Jenna Est A Nouveau Reprimandee Par Son Patron

Je continue ce jour à raconter l’affaire que j’ai poursuivi avec mon patron ces derniers temps. Pour ceux et celles qui n'ont pas lu mes précédents récits, je me présente.
Je m'appelle Jenna, je suis une femme Canadienne mariée de 45 ans. Cadre dans une grande compagnie, je prends soin de ma personne et mes tenues sont toujours bien choisies avec un soupçon de sensualité. Je mesure 1m67 et ai des formes généreuses mais ne suis pas grasse. Ma poitrine est avantageuse mais sans être vulgaire. Je porte presque toujours des bottes ou des talons hauts pour attirer les regards des hommes. Je dois dire que j'aime sentir leurs regards et je m'amuse à les allumer tout en restant comme naïve ou innocente. J'aime me sentir sexy mais sophistiquée et porte rarement des collants mais plutôt des bas par exemple.
Rares sont ceux qui osent m'approcher ou me draguer ouvertement. Il faut être confiant en soit pour me parler car je reste souvent plutôt hautaine et professionnelle. Cette confiance, cette audace sont particulièrement excitants si l'homme est honnête et me traite comme la femme sophistiquée que je suis. La vulgarité me repousse. Mon fantasme que j'ai parfois réalisé est d'être dragué par un homme attirant qui me domine de sa confiance et sa virilité. Ma tenue et mon attitude sensuelles le rendent fou jusqu'à ce qu'il me possède. Je résiste souvent un peu pour ne pas passer pour une salope mais c'est pour qu'il me ravage avec plus de fougue.
Le récit qui va suivre s'est produit au printemps dernier. Pour mieux comprendre la situation je vous suggère de lire mon précédent récit où je racontais la soirée passée aux USA avec Michael, le directeur pour les USA de ma compagnie. Celui-ci m’ayant vu un peu ivre avait poussé l’audace et n’a pas hésité à me draguer. Un peu surprise et flattée je l’ai laissé faire. Ce qui a changé de la situation habituelle est que Michael voulait me « punir » pour avoir allumé les employés males de la compagnie.


Sa confiance en lui et son assurance étaient comme hypnotiques, il m’a contrôlée et malgré mes protestations initiales il m’a possédée. Après des préliminaires plutôt intenses et originaux, je me suis retrouvée les mains attachées et ma robe troussée et ma lingerie dévoilée. Toujours vêtue de mes bottes et de mes bas j’ai été défoncée de façon experte. Il me disait que cela était pour me punir de porter des tenues souvent excitantes mais j’ai bien compris qu’il ne voulait pas que j’arrête de les porter.
Après cette rencontre à la fin de l’hiver dernier nous avons échangé des emails mais nous ne sommes pas revus avant le printemps. Les emails sur des boites anonymes pour rester discrets étaient souvent des questions sur ce que je portais ou si je remarquais les regards des hommes sur moi. Il me disait souvent qu’il devrait me punir à nouveau. Ce printemps, je prenais part à une convention de l’industrie dans laquelle je travaille. Cela se passait à Boston et je devais retrouver plusieurs amies et collègues. Je ne pensais pas revoir Michael car cela n’est pas vraiment son domaine. Avec des collègues nous sommes allées voir une comédie musicale. A la sortie nous sommes allé boire un verre ensemble pour célébrer ces retrouvailles. A ma grande surprise une de mes collègues avait invité Michael à cette fin de soirée. Il vint vers moi avec un sourire. J’ai essayé de ne pas trahir ma surprise. Heureusement l’endroit était bruyant mais il m’a dit à l’oreille que visiblement j’avais aimé notre dernière rencontre et en demandait plus. Je portais ce soir un haut en soie beige qui mettait bien ma poitrine en évidence, un pantalon marron plutôt moulant et des chaussures beige clair au bout ouvert style « sling back » avec une petite plateforme et des talons aiguilles vertigineux de 11cm. Ce genre de petite plateforme permet de marcher avec des talons bien plus hauts que j’en ai l’habitude.
Bref en entendant ses paroles j’ai senti un frisson me parcourir. Certes notre dernière rencontre avait été remplie d’extase mais le côté plutôt étrange de ses pratiques m’avait fait un peu peur.
Il s’est éloigné pour ne pas montrer ses intentions aux autres employés. Michael m’a montré son téléphone où il avait inscrit « parlons dehors dans 30 minutes lorsque tout le monde partira».
A l’heure indiquée et après avoir compté les minutes, je me suis dirigée vers la sortie moins visible du club. Effectivement il attendait dans un taxi. J’ai hésité un peu avant d’y aller. Je sentais son regard sur moi alors que je marchais sur le trottoir. Il devait regarder ma démarche sexy e par ces talons hauts et mon pantalon moulant. Le videur du club me regardait aussi marcher. Je suis montée lentement dans le taxi arrangeant mes longues jambes dans l’espace restreint.
Michael me dit tout simplement « je suis logé dans l’appartement d’un ami qui est juste à quelques minutes » Il ne me demanda pas si je voulais venir ou si j’étais prête à l’accompagner. Son ton ne me laissait pas le choix. “C’est bien Jenna, tu comprends que je donne les ordres même si je ne suis plus ton chef direct dans la compagnie.” Le parcours en taxi pris cinq minutes et nous sommes arrivés au pied d’un immeuble d’appartement qui dominait le quartier chic des maisons Brown stone. Il m’a conduit en tenant sa main sur le creux de mes reins. Une fois dans l’ascenseur il m’a dit à l’oreille « votre démarche est somptueuse et fortement sensuelle comme d’habitude Jenna » Je l’ai regardé dans les yeux pour dire merci mais je me suis rendu compte de ce que cela voulait dire. Cela aurait montré que j’appréciais son regard sur ma croupe. Je l’ai vu sourire et sa main est descendue sur mes fesses qu’il caressa lentement mais avec suffisamment de pression pour que je sente sa force, son désir. Il ne fit pas de remarques sur le fait que je ne portais qu’une très fine culotte à mi-chemin entre un string et un tanga. Nous sommes arrivés au dernier étage qui est divisé en deux appartements. Celui dans lequel nous somme entré est décoré de façon moderne. Une grande baie vitrée donnait une belle vue sur la ville.
Michael a allumé quelques lumières mais pas toutes. Il a aussi mis en route de la musique de style jazz feutré.
Je ne savais pas quoi dire. Une partie de moi voulait à nouveau être sa proie, sa soumise mais l’autre partie de moi se rebellait et voulait partir.
Michael est allé vers le frigo et a sorti une bouteille de Champagne de grande qualité. Il m'a servi une flute. J'ai commencé à la déguster en me promenant dans les lieux. Mes talons aiguilles claquaient sur le sol en marbre. Je me suis rendu compte que mon pantalon serré et mes talons aiguilles me donnaient une démarche très sensuelle même si je ne le faisais pas exprès. Michael m'a invité à m'assoir sur un des tabourets de bar devant la cuisine ouverte. Pas facile de se percher sur un tabouret avec des talons si hauts. Je me suis mise bien droite et me suis rappelée que c'était ainsi que notre précédente soirée avait commencée. Ayant vu que mon Champagne était fini il m’invita à danser. Il me tenait fort dans ses bras et je me sentais toute faible. Cette sensation commençait à me faire fondre. De plus danser me rend toujours un peu plus excitée et plus détendue. Michael a sorti un bol de fruits du frigo et m'a proposé de manger un petit dessert. Je me suis levée et j'ai marché vers le canapé pour m'y assoir. Un peu surpris il m'y a suivi. Il a rempli ma flute une fois de plus. Je ne me rendais pas compte du nombre de boissons que je buvais depuis le début de la soirée. Assise bien droite sur le canapé et essayant le plus possible de garder un extérieur de femme classe et hautaine j'ai accepté de prendre une fraise. Cela est normal avec du Champagne. J'ai mordu dans la fraise en essayant de ne pas la laisser dégouliner de partout. Michael a sorti une cravate et en me regardant dans les yeux il m'a dit "jouons un petit jeu". Cela n'était pas une demande mais un ordre. La cravate devint vite un bandeau et bientôt une ceinture venait attacher mes mains devant moi. Michael restait dominant mais pas brutal.
Ce n'est qu'un jeu me dit-il. "Devines quel fruit je te donnes" Un fruit froid toucha mes lèvres. Je le pris entre mes lèvres avec méfiance puis le laissait rentrer dans ma bouche. C'était une framboise. Il me servit un peu de Champagne avec ma flute. Puis une fraise des bois vint pour être dégustée. Je commençais à me relaxer. Une autre fraise mais plus grosse vint ensuite mais je ne pouvais tout prendre dans ma bouche. Le jus commença à couler au coin de mes lèvres. Je ne savais pas quoi faire mais Michael lécha le jus des côtés de mon menton. Il versa quelques gouttes de Champagne sur ma bouche et les lécha aussi. Le côté plutôt tendre et délicat de ces actions était surprenant. Je lui ai dit à voix basse "je ne peux pas, je suis mariée, nous ne pouvons pas continuer"
Je me rends compte maintenant que je m'avouais vaincue, que ces paroles n'étaient là que pour protéger ma conscience. J'étais prête à laisser Michael se servir de moi, assouvir ses envies.
J'étais assise sur le canapé avec mes jambes croisées. Lentement il poussa mes jambes pour qu'elles soient écartées. Je me tendais un peu sentant ses mains sur mon corps, sa bouche sur la mienne. Les bouts de mes talons aiguilles grincèrent sur le sol. J'ai poussé un gémissement, un gémissement qui montrait que je ne résistais plus tant. Michael passa ses doigts sur mes épaules et baissa mon haut en soie. En un rien de temps je me retrouvais avec mes seins à l'air car je ne portais pas de soutien-gorge sous ce chemisier. "Oh non" je dis par fausse modestie. Je savais que mes tétins étaient déjà dressés. Mes seins lourds et fermes vibraient et Michael ne perdit pas de temps. Il versa un peu de champagne sur ceux-ci et cela me fit frissonner d'un coup. Michael suça mes tétins de façon experte et je gémissais à voix haute à ce moment. Je ne me plaignais plus. "Je suis un peu déçu Jenna que vous ne portez pas une de vos robes magnifiques ou une jupe mais ce pantalon accentue la longueur de vos jambes et votre cul splendide"
J'étais complètement à sa merci maintenant et je ne savais pas où cela allait me mener. Les compliments sur ma tenue sont souvent plus efficaces que ceux sur mon corps. Sa main gauche massait mon sein droit et sa main droite massait ma nuque m'aidant à me relaxer. Il quitta mon sein pour aller caresser l'intérieur de ma cuisse. Cela envoya un frisson dans mes jambes et mon entre jambe. Il passa sa main sur mon mont et je sentais l'humidité gagner mon intimité. "Oh non ohhh aahahh" je ne faisais plus de sens. Mon corps disait oui mais ma conscience continuait de lutter. Il se calma un instant et me donna un autre fruit, un grain de raisin. J’ai entendu un bruit de fermeture éclair et je savais ce qui allait suivre. Je ne résistais pas à ce point-là et j’ai ouvert docilement la bouche. A ma surprise ce fut un objet froid qui toucha ma bouche. Il s’agissait d’une banane. Il l’éplucha et la présenta à nouveau. Je l’ai léchée et me prenant au jeu je l’ai même sucée. Bien sûr je fus surprise lorsque la banane fut remplacée par quelque chose de chaud et dur. Il poussa son gros gland contre ma bouche. J’aurai pu résister mais j’ai ouvert la bouche et accepter sa queue. Je l’aie léchée d’abord sur tout le tour et les zones érogènes. J’ai ensuite gobe le gland lui-même. Etant plutôt gros il tenait à peine dans ma petite bouche. Lorsqu’il était dans ma bouche j’ai continué de lécher le tour. Puis j’ai senti que Michael poussait son membre dans ma bouche. Au début j’ai pu l’accommoder mais après 5 ou 6 centimètres j’ai commencé à . Il s’est arrêté et a caresse mes cheveux. Puis tenant ma tête par ma queue de cheval il a commencé à forcer sa grosse queue dans ma bouche. Je bavais dessus. « Voilà Jenna, c’est mieux, ohhh oui comme ça oui Jenna » m’encourageait-il en grognant.
Apres quelques minutes il sorti sa grosse bite couverte de bave de ma bouche. Il me porta avec aise et je me suis retrouvee avec les fesses sur le bras du canape. Il a rapidement defait ma ceinture et baisse mon pantalon a mi cuisse. « mmmm jolie Jenna » fit-il. Il caressa ma chatte au travers de ma fine culotte trouvant que j’étais plutôt trempée. Ecartant le tissu il glissa un doigt en moi ce qui me fit me tendre et couiner. Je ne pouvais écarter les jambes car mon pantalon les tenait serrées. Il ne me ménagea pas beaucoup car après quelques minutes à peine de doigtage expert il souleva mes jambes ensemble. Je me retrouvais avec les jambes serrées et mon cul a sa merci. Il glissa son gros sexe contre ma chatte et commença à me pénétrer. Etant tenue dans cette position peu propice à une pénétration j’avais du mal à le laisser entrer en moi. Il fit des petits va et viens lent jusqu’à ce que sa bite entière soit en moi. Je respirais rapidement étant étirée par sa grosse bite et ne pouvant pas écarter les jambes. Son bassin commença à aller et venir avec des mouvements lents mais longs. Il poussait toute sa queue en moi avant de la retirer presque entière. Puis il repoussait. Cette technique était magique et mes jambes serrées ensemble faisaient que sa bite frottait sur mon point G. Je l’ai supplié de me laisser voir. Il enleva mon bandeau et je vis d’abord mes seins fermes qui étaient secoués par ses coups de bélier. Puis je vis mes jambes pointées vers le ciel. Mes talons aiguilles vibraient pointés vers le plafond. Il tenait mes jambes ensemble avec un bras. Mes jambes encore moulées par le pantalon étaient sur une de ses épaules. Il remit mon bandeau avec un sourire. Il reprit ses grands coups de bite dans ma chatte étroite. Je sentais chaque veine et chaque bosse de son membre dans mes chairs intimes. Je commençais à râler, a couiner, a crier. Il prit un rythme plus rapide et j’entendais le bruit de ma chatte trempée suçant sa bite et l’empêchant de sortir. Ce bruit de ventouse était enivrant. « Oh oui Jenna crie, voilà ce que tu prends pour m’allumer encore petite salope hein ! » Je sentis des décharges électriques partout dans mon corps. Sans vraiment que je sois prévenue je me mis à jouir d’un coup. Je me tendais et criait des mots sans sens. Ma chatte tenait sa bite comme dans un étau mais il sorti de moi.
Sans un mot et profitant de ma condition affaiblie, il me porta et me posa à plat ventre sur le dossier du canapé. J’ai su qu’il s’apprêtait à continuer cette séance de baise intense. Je repris équilibre sur mes talons hauts et repris mon souffle. Il détacha puis rattacha mes mains dans mon dos. Il caressait mes seins et je senti son gros membre frôler mon visage. Lentement il caressa mon cul rond et frôla la rondelle. « Oh non pas par la, cela fait trop mal et tu es trop gros » je pleurnichais sans conviction. Il enduit mon anus d’un liquide tiède. Sachant qu’après avoir joui je devenais sensible il enduit ma chatte du même liquide. Il me masturba lentement avec un doigt entre mes lèvres puis un autre dans mon cul. Le plaisir était confortable et je commençais à me détendre. Mes talons fins couinaient sur le sol en carrelage. Mes talons très hauts relevaient mon cul à une hauteur plus qu’accessible. Lentement je sentis un objet pénétrer ma chatte. Je mordais ma lèvre car c’était gros et long. « qu’est-ce que ohhhh que fais-tu ? oohhhhh » Il commença à me branler avec cet objet, un concombre peut être ? Il profita de ma détente pour glisser un deuxième doigt dans mon cul pour écarter la rondelle. Le liquide lubrifiait bien mon cul. Je savais maintenant ce qu’il allait me faire. Avec cet objet écartant bien ma chatte il se positionna derrière moi. Je sentis son gros membre dans la raie de mes fesses. Son gland épais poussa contre la rondelle « oh non ohhhhh aaiiiieeee » il poussa t poussa jusqu’à ce son gland passe tout d’un coup au-delà de ma rondelle. Il poussa un grognement de victoire. J’ai moi couiné de plaisir et de douleur. La brulure de la pénétration anale avait diminué mais je sentais ces deux gros membres me prendre par chaque trou. Il commença à se retirer puis repoussa pour pénétrer plus avant. En quelques aller et retour il avait fiché son gros membre dans mon cul jusqu’à la garde. Il me laissa m’habi à cette sensation d’avoir les deux orifices écartelées. Il commença à me sodomiser de plus en plus vite. A chaque coup de rein sn bassin claquait contre mes fesses. Ma culotte était toujours poussée de côté et mon pantalon tenait mes jambes serrées. La pénétration double en était encore plus intense et ces deux membres paressaient encore plus épais. Je criais et je râlais dans cette situation intense. « hein raahahh prends ça salope ohhh tu aimes ca rouler du cul rrrhhah voilà rahhhh ce que je fais a ton beau petit cul aaahhhrrrrrr » Il se cambra et me pilonna de plus en plus vite. Je commencais a perdre connaissance car le concombre dans ma chatte massait a la fois mon point G et toutes les zones erogenes possibles. Michael savourait cette sensation de me briser, de me contrôler, de m’humilier. Il sentait que je commençais à jouir a nouveau sans retenue. Je criais et couinait lorsqu’il me tira la tête en arrière par ma queue de cheval. Il bourra son gros sexe dans mon petit cul étroit et soudain au milieu de mon orgasme je sentis sont sexe au fond de mes entrailles. Son orgasme gicla au fond de moi et il me défonça encore une douzaine de fois pour bien faire passer le message. Il vidait ses couilles dans sa propriété, mon cul.
Apres avoir détaché mes mains, il me laissa me nettoyer. Je ne sais pas ce qu’il utilisait pour me faire jouir. Il me caressa les fesses alors que je remettais mon pantalon. J’étais engourdie après tant de baise et d’orgasme. Je fis ce que je pu pour reprendre mes esprits et une apparence correcte. « Un taxi t’attend en bas Jenna. Viens me rendre visite en mars dans mon ranch, j’organiserai un weekend tranquille pour nous deux. Sois sage d’ici-là. Tu sais qui est le boss maintenant»
Je tremble encore en pensant à cette soirée et à celle qui a suivi en mars.

Si vous souhaitez me parler ou voir la photo de ma tenue ce soir-là, échanger des photos ou des histoires érotiques ou même des liens vers des sites porno qui vous font penser à moi, écrivez moi sur mon email.
A bientôt
Jenna

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!