Un Doux Réveil (Alice Et Margot 4)

Le soleil était déjà haut lorsque je sortis de ma torpeur. Je me trouvais dans cet étrange état où l’on ne distingue pas encore bien ce qui fait partie du rêve de ce qui est réel. Dans ma tête tournaient les images de cette nuit de sexe débridé. Je revoyais les corps de Margot, d’Alice, de nous trois s’enchevêtrer les uns dans les autres. Je ressentais les caresses échangées. Je bandais fort et revoyais leur bouche sur mon sexe. Petit à petit le contour des choses se redessinait. Je sortais de ce moment suspendu entre sommeil et éveil.
Sans doute cette bouche autour de ma queue m’y aida un peu…

Je tournai la tête sur le côté. Alice dormait à ma gauche. Margot était à ma droite. Qui était-ce alors ? Je soulevai les draps délicatement et vis le haut du crâne blond d’Alex et sa coupe de cheveux si particulière. Elle releva la tête, me sourit et repartit de plus belle, enfonçant mon sexe au plus profond de sa gorge. Belle matinée à venir. Mon souffle de plus en plus bruyant à fur et à mesure que je me sentais venir réveilla Alice. Elle me regarda avec un air un peu contrarié quand elle découvrit que je prenais mon pied sans elle.
-Quoi, Margot s’y est déjà remise sans ma permission ?
Elle souleva le drap et vit la tête d’Alex. Elle se radoucit instantanément.
-Donc Alex dormait ici.
La bouche et l’une des mains de la blonde me branlaient maintenant de plus en plus vite. Son autre main caressait mon anus qui se dilatait petit à petit. Alice s’assit sur mon visage. Je saisis ses fesses et attirai vers ma bouche son petit minou. J’y introduisis la langue sans autre préparatif. Mon nez vint cogner contre le petit diamant qu’elle avait visiblement gardé dans le cul toute la nuit.
Alice écarta le drap et se pencha vers ma verge. Elle accompagna de sa langue les mouvements déjà imprimés par Alex. Les deux femmes s’embrassèrent par dessus mon gland et reprirent la fellation. Chacune d’elle prenant entre leurs lèvres la moitié de ma hampe.

De mon côté, j’enfonçais maintenant deux doigts dans la chatte de la rouquine et sentis sa mouille devenir de plus en plus abondante. Margot, elle, ne semblait pas le moins dérangée par nos cris de plaisir. Elle dormait toujours.
Je ne fus pas long à venir. Très vite, les deux bouches eurent raison de moi. Je jouis sur le visage d’Alice. Alex se rapprocha d’elle et vint y embrasser mon foutre avec plaisir.

Rassasiée, Alice se leva et sorti de la chambre. Alex se redressa et s’assit dos à moi sur le bord du lit. Je n’aperçus que furtivement sa poitrine. Des petits seins de très belle forme comme je les avais imaginés. Elle se leva et gagna la terrasse. Elle avait un cul merveilleux. Une paire de fesses fermes, toniques que je devinais en dessous du boxer blanc qu’elle portait. Ses hanches donnaient l’envie de s’y accrocher. Tout comme sa crinière blonde donnait l’envie de l’empoigner férocement. Elle avait un côté sauvage indéfinissable.