Tu L'As Cherché 4

Tu l’as cherché 4

- Accorde-moi quelques minutes de repos, s’il te plaît.

La femme vient de se donner à fond et de dépasser les limites ordinaires de la pudeur. Elle souhaite récupérer avant le prochain round. Son compagnon souhaite la soumettre à d’autres épreuves. Il n’est pas pressé car lui aussi a besoin de souffler.

- Bien entendu, pose-toi sur moi. Vise ma bite, installe ton vagin autour de mon sexe et reste assise sur moi pour reprendre des forces. Tu verras que cette pose est délicieuse pour les deux partenaires immobiles.

- Je connais ça, n’oublie pas que je suis mariée depuis des années et mère d’une grande fille. J’ai fait avec mon mari d’excellentes découvertes et nous avons des pratiques variées C’est lui aussi un fameux amant.

- D’accord ! Mais ne pourrais-tu pas l’oublier un peu, quand tu es avec moi ? Allez, prend place et fais-moi bénéficier de ta longue expérience. Quelle âge a ta grande fille ? Il faudra me la présenter.

- Oui, mais elle n’est pas pour toi. Tu baises la mère, que cela te suffise. Je t’interdis de toucher à mon . D’ailleurs comment pourrait-elle s’intéresser à un homme de ton âge ? Alors, bas les pattes si tu ne veux pas que je t’émascule avec les dents.

- Compris ! La mère me convient parfaitement. La fille n’aura rien à craindre aussi longtemps que nous ferons l’amour. Allez, cesse de me faire languir, pose tes fesses, mets-moi au chaud dans ton con plein d’expérience, puisque c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe.

- Oh ! Je suis loin d’avoir ton âge. Estime-toi heureux que je veuille bien de toi !

- C’est l’avantage de l’argent et du pouvoir. Mais, ose me dire que je te déplais. Ce n’est pas l’impression que tu me donnes, tu es une chaude ! Suis-je ton premier amant ?

- Bien évidemment. Je n’ai jamais trompé mon homme jusqu’à présent.

- Il faut un début à tout.

Mais tu vas y prendre goût avec moi, cela se sent. Viens.

Les genoux de Marie plient, le torse penche en avant, les seins encore fermes se détachent et pendent, les fesses font contrepoids en arrière, tout le corps s’approche de la queue maintenue nœud en l’air par la main de Gérard. Marie prend le relais, s’ empare du sexe sur lequel il lui a demandé de s’empaler. Entre ses cuisses une fraction de seconde sont apparus des ongles vernis. C’est bien elle qui dirige l’opération. Mieux que l’homme elle connaît l’emplacement de l’orifice par lequel le chibre va la pénétrer. Voilà, elle pose une main en appui sur l’estomac de l’homme pour freiner la glissade de son sexe autour de celui de son nouveau compagnon. Elle est assise, immobile comme prévu. Gérard lui caresse une joue. Elle secoue sa crinière, je distingue nettement son visage pour la première fois.

Dans l’échange verbal j’ai reçu un signal supplémentaire. Cette fois tout concorde. Elle s’appelle Marie, elle a un mari dont l’emploi est menacé, une grande fille,la voix ne me trompe plus et comment ne pas reconnaître la figure, même vue aussi vite. Cette femme que j’ai intérieurement traitée de salope, cette amante qui se découvre de plus en plus soumise mais aussi de plus en plus active, l’épouse malheureuse au point de se sacrifier pour protéger les siens au début, mais qui se prend au jeu et ne pense plus qu’à sa jouissance, capable de violer les règles de la pudeur élémentaire et de s’exhiber dans une posture intime, cette … cette…créature abominable, c’est ma mère !

Et moi, vilaine curieuse, prête à découvrir le petit oiseau d’un garçon, tout à coup me voici devenue voyeuse. J’ai l’impression de violer tous les interdits. Une fille qui regarde longuement sa mère surprise en pleine copulation, qui l’espionne dans les bras d’un étranger, en train de se livrer à toutes les fantaisies de son amant n’est-elle pas un peu ueuse. Car je ne respecte pas les moments les plus intimes de ma mère.
Je suis là occupée à disséquer chaque geste, à interpréter chaque phrase à un moment où elle s’abandonne sans réserve. Je découvre les parties habituellement cachées de son corps, mais envahies par un sexe étranger.

J’avais vu ses seins, sa taille. Mais son pubis, sa vulve enflée par des attouchements, par des coups de langue, son clitoris débusqué par les doigts et les lèvres et surtout son sexe s’ouvrant sous la poussée d’une verge, est-ce un spectacle à observer par sa fille ? Et la lecture des sentiments des amants, cet intérêt de ma mère pour son partenaire, la découverte de la bassesse de sa soumission aux désirs de l’autre ou à ses propres pulsions, une fille a-t-elle le droit de les déchiffrer. Je me sens sale. Je commets une sorte de sacrilège. Je suis muette de honte, j’ai honte de moi, plus peut-être que de la conduite de ma mère coupable de tromper mon père. On dit « Tel père, tel fils ». Je transpose et ce n’est pas flatteur pour moi : « Telle mère, telle fille » . Que vais-je devenir, une fille perdue, à l’image de ma mère !

Mais je ne peux ni bouger, ni me lever, ni fuir. Pourvu qu’elle ne me surprenne pas ! Car Maman est comme figée sur le patron de mon père. Ils se regardent intensément, se boivent des yeux, au bord de l’extase, fondus l’un dans l’autre dans l’attente de quel miracle de l‘amour ?.J’étouffe mes sanglots. Bob a bien vu mon malaise, me réconforte d’une caresse sur la taille, m’interroge d’un regard. Il est impossible de murmurer aussi longtemps que durera cette union immobile des deux corps et l’échange muet des deux cœurs. La voix de ma mère s’élève :

- Oh! Quoi, déjà ? Je sens des contractions de ta verge. Tu viens ?Je t’aide.

Les fesses ont reculé puis sont reparties en avant dans un élan qui rappelle la glissade du siège d’un rameur. Le dos se creuse, la croupe se détache vers l’arrière puis glisse brusquement sous le ventre et inflige des secousses rapides et continues au membre malmené planté dans ce ventre pris de frénésie.
Le visage cette fois est bien visible, le doute n’est plus permis. Maman, je te hais. J’ai envie d’aller cacher mon désespoir. Hélas la cavalcade dure jusqu’au cri de délivrance du mâle. Ma mère s’effondre sur lui. On entend leur souffle haletant quand il ne passe pas de voitures sur l’autoroute toute proche. J’ai un énorme dégoût, je n’ai plus de curiosité.

Sur ordre de Gérard ma mère se met à quatre pattes Elle me montre toute la partie arrière de son corps, son anatomie rougie sous les frottements de la rigidité masculine. L’amant vient prendre place derrière elle et le spectacle de ses fesses remplace celui du cul de ma mère. Ses fesses avancent, ma mère gémit, j’aperçois par-dessous la verge qui s’enfonce dans la fente par laquelle je suis venue au monde. Progressivement s’installe un balancement de pénétration et de retrait. Le couple entame un échange de bruits caractéristiques Ils sont à leur affaire, cherchent à s’impressionner. Mais l’important est qu’ils nous tournent le dos. Je donne un coup sur l’épaule de Bob et je lui dis tout bas :

- On part.

- Pas déjà.

- Si, on leur fait une farce. Je vais préparer le vélo. Toi, pique les vêtements qui couvrent la haie.

Je ne discute pas, je me lève, je jette un dernier coup d’œil à l’accouplement sauvage et je dégage avec précautions. Bob me rejoint avec une boule de vêtements, me la colle dans les bras, tient le vélo, je m’assieds en amazone sur le porte-bagages et vogue la galère. Devant chez moi, le garçon me dit sa déception.

- Pardonne-moi. Mais pour aujourd’hui, j’ai ma dose de sexe. Que m’apprendrais-tu de plus ?

- Ouais, mais quand même, on aurait pu regarder un peu encore. Et le mien ! Pourquoi partir si vite ?

- Je les connais, je ne voulais pas être reconnue.

-Boff, tu ne faisais rien de mal. C’est pas toi qui te faisais défoncer. Qui c’est ces deux -là ?

- Laisse tomber

- Pas question.
Tu les connais, alors ne te moque pas de moi. Qui c’est ? Tu racontes ou tout le monde saura comment tu triches avec moi.

- Oh ! Non, pas ça. Pas toi. On se verra demain à la piscine.

- Tu rêves : ou tu parles maintenant ou tu ne me verras plus.

- Tu ne le répéteras à personne ?

- Juré. Tiens, je crache entre mes doigts.. Qui c’est?

- Le patron de mon père.

- Et la femme vachement bien roulée, la cochonne qui gueulait son plaisir ? Allez, crache, qui c’est cette truie ? Attends, regarde-moi . Mais oui! Oh! Je me souviens, je la connais ! Ça fait un bail que je ne l’avais pas vue. Il suffit de te regarder…tu lui ressembles ! Non, excuse ma question : ce ne serait pas ta mère ?

Inutile de garder le silence. Il a tapé dans le mille. Si je démens, il voudra vérifier. Je me sens lamentable et j’avoue :

- Oui. Hélas ! Je ne savais pas que.

- Ne te désole pas. Ce n’est pas de ta faute. Elle n’avait peut-être pas d’autre solution. C’est le patron le gros salaud. Non, ne pleure pas. Bon, qu’est-ce qu’on fait des fringues?

- Je ne sais pas.

- Tu as eu une idée de génie. Pense à leur tête quand ils vont vouloir se rhabiller : j’ai tout piqué, le caleçon, la chemise et le pantalon. Hé, il y a un trousseau de clés dans les poches. Houlala, les clés de la bagnole ! Le bonhomme ne pourra pas rentrer avant la nuit, à pied et en rasant les murs. Ça me gêne pour ta mère, déballe : culotte, soutien-gorge, blouse et jupe, elle devra se fabriquer un pagne avec des branches. Hihihi !Tu n’es pas sur le point de la voir arriver.

- Ça lui apprendra à tromper mon père. C’est bien fait. Elle a pris trop de plaisir. La défense de l’emploi a bon dos. Qu’elle vienne encore avec ses conseils de bonne conduite, de prudence et de protection ! T’as vu un préservatif ?

- Non.

- Elle me serine avec ses maladies sexuellement transmissibles. Et t’as vu !

- Dans le fond, c’est l’amour. Ça ne t’a pas donné envie ? On pourrait entrer chez toi et faire comme eux; c’est la nature.

- Ôte-toi ça du crâne, ou je te les arrache. Ce n’est pas le moment.

- Je plaisantais. Mais…

- Garde tes plaisanteries. Bien, je te donne l’adresse de l’homme : tu portes ses affaires devant sa porte, tu les déposes, tu sonnes et tu te barres à toute vitesse. Après tu vas à une cabine téléphonique, tu appelles les pompiers, tu ne te présentes pas, tu dis juste qu’il y a des blessés à l’endroit où on a laissé les amoureux.: en les voyant à poil, les pompiers comprendront de quoi il s’agit et je serais étonnée que ce Gérard soit tenté de recommencer. Ma mère mourra de honte, bien fait.

- Compris. Bon prends les trucs de ta mère. On se voit à la piscine demain ?

- Je verrai.

Bob s’en va. Je vérifie le linge: soutien-gorge, jupe, blouse sont là, mail il manque la culotte. Elle était dessus il y a quelques minutes. Elle n’est pas à terre. Est-ce que Bob a voulu un trophée ? Je vais te l’engueuler demain.
J’ai caché les objets dérobés, dans un coin sombre, à la cave. J’entends le pimpon des pompiers. Du temps passe. Une voiture dépose ma mère enroulée dans une couverture. Je me précipite :

-Maman, qu’est-ce qui t’arrive ?

Je serais étonnée d’entendre la vérité.
- Euh ! J’ai fait une chute, les pompiers m’ont examinée. Mes habits étaient déchirés, sauf ma veste. Ils m’ont prêté cette couverture.

Je fais semblant de gober son mensonge. Nous avons raté la veste., dommage. Elle verra que je ne suis pas aussi idiote qu’elle le pense. Je lui laisse la salle de bain. Nous soupons en silence. Je la regarde, elle détourne son regard.

- Il faudra que tu racontes ton accident à papa.

- Mais non, il a assez de soucis comme ça au travail. Je ne vais pas l’ennuyer pour quelques chiffons.

- C’est drôle, tu lui caches des choses ? Je croyais que tu lui racontais toujours tout.

Et quelles choses ! Je m’amuse à remuer le couteau dans la plaie avec cette phrase accusatrice mais sans être trop précise. Il y a de quoi alerter sans me dévoiler, de quoi pousser à réfléchir ou créer un début de remords.

-Les pompiers vont parler. Eux. Ils présenteront une facture à papa.


- Ils m’ont promis d’être discrets. Ce sera gratuit, m’ont-ils assuré.

Pas de bol. Elle va s’en tirer à bon compte. Je suis contente d’avoir évoqué papa à plusieurs reprises. Elle a trop oublié l’existence de son mari. Plus je parle de lui, plus je le protège des écarts annoncés pour la semaine prochaine, dans la garçonnière de Gérard. Enfin, si les amants ne sont pas guéris.


Première levée en ce jour de vacances, maman est sortie pour acheter du pain. Au retour elle a pris le journal dans la boîte aux lettres. Je l’observais depuis ma chambre. Elle a sorti son soutien-gorge déposé sur le quotidien, l’a déployé, rapidement observé puis plus rapidement encore caché dans le journal, avant de jeter un coup d’œil circulaire pour s’assurer que personne ne l’avait vue. Elle est rentrée perplexe, angoissée. J’arrivai et lui demandai si elle avait un problème.

- Mais non, ma chérie. Tout va bien .

- Je te trouve bien pâle. Tu sembles soucieuse. Est-ce à cause de ta chute d’hier ?

- Ce n’était pas grave. Je n’y pense plus. Ah, j’irai rendre la couverture.

- Veux-tu que je m’en charge ? Tu dois avoir les muscles endoloris.

Pourquoi se gratte-t-elle le bas-ventre sans y prêter attention ? L’abus sexuel lui a endolori les parties plus que sa chute imaginaire. Des démangeaisons excitent ses lèvres vaginales et elle ne peut s 'empêcher de vouloir les calmer. Mais elle veut me tenir à l’abri de possibles remarques et répond :

- Merci . Je préfère les remercier personnellement.

- Tu as dû te faire mal . Montre-moi tes bleus ou tes égratignures, je peux te soigner.

- Tu ne voudrais pas que je me mette nue devant toi. Je me soigne moi-même, c’est plus convenable.

Parlez-moi de ce qui est convenable!

-C’est parfait, je voulais t’aider. Je suis une grande fille, tu sais.

Je comprends sa gêne. J’exerce une sorte de vengeance à la place de mon pauvre père absent mais cocu. Et je me réjouis de la voir plongée dans des questions qui vont la tourmenter toute la journée. Comment son soutien-gorge a-t-il atterri sur le journal. ? Qui est la personne qui a enlevé ses affaires ou bloqué la voiture de Gérard ? Un voyeur les a observés, c’est évident, mais les a-t-il filmés.? Qui est-ce ? Que veut-il ? Pourquoi ce message muet dans la boîte à lettres. C’est un avertissement.
Ça doit chauffer sous ses cheveux rassemblés en chignon. C‘est bien fait pour elle. Ça lui apprendra à être fidèle à papa..

Papa est rentré le lendemain. Sur le fil à linge pendait la jupe de maman. Serviable papa l’a rentrée. Maman l’a remercié mais ses rides se sont creusées sur le front. Elle devait prévoir le retour de sa blouse et de sa culotte. Danger! Le soir j’ai tendu l’oreille. Maman a longuement gémi, comme lorsqu’elle chevauchait Gérard. Papa rattrapait ses nuits de retard. Se doutait-il de quelque chose ? Maman savait le combler et tirer de lui le meilleur, à chaque retour.

Dans l’après-midi, à la piscine, Bob , hilare m’a narré les cris de la femme de Gérard. Elle avait ameuté les environs, exhibé les vêtements de son mari et crié à l’enlèvement. Le retour de la voiture des pompiers avec le malheureux homme enroulé dans sa couverture avait mis fin à son inquiétude. Le silence discret des hommes du feu avait ensuite déclenché une série de questions devant les badauds rigolards. Bob s’était éclipsé.

- Et ta mère ?

- A propos, où est passée sa culotte?

- Je te l’ai laissée.

- Mais non

- Mais si.

- Mais non!

- Mais si.

Le ton est monté, nous nous sommes fâchés. Je suis partie en déclarant que je ne voulais plus le voir. Pendant une semaine je ne suis plus allée me baigner pour ne pas le rencontrer.

Ce jour là, à bicyclette, je me suis aventurée seule jusqu’au nid pour amoureux au bord de l’autoroute. Je n’y ai pas vu trace de culotte. Je m’y attendais. De retour à la maison j’ai vu le vélo de Bob contre le mur de la maison. Voulait-il renouer, venait-il me présenter des excuses, me rendre la culotte ? Il devait être dans la maison en train de tirer les vers du nez à ma mère. Pour sûr, je l’avais bien ferré, il était prêt à tout pour m’aguicher, ne pouvait plus se passer de moi et poussait l’audace jusqu’à me poursuivre à domicile. C’était flatteur en un sens, mais il devenait collant. J’avais André comme boy-friend. Cela me paraissait suffisant; mais contrairement à la sagesse timide d‘André, Bob était plus direct et son audace m‘avait fortement impressionnée. Au fond de mon cœur j’avais une préférence pour la tendresse discrète du premier, mais il tardait à se montrer, alors que Bob revenait à l’assaut, marquait le terrain de sa présence.

Ma mère l’avait donc fait entrer. Oui, sa faconde plaisait aux filles. Que pouvaient donc se raconter ces deux là ? Il devait faire mon éloge pour obtenir d’être reçu, pour faire sauter mon interdiction de le revoir. Pour surprendre leur conversation, j’entrai sur la pointe des pieds. Il n’y avait personne à la cuisine, personne au salon. Soudain un cri suivi de plaintes me cloua au sol. Je savais désormais ce que signifiaient ces bruits venus de la chambre à coucher de mes parents. La porte n’était pas fermée. Sur le lit deux corps s’entremêlaient. Nue, couchée sur le dos, maman encadrait de ses genoux un corps d’homme aussi nu, dont les bras et les mains calaient ses cuisses pour permettre à la tête de se fixer sur le sexe maternel. Il n’y avait aucune discussion à surprendre, Bob broutait les lèvres, le clitoris et les plis les plus intimes de maman. Décidément, ma salope de mère était une nymphomane, une obsédée sexuelle, à l’affût de la moindre occasion de se faire sauter. Après Gérard, après les rares nuits avec mon père, elle s’envoyait maintenant le garçon qui me courtisait. Oh! Putain !

Folle d’exaspération, j’attrapais le premier objet à ma portée, un chausse-pied métallique d’environ cinquante centimètres et avec un cri de rage, j’en envoyais avec le plat un grand coup sur les fesses du garçon. Il lâcha prise pour voir qui le dérangeait en plein léchage de chatte ou qui voulait mettre fin à un broute minou si bien entamé. Il dut comprendre au moment où tombait sur ses reins le tranchant de mon arme improvisée. En hurlant il se jeta en bas du berceau de chair ardente et bondit de l’autre côté du lit. Entre lui et moi, ma mère gisait, jambes écartées, nymphes luisantes de cyprine et de salive, incapable de refermer ses cuisses sur son antre d’amour. Elle sut juste articuler :

- Oh! Non, Lucie, pas toi.

Je l’oubliai et me demandai comment j’allais pouvoir asséner un nouveau coup à ce salopard qui voulait se farcir ma mère. Celle-ci voulut se réfugier derrière une attaque de Bob, diminuer sa propre responsabilité :

- Il voulait me violer. Ce n’est pas moi qui ai commencé .

- Bob, as-tu usé de violence contre cette femme ?

- Je suis ta mère, Lucie,

dit-elle en refermant l’angle de ses jambes et en plaquant une main sur son pubis de manière à cacher enfin sa fente privée des attentions préliminaires de Bob.

- Hélas ! Quelle mère.

- Moi, la violer ! Elle y va un peu fort ta mère. Tu sais qu’elle aime ça. Je me suis contenté de lui montrer la culotte que nous lui avons prise et elle m’a conduit au lit à la condition que je n’en parle à personne, surtout pas à toi. Elle voulait acheter mon silence avec une passe. Ben, elle est trop bien foutue pour que je refuse. Elle est moins sauvage que toi, elle m’a foutu une de ces envies de la triquer.

- Espèce de tordu, tu as voulu faire chanter ma mère en lui montrant sa culotte? T’es la dernière des ordures ! Tu vas foutre le camp à toute vitesse. T’as mal aux reins ? Déguerpis avant que je ne tape encore. Ne te trouve plus jamais sur mon chemin. Allez, dehors. Ton slip suffit, fous le camp ou je te tue. Allez, ouste, dégage, sale con!

- Lucie, jette lui son pantalon, il doit traverser tout le village.

- Il t’a bien envoyé les pompiers l’autre jour pour revenir du bord de l’autoroute.

-Comment le sais-tu ?

- Donne-moi un instant. Tire le drap ou habille -toi.

Je reviens dans la chambre :

- Tiens, voilà la dernière pièce, ta blouse ! J’étais là-bas avec Bob !

- Avec quelle permission ? Dévergondée

- Que ces mots sont bons à entendre sortant de la bouche d’une femme adultère. Avec quelle permission faisais-tu l’amour avec le patron de papa ?

- Tu aurais pu le dire plus tôt. J’ai cédé au chantage de ton ami Bob, pour qu’il ne te dise pas ce qu’il avait vu.

- Ne serait-ce pas plutôt pour me piquer mon copain, ou pour qu’il ne dise rien à ton cocu de mari ?

- Mais, respecte ton père.

- Je le respecte mieux et plus que toi. Garde tes leçons de morale désormais. Pour ne pas affliger papa, je me tairai cette fois. Si tu rejoins encore ce Gérard, ou Bob, je devrai te dénoncer.

- Ma petite fille, pardon. Ne m’aimes-tu plus ?

-Tu l’as cherché.

A suivre

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