La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 491)

Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°490 -

Dans l’ascenseur de cet immeuble luxueux donnant sur le Parc de la Tête d’Or de Lyon et conduisant à l’appartement d’Annick et Jean-Michel, soumis compelled MDE reçut des consignes strictes par Monsieur le Marquis d’Evans.

- Je ne veux pas t’entendre Mon chien, je veux simplement te voir répondre sobrement mais poliment, aux éventuelles questions qui pourraient-être posées, suis-je clair ?
- Oui Maître Vénéré
- Du style… ‘’Oui Madame’’, ‘’bien Monsieur’’
- Bien Maître
- A mon claquement de doigts, à notre arrivée, tu iras baiser les pieds de Madame et de Monsieur pour les saluer humblement.
- Bien Maître
- Je veux que tu montres ta vraie nature de chien soumis à mes amis, ta servilité, ta loyauté, ta volonté d’obéir strictement.
- Bien Maître.

soumis compelled MDE sentit monter la pression d’un cran, il comprit bien qu’il devrait répondre aux exigences du Maître sans la moindre faille… Une femme pulpeuse, la cinquantaine vint ouvrir la porte. Vêtue d’une robe blanche courte, très moulante faisait ressortir sa poitrine généreuse.

- Monsieur le Marquis… lança-t-elle, puis elle reprit … Quel plaisir vous me faites en m’accordant un peu de votre temps… Entrez, je vous en prie… Jean-Michel, nos hôtes sont arrivés ! Bonjour Walter, vous allez bien ?

Le Maître et Walter, l’embrassèrent fort amicalement. Le chien MDE en retrait resta quelques instants sur le palier. Jean-Michel, un homme d’une soixante d’année, grisonnant, un peu bedonnant arriva, il congratula à son tour ses hôtes de paroles fort accueillantes.

- Je crois que vous rentrez de voyage Cher Ami, n’êtes-vous point trop fatigué Cher Marquis ? lança-t-il
- Tout va parfaitement bien. Lui répondit le Maître.
- Entrez, Entrez, ne restez pas ici, passons au salon.

Soumis compelled ne savait que faire, il resta seul figé dans le hall, en posture d’attente, personne n’avait fait cas de lui.

Il trouva le temps long, mais restait vigilant et attentif. Il fit bien d’ailleurs, il entendit soudainement le Maître le héler :

- Chien à poil et aux pieds.

Il se hâta, quitta tee-shirt et short en vitesse, il eut plus de mal avec son boxer latex. Il lui collait à la peau, ses fesses étaient moites et transpirantes. Il avança quelques peu honteux et humilié à quatre pattes aux pieds du Maître. Pas simple encore pour l’esclave MDE de se présenter nu, dans cette posture devant des inconnus.

- Va présenter tes hommages à Madame et saluer Monsieur ! lui intima le Maître.

Aux claquements de doigts, il avança vers eux et baisa respectueusement les pieds de chacun, alors que tout le monde s’était tut. Puis il revint aux pieds du Maître en restant sagement, tête basse en quadrupédie.

- Voilà un bon chien, en cours de dressage. Il a intégré mes cachots depuis peu, je suis assez fier de ses progrès. Il chemine bien sur le sillon que je lui trace.
- Rien d’étonnant, Mon cher Marquis, vous avez une grande expérience à dresser ! lui répondit Madame.
- Oui effectivement, mais vous savez ma chère Annick, le dressage est une chose, les capacités de l’esclave à s’adapter et à accepter en est une autre. Ce chien, je l’avoue me surprend, il a parfaitement intégré sa place en Mon Château. Avec une certaine aisance et audace, il a su s’adapter à Mes volontés et Mes exigences. Il a parfaitement compris que sa place était nullement ailleurs qu’entre Mes mains, qu’il était né pour être humilié et se soumettre, c’est rare de nos jours de trouver de tels sujets.

soumis compelled MDE eut un regain de fierté. Sans un mot, il l’exprima son plaisir en tortillant son cul tel un chien (l’animal) l’aurait fait… Le Maître, lui caressa l’échine pour le flatter un peu plus encore.

- Qu’elles sont ses stries qu’il porte sur le dos ! Questionna Monsieur.
- Quelques marques laissées par une série de coups de fouet
- Suite à une punition ?
- Nullement, une simple séquence de dressage et d’entrainement BDSM
- Bien… masochiste en plus ! reprit Madame
- En passe de le devenir, tout au plus… Mais j’avoue qu’il a de bonnes prédispositions, je l’ai vu souffrir et prendre du plaisir… J’étais fier de le voir se tordre sous la lanière d’un fouet et de le sentir jouir de plaisirs.


Là encore, soumis compelled MDE, tortilla du cul pour manifester son contentement, puis le Maître lui demanda de regagner un angle de pièce désigné, de se mettre à genoux devant, face à cet angle, et mains sur la tête. Il resta ainsi tout le temps du repas, sans bouger, totalement ignoré. Son esprit restait sans cesse mobilisé sur d’éventuels ordres qui pourraient intervenir à tout moment, ce qui le fit tenir dans cette posture difficile. Au bout d’un certain temps, au cours du repas le soumis MDE comprit pourquoi Madame et Monsieur tenait tant à recevoir le Maître aujourd’hui même. Ils disposaient d’une jeune soumise à temps partiel, qui souhaitait s’engager plus encore auprès d’eux. Elle n’avait que vingt ans, avec un physique agréable, des petits seins fermes, une petite chatte, douce et agréable, un joli petit cul à initier à la sodomie. Madame avait tout de suite pensée à Monsieur le Marquis et à sa longue expérience en la matière.

- J’aimerai, s’il vous plait, très Cher Marquis que vous acceptiez de la prendre en stage quelques jours en votre Château, j’aimerai qu’elle y découvre l’asservissement et l’humiliation, j’aimerai que vous la testiez selon vos saines méthodes afin qu’elle puisse être sûre d’elle-même et de ses intentions !
- Je n’y vois aucun inconvénient Ma chère Annick, et combien de temps me la confieriez-vous ?
- Elle sera disponible d’ici une quinzaine de jours pour une semaine.
- C’est un peu cours pour lui enseigner tout ce que j’ai à lui apprendre.
- Nous le savons bien Monsieur le Marquis ! reprit Monsieur, Vous ferez pour le mieux en une seule semaine !
- Bien soit, nous ferons donc de l’intensif…
- Nous l’avons convoqué pour 16 heures cher Edouard, pour vous la présenter.
- Parfait, je pourrai déjà me faire une petite idée sur cette jeune chienne en devenir.

Madame semblait satisfaite, elle savait qu’elle remettait entre de très bonnes mains sa jeune femelle, qu’elle ne craindrait rien et que le dressage qu’elle recevrait serait à la hauteur de ses espérances.


- Dites donc Monsieur le Marquis, il faudrait peut-être nourrir un peu votre chien, ne croyez-vous pas ?
- Oui vous avez raison Annick, auriez-vous quelques restes à lui donner.
- Bien sûr, je l’emmène en cuisine.

soumis compelled MDE attendit que le Maître lui donna ordre de suivre à quatre pattes Madame. Elle lui posa au sol une gamelle dans laquelle elle avait mélangé de la salade, quelques morceaux de poulet froid et des courgettes. Le chien MDE s’empressa de manger dès qu’il en reçu l’ordre de Madame. Le nez dans sa gamelle il sentit la main de cette femme lui caresser les fesses, puis glisser doucement entre ses cuisses. Elle lui attrapa sa nouille encagée et la fit remonter contre son anus. Il sursauta.

- Mange salope, sans te préoccuper de ce que je puisse te faire.

Sa main gauche enserrait sa queue et comprimait ses couilles… De son autre main, elle se mit à faire des pichenettes, imprimant du bout des doigts des coups légers sur les couilles serrées de l’esclave MDE. Il sursauta à chaque coup porté plus par réflexe que par douleur.

- Allons, chien, Le Maître a fait tant d’éloge sur toi et ton masochisme prononcé...

Elle relâcha les couilles de l’esclave pour s’intéresser à son trou de lope. Elle y inséra un doigt, le bougea avec dextérité, le fit aller et venir dans tous les sens et constata la souplesse et l’élasticité de ce anneau

- Il a du en prendre des bites ce trou, et des grosses ! Sale petite chienne que tu es ! Monsieur Jean-Michel aimerait sans doute y glisser la sienne, sa grosse bite bien dure et si épaisse, te la fourrer pour bien te labourer les entrailles. Et ta langue tu sais t’en servir salope. Montre-moi ta langue !

soumis compelled MDE se laissait doigter le trou du cul comme si de rien n’était, Il eut juste le temps d’avaler son dernier morceau de poulet, il se redressa, ouvrit la bouche et tendit la langue. Madame la lui pinça entre son pouce et son index replié et la tira plus encore.


- Une vraie langue de pute ça, sais-tu au moins t’en servir chien, sais-tu fouiller bien à fond une vulve, sais-tu allez chercher un bon clito et le faire durcir ?

Madame regardait le soumis MDE droit dans les yeux, le tenant toujours fermement par la langue. Lui ne pouvait pas répondre, il hocha de la tête et cligna des yeux pour répondre affirmativement à la question posée.

- Je vois chienne que tu es entre les mains du meilleur dresseur qui puisse exister… Sais-tu que Monsieur le Marquis d’Evans est La référence pour nous tous les Dominants… Allez suit moi….

Madame et le chien revinrent dans le séjour, Monsieur le Marquis, Monsieur et Walter étaient installés sur de confortables fauteuils de cuir dégustant une collation. L’esclave MDE sur ordre se coucha près des pieds du Maître. Celui-ci s’empressa de lui poser un pied sur le visage.

- Excusez-moi Messieurs, j’ai pris un peu de temps en cuisine, j’ai voulu tester les trous de cet esclave, pendant qu’il se rassasiait, je suis sûre chéri que son cul te plairait, il est d’une grande souplesse…
- Ah bon ? fit-il
- Voulez-vous l’examiner et le tester mon Cher Jean-Michel ? reprit Monsieur le Marquis
- Pourquoi pas !
- Mon chien, va présenter tes fesses, écarte-toi bien avec tes mains en exhibant ton trou, et montre ton fourreau à Monsieur !

L’esclave se redressa et approcha, mais juste avant qu’il se positionne en levrette, Monsieur l’attrapa par le menton il lui glissa deux gros doigts dans la bouche. Le soumis MDE s’empressa de les sucer et de bien les lubrifier avec sa salive. Ces doigts étaient épais et larges.

- Allez chien, retourne toi et offre toi ! Lui ordonna Monsieur

Sitôt installé, soumis compelled MDE sentit ses deux doigts effleurés son trou. Ils se glissèrent d’un trait dans son intimité, arrachant un gémissement au soumis MDE. Alors qu’il se laissait pénétrer et fouiller, une sonnette se mit à tinter. Madame se leva et alla ouvrir à la porte. Il entendit une voix féminine dire :

- Bonjour Maîtresse ! Puis une autre, celle de Madame lui répondre
- Bonjour Candice, tu es à l’heure c’est bien. Tu te déshabilles entièrement, tu ne laisses que ton collier autour du cou, et tu viens nous rejoindre dans le salon

La jeune femme arriva sur la pointe des pieds, les mains dans le dos, avec sans doute, un brin d’anxiété. Elle se mit debout devant celle qu’elle appelait Maitresse, baissa la tête ostensiblement en signe d’un profond respect et regarda soumis compelled MDE gémissant, toujours en train de se faire doigter. Elle était jeune et belle, sa chevelure blonde couvrait ses épaules et en partie sa frêle mais ferme poitrine. Son pubis était couvert de poils blonds et courts, sa cambrure faisait ressortir ses fesses quelque peu rebondies.

- Tu as en face de toi un très Grand Maître… Va te présenter à lui, c’est Monsieur le Marquis d’Evans et à son fidèle Majordome Monsieur Walter. Offre-toi ma chérie, et surtout laisse toi bien faire, obéit à tout ce qui te sera exigé… Lui intima sa Maîtresse.

Elle fit deux pas sur le côté gauche et se mit face à Monsieur le Marquis, le salua humblement puis fit encore un pas sur le côté pour présenter ses respects à Monsieur Walter. Le Maître se leva, lui caressa le visage doucement d’un revers de main, lui repoussa les cheveux derrière les épaules. Il passa son majeur sur ses lèvres puis le glissa sur la pointe de ses seins. Candice poussa un long soupir. Le doigt du Maître glissait encore sur l’abdomen de la jeune soumise arrivait doucement vers son triangle intime.

- Ecarte toi ma belle ! lui ordonna-t-il.

La jeune femme tremblante, ouvrit les jambes, laissa le doigt du Maître glisser sur sa vulve et s’introduire lentement en elle… Les soupirs se transformèrent rapidement en gémissements, surtout que Monsieur Walter lui aussi debout, lui caressait les seins tout en lui pincetant les tétons. Elle se laissait peloter et fouiller sous le regard bienveillant de sa Maîtresse et de Monsieur qui avait cessé de jouer avec l’orifice de soumis compelled MDE. Le Maître glissa son doigt plus profondément arrachant un petit cri à la belle soumise. Elle s’excusa immédiatement. Monsieur Walter, lui caressait maintenant les fesses, lui empoignait ses lobes fermes et quelque peu crispés, il les écarta et appela soumis compelled MDE.

- Lèche-lui sa petite rondelle, chien !

La langue du soumis MDE s’empressa d’acquitter l’ordre reçu. Elle glissa sur cet anneau doucement parfumé et lorsque cette langue tenta de s’introduire, la jeune femme sursauta en poussant un « ah ! » teinté de crainte et se crispa très nettement. Le soumis MDE comprit bien vite que cette zone n’avait sans doute jamais été encore déflorée. Il n’insista pas et se contenta simplement de lécher le périnée, de glisser sa langue rapidement sur ce petit trou bien fermé. Madame eut bien du mal à cacher son excitation, la scène qu’elle avait devant elle, visiblement l’enfiévrait. Elle avait glissé sa main sous sa robe et manifestement se caressait. Le doigt du Maître glissait toujours dans ce sexe étroit et caressait maintenant le clitoris de la jeune femme. Elle commençait doucement mais sûrement à perdre pied. Ces gémissements se firent plus nombreux et plus bruyants et sa respiration s’accélérait à l’évidence.

- Bien laisse toi aller ma belle, regarde, tu commences à bien mouiller, donne toi et écarte toi mieux encore, abandonne toi !

Et la jeune femme se laissa faire, les deux doigts du Marquis maintenant bien profondément en elle, s’activaient sérieusement presque furieusement et lorsqu’elle fut prête à défaillir, elle porta son regard sur sa Maîtresse en poussant des « ah » et des « oh »

- Aaaaaaah … Je vais jouir Maîtresse …. oh, ah, ahhh ! …. M’y autorisez-vous ! …
- Oui, vas-y ma chérie, laisse toi aller à l’orgasme, je te l’autorise afin que tu te souviennes bien du tout premier plaisir que daigne t’octroyer Monsieur le Marquis !

Son corps se tendit, ses muscles se contractèrent puis se relâchèrent d’un seul coup la faisant tituber. Heureusement Monsieur Walter la retint par les épaules, lui évitant ainsi de tomber sur le soumis MDE toujours placé derrière entre ses cuisses à lécher sa raie anale. Elle fut allongée sur le sol, membres en croix, totalement offerte. Elle fermait les yeux, soufflait généreusement…

- Mon chien, ne reste pas sans rien faire, nettoie-lui bien sa chatte…

Sans se faire prier, soumis compelled MDE se mit entre ses jambes écartées, et glissa tendrement sa langue entre ses chairs intimes et se délecta de ces chaudes et liquoreuses sécrétions vaginales.

(A suivre…)

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