L'Été De Chloé - 1

En cette belle après-midi d’été, une petite brise rafraichissait la chaleur moite qui ravissait les vacanciers. Chloé avait fêté ses 18 ans en même temps que sa réussite au bac, une tante qui habite au bord de mer cela permet de profiter un maximum des vacances surtout quand on habite dans une grande ville.
L’après-midi touchait à sa fin, Chloé avait quitté la plage, elle avait récupéré son vieux vélo dans le petit bois juste à côté et s’était mise en route pour la maison de sa tante. Autant une plage isolé est un plaisir pour elle, autant le chemin-route tout bosselé en était le prix à payer. A chaque fois qu’elle l’empruntait elle faisait un numéro d’équilibriste sur son vélo, slalomant entre les trous et les cailloux. Combien de fois sur ce petit kilomètre qui sépare la route bitumée de la plage elle avait évité la chute… 
Quand sa main droite lâcha le guidon pour rattr un bout de son paréo qui glissait de ses épaules, la roue avant se planta dans un trou et Chloé se retrouva au sol.
Un peu sonnée par cette chute, elle mit un petit moment avant de se relever. Un genou écorché, où le sang et la poussière se mélangeaient mais pas d’autre bobo à l’horizon. Elle reprit son vélo en grimaçant et se remit en selle. Pas moyen de repartir, la roue avant était complètement à plat, percée par une petite tige en métal. La demi-heure de vélo pour rentrer chez sa tante allait se transformer en une heure et demie de marche à pied.
Chloé pris son courage à deux mains et se mit en route, poussant son vélo en boitant à cause de son genou douloureux. A peine avait elle atteint la route goudronnée qu’une voiture s’arrêta juste après elle. La porte avant droite s’ouvrit, une jeune femme blonde sortit et se dirigea vers elle.
Bonjour, ça va ? demanda la jeune femme avec un fort accent étranger
Oui, j’ai crevé et je suis tombée, c’est pas grave mais ça fait mal.
Tu vas loin ? Est-ce que tu veux qu’on te dépose ?
Je veux bien, c’est pas de refus.


La jeune femme blonde pris le vélo de Chloé pour rejoindre la voiture, le conducteur, un homme d’une quarantaine d’année était sorti et attendait adossé à la voiture.
La voiture était immatriculée aux Pays Bas, la jeune femme dit quelque chose au conducteur qui lui répondit dans une langue incompréhensible pour Chloé.
L’homme ouvrit le coffre, sortit une trousse à pharmacie, prit le vélo et le chargeant dans le coffre.
Le conducteur s’adressa à Chloé et lui mima en même temps de s’assoir au bord du coffre. Chloé comprit qu’il allait s’occuper de son genou. De l’eau pour nettoyer la plaie, un coup de désinfectant, un pansement et l’homme s’adressa à nouveau à Chloé sans qu’elle comprenne cette fois ci.
Il a dit qu’il faudra que tu changes ton pansement ce soir et que tu regardes si la plaie a bien été nettoyée.
Chloé hocha de la tête et grimpa à l’arrière de la voiture à l’invitation de la jeune femme.
Au cours du trajet Chloé appris en discutant que la jeune femme s’appelait Eefie, que le conducteur était son père Klaas, qu’ils étaient originaires d’une petite ville à côté d’Amsterdam et qu’ils louaient une villa dans le coin pour leurs vacances.
Arrivée chez la tante, Chloé remercia Eefie et son père, prit leur adresse et rentra dans la maison.
Le soir venu, sa tante rentrée du boulot, Chloé lui raconta ses déboires. Un voisin bricoleur vint changer la roue du vélo en échange d’un apéro, Chloé ne fit pas de vieux os, elle se coucha tôt et lu un peu dans son lit.

Le lendemain, le soleil trônait déjà haut dans le ciel quand Chloé ouvrit les yeux. En descendant dans la cuisine, elle vit une bouteille posée sur la table, un mot de sa tante déjà partie au travail trainait à côté.
« une bouteille pour remercier les hollandais si tu veux. Bonne journée, à ce soir ! »
Chloé sourit, sa tante savait vivre. Un café vite avalé suivi d’une douche et Chloé se mit en route pour aller remercier ses bienfaiteurs.

Arrivé à la villa, la voiture était garée devant, Chloé sonna à la porte. Un court instant et le visage souriant d’Eefie apparu.
 Bonjour, je venais vous remercier de m’avoir ramenée hier. » dit Chloé un peu gênée.
Mais non, il ne fallait pas, c’est tout à fait normal, viens entre.
Chloé entra, elle suivit Eefie dans la cuisine, cette dernière mit la bouteille au frais et elles se posèrent sur la terrasse.
Waouh, vous avez même une piscine !
Oui, c’est bien agréable, même si la mer n’est pas loin ;
Ton père n’est pas la ?
Non, il est parti faire du bateau, il sera de retour après midi.
Chloé et Eefie passèrent une bonne partie de la matinée à discuter de tout et de rien, Chloé apprit qu’Eefie n’avait qu’un an de plus qu’elle, qu’elle s’ennuyait un peu toute seule en vacances, que ses parents étaient séparés et plein d’autres choses.
Il faut que je rentre, ma tante va m’attendre pour manger et elle n’a pas beaucoup de temps.
Si tu veux, tu peux revenir cette après-midi, on peut la passer ensemble autour de la piscine.
Oui avec plaisir, à tout à l’heure, merci.
Le repas passé, un maillot de bain enfilé, paréo par-dessus, Chloé retourna à la villa à l’invitation de sa nouvelle amie. Elle n’eut pas le temps de sonner qu’Eefie avait ouvert la porte.
En arrivant sur la terrasse, Chloé vit la jambe de Klaas dépasser d’un transat, il prenait le soleil au bord de la piscine. En faisant le tour du transat pour lui faire la bise, Chloé se rendit compte que Klaas était nu.
Klaas, voyant Chloé lui fit un grand sourire, il se leva lui fit la bise et se réinstalla sur son transat. Chloé était gênée par la nudité de Klaas, Eefie revenant de la cuisine avec un verre de jus d’orange s’aperçut de son trouble.
Ca va pas Chloé ?
C’est que ….ton père il est nu, ….c’est que … pas…enfin… 
Chloé peinait à trouver ses mots. Eefie lui sourit.
Oui, il pratique le naturisme, ça te gêne, tu veux que je lui demande de mettre un maillot ?
Euh…  non….
ca va aller, il est chez lui… 
Tu ne fais pas le naturisme toi ?
Non
Les seins nus ?
Non plus.
Eefie enleva son short puis son tee shirt, elle se retrouva seins nus avec juste son bas de maillot.
Ca te dérange ? Tu veux que je mette le maillot en haut ?
Chloé regardait troublée le corps de son amie.
Non, ça va, t’inquiète.
Allez viens alors, l’eau est bonne….
Chloé n’avait fini d’entendre la phrase d’Eefie que cette dernière l’avait empoignée et poussée dans l’eau avec elle. Les deux jeunes filles rigolaient de leurs bêtises.
Pendant un long moment, les deux copines ont chamaillé dans l’eau en cherchant à se pousser, s’éclabousser ou se couler.
Après une empoignade d’Eefie que Chloé réussit à repousser, la jeune hollandaise se mit à pouffer de rire. Regardant tout d’abord autour d’elle Chloé ne comprit pas tout de suite la raison de son hilarité puis voyant qu’un de ses seins était sorti de son maillot lors de leur bagarre, elle le réajusta en jetant un coup d’œil vers Klaas qui semblait somnoler. Eefie profita sournoisement de l’inattention de sa camarade pour se jeter sur elle, Chloé déséquilibrée ne lutta pas mais chercha à reprendre son équilibre. Eefie en profita pour tirer sur les deux nœuds qui retenaient le haut du maillot de Chloé.
Quand elle reprit pied, le haut du maillot de Chloé avait quitté son corps.
Comme cela on est à égalité !
Chloé ne dit rien, elle se jeta sur Eefie pour essayer de lui faire payer son geste. La lutte entre les deux jeunes filles se termina dans un grand fou rire.
On va se mettre un peu au soleil – proposa Eefie
Oui, si tu veux, attends je cherche mon maillot
Laisse le où il est et viens !
Chloé vit son haut de maillot au fond de la piscine, après un court moment d’hésitation, elle suivit Eefie et sortit de l’eau.
Klaas se leva, dit quelque chose à sa fille et disparu dans la maison.
Qu’est ce qu’il a dit – demanda Chloé à Eefie
Il va aller courir, il revient dans une heure, une heure et demie.

Eefie fit glisser le bas de son maillot et s’allongea nue sur un transat.
J’aime pas avoir un maillot mouillé sur moi, c’est mieux comme cela pour sécher et pour profiter du soleil.
Chloé ne dit rien, elle remit ses lunettes de soleil et s’allongea sur un transat à côté d’Eefie. A travers des lunettes, elle regardait le corps harmonieux de sa voisine, de belles courbes, un bronzage uniforme. Son regard se fixa sur l’entre-jambe d’Eefie, Chloé était surprise de le voir tout lisse, comme au premier jour.
Le soleil tapait fort, laisser sa peau sans protection n’était pas conseillé.
Tu veux que je te mette de la crème dans le dos – demanda Chloé à Eefie
Eefie lui tendit le tube avec un sourire et sans un mot.
Chloé fit couler un peu de crème sur le dos de sa copine qui se raidit sous l’effet du froid. Délicatement et consciencieusement, elle étala la crème sur tout le dos d’Eefie, protégeant bien l’ensemble de la peau du haut des épaules au bas du dos, en effleurant la naissance des seins sur les côtés.
Voilà, c’est fini
Tu peux aussi faire mes jambes s’il te plait – demanda Eefie avec un grand sourire.
Chloé se décala sur le transat et fit couler un long filet de crème du talon jusqu’à la fesse de sa copine.
Tu en as mis beaucoup la ! – dit Eefie en rigolant
Chloé pouffa de rire avec sa copine et en étalant la crème sur les jambes elle se rendit compte qu’elle avait un peu exagéré sur la quantité et qu’il allait lui falloir bien l’étaler. Elle commença par le bas des jambes et remonta au fur et à mesure. En étalant la crème Chloé prenait plaisir à masser les jambes de son amie, arrivée sur le haut des cuisses, elle sentit Eefie les écarter pour lui permettre d’accéder plus haut à l’intérieur. Chloé ne disait rien mais son regard était captivé par la fente de son amie ; c’était la première fois qu’elle voyait un sexe féminin d’aussi près. Plus qu’étaler la crème sur les fesses, elle les massait, les faisait remonter, les écartait pour faire s’ouvrir le sexe de son amie. Eefie ne disait rien, elle sentait le trouble de son amie et se laissait faire. Descendant des fesses vers les cuisses, les doigts de Chloé frôlèrent le sexe, en remontant, les deux pouces de Chloé caressèrent les lèves humides d’Eefie et ouvrirent son sexe.
Le soupir d’Eefie ramena Chloé à la raison, un petite tape sur une fesse elle lui dit
Voilà, c’est fait, tu es crémée.
Merci – répondit Eefie accompagné d’un grand sourire.
Chloé se rallongea tout troublé sur son transat et tourna la tête ) l’opposé de son amie pour cacher son trouble.
Elle senti un liquide froid sur son dos, Eefie venait de lui verser de la crème à son tour. Les mains d’Eefie étaient douces, elles visitaient toutes les parties du dos de Chloé qui ne disait mot.
Un petit massage de la nuque puis des mains qui cherchaient à envelopper les seins de Chloé silencieuse et encore troublée par son audace. Les caresses d’Eefie finissaient inlassablement sur les côtés de Chloé en cherchant à aller toujours plus loin. Pas un mot n’était prononcé par les deux amies mais Eefie sentait que Chloé lui laissait aller de plus en plus loin sur ses seins. Inconsciemment Choé se redressait sur ses coudes, Eefie parvint à caresser entièrement ses seins, Chloé fermait les yeux en sentant les mains d’Eefie qui jouaient avec sa poitrine.
Tu aimes les garçons ou les filles ?
A la question d’Eefie, Chloé se laissa retomber sur le transat.
Euh…. Les garçons..  les filles non… 
Tu as déjà fait avec un garçon ?
Non, j’ai flirté mais j’ai jamais encore…. – bafouilla Chloé
Eefie avait commencé à faire couler de la crème sur les jambes.
Et toi tu as déjà ….avec un garçon ?
Oui
Et avec une fille ?
Oui, c’est pas pareil mais c’est bien aussi.
Choé ne dit plus rien, elle sentait son entrejambe humide, elle était anxieuse et impatiente de la suite.. 
Eefie étala bien la crème sur les jambes de Chloé, les doigts s’arrêtaient à chaque fois à la lisière du maillot maigre rempart pour protéger son sexe. Les yeux fermés, Chloé ressemblait à une proie offerte ou une victime qui attendait son châtiment.
Chloé sentit les deux nœuds de son maillot se délacer, les doigts de sa copine faisaient glisser son maillot sur ses fesses, son bassin se souleva pour permettre au bout de maillot coincé entre son pubis et le transat de partir. Elle était nue, offerte sur son transat.
Ouvre – lui demanda doucement Eefie
Chloé sans un mot, les yeux fermés elle ouvrit un peu plus ses cuisses. Elle sentit son intimité attaquée par les doigts délicieux de son amie. Ces doigts qui effleuraient ses lèvres s’humidifiaient au contact de son sexe et ainsi s’invitaient à chaque passage de plus en plus profondément. Plus les doigts entraient en elle, plus ses cuisses s’écartaient pour faciliter le passage.
Eefie savait y faire, Chloé soupirait, respirait de plus en plus fort, le sexe trempé ne demandait que du plaisir.
Chloé se raidit et poussa un petit cri de jouissance ; Eefie retira ses doigts et se rallongea en silence.
De longues secondes de silence s’écoulèrent, Eefie entendait la respiration de son ami se ralentir et redevenir normale. Un long soupir et Chloé lui dit
Waouh…..
Tu as aimé ?
J’avais jamais joui comme cela….c’était…. waouh !
Eefie sourit.
Tu reviens demain ? – demanda Eefie en tournant la tête vers Chloé
Chloé lui sourit et se leva
Il faut que j’y aille
Eefie se leva à son tour, rhabillée Chloé lui fit une bise sur la joue mais pour la seconde Eefie lui donna ses lèvres, les deux jeunes femmes s’embrassèrent fougueusement.
A demain – dit Chloé en partant.

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