Ma Secrétaire Et Moi 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Ma secrétaire et moi.
Chapitre 4

« Monsieur, votre second Dry Martini, vous voulez que je vous l'apporte ici ou si vous préférez le boire dans un petit salon du hall d'entrée de l'hôtel? »
« C'est un endroit discret, ce petit salon? »
« Bien sur, Monsieur, nous le réservons pour des réunions très privées. »
« Ce serait parfait! »
« Bien sur, Monsieur! Vous voulez que je vous y accompagne? »
« J'aimerais bien. »
« Suivez-moi, Monsieur! »
Je me lève de mon fauteuil et j'accompagne le serveur. Il m'amène dans un endroit isolé situé au fond du salon du hall d'entrée. Cet endroit ne peut recevoir qu'un maximum de quatre personnes et il doit être connu pour y accéder.
« Monsieur, cet endroit vous convient? »
« Parfaitement, mon garçon! »
« Monsieur, attendez-moi quelques minutes, je fais préparer votre Dry Martini et je vous l'apporte. »
« Bien, mais ne tardez pas trop! »
Le garçon me quitte. Je prend mes aises dans le grand fauteuil sur lequel je suis assis, j'écarte mes jambes et je commence à penser à la nuit que je devrais passer. L'excitation attent un point tel que je pose une main sur la braguette de mon pantalon et que je commence à me masturber.
Trop concentré dans mes pensées, je ne réalise pas que le garçon est de retour avec mon breuvage et qu'il me regarde faire.
« Monsieur, je dépose votre breuvage sur cette table à coté de votre fauteuil? »
Je suis surpris de voir le serveur devant moi.
« Ouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii! « 
Le serveur dépose son cabaret, sur lequel est mon Dry Martini, sur une petite table à coté de mon fauteuil et il s'agenouille à mes pieds.
« Monsieur aurait besoin de mes services? »
« Garçon, votre chiffre est terminé? »
« Oui, Monsieur! »
« Qu'avez-vous à m'offrir? »
« Ma main peut remplacer la vôtre? »
« Vous me feriez ce plaisir? »
« Et beaucoup plus si Monsieur me le permet? »
« Garçon, je peux vous faire confiance? »
« Certainement, Monsieur, vous devriez apprécier mes services.

 »
Le garçon glisse une main sous la mienne et il l'écarte de la braguette de mon pantalon.
« Monsieur, vous pouvez fermer vos yeux et ne penser qu'à votre très excitante secrétaire. »
J'écarte un peu plus mes jambes pour faciliter l'accès de mon entrejambe à ce gentil garçon puis je me laisse glisser un peu plus sur mon fauteuil avant d'appuyer ma tête contre le dos du fauteuil et de fermer les yeux.
« Monsieur est confortable. »
« Très confortable, mon garçon! »
Je sens que le garçon pose ses deux mains de chaque coté de mon bassin et je sens une chaleur qui irradie mon pénis, sur toute sa longueur, par dessus le tissu de mon pantalon.
Cette chaleur augmente avec chacune des respirations de ce jeune homme.
« Vous me rendez bien! »
« J'y compte, Monsieur! »
« C'est la première fois que je connais une telle sensation. »
« Monsieur, ce n'est que le début de ce qui devrait vous faire atteindre l'orgasme tout en devant souffrir un peu avant de l'atteindre. »
« Devrais-je comprendre que.........? »
« Oui, Monsieur doit comprendre qu'un billet de cinquante dollars n'est pas suffisant pour compenser la douleur et l'humiliation que vous m'avez faite subir quand vous m'avez mordu. »
« J'avoue que j'ai une dette envers vous; je suis tout à fait d'accord pour que vous me la fassiez payer au centuple si c'est votre intention! »
« Monsieur, vous m'excitez de vous savoir masochiste à ce point : votre charmante compagne est au courant de cette perversion? »
« Non, mon garçon et je ne voudrais pour rien au monde qu'elle apprenne que je suis masochiste. »
« Il aurait surement été préférable pour vous que je ne l'apprenne pas non plus! »
« Si je comprend bien, c'est ici que vous allez vous déchaîner sur moi? »
« Non, Monsieur, vous allez devoir m'accompagner dans la chambre qui est mise à la disposition du personnel de l'hôtel. Ne craignez rien, car cette chambre n'est utilisée que pendant la journée.
Mais avant, je veux m'occuper de vous, ici, dans ce petit salon.»
Le garçon détache la boucle de ma ceinture puis le bouton du haut de mon pantalon. Il baisse le fermoir éclair de ma braguette et écarte les pants du devant de mon pantalon.
« Vous aimeriez que je rafraîchisse cette partie de mon corps avant que......? »
« Monsieur, avec l'emploi que j'occupe, je me dois d'avoir tout le matériel qu'il me faut pour bien faire mon travail. Mes clients ne sont pas toujours propres comme vous semblez l'être. Détendez-vous, Monsieur, et laissez-moi faire. »
J'écarte mes bras et je les appuie contre les bras du fauteuil.
Le garçon passe une main contre le devant de mon caleçon.
« Monsieur est en forte érection? »
« Qui ne le serait pas avec ce que vous me faites? »
« Monsieur, ne parlez plus et concentrez-vous sur ce que je vais vous faire. »
Le garçon passe une main de haut en bas de mon pénis pour lui faire atteindre son érection maximale.
Il baisse le haut de mon caleçon juste assez pour dégager mon gland.
« Votre pénis est énorme, mais magnifique! »
« C'est ce que me dit mon amante Martine. »
Le garçon déchire une petite enveloppe et en sort une lingette humide. Il l'a déplie et la passe sur le bout de mon gland puis du bout des doigts, il ouvre le méat de mon pénis et y introduit le bout de sa langue.
« Monsieur, même pas un petit goût d'urine! »
Le garçon passe ensuite sa langue tout autour de mon gland.
Mes muscles des mes cuisses et de mes jambes se contractent.
« Je vois que Monsieur apprécie? »
« Ouuuiiiiiiiii! »
Il introduit mon gland dans sa bouche; il le lèche et le suce.
Un mince filet de liquide séminal coule de mon urètre dans la bouche du garçon.
Tout en continuant à me sucer avec un peu plus de pression pour ne rien perdre de mon jus, il baisse le devant de mon caleçon et passe sa lingette tout le long de mon pénis. Il le fait entrer profondément dans sa bouche et commence une fellation avec sa langue et ses lèvres.

Je pose mes mains contre les épaules du garçon et je ne peux m'empêcher de donner un violent coup de mon bassin.
Mon pénis atteint brutalement le fond de sa gorge; il ne semble pas apprécier mon geste puisque il glisse une main dans l'embrasure de mon caleçon; il prend un testicule entre ses doigts et le serre violemment.
« Aiiiiiieeeeeeeeeeeee! »
Mon bassin se soulève brusquement du fauteuil alors que le garçon mord avec force mon pénis à sa naissance.
« Noooooooonnnnnnnnnn! »
Je m'écrase dans la fauteuil à bout de souffle.
Le garçon dégage mon pénis de sa bouche et relève sa tête :
Tout en continuant à garder mon pénis entre les doigts d'une main et à le masturber, il se glisse contre mon ventre et il me chuchotte à l'oreille :
« Regardez-moi, Monsieur! »
J'ouvre les yeux et je fixe le regard du garçon.
« Vous voulez que je vous redonne votre billet de cinquante dollars?
« Bien au contraire, mon garçon, je serais même d'accord pour vous en donner un deuxième. »
« Monsieur, en insérant une main à l'intérieur de votre caleçon, j'ai constaté que vous aviez le sexe rasé. En-est-il de même pour vos fesses et votre cul? »
« Oui, je suis entièrement rasé, c'est ma secrétaire qui m'a demandé si j'accepterais qu'elle me rase; bien sur que j'ai accepté et depuis ce temps, je suis fait donner des traitements au lazer pour être rasé en permanence. »
« J'adore les hommes rasés et propres comme vous. »
Le garçon approche son visage du mien; ma respiration est toujours haletante.
« Monsieur, votre haleine est fraîche. »
Sur ces paroles, sans que j'ai le temps de faire le moindre geste, il colle ses lèvres contre les miennes et me frenche avec passion, faisant passer sa langue contre la mienne, contre mon palais et mes dents.
Je m'abandonne à ce baiser lascif donné par un homme; je le laisse faire tout en me délectant de sa salive.
Je n'ai aucune idée de la durée de notre baiser, mais j'ai aimé à la folie.

Le garçon relève finalement sa tête.
« C'est la première fois qu'un homme vous embrasse de la sorte? »
« Oui, c'est la première fois et j'ai adoré. »
« C'était meilleur que lorsque vous frenchez votre secrétaire? »
« Ouuuuuiiiiiiiiii! »
« Il ne me reste qu'une chose à vous faire avant que vous m'accompagniez dans la chambre du personnel. »
« Je peux prendre une gorgée de mon Dry Martini avant? »
« Bien sur, j'allais vous le proposer! »
Je prend une gorgée et je constate que le goût n'est pas tout à fait le même que mon premier. Je n'en faiss pas de cas. Je dépose mon verre dans le cabaret.
« Que vous reste-t-il à me faire? »
Le garçon sort un élastique d'une poche de son pantalon : il est large mais pas très gros.
« Baissez votre pantalon et retirez-le de vos pieds. »
Je me penche pour retirer mes souliers puis je soulève mes fesses du fauteuil, je fais glisser mon pantalon et je le retire de mes pieds.
« Votre caleçon, maintenant. »
Je fais ce que le garçon me demande.
« Glissez-vous de sorte que vos fesses soient sur le bord du fauteuil. »
Je prend la position demandée.
« Écartez vos jambes. »
J'écarte mes jambes.
Le garçon s'agenouille et prend place entre mes jambes.
« Pour être plus confortable, vous pouvez appuyez vos jambes contre mes épaules. »
Je relève mes jambes et je les appuie contre les épaules du garçon.
« Je vais écarter vos genoux pour avoir le plein accès à vos parties génitales. »
Le garçon écarte mes genoux.
« Vous voyez cet élastique : je vais faire avec vos parties génitales ce que l'on fait pour castrer des bébés cochons. »
« Vous me faites peur? »
« Détendez-vous, ce n'est pas ça qui va vous faire le plus mal. »
« Vous voulez me faire quoi, au juste? »
« Vous le verrez le moment venu. »
Je vois le garçon étirer l'élastique et le faire passe autour de mon pénis puis le descendre vers mon scrotum de sorte que l'élastique passe sous ce dernier et sur le dessus de mon pénis à sa naissance. Une fois en place, il lâche l'élastique qui reprend sa taille normale emprisonnant et serrant avec force la totalité de mes parties génitales.
« Je vais maintenant m'assurer de la position de vos testicules. »
Je le sens qu'il touche à mes testicules et les place l'un à coté de l'autre.
« Vos testicules sont en parfaite position pour ce que je leur réserve. Vous savez, Monsieur, ce n'est pas parce que l'on ne vit pas dans des grandes villes que nous ne sommes pas aussi vicieux que les gens des grandes villes. Malheureusement ou heureusement pour vous qui m'avez dévoilé votre coté masochiste, je vais vous faire subir un traitement qui va probablement vous faire jouir, mais aussi vous rendre impuissant. Ça ne veux pas dire que vous ne pourrez plus éjaculer. Vous allez remettre votre pantalon sans votre caleçon parce que je le garde pour un usage ultérieur et vous allez m'accompagner dans ma chambre. »
« Martine? »
« Mon confrère du comptoir d'admission s'en est chargé à la fin de son chiffre.
« Pour lui faire quoi? »
« Pour lui faire ce que vous vouliez lui faire. »
« Qu'est-ce que je voulais lui faire? »
« Je vous expliquerai quand nous serons dans ma chambre. »
Bien que loin d'être rassuré sur le sort de Martine, ma secrétaire, je me lève, je remet mon pantalon sans mon caleçon et je remets mes souliers : je peine ainsi à remonter le fermoir éclair de ma braquette parce que mon pénis est toujours très bandé et maintenu en érection par l'élastique qui empêche le sang de se retirer de mon membre. Je remonte mon fermoir éclair en faisant attention de ne pas coincer mon pénis entre les dents du fermoir éclair. Je ne peux absolument pas dissimuler la bosse évidente que fait mon pénis sur le devant de mon pantalon. Je prend une seconde gorgéee de mon Dry Martini et je dépose le verre dans le cabaret. Je pense que le garçon va me demander de l'accompagner. Je ne me sens plus capable d'offrir la moindre résistance.
« Monsieur, retournez-vous. »
Je me retourne.
Placez vos mains derrière votre dos. »
Je m'exécute.
Le garçon me passe les poignets dans une paire de menottes.
« Qu'est-ce que vous faites? »
« Vous allez devoir m'accompagner avec votre pénis bandé hors de votre pantalon. »
« Mais? »
« Monsieur, il n'y a pas de mais : le garçon à l'admission veut voir votre pénis quand vous allez passer devant lui. Je vais donc baisser le fermoir éclair de votre braguette et je vais dégager votre pénis de sorte qu'il soit totalement sorti de votre pantalon et bien à la vue quand nous passerons devant le garçon qui est au comptoir de l'admission. »
« Vous voulez m'humilier à ce point? »
Le garçon baisse le fermoir éclair de la braguette de mon pantalon; mon pénis sort aussitôt de l'ouverture. Le garçon pousse les deux cotés de l'ouverture de ma braguette contre mon corps.
Mon pénis est comme une barre de fer presqu'à la verticale.
Je me dit: va pour le garçon du comptoir d'admission mais il ne faudrait surtout pas que des clients de l'hôtel me voient dans cette position.
« Pour éviter que vous résistiez à m'accompagner dans ma chambre même en sachant ce que je vous y réserve, j'ai mis une drogue dans votre second Dry Martini.
« Je comprend alors pourquoi il n'avait pas tout à fait le même goût que le premier. Je me sens de plus en plus dans les vaps et je constate que je n'ai même plus la volonté nécessaire pour vous résister. »
« Monsieur, je comptais sur cette réaction de votre part; suivez-moi sans que je sois obligé de vous y forcer. »

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