C'Est Beau Le Sport!

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Voilà maintenant 5 jours que nous sommes ici. La région est agréable, ce petit coin de Normandie mérite d’être découvert avec ses bocages, ses petits bois remplis de fougères. La chaleur est écrasante c’est le seul point négatif de ce court séjour. Le gîte rural qui nous accueille est calme et surtout la nourriture y est excellente et copieuse. C’est un peu ce qui a déclenché cette aventure.
Eliane au bout du 2ème jour a décidé qu’elle avait pris trop de poids et qu’il fallait réagir. Je lui dirais bien qu’elle a effectivement pris quelques kilos et que cela ne date pas de quelques jours mais je tiens à éviter la soupe à la grimace. Je pense qu’effectivement, 60kg pour 1,59m c’est un peu fort, même à 58 ans. Voilà donc qu’elle a décidé de m’accompagner dans mon footing quotidien.
C’est la première fois.
Evidemment elle a chamboulé toutes mes habitudes. Moi qui préfère courir à la fraîche, me voilà obligé de le faire à 15h, alors que le soleil nous plombe. Pour se faire, elle a trouvé la tenue parfaitement adaptée. Elle a pour l’occasion ressorti un short que je ne lui ai pas vu porter depuis au moins 5 ans, rose et à mon sens trop chaud pour ce genre de sortie. Elle complète avec un tee-shirt blanc assez large lui et le fin du fin, ses chaussures de marche.
Comme je m’y attendais, elle n’a pas pu suivre le même rythme que moi et nous sommes obligés de marcher régulièrement. Je lui concède volontiers cela car j’apprécie l’effort qu’elle fait. La chaleur est toujours aussi forte et la sueur coule le long de mes tempes. Je regarde Eliane et je suis subjugué par l’effet que cette touffeur a sur sa tenue. Un véritable concours de tee-shirt mouillé !
Je ne m’étais pas aperçu qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Les tétons irrités par le frottement sont parfaitement visibles. Je la laisse me précéder et là aussi le spectacle est saisissant. Le short est trempé et lui rentre dans la raie des fesses dont on devine parfaitement le galbe.


Je suis en train de me demander si je ne vais pas l’attirer dans un coin pour lui faire faire un autre genre d’exercice. Je suis en érection alors que nous arrivons en vue d’un petit bosquet après lequel je sais qu’une petite clairière entourée de fougères pourrait tout à fait accueillir nos ébats. J’entends des éclats de voix et pour le coup je suis un peu dépité. Zut, il y a du monde. Ils sont quatre hommes, entre 20 et 25ans et jouent au ballon sous les arbres.
Visiblement ils ont pique-niqué sur place. A notre approche ils s’arrêtent et regardent dans notre direction. Les sourires et les murmures vont bon train.
Eliane ne doit pas comprendre pourquoi, mais moi si. Il y a même un sifflet appréciateur après notre passage.
Alors je me dis que peut-être… cela vaut le coup d’essayer. Je me tourne vers elle et je dis bien fort « Bon je vais finir en courant, tu connais le chemin, il faut que je m’entraîne ! ». Sans attendre sa réponse je pars en trottinant sur le sentier. Dès le premier coude, je rentre dans les fougères et je m’accroupis. Il ne faut pas très longtemps pour qu’Eliane passe à mon niveau. Je vois qu’elle marche d’un bon rythme, sa poitrine lourde se soulevant à chaque pas. Mon plan, bien qu’il ne soit pas encore très précis, semble prendre l’orientation souhaitée. Quelques minutes après ma femme, je vois passer les 4 jeunes. J’ai failli ne pas les entendre arriver. Je leur laisse un peu d’avance et à mon tour je reprends le sentier. Ne pas se faire repérer donc ne pas aller trop vite.
Soudain j’entends des rires suivis d’un cri « Arrêtez les gars ! » puis calme plat. J’active un peu le pas sans pour autant courir. Une grande ligne droite s’ouvre devant moi et personne ne se trouve sur le sentier. Je suis un peu inquiet… de part et d’autre des petites pistes s’enfoncent dans les fougères. Oui mais de quel côté ?
Cela fait quelques minutes que je suis là et je commence à regretter ma légèreté.
Il me semble percevoir des éclats de voix sur la droite.
Je m’engouffre dans le layon. Je marche ainsi quelques centaines de mètres et au fur et à mesure mes doutes se dissipent. Je les entends clairement maintenant avec la voix d’Eliane au milieu de leurs rires. Lentement je m’approche lentement en restant à l’abri des fougères. J’ai peur d’attirer l’attention…
Ce que je découvre au milieu de cette clairière est hautement érotique. Les jeunes ont remplacé leur ballon par le tee-shirt roulé en boule d’Eliane. Ils se le lancent, s’amusant à faire courir ma femme dont la poitrine saute de manière parfaitement indécente. Lorsqu’elle est sur le point d’attr le ballon improvisé, celui-ci est relancé vers un autre joueur non sans que le lanceur ne touche qui un sein, qui une fesse. Au bout d’un moment elle s’arrête comprenant l’inutilité de ses efforts. Elle reste là debout au milieu du cercle les mains croisées sur les seins difficilement contenus.
« Tu ne veux plus jouer avec nous ? - Vous n’êtes pas drôles les gars » Le type qui vient de s’adresser à elle, un grand rouquin légèrement barbu semble être le leader de l’équipe. Les 3 autres se ressemblent beaucoup, bruns bien charpentés, ils semblent bien être frères. Devant l’inertie d’Eliane, le rouquin s’avance vers elle. « De toutes façons, on a gagné… et on va recevoir notre prix ». Il baisse son short et son sexe tendu, arqué vers le haut se dresse fièrement.
Eliane semble hypnotisée. « Bon tenez-la ! ». Les trois autres restent en retrait, se caressant à travers le tissu. Le rouquin s’avance encore et sans plus de formalité, roule le short de ma femme à ses pieds. Il s’en saisit et le jette dans les fougères… Ouf ! Pas très loin de moi, je le vois là à moins d’un mètre.
« Suce ! ». Docilement, Eliane ouvre la bouche et engloutit avec difficulté le pal de chair. « Voilà … on va y venir … t’as un beau cul ma salope… occupez-vous un peu d’elle les gars, mais attention, je passe d’abord ». Les 3 frères tout en la maintenant, parcourent son corps, pincent les seins claquent les fesses et vont jusqu’à introduire les doigts dans chacun des orifices.
Eliane ondule de la croupe, la tendant à leurs caresses.
Je bande comme un fou et je me branle en regardant ma femme aux mains de ces 4 jeunes. Je la connais et je commence à observer chez elle la montée de la jouissance.
Le rouquin lui baise littéralement la bouche tenant sa tête entre ses mains. Il s’enfonce une dernière fois à fond de gorge et se vide visiblement. « Putain ça fait du bien ! Vous allez pouvoir y aller les gars, laissez-moi la place. » Il va s’installer derrière Eliane et se branle un peu pour redonner de la vigueur à son sexe. Il l’enfonce ensuite brutalement mais sans difficulté. Il commence son mouvement de va-et-vient en empoignant les fameux bourrelets qui sont à l’origine de cette aventure. Pendant ce temps les 3 autres se bousculent pour profiter de sa bouche. « Doucement les gars, dans l’ordre d’ancienneté. Vas-y Luc… ». Ceci établi, il reprend sa besogne pendant que Luc présente un sexe de belle dimension aussitôt enfourné par Eliane qui maintenant participe pleinement. Le rouquin semble hésiter puis il sort son sexe et l’enfonce dans l’anneau plissé à sa portée. Il s’amuse ainsi à alterner les deux orifices et finit pas jouir dans le sexe d’Eliane avant de se laisser glisser sur le côté. Luc de son côté s’est vidé également et récupère, il a été aussitôt remplacé par le suivant en âge. Le plus jeune profite aussitôt de la situation et vient à son tour besogner la femelle qui gémit sans discontinuer.
Je continue à me branler comme un fou. Il me vient à l’esprit qu’au bout de mes écouteurs, il y a mon smartphone qui en principe me sert à écouter mes morceaux de rock favoris quand je cours, mais qui peut également faire d’excellents films.
Je le mets en œuvre. Heureusement ce n’est pas fini. Pendant 2 heures encore, ma femme sera prise par tous les orifices, mais c’est également avec un plaisir évident qu’ils l’humilient, la souillent. Elle a léché les culs de ses enfoirés sans rechigner. Il faudra que j’exige ça aussi ! Le rouquin donnera encore une fois le signal ; celui de la fin des réjouissances.
Il se baisse et ramasse le tee-shirt roulé en boule. Il regarde autour de lui et le lance dans un buisson de ronces. Il s’approche ensuite d’Eliane qui gît les cuisses écartées sur le sol, couverte de sperme sur tout le corps. « Tu te défends drôlement bien pour ton âge ! … à un de ces jours peut-être ! ». Ensuite ils se rhabillent et reprennent le sentier à l’envers. Je m’aplatis pour ne pas être vu. Je jette un œil sur ma femme et à mon tour je me retire.
Je termine mon footing et une fois arrivé au gîte je fais mon calcul. Elle devrait être arrivée depuis au moins une heure, il est donc légitime que je m’inquiète et que je parte à sa recherche. Je la retrouve sur le sentier à quelques kilomètres du lieu de ses exploits. Ella a su récupérer ses vêtements mais ses jambes et ses bras portent les griffures de ronces au milieu desquelles elle a récupéré son tee-shirt. Je lui demande ce qui s’est passé. « J’ai eu envie de faire pipi et je suis tombée dans les ronces… et après je me suis tordu la cheville ». « Ça semble aller mieux, rentrons… » Elle sent le sexe à plein nez, mais je ne dis rien.
Depuis ce jour, je regarde souvent les films que j’ai faits ce jour-là ; ils sont parfaits, dignes de certains films de cul. Je me demande souvent comment ils pourraient me servir pour faire pression sur Eliane. Il faut que je trouve…

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