Massage Au Vietnam

Bonjour Marcel
Je viens te donner des nouvelles. Nous étions au Vietnam
Nous sommes sortis un soir après un restau sympa, dans les quartiers chauds de la ville.
On est allé dans une toute petite boutique de massage qu’on m’avait recommandée. Inutile de te dire qu’on m’avait bien précisé de quels massages il était question, et que je me suis bien gardé de le dire à Chantal.
Ce fût assez difficile à trouver et nous y sommes arrivés assez tard dans la nuit. Les rues étaient encore bien fréquentées car il faisait très chaud. J’ai fait la connaissance du « masseur » et après avoir précisé, s’il en était besoin, qu’il s’agissait de mon épouse, j'ai demandé à assister à la séance. Pas de problème. La boutique de massage était à claire voie au croisement entre deux petites rues, elle était ouverte sur deux de ses côtés. Même pas de vitre pour la séparer de la rue. Il y avait beaucoup d'hommes qui dînaient à même le trottoir comme c'est l'habitude ici. Il faisait très chaud et très humide.
Chantal n'était pas rassurée. Il passait beaucoup de voitures et surtout de mobylettes. L'endroit devait être connu car ils ralentissaient devant la salle de massage.
Cette salle était rudimentaire. Au fond, dans un angle un rideau qui fermait mal devait servir de cabine pour se dévêtir, deux tables de massages recouvertes d'un simple drap d'un blanc douteux. Elles étaient au centre de la pièce, parallèlement à une des deux rues. Je compris tout de suite la raison de cette disposition. La personne « massée » devait avoir les pieds et les jambes tournés vers une des deux rues et de l’autre côté, on pouvait la voir de profil. Bien pensé non ? Au plafond, les palles d’un ventilateur étaient immobiles respectant la chaleur étouffante de l’endroit. Tout ça baignait dans la lueur crue de deux néons. L’odeur qui prévalait était celle de sueur et aussi de sexe. Sur le côté, un mur sans couleur supportait une étagère remplie de fioles de différentes couleurs.

J'ai vu, à même le sol, une caisse remplie de godes de différentes tailles et autres objets à destination sans ambiguïté. Je n'ai rien dit à Chantal mais déjà je me suis mis à bander, tu comprends j'espère. Chantal allait se faire masser en pleine rue au milieu de voyeurs que je devinais déjà la bite à la main !
En fait à ce moment là Chantal a manifesté de vouloir rentrer. Elle avait peur et le décor et l’environnement ne prêtaient pas à la rassurer. Moi j’étais trop excité par ce que j’imaginais. Bien sûr je m’étais bien informé et je savais que nous ne craignions rien et surtout Chantal. J’ai dû pas mal discuter pour qu’enfin elle accepte de rentrer dans la boutique de massage.
A peine entrés (si je puis dire), le "masseur", un homme d'une quarantaine d'années, torse nu et simplement vêtu d’un short léger qui ne cachait presque rien, l'a saluée très respectueusement. Chantal a paru un peu rassurée. Elle portait une jupe porte feuille très courte et un chemisier léger à fleurs. Pas de soutien gorges mais elle avait passé une culotte.
Le type l'a tout de suite matée et jaugée et je crois que déjà il bandait aussi. Chantal était comme une apparition divine dans cet univers sordide. Une apparition qui tout de suite a attiré de nombreux spectateurs qui savaient, eux, ce qui allait se passer.
Le type l'a invitée à passer dans la cabine pour se déshabiller et passer un peignoir bleu nuit en coton éponge. J'ai tout de suite remarqué et Chantal aussi que le peignoir n'avait pas de ceinture. J'imaginais que ce serait difficile de la maintenir fermé !
De bonne grâce Chantal est allée dans la cabine. Elle a bien tenté de fermer complètement le rideau mais en vain. Je pense qu'elle ne devait pas trop regretter de s'exhiber un peu malgré elle. Tu la connais ! En attendant, je vois le type préparer les produits de massage et prendre d'emblée un gode dans la caisse et le cacher sous une des tables ! J'ai compris qu'il savait déjà ce qu'il allait faire subir à ma tendre épouse qui ne voyait rien de ces préparatifs.
Dehors, tout près des hommes guettaient dans l’ombre de la rue.
Chantal est timidement revenue dans la pièce tenant les pans de son peignoir fermés. L’homme l’invite à montrer sur une table. Elle s’assoit sur le bord, il lui prend ses jambes et dépose les pieds côté rue ! Ben voyons ! Chantal prend soin de garder ses cuisses serrées puis s’allonge sur le dos. Evidemment de la rue on a une vue imprenable sur ses jambes et … Bien joué, même si je m’en doutais ! Ecoute Marcel, je crois qu’à ce moment là, Chantal devenait demandeuse de ce massage même si elle n’était pas rassurée. En plus le vietnamien était très prévenant et plein de délicatesse à son égard.
L’homme lui prend les mains et les place le long de son corps. Les pans du peignoir s’écartent légèrement découvrant un peu des cuisses. Il prend un flacon et s’enduit les mains d’une huile très odorante. Il vient se placer à la tête de sa patiente et la saisit aux joues qu’il commence à masser délicatement. Au bout de quelques minutes, je vois le visage de mon épouse se détendre. Les yeux fermés elle semble absente goûtant le délice de ce massage facial. De ses pouces l’homme presse sur ses tempes en petits cercles, caresse le dessous des yeux avec ses indexes, palpe doucement les pommettes. Deux doigts se glissent sous la mâchoire et caressent le cou plutôt qu’il ne masse. Ces contacts semblent apaiser les tensions visibles au début. Chantal s’abandonne.
Dehors quelques autres curieux se sont amassés et suivent avec attention les gestes du masseur. D’un seul coup, le corps de Chantal a un sursaut. L’homme a quitté le visage et masse le cou de sa patiente. Chantal surprise, a brusquement bougé une jambe qu’elle a légèrement repliée. Bien sûr la conséquence est immédiate, le peignoir s’est ouvert découvrant les cuisses et à leur sommet, le triangle noir de son mont de vénus. Elle ne se rend pas du tout compte de la situation impudique. Elle exhibe son ventre à la rue tout entière ! Les voyeurs, comme moi même, on remarque maintenant les petits mouvements de ses cuisses qui se frottent l’une contre l’autre : ma femme se branle à ce moment là ! Je rêve et je bande de plus en plus dur.

Le masseur quitte alors sa place et s’empare d’un long morceau de tissu bleu. Il l’imprègne d’un liquide qu’il récolte dans un flacon derrière lui. Puis revenant vers Chantal, il le dépose délicatement sur ses yeux et recouvre son nez, lui soulève la tête et noue derrière la tête de mon épouse ce qui maintenant est un bandeau. Elle ne fait aucun geste de recul ni de refus. Elle s’abandonne ! J’imagine Chantal enfermée dans le noir avec sous le nez des effluves dont je ne connais pas la teneur ni si elles sont destinées à l’aider, la guider vers l’abandon total. Je me dis que ma parano reprend le dessus. Ce sont peut-être simplement des parfums … aphrodisiaques.
Dans la rue ça devient chaud des deux côtés de la boutique du masseur ! Et apparemment Chantal ne réalise pas le degré de perversité des choses. Moi, oui, je bande comme jamais. Je sais qu’elle se sent bien et je suis là pour la protéger.
Une fois le bandeau bien noué, le type se place de côté par rapport à la table et le corps allongé, bien sûr face aux spectateurs. Là, l’hypocrite, replace les pans du peignoir pour cacher ce qui devrait l’être. On comprend que tout cela doit durer, durer…
Se tournant vers la tête, il dégage les épaules du peignoir, jusqu’à la naissance des seins, laissant juste cachés ce que tous voudraient et attendent de voir : les tétons qui doivent être tout dressés. Là, d’une main qu’on devine ferme, il masse les épaules en vrai professionnel. On commence à entendre de petits gémissements de plaisir s’échapper de la bouche de la femme. Bien entendu elle remue ses jambes et le peignoir s’ouvre de plus belle. Mais cette fois les deux pans s’écartent complètement découvrant son ventre et sa poitrine. Le masseur finit d’ouvrir le vêtement offrant à la vue de tous, la nudité du devant du corps de mon épouse. Elle ne fait rien pour se recouvrir. Sait-elle au moins qu’elle est nue en pleine rue dans une grande ville loin de chez nous ? J’en doute.
L’homme qui bande aussi maintenant, dégage un bras puis l’autre du peignoir qui n’est plus maintenant qu’une couverture sur laquelle Chantal semble dormir les yeux bandés.
Il lui saisit un à un les bras et les masse depuis les mains dont il s’occupe longuement jusqu’aux épaules. Un aller. Un retour, il étire chaque doigt qu’on entend craquer. Chantal remue de plus en plus ses jambes l’une contre l’autre et par moments elle laisse apparaître des brillances au niveau de son sexe qui ne font aucun doute qu’elle mouille.
Enfin ce qu’on attendait… il passe sur la poitrine, caressant d’abord au dessus les seins, puis dessous, puis en fait le tour, sans vraiment les toucher. Puis soudain, il s’en empare à pleines mains et commence à les malaxer d’abord avec douceur puis de plus en plus fermement. Chantal maintenant respire de plus en plus vite en poussant des gémissements de plus en plus francs. Ses doigts se crispent le long de son corps pour se contenir. L’homme frotte sans vergogne son sexe contre le flanc allongé devant lui. Chantal le laisse faire.
Alors maintenant le type descend sur le ventre qu’il masse avec application. Puis il saute aux pieds de la belle. Et là, comme pour les bras, il s’occupe des pieds, chaque orteil, puis des chevilles puis des mollets pour enfin s’emparer des cuisses. D’abord il les garde serrées puis les ouvre juste un peu, caresse l’intérieur là haut, là où la peau est si douce et si chaude et si sensible. Chantal le sent bien. A cet instant on la voit soulever légèrement son bassin pour aller au devant des mains qu’elle réclame sur son sexe, dans son sexe. La bouche ouverte elle semble chercher de l’air. Je la connais, elle va jouir ! Alors, surprise, l’homme prend une serviette qu’il pose en travers des cuisses et du ventre pour cacher le sexe de sa patiente. Dehors s’élève un murmure désapprobateur. Le bassin soulevé, l’homme place une main dessous pour la maintenir bassin levé, offerte. Son autre main se plaque sur la serviette juste au dessus de la vulve. Il presse, frotte appuie. Chantal pousse des cris de plus en plus nets. Alors l’homme glisse sa main sous la serviette et on voit bien ce qu’il est en train de faire. Sa main dessine des aller retours de plus en plus rapides vers le ventre à peine caché par la serviette. Chantal remue de plus en plus fort et il devient bien difficile de la maintenir. L’homme la tient pourtant bien fermement avec sa main sous ses fesses. Et ce qui devait arriver arriva, la serviette tombe offrant à la vue de tous les voyeurs les trois doigts du masseur qui branlaient la vulve ouverte de ma femme. Il la branle, oui c’est net et elle se trémousse se frottant sur la main violeuse de son intimité ! Elle ne gémit plus, elle pousse des petits cris. Elle n’a plus aucune pudeur, elle semble dans un autre monde. e ? Je ne le saurais jamais. Pourtant la suite…
Imagine Marcel, les doigts pénétraient et ressortaient tout humides des sécrétions soutirant à chaque fois des gémissements de plaisir à la femelle, ma femme, accompagnant les bruits des liqueurs bouleversées dans cette chatte en feu.
Soudain, Chantal se crispe, le bassin complètement relevé vers la main qui la fouillait, elle pousse un long gémissement de jouissance qui dure presque une minute pour soudain se relâcher et retomber passive sur la table de massage. Elle reste ainsi quelques minutes, comme sans conscience, la main accrochée à celle qui vient de la faire jouir.
Mais ce n’était pas fini !

(à suivre)

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