Le Labyrinthe (Alice Et Margot)

C’est dans un mariage que je revis Margot pour la première fois.

Enivré par le vin du repas, étourdi par les rythmes de la soirée, je m’étais éclipsé seul dans le jardin pour reprendre mes esprits. J’avais trouvé refuge au cœur d’un labyrinthe de haies montantes enfoui au fond du parc du château qui nous accueillait. Pour marquer le centre du jeu végétal, 4 bancs avaient été posés contre les murs qui formaient cet abri. Une grande table de pierre trônait au milieu du point névralgique des lieux. La musique ronronnait au loin et j’avais trouvé cet espace idéal pour souffler quelques minutes et me laisser aller à l’un de mes vices préférés durant les mariages : fumer un cigare en solitaire. Mes yeux se perdaient depuis de longues minutes dans les étoiles, aspirant et recrachant la fumée de tabac chaude et boisée lorsque j’entendis leur voix.

Elles apparurent par l’échancrure de buis ouverte en face du banc où je m’étais assis. L’une d’elle riait à ce que la seconde, une bouteille de champagne à la main, lui racontait. Elles avaient chacune leur verre et semblaient, elles aussi, chercher un endroit à l’abri. Comme c’est toujours le cas dans les mariages, leurs robes étaient magnifiques.
Un fourreau d’un bleu très sombre, serré et fermé au ras du cou dessinait parfaitement les courbes de celle qui menait la conversation. Ses longs cheveux bruns tombaient dans son dos dénudé. Sa silhouette était parfaite. Une poitrine généreuse et des fesses rebondies tendaient le tissu de sa robe et son ventre plat laissait le fourreau tomber à la verticale jusqu’au sol.
Son amie hilare était une petite rousse à la toison flamboyante. Des cheveux coupés très court et remontés en épis sur l’arrière de la tête. Sa robe était beaucoup plus courte, beaucoup plus aérienne aussi. Ses épaules nues, blanches, faisaient ressortir le rouge de sa tenue qui s’accordait parfaitement bien avec les tâches de rousseur qui picoraient le haut de son torse.

La robe s’arrêtait au milieu de ses cuisses. Ni trop court, pour ne pas être vulgaire, ni trop long, pour ne pas être austère. Ce qui laissait deviner des jambes fines surmontée d’un petit cul serré et ferme.
Elles devaient toutes deux avoir la trentaine. La perfection de leur forme devait être le résultat de longues heures de sport. Deux très belles femmes.

Elles s’arrêtèrent de rire en me voyant. Elles s’excusèrent de m’avoir dérangé et traversèrent le carré délimités par les haies. Elles allaient le quitter en passant à côté de moi quand la brune se retourna vers moi l’air interrogatif.
-On ne s’est pas déjà vu quelque part ?
-Je ne pense pas non. Je me serais souvenu d’un aussi joli visage.
La remarque la fit sourire.
-Non, vraiment, je suis sûr qu’on s’est déjà vus. Je m’appelle Margot.
-Moi c’est Florent. Mais je ne m’en souviens pas.
Ses yeux s’illuminèrent et elle se tourna vers son amie. Je la vis retroussé le nez et lui sourire d’un air coquin dans la lumière de la lune haute dans le ciel.
-Je sais, biche, je lui avais proposé un plan à trois il y a bien longtemps…

Interloqué, je toussai le tabac avalé de travers. Et les souvenirs me revinrent peu à peu.
Elle s’assit à côté de moi. Son amie restée debout derrière elle posa les mains sur ses épaules ;
-C’était il y a plus de 10 ans, dans une soirée. On avait bu un verre ensemble et ensuite je t’avais expliqué qu’une amie et moi rêvions de coucher avec le même gars. Malheureusement, nos mecs respectifs ne voulaient pas. Alors je t’avais proposé…
-Et tu m’avais montré ta copine…
-Alice.
-… Ta copine Alice, très jolie d’ailleurs, de loin. Je me souviens maintenant.
-Mon mec était arrivé et m’avait emmenée avec lui. On n’avait pas eu le temps d’échanger nos numéros.
-Et j’ai loupé une soirée très spéciale avec vous deux, du coup.

M’expliquant cela, sa main avait glissé vers mon bras. Elle saisit la bouteille et resservit leurs deux flûtes.
Elle me tendit le flacon. Alice s’assit derrière elle. Pour lui laisser de la place, Margot se rapprocha de moi. Sa jambe pliée sur le banc monta sur la mienne. Je me retrouvais coincé entre la jolie brune et l’accoudoir du banc qui me pressait le dos. Je bus une lampée de champagne. Tandis que les belles portaient leur verre à leurs lèvres.
-Quelle chance de le croiser ici.
-Tu as tout à fait raison, Alice.
Margot et Alice ne se regardaient pas malgré leur dialogue. Leurs yeux espiègles n’étaient posés que sur moi. Margot lécha une goutte de champagne restée sur ses lèvres et me sourit avec malice comme pour me dire qu’elle avait quelque chose de très précis en tête. Alice, elle avait posé sa tête sur l’épaule de la brune tandis que ses mains, débarrassées du verre de champagne, étaient venues enlacer sa taille avant de se rejoindre au niveau du sexe de son amie. Elles faisaient un léger va-et-vient la caressant à travers l’étoffe de sa robe.
-Tu penses à ce que je pense, ma belle ?
-Rattrapons le passé.
-Et toi, tu en penses quoi Florent ?
Avant même que je n’aie eu le temps de répondre, la main de Margot était venue frotter le haut de ma cuisse. Elle remontait de plus en plus haut. Tout doucement, cette main vint effleurer mon sexe. Je le sentais grossir dans mon boxer, comprenant ce qui était en cours.
-C’est vrai que j’ai souvent maudit ton copain en repensant à ta proposition, seul le soir dans mon lit.

Margot approcha ses lèvres de mon oreille et me souffla un « youpie » presque inaudible.
Alice s’était mise à genoux. Dans cette position, elle pouvait passer le buste au dessus des épaules de son amie et arrivait à ma hauteur. J’avais de la sorte une vue plongeante dans son décolleté arborant de magnifique petite poires blanchâtres dont je devinais les tétons bandés. Elle posa ses lèvres contre les miennes. Sa langue vint effleurer les commissures de ma bouche. Margot ne voulut pas nous laisser seuls et commença également à m’embrasser.


Dans un balai délicat et érotique, nos langues se mirent à jouer les unes avec les autres. Je senties les deux filles pénétrer ma bouche et se retirer presqu’ausitôt laissant un mince filet s’accrocher à nos lèvres avant de revenir de plus belle charrier ma langue.
La main de Margot était maintenant posée sur ma bite. Elle le frottait doucement à travers mon pantalon le faisant ainsi grossir. C’est Alice qui m’ôta ma cravate et défit les premiers boutons de ma chemise.
-Ca fait longtemps qu’on n’est plus avec ces deux abrutis. Incapables de comprendre à qui ils avaient affaire.
Margot s’éloigna de moi de quelques centimètres. Une distance qui me parut énorme. Elle retira la jambe qu’elle avait posée sur le banc et s’assit normalement. Alice avait les genoux posés de l’autre côté de Margot. Elle cambrait ses reins faisant ressortir ses fesses sous le nez de son amie de manière très aguichante. Ses doigts experts avaient dégrafé l’ensemble de ma chemise. Le dos de sa main frôlait sur mon torse, effleurait mes tétons, se glissaient de quelques centimètres dans ma ceinture et revenait sur ma poitrine. Sa bouche rejoint sa main et elle commença à me lécher, me mordiller le torse.
Margot approcha de son oreille et lui dit ordonna de manière autoritaire « Suce-le ! »

Comme si elle attendait cet ordre depuis longtemps, la langue d’Alice descendit de ma poitrine à mon nombril tandis que sa main défaisait ma ceinture. Elle passa ses mains sous mes fesses et fit descendre de quelques centimètres mon pantalon. Je levai les fesses pour lui faciliter la tâche. Ses mains revinrent sur le devant de mon corps, les pouces passés dans l’élastique de mon boxer et le morceau de tissu suivit le même chemin que mon pantalon quelques secondes auparavant. Libéré, mon sexe se déploya fièrement vers mon torse.
Alice posa délicatement ses lèvres sur mon gland. Sa langue descendit le long de ma verge. D’une main, elle tenait fermement la base de ma bite.
Tandis que de l’autre, elle venait caresser mes couilles. Je sentis son majeur partir vers ma raie avant qu’il ne revienne sur mes bourses. Ma main s’était posée sur son sein que je malaxais à travers sa robe. Mais quand je voulu descendre vers ses fesses, Margot m’en empêcha d’un gentil sourire. J’étais là dans ce jardin à me faire sucer sachant que n’importe qui pouvait arriver à tout moment.

Margot n’était pas restée inactive. Toute en observant son amie mettre ma queue dans sa bouche, elle avait fait glisser une main en dessous de la robe d’Alice. Tout doucement le petit boxer rouge qu’elle portait était descendu. Le petit bout de tissu reposait maintenant aux genoux de la rousse. Et Margot caressait les fesses de son amie lentement.
Je pouvais entendre les doigts de la brune entrer et sortir du minou d’Alice. Il devait être bien mouillé pour que je puisse percevoir si distinctement ce petit clapotis rythmé par les allées et venues des doigts et sa maitresse.

Alice enfourna toute ma bite dans sa bouche en un coup. Je vis disparaitre mon dard jusqu’à mes couilles. Je sentis le fond de son palais venir taper mon gland. Tandis que sa main retournait vers ma raie. J’écartai un peu les jambes et sentis son doigt descendre jusqu’à mon anus. Elle commença à jouer doucement, faisant tourner son doigt autour de mon petit trou et le rapprochant de plus en plus de l’orifice.
-Ah bon, tu aimes ça ? Bon à savoir…
-Et toi Margot ? Personne ne s’occupe de toi ?
J’avais soufflé cela sans la regarder. Mes yeux étaient bien trop attirés par le spectacle de la pipe que m’offrait Alice.
-T’inquiète. Ca va venir.
Elle se pencha sur l’oreille d’Alice et lui dit « Arrête. Ne le laisse pas encore jouir. Et regarde-nous. ». Alice stoppa aussitôt de me sucer. J’étais pourtant sur le point de jouir dans sa bouche. Mais Margot avait d’autres idées.

La brune ramena ses doigts pleins de cyprine et Alice les lécha goulument.
-Fais nous goûter les saveurs que tu as en bouche.
Alice se redressa. Nous nous embrâssames. Sa mouille, nos salives et le goût de ma queue se mélangèrent. Nous nous goutâmes les uns les autres.

-Assied toi là.
Alice s’installa de l’autre côté du banc. Margot se mit debout devant moi. D’un geste habitué, elle défit sa robe qui s’étala en un instant à ses pieds. Elle était presque nue face à moi. Elle portait des bas blancs accrochés à un porte-jarretelle de la même couleur et un petit string à dentelle bleu marine. Ses seins étaient relâchés de l’emprise du fourreau serrant. Elle avait une belle poitrine, imposante, ferme qui appelait aux caresses. Je tentai de me lever mais elle me repoussa d’une main. Elle voulait que je reste assis. Elle s’approcha de moi et pris ma tête entre ses mains. Elle l’attira vers sa chatte. Pas besoin de m’expliquer plus longuement ce qu’elle voulait.

Je passai mes mains derrière se fesses pour la rapprocher plus encore de mon visage. Je posai mon nez sur son string. L’odeur de sa mouille emplit mes narines. Et lorsque je passai ma langue sur le tissu, je le sentis humide, mouillé d’une cyprine amère. Je pris quelques secondes pour lécher l’étoffe, quitter sa petite culotte pour le haut de ses jambes et puis revenir lentement vers son minou encore couvert. La force qu’elle mettait dans ses mains pour plaquer ma tête contre son entre-jambe me prouvait que ces préliminaires l’excitaient et la frustraient.
J’écartai un peu le tissu et découvris une petite chatte complètement imberbe. Je passai ma langue juste à côté de chacune de ses lèvres, remontant lentement le long de l’une d’elles avant de faire le chemin inverse le long de l’autre. Elles étaient gonflées par le désir. Je m’aventurai alors à lécher les filets de mouilles sortis de son vagin. Ma langue remonta jusqu’au clitoris de la belle brune. Je le mis alors en bouche et commençai à mon tour à la sucer. Mes lèvres enfermèrent le petit bouton de chair sur lequel ma langue venait jouer. Deux de mes doigts étaient descendus caresser la fente de Margot. Et bientôt, ils ne purent plus attendre. Mon index et mon majeur s’enfoncèrent alors le plus loin qu’ils purent dans la chatte de mon amante.
Mes lèvres relâchèrent leur étreinte et ma langue descendit à son tour devant le trou de Margot. Je l’y enfonçai le plus loin que je pus. Margot lâcha un petit cri tout en poussant ma tête plus proche et plus proche encore de son minou.
Mes doigts, humide de son foutre, se faufilèrent jusqu’à son anus. Je poussai doucement sur son petit trou et mon majeur rentra doucement et sans problème dans son joli cul. Je le sorti et recommençai à plusieurs reprises la manœuvre.

De son côté, Alice, très inspirée par ce qu’elle observait se caressait sa robe remontée de manière impudique, les pieds posés sur le banc. D’une main, elle tirait les petits poils roux de son pubis. Une toison discrète, coupée ras, étroite au dessus de ses lèvres glabres de tout poil. Juste au moment où elle sentait monter la douleur, elle relâchait la touffe de poil pour recommencer l’instant suivant. Avec deux doigts, de l’autre main, elle passait et repassait sur ses lèvres ouvertes par le désir. Ainsi installée, je découvris un petit diamant rouge dépasser de son petit trou. Margot, voyant que j’avais aperçu le bijou m’expliqua.
-J’adore qu’elle porte ce rosebud. Elle est ainsi prête en toutes circonstances. Viens t’occuper de moi, d’ailleurs, Alice.

La rouqine se leva, enleva sa culotte et vint s’agenouiller derrière Margot. Son visage disparu entre les fesses rebondies de son amie. De ses mains elle écartait le cul de la belle brune afin d’accéder plus facilement à son anus. Sa langue tournoyait autours de sa rondelle afin de l’humidifier. En un coup, je sentis le bas-ventre de Margot se coller contre ma bouche. Preuve qu’Alice était entrée par l’arrière. Margot sous le joug de ces attaques venues de devant comme de derrière gémissait de plaisir. Nos mentons se touchaient de temps à autre en dessous du corps de Margot. Nos langues se rejoignaient par moment, jouaient ensemble avant de chacune repartir à son labeur.
-Vous me remplissez bien à vous deux. Je sens que je vais jouir. Mon dieu Florent, tu lèches aussi bien qu’Alice. Et c’est une déesse à ce petit jeu là.
Une main posée sur ma tête l’autre sur celle d’Alice, elle pressa nos deux visages vers ses trous ouverts. Son corps se tendit soudainement dans des spasmes de jouissance et ma bouche fut remplie de sa mouille devenue plus abondante.


Margot baissa ses yeux vers moi.
-A toi de venir maintenant. Alice couche toi sur la table.
La rouquine se releva et alla jusqu’au centre du jardin. Elle s’allongea sur la table les jambes relevées exhibant ainsi sa chatte avide d’enfin recevoir mon membre.
Margot vint tourner autour d’elle. Elle passa de l’autre côté de la table et enfouit ses mains dans le décolleté de son amie. Ses mains commencèrent à pétrir les seins d’Alice. Je voyais ses doigts pincer ses tétons à travers l’étoffe de la robe. Margot releva alors le tissu et dévoila à mes yeux la poitrine de la belle. Elle était comme j’avais pu l’imaginer quelques instants plus tôt alors que je plongeais dans son décolleté. C’était une poitrine menue, pas petite mais bien moins imposante que celle de Margot. Mais, chose essentielle à mes yeux, ses seins avaient des formes parfaites, toniques. L’apesanteur a toujours moins d’effet sur les seins de taille modeste. La brune monta sur la table et vint s’assoir sur le visage de son amie. Elle se cambra en sentant la langue d’Alice rejoindre sa chatte. Elle se pencha alors à son tour vers le minou roux de son amante. Elle y appliqua quelques coups de langue avant de relever la tête et me faire signe de me joindre à elles.

Je tendis mon sexe vers le trou d’Alice. Margot en lécha le gland et le prit en main. Elle me guiderait dans les tréfonds de son amie. Elle me branlait doucement d’une main tandis que l’autre me malaxait les couilles. Elle posa mon sexe sur la toison rousse et le descendit. Elle passa et repassa le bout de mon gland sur la légère ouverture marquée par les deux lèvres d’Alice. Elle continue ce chemin jusqu’au bijou fiché dans l’anus de la rousse. Le froid du métal sur mon gland me fit me rétracter légèrement. Mais de suite Margot, après avoir fait remonter ma bite, mit les mains sur mes fesses et poussa dessus. C’était le signe qu’elle voulait que je m’enfonce dans sa copine. Ce que je fis sans me faire prier. J’avançai ma bite lentement. La langue de Margot semblait ne pas savoir choisir entre le clitoris d’Alice et ma bite. Passant de l’un à l’autre, elle accompagna la pénétration de ma verge. J’avais rarement été aussi tendu et Alice semblait aimer ça.
Les deux mains de Margot était venues se poser sur mes fesses. C’est donc elle qui indiquerait la cadence. Sa tête, penchée sur le côté, me laissait tout voir de ma bite qui rentrait et sortait de la chatte d’Alice d’abord lentement et ensuite, suivant les impulsions de Margot, de plus en plus vite. Je ne me tenais plus. Alice poussait des cris étouffés par la minette qu’elle prodiguait à sa maitresse. La belle brune, elle, savourait ce moment de maitrise de tous nos sexes en soufflant des petits gémissements.
-Je sens que je vais venir. Ralentis la cadence.
-Non, justement, jouis. La nuit ne fait que commencer. Quand tu devras jouir, sors de sa chatte pour me laisser avoir votre gout à tous les deux.
Margot accéléra encore le mouvement. A tout moment j’aurais pu ralentir le rythme et me dégager de l’étreinte de ces mains sur mon cul. Mais j’aimais la manière dont elle avait pris les rênes de nos jouissances.

Comme elle me l’avait demandé, je sortis ma bite de la fente d’Alice juste avant de me lâcher. Margot saisit ma verge et l’astiqua aussi vite qu’elle pouvait. Elle me fit gicler en l’orientant vers son visage et reçu mon sperme en plein dans sa bouche grande ouverte. Il en dégoulina un peu sur le bas-ventre d’Alice. Ce reliquat coulait sur les poils de la rouquine, s’enlisait dans son minou avant de venir mouiller un peu plus encore son vagin maintenant grand ouvert. Margot, après avoir avalé, en me fixant droit dans les yeux, ce qu’elle avait en bouche plongea la tête entre les cuisses de son amie. Elle lécha mes coulées de sperme. Elle se releva et se retourna. Une main caressa la toison rousse d’Alice qui ouvrait maintenant la bouche. Margot y laissa glisser la semence qu’elle avait récupérée dans le pubis roux et sur la fente de son amante. Les deux filles s’embrassèrent. Tendrement.
-Je t’aime ma belle.
-Moi aussi. Et je pense que l’on a trouvé là un jouet à la hauteur de nos désirs.

Ma main descendit vers le bijou anal d’Alice. Je commençai à jouer avec. Un doigt posé dessus, je le faisais tourner délicatement afin de garder mon sexe dur le plus longtemps possible.
Alice sourit à sa maitresse.
-Margot, il veut s’attaquer à mon cul.
La jolie brune tourna la tête vers moi.
-Je t’ai dit que la nuit ne faisait que commencer. Calme tes ardeurs. On a tout le temps.

Elle fut coupée par des bruits venus de l’une des entrées du centre du labyrinthe. Un couple s’y dessinait sans qu’on ne puisse apercevoir leur visage. Ils étaient figés par la scène qu’ils avaient surprise. Une jolie rousse couchée sur la grande table en pierre. Sa robe relevée au niveau du bassin et abaissée en dessous de sa poitrine. Sur elle, nue, une autre fille en train de lui caresser les seins. Et entre ses cuisses, un homme en semi-érection un doigt afféré entre ses fesses.
Lui ne bougea pas. Elle par contre, après un moment de stupeur, fit un pas vers nous plein de promesses. Mais son copain la retint par le bras. Il la tira vers lui et l’emporta avec lui en grommelant.
Nous partîmes tous les trois dans un grand éclat de rire complice.

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