Première Fois

J’ai toujours aimé ce qui se rapporte au sexe.
Déjà tout jeune, je profitais de la moindre occasion pour me masturber.
Je l’ai fait pratiquement partout :
Toilettes, salle de bain, train, WC public, salle de classe, dans la rue sans me faire voir, hôpital, voiture, etc. ………..
J’étais et je suis toujours porté sur la chose comme on dit.
Mais à cette époque, je n’avais jamais fait l’amour.
Je sortais avec beaucoup de filles sans jamais arriver à conclure.
J’avais dix-sept ans. Des amis de mes parents, Patrick et Marie-Ange, leur proposaient de m’emmener avec eux voir leur famille pendant trois jours.
Ils acceptaient et je partis avec ces fameux amis.
Arrivés sur place, je fis connaissance avec mes hôtes.
Des gens super sympathiques avec qui le dialogue fut facile et rapide.
Une fois les présentations faites et les affaires rangées, nous partîmes boire un verre dans un bar.
Tout le monde se connaissait et c’est ainsi que je rencontrais Patricia.
Une belle métisse mariée et mère de famille de trente cinq ans.
L’après midi passa très vite et nous rentrons à la maison.
Au milieu du repas, le téléphone sonna.
C’était Patricia. Elle raconta à Agnès, mon hôte, que son mari était resté au bar et qu’il comptait passer la soirée là-haut.
Apparemment, c’était chose courante.
Agnès lui proposa alors de venir avec nous à un bal de village pour se changer les idées. Après avoir longuement insisté, Patricia accepta.
Le rendez-vous était fixé à vingt et une heure trente à la maison.
Tout le monde se prépara.
Patricia sonna à la porte et Hervé, le mari de mon hôte, ouvrit.
Lorsqu’elle entra, je la trouvais très sexy. Elle portait une mini jupe noire et un chemisier blanc boutonné jusqu’aux seins.
Je plongeais mon regard dans ce décolleté afin de voir le moindre bout de soutien gorge. J’étais comme hypnotisé.
Tout le monde m’avait vu et ils se mirent tous à rire.


J’étais gêné. Hervé me rassura en me disant que tous avaient aussi jeté un œil.
Mais pas aussi longtemps que moi. Je devins rouge de honte et croisai le regard de Patricia qui me fit un sourire suivi d’un clin d’œil.
Tout le monde était prêt.
Hervé organisa le covoiturage.
Patrick et Marie-Ange dans leur voiture, moi et Patricia avec Hervé et Agnès.
Arrivés sur place, nous commençons par nous diriger vers la buvette.
Nous étions installés et bavardaient de choses et d’autres.
Une série de slows était lancés par l’animateur.
Les deux couples allèrent danser pendant que je continuais de discuter avec Patricia.
Au deuxième slow, Patricia me demanda pourquoi je ne l’invitais pas.
Je lui répondis que je n’osais pas car elle était mariée.
Elle me prit par la main et m’entraina au milieu de la piste.
Je ne parlais plus, j’étais médusé.
Elle se rapprocha de plus en plus de moi. Je sentais son souffle contre ma joue.
Elle tourna un peu la tête et nos bouches se rencontrèrent. C’est alors que nous nous embrassâmes fougueusement.
Elle ondulait son bassin contre mon corps et je commençais à avoir une érection. Elle s’en aperçut et accentua ses mouvements.
Ce fut la fin des slows. Patricia me lança un regard coquin et nous repartons vers notre table.
Je ne pouvais dissimuler la bosse de mon pantalon et lorsque nous arrivons à la hauteur de nos amis, Agnès dit à Patricia :
« Tu fais toujours autant d’effet aux hommes d’après ce que je vois ! »
Tout le monde rit.
Malheureusement, la soirée fut gâchée par l’arrivée du mari de Patricia.
Celui-ci nous avait vus nous embrasser. Il devint très agressif et nous dûmes partir pour éviter que cela ne dégénère.
Une fois en voiture, sur le chemin du retour, Patricia m’embrassa à nouveau et me dit de ne plus penser à ce qu’il s’était passé avec son mari.
Elle me caressait la cuisse et sa main remonta jusqu’à mon sexe.

Je bandais fort. Elle me masturba doucement à travers le pantalon.
J’entrepris à mon tour de lui caresser les cuisses et promenai ma main le long de sa jambe. Elle commença à bouger de sorte que mes caresses arrivent sous sa mini jupe. Je ne pus m’empêcher de continuer de faire monter ma main jusqu’à son entrejambe. C’était doux et chaud. Elle écarta les cuisses pour que je puisse accen mes caresses sur cet endroit secret.
Nos langues s’emmêlaient vigoureusement.
Puis la voiture s’arrêta. A mon grand désespoir, nous étions arrivés.
Patricia nous proposa alors de venir boire un verre chez elle.
Seulement moi, Hervé et Agnès acceptèrent.
Tout les trois boivent du digestif. Au bout de quelques verres, la conversation commence à dégénérer et se rapporte tout de suite au sexe.
Hervé décide de nous quitter pour aller se coucher. Agnès lui dit qu’elle va bientôt le rejoindre.
Une fois Hervé parti, Patricia proposa encore un verre à Agnès qui signala que c’était le dernier car elle avait très envie de sexe quand elle abusait de l’alcool.
Patricia passe derrière ma chaise et commence à me caresser la poitrine.
Agnès n’en perd pas une miette.
Patricia retire mon polo et reprend ses caresses. Elle s’attarde longuement sur mes tétons qui commencent à durcir. Son autre main descend jusqu’à mon sexe et le frotte lentement.
Je regarde Agnès dans les yeux et devine qu’elle se caresse le clitoris avec une main.
Patricia me met debout et vient se placer face à moi. Elle m’embrasse et prend mes mains pour les placer sur ses seins. Leur pointe est déjà toute dure.
N’hésitant plus une seconde, j’ouvre son chemisier et dégrafe son soutien gorge. Ses seins bien ronds et fermes sont dressés vers le haut.
Je les palpe quelques instant puis mets les tétons dans ma bouche.
Je les suce, aspirent, mordillent. Patricia commence à gémir.
Elle sort alors mon sexe et le branle un peu plus vite qu’avant.

Je passe mes mains sous sa mini jupe, atteint sa vulve qui me parait gonflée et entreprends de jouer avec son clitoris à travers son string.
Son souffle et son va et vient sur ma queue s’accélèrent.
Je lui enlève maintenant son string et plonge un doigt dans cette chatte trempée. Un petit cri s’échappe de sa bouche. Je fouille ce trou chaud et humide maladroitement mais cela a l’air de faire son effet.
Patricia baisse mon pantalon et s’agenouille devant moi pour entreprendre une fellation. Je vois alors face à moi Agnès assise sur sa chaise, les deux jambes écartées sur la table, en train de se masser farouchement le clitoris. Elle ouvre les yeux, me voit et se met à pousser de petits cris aigus.
Je n’en peux plus. Je suis trop excité par cette situation.
Patricia me lèche la bite divinement bien et l’enfonce de plus en plus au fond de sa gorge. Je la préviens que je vais jouir. Elle se retire et me branle vigoureusement jusqu’à ce que je gicle sur ses seins.
Elle me nettoie la bite avec sa langue et étale mon sperme sur son corps pour ensuite se lécher les doigts un à un.
Agnès est maintenant toute nue et se caresse les seins.
Patricia se met à l’aise aussi et passe derrière elle pour reprendre les caresses.
Ce spectacle me fait bander à nouveau. J’enlève mon pantalon et m’approche d’Agnès. Je remplace sa main par la mienne sur sa chatte. Elle complètement rasée, ce qui me permet de voir son clitoris gonflé.
C’est elle maintenant qui me suce. Sa langue passe sous mon gland, titille mon prépuce, s’attarde sur mon orifice et redescend jusqu’à la base de mon sexe.
Quelques gouttes de liquide perlent de mon gland. Elle s’empresse de les avaler.
Patricia enlève ma main du sexe de sa copine et me fait allonger sur la table.
Agnès passe par-dessus moi et se met en position soixante neuf pour que je lui bouffe la chatte.
Elles me lèchent la queue toutes les deux en même temps pendant que je promène ma langue sur ce clitoris découvert.

Agnès me colle sa chatte sur la bouche et ondule son corps. Je sens la mouille couler partout sur mon visage. J’enfonce ma langue le plus loin possible dans cette chatte. Elle commence à gémir de plus en plus fort et, de son plein gré, monte et descend son bassin afin d’entreprendre un va et vient avec ma langue. Elle se fit jouir ainsi toute seule.
Patricia nous emmena dans sa chambre.
Je m’allonge sur le dos, Patricia se place devant moi et reprend cette fellation si bonne.
Agnès passe sous Patricia et se met à lui lécher la chatte. Celle-ci doit apprécier car ses mouvements sur ma queue amplifient.
Elle se redresse et prend Agnès par les cheveux tout en lui collant la chatte sur le visage.
« Lèche moi bien, j’ai envie de me faire baiser, il faut que ça rentre tout seul ! » lança-t-elle.
« Voilà comme ça, je suis prête maintenant. »
Elle se retira et vint s’accroupir au dessus de ma bite.
Elle dirige ma bite vers son trou et descend lentement.
Ma queue commence à rentrer. Je sursaute lorsque je perds mon pucelage.
« Ha, c’est ta première fois ! » dit Patricia.
Je répondis que oui.
« Je comprends mieux pourquoi tu as joui si vite tout à l’heure. » continuait elle.
Elle s’empale entièrement sur ma queue et commence un lent va et vient.
Agnès ne reste pas inactive et chevauche ma tête pour m’offrir son clitoris.
Elle le colle à ma bouche de manière à ce que je ne puisse rien lécher d’autre que cette petite chose si bonne.
Patricia accélère ses mouvements.
« Vas-y, bouffe lui la chatte pendant que je te baise ! »
Elle tira Agnès en arrière.
Sa chatte m’était complètement offerte et Patricia lui pinçait les tétons.
Les deux femmes criaient de plaisir.
Patricia enfonça ma queue entièrement dans chatte et ondula le bassin afin que son clitoris soit massé par mes poils pubiens. C’était très bon.
Elle se retira, s’allongea sur le dos et demanda à Agnès de venir lui brouter la chatte. J’avais une vue imprenable sur le sexe rasé.
Je passe derrière elle et m’enfonce d’un coup dans cette chatte béante.
Apparemment elle était une adepte de la levrette.
On criait ou gémissait tous les trois.
Après quelques instants de ramonage, je ressors ma queue et la pointe en direction de son anus. Ne voyant aucune résistance, je commence à m’enfoncer en elle.
A ma grande surprise, elle écarte ses fesses de ses deux mains.
Je pénètre assez facilement.
Contrairement à moi, ce n’était pas sa première fois.
Ma queue est entrée entièrement et je commence à pilonner ce cul doux et chaud.
Patricia passe sous Agnès afin de lui lécher la chatte.
Celle-ci se met à hurler de plaisir.
Pendant ce temps, je sors et rentre ma bite entièrement de son cul et la laboure sauvagement.
J’allais jouir. Elles le comprirent.
Je sors ma queue de ce cul et elles se mettent devant moi pour me sucer chacune leur tour jusqu’à m’emmener à l’éjaculation.
Mon sperme jaillit et arrose leurs visages.
Nous restons stoïques un moment et allons prendre une douche tous les trois en même temps.
Agnès partit rejoindre son mari et nous allons nous coucher.
Ce fut une soirée mémorable.
Heureusement, le mari de Patricia ne rentra pas ce soir là.
Le lendemain matin, je fus réveillé par une fellation de la part de Patricia.
Ceci aussi fut fort agréable.
C’était maintenant le moment de repartir.
Je dis au revoir et merci à ces personnes qui m’ont chaleureusement accueilli et m’ont fait découvrir les plaisirs sexuels pour la première fois.
Je ne les ai plus jamais revus mais je garde un très bon souvenir de ce week-end.

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