à sa partenaire. Il m’invita à m’asseoir face à lui sur le lit. Instinctivement j’écartai les jambes. Il m’interrompit :
- Ouvre-les légèrement seulement et rejette-toi en arrière.
Il passa mes jambes à demi serrées sur ses épaules. Puis ne bougea plus. Ça m’excitai follement, je ne voyais pas ce qu’il faisait…Puis, il mit ses mains à l’intérieur de mes genoux et remonta doucement, le long de mes cuisses, frôla mes lèvres sans s’y arrêter, remonta sur mon ventre, puis redescendit en me caressant les fesses. Il le fit à plusieurs reprises.
Doucement, après avoir enfilé une autre capote, il se releva, toujours avec mes jambes sur ses épaules. Et me pénétra, lentement, très lentement, je sentais son sexe qui s’enfonçait délicatement et progressivement au fond de mon vagin, sans un mot, sans un souffle. Il y resta un long moment sans bouger. Puis, imperceptiblement, furtivement, il remua sa verge, d’avant en arrière. Et, soudain, d’un violent coup de rein, il démarra son action. J’échappai un cri, et tout de suite l’excitation commença. Longue, lente, saccadée, haletante. A un moment, je sentis une autre main sur mes seins, puis sur mon pubis, pendant que Mangal continuait à me lutiner. Adèle, qui était remise de ses orgasmes en rafale. Il lui avait fait signe de venir, le seconder.
Il me retourna sur le ventre et me prit comme je l’avais vu faire avec elle, par derrière, fesses serrées sur sa bite. Et là, je ne vis pas, mais sentis bien dans lequel de mes orifices il se promenait. Eh bien, il passait tranquillement de l’un à l’autre. C’était divin. Son sexe ne pénétrait pas profondément mais me faisait vraiment jouir. Toujours aussi doucement, il releva mon cul et quand je fus bien à quatre pattes, me prit énergiquement en levrette. Je sentis qu’il était sur le point de se lâcher. Moi, je n’en pouvais plus. Le spectacle d’Adèle, son gougnottage, puis ses ébats avec Mangal et enfin les derniers assauts m’avaient mise dans un état second.
Je ne sais combien de temps dura sont pilonnage, mais ce fut un délice, d’autant plus qu’en même temps ses bras entouraient mon ventre, ses mains caressant mes seins ou mon clitoris. Les orgasmes se succédaient, il ne se lâchait toujours pas.
Quand il se retira, il me retourna sur le dos, m’écarta les cuisses et me lécha. Puis, il appela Adèle en lui demandant de s’allonger sur moi. Et il nous prit alternativement, comme je te l’ai fait faire ce matin.
- Ah donc, cette idée n’était pas de toi ? Mais tu as voulu très vite en réessayer les bienfaits, salope !
Enfin, il a arrêté, en nous disant que le lendemain, lui, il travaillait. Il nous a allongées, l’une à côté de l’autre et nous a aspergées de son sperme sur le ventre.
Il nous a dit :
- A demain les belles ! Et soyez sages en rentrant chez vous. Nous l’avons embrassé et sommes rentrées.
Voilà, tu sais tout.

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