Le Complot. (1/2)
Comment peut-on tomber si bas ?
Je marche dans mon quartier parisien celui des artistes dont je suis devenue membre après beaucoup de galère lorsque zigzagant devant moi une femme portant des baluchons sécrase lamentablement sur le trottoir.
Un reste dhumanité me pousse à laider à se relever lorsquun jeune homme est plus prompt que moi.
Merci monsieur dame, vous formez un joli couple.
Vous vous trompez, ce jeune homme et moi sommes des inconnus.
Excusé je suis pressé, je vous ai relevé, mademoiselle va vous aider.
Merci bien, je suis épuisé, trois jours sans dormir de peur de me faire voler le peu daffaires qui me restent.
Le jeune homme séloigne quand la femme me regarde.
Vicky, tu me reconnais, je suis Amour, nous avons passé le bac à Châteaudun ensemble avant que tu montes à Paris faire des études aux beaux-arts.
Mais oui, Amour, comment se fait-il que je te retrouve ici dans cet état.
Cest une longue histoire, mais il faudrait trop de temps pour tout te raconter.
Jhabite à deux pas viens te reposer et prendre une douche, tu en as bien besoin.
Je veux surtout éviter de te déranger, mais le nom de douche à lui seul me fait te dire, on y va, jai conscience de puer.
Sans prendre ses sacs dans létat où ils sont, je franchis les cinquante mètres qui me séparent de mon porche dimmeuble. Je dois subir ses odeurs le temps que lascenseur nous conduise au huitième étage où jai un loft acheté, il y a peu suite à la vente dune de mes toiles.
Laisse tes sacs ici je temmène dans la salle de bain.
Arrivé près de la baignoire, je laide à me remontrer ses seins que jai tellement aimés chez mes parents lorsquelle venait laprès-midi et où elle avait pris tant de place que jai fuie à Paris pour éviter de tomber sur la pente fatale où elle mentraînait.
Pente non pas lesbienne car cela, je lavais déjà assimilée même si je suis plutôt bi, car je vis avec Carl beau mâle dun mètre quatre-vingt pour soixante-dix kilogrammes qui lui aussi ami denfance que jai retrouvé un jour pendant un de mes séjours chez mes parents pour Noël et le jour de lAn.
Pente fatale de femme soumise car Amour arrivait à me faire tout ce quelle désirait.
Mes seins devaient supporter des pinces crocodiles qui me broyaient, les pointes à me faire de petits saignements et des douleurs à la limite du supportable mais que je finissais par aimer.
Ma chatte était aussi un terrain de jeu pour elle et il était fréquent que mes lèvres vaginales soient mordues au lieu dêtre sucées avec douceur.
Tu aimes que je te fasse souffrir petite salope.
Et je mentendais répondre.
Mors les biens, je vais jouir.
Le plus fort cest quen le disant je le faisais et Amour tirait de mon corps des orgasmes jamais retrouvé même par la suite avec Carl.
Bref, je tombais dans le masochisme et la soumission, car elle me faisait faire ce quelle voulait.
Après ses seins, cest sa jolie chatte que je retrouvais légèrement changée car impeccablement épilée.
Cette chatte qui tranchait avec son corps couvert de traces noirâtres aurait dû me mettre la puce à loreille.
Quelques minutes à se déshabiller la baignoire se remplissant et lorsquelle lève la jambe pour enjamber la baignoire, japerçois les chairs roses de son intimité dont elle mobligeait à laper, sucer et pénétrer avec ma langue en contreparties des misères quelle pratiquait sur mon corps.
Viens te baigner avec moi.
Ça recommençait, elle ordonne et jexécute.
En deux secondes mes fringues volent dans la pièce et cest à mon tour de lui faire voir la jolie couleur saumon claire de mes chairs.
Nous nous faisons face dans ce bain et la situation me plaît de plus en plus.
Non pas que je sois en manque bien que Carl mait quitté depuis quartes jours pour son boulot.
Il revient dans deux jours et mon vagin coule déjà du moment où il me pénétra.
Carl, cest le premier de lAn, que je lai rencontré lorsque je disais bonne année à chacun, mes parents avec ses parents et lui qui semblait semmerder autant que moi.
Cest la bise qui nous a rapprochés ou lorsque ses lèvres ont touché ma joue et que la petite pointe délectricité a scellée nos destins.
Deux heures plus tard nous étions dans ma chambre, javais les jambes écartées et son pieu, car monsieur est bien monté me prenait la chatte.
Prouvant par là même ce que je disais sur ma bisexualité.
Savonne-moi et insiste entre mes jambes, je tiens à retrouver tes caresses de jadis qui me déchiraient la chatte et qui me transportaient sur des rives que, jamais je nai retrouvées avec dautres partenaires.
Quel beau compliment, il me va droit au cur et me fait tomber un peu plus dans le piège quils mont tendu.
Je la savonne lorsquelle sest relevée et je fais tout comme elle veut.
Sa chatte est propre et plus que propre lorsque je lui mets deux doigts dans sa fente pour bien en nettoyer le moindre recoin.
Le plaisir que je déclenche en elle lui fait plier les jambes avançant son bassin jusquà mes lèvres qui sempressent de la lécher. Elle perd léquilibre sous la deuxième décharge, saffale sur moi dans une gerbe deau qui inonde la pièce.
Je suis fatigué, il faut que je dorme pour récupérer, sortons et sèches mon corps, je vais dormir.
Je me plie à ses caprices et lorsque je la vois partir vers la chambre, elle me lance.
Nettoie tout, je veux que cette pièce soit nickel lorsque je me réveillerai.
Jai une femme de ménage qui doit arriver dici quelques minutes, mais je me plie à ces caprices retrouvant le bon temps de notre jeunesse. Pourquoi ai-je fui, car depuis quelle est revenue dans ma vie, même si elle est restée distante avec mon propre corps, celui-ci me donne une jouissance intérieure que je trouvais et que je trouve divine avec elle ?
Il faut que je le reconnaisse, je suis de nouveau entièrement inféodée à Amour.
Pire encore, en sortant avec mon balai et ma serpillière de la salle deau, je la regarde dormir et son visage si lisse me fait dire que si elle me le demande, je virerais Carl dès son retour.
Pendant deux heures, je reste près delle de peur quelle ne disparaisse de nouveau pendant tant dannées.
Lorsquelle se réveille, elle se lève sans un geste pour moi et va directement à la salle de bain et bien sûr comme par le passé elle trouve à me faire des récriminations et décide de me punir.
Dommage, si javais su te retrouver, jaurais acheté des pinces crocodile et ce coup si cest sur tes grandes lèvres que je te les aurais placés au lieu de tes seins.
Je me souviens exactement ce que tu me demandais de te faire subir, ton esprit machiavélique me poussait à ses extrémités.
Attends-je reviens !
Je monte à létage supérieur où se trouve latelier et un petit jardin donnant sur les plus beaux monuments de Paris.
Jai une table dans cette verdure avec une nappe que ma femme de service change tous les jours et qui a des pinces comme les pinces crocodile de mon enfance avec des sujets permettant déviter que la nappe ne senvole.
Chaque pièce métallique pèse son poids et très fière je les apporte à Amour.
Tu métonneras toujours, tu vois que cest toi qui es machiavélique.
Et cest avec un mal à hurler quelle me place deux pinces de chaque côté des lèvres et qui les tendent vers le bas à les déformer.
Mets une culotte et descend macheter le journal du jour.
Pourquoi veux-tu que je mette une culotte, en bougeant les plaques sentrechoquerait et tu entendras ce que jaccepte de subir pour toi.
Et si lune dentre elles se détache et tombe au sol, tu passeras pour une salope même si cela est vrai, les témoins non pas à savoir que tu aimes être ma soumise.
Es-tu ma soumise ?
Oui, ma chérie, maintenant que je tai retrouvé, il est impensable que je te perde une seconde fois.
Tu sais mon art va nous suffire à nous faire vivre tous les trois et je compte bien lui faire comprendre quun jour sur deux, il me partagera avec toi.
Comment tu vis avec quelquun, tu veux me partager.
Oui, tu le connais ces Carle notre ami denfance.
Je lai ramené après la nouvelle année où il est devenu mon amant.
Tu veux que je le quitte.
Non, je veux que tu continues à vivre heureuse, je suis partante pour tenter ta solution.
Soit sûre que jy arriverais et quà aucun moment, tu seras mêlé à nos partis de jambes en lair, car vous aurez chacun votre pièce.
Je descends chercher le journal les pinces malgré ma culotte entamant mes chaires pour rien au monde je ne les enlèverais étant sûr que la punition serait plus importante encore.
Lorsque je reviens Amour est allé dans mon armoire et comme nous avons la même taille, elle a trouvé tout ce quelle avait besoin.
Bien tu mets ce journal à la poubelle, je voulais, vérifier que tu es toujours aussi vicieuse que chez tes parents et que nous allons bien nous amuser.
Où veux-tu aller ?
Nous allons faire quelques courses.
Nous descendons et dans ce quartier de Montmartre, nous passons sur la place ou à peindre des portraits de clients, jai eu la chance en attendant de peindre un sujet de mon imagination sur une toile de cinquante sur cinquante.
Un Américain ma regardé travaillé et a voulu voir si javais dautres tableaux du même genre.
Il est venu dans la chambre que javais sous les toits et a été emballé sur la noirceur de mon imagination, car toutes mes toiles montraient des corps de femme torturés, écorchés comme mon corps en ce moment.
Il ma exposé dans sa galerie et en moins de trois semaines, tout était vendu même celle appelée « Amour » et qui insidieusement me représentait dans mon vice.
Cest principalement avec cette toile que jai pu déménager et retrouver mon « Amour. »
Entre là.
Cest un tatoueur et spécialiste des piercings chez qui elle me fait entrer.
Le tatoueur habillé de cuir avec de grosses moustaches et des tatouages partout sur ses bras nue nous reçoit.
Quest-ce qui est le plus douloureux, les piercings ou les tatouages ?
Pour qui, pour vous.
Non, pour ma copine.
Il faut lui mettre des piercings sur les grandes lèvres de sa chatte, vous verrez, cela rend bien et surtout un « prince Albert » sur son clito, elle sera bandante.
Non, la chatte, je lui ai déjà mis ce quil faut, Amour montre au monsieur ce que tu as choisi pour ta chatte en ce moment.
Jai soulevé ma jupe, baisse ma culotte, ce qui a fait descendre les quatre pièces de métal manquant de marracher un cri de douleur, mais jai réussi à lavaler.
Puis-je vous donner un conseil ?
Venant dun pro sûrement.
Ces pièces de métal sont très jolies et je peux lui enlever la partie crocodile et mettre des anneaux qui après lavoir percé en quatre points seront fixés sans jamais pouvoir les enlever sauf à couper lanneau et éviteront les infections que vous risquez avec les crocos.
Donnez-les-moi, je vais les préparer et demain matin, je lui fixe.
Daccord, jaime, son copain pourra toujours la baiser.
Mieux que cela à chacune des poussées cela tintera. Ma femme est équipée dun modèle similaire, mais je dois dire que les sujets sont moins grands que les siens.
À demain, Vicky remet ta culotte, le monsieur en a assez vu.
Le matin, il ma percé quatre fois dans les grandes lèvres et une fois le clito. Lanesthésie locale, quAmour voulait, lui interdit de me faire mais quen bon professionnel, il a refusé sinon elle allait voir ailleurs non pas été douloureuse sur le coup.
Le plus dur a été décarter les cuisses devant lui, jai choisi une gynéco, car jai du mal à mexhiber, mais la présence de mon amour tortionnaire ma fait accepter de le faire.
Il ma mis cinq piercings médicaux pour que la cicatrisation se fasse sans infection et jusquà ce que Carl arrive Amour ma fait vivre nue la chatte avec ses cinq petits bâtons avec les petites boules visées bien visible.
Carle a ouvert la porte en quelques secondes ma vie à basculer
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